CM-Emotions PDF

Title CM-Emotions
Author Sara Svtre
Course Psychologie
Institution Université de Reims Champagne-Ardenne
Pages 32
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CM1: Emotion

I- Le développement des émotions 1-Introduction Expression des émotions: ce que l’on produit, ce que l’on exprime au niveau du visage, expression faciale mais également gestuelle. Reconnaissance des émotions: faculté à reconnaitre une émotion sur le visage d’une autre personne. Compréhension des émotions: pour comprendre on va reconnaitre et comprendre la cause ou la conséquence de l’émotion. J’ai vu qu’il souriait parce que.. (on comprend le contexte). Régulation des émotions: dans toutes les situations sociales on va être dans un bain émotionnel. Ça nous accompagne tout le temps. C’est la faculté de faire en sorte que les émotions des autres ne nous envahissent pas. Empathie: forme d’adaptation à autrui qui demande des capacités particulières. On peut voir des comportement empathiques très tôt chez les petits. Les émotions nous suivent partout. Ce sont des choses qu’on imagine dans le domaine social, cognitif; lorsqu’on passe un examen on a en tête la manière dont on passe un examen. On peut avoir un niveau de stress, qui est parfois dépendant du temps qu’on a mis à étudier. Sur le plan cognitif on lit les questions, et on se demande; est-ce que je vais pouvoir y répondre!? je suis content de telle ou telle question, pas d’une autre!: «!qu’est-ce que ça veut dire!?!». On va passer d’une émotion à une autre. 3 définitions de l’émotion qui existent dans la littérature!: • Etat de troubles, d’agitation aux causes multiples, qui survient de manière brusque, qui peut s’accompagner de troubles physiques, comme par exemple rougeurs, tremblements, et de modification physiologique comme l’accélération du rythme cardiaque. On a une 1ère composante!: état de trouble, qui est un état mental. En fonction du contenu mental et la manière dont on l’oriente, ça va donner une coloration aux sentiments. Quand on parle des émotions, c’est qqch que l’on ressent. La coloration émotionnelle peut aussi être associée à qqch qui a un contenu. La deuxième composante c’est aux causes multiples!: on peut imaginer que les causes peuvent être très nombreuses. Ressentir une émotion ça peut être dû à un événement que je vis en direct (télé, internet, rapporté par qqn). On a aussi des situations dans lesquelles on va ressentir une émotion par rapport à notre propre expérience, par exemple se lever le matin et se dire «!qu’est-ce que j’ai bien dormi!». Y a à la fois l’état émotionnel, et il y a cause. La troisième composante c’est la manière dont l’état mental est accompagné par des éléments physiologiques -> accélération du rythme cardiaque par exemple, lors de situation où on n’est pas à l’aise on rougit. On le ressent et on sait que ça se voit. Situation de stress!: on tremble, on le ressent. Même si on le ressent dans la vie de tous les jours on peut le cacher. Y a des éléments invisibles mais ressentis, et des éléments visibles. • Réaction affective subite, temporaire et involontaire souvent accompagnée de manifestations physiques (expression faciale), provoquées par un sentiment de peur, de colère, etc.

• C’est ce qu’une personne tente d’établir, de maintenir ou de changer entre elle et son environnement changeant, et ce de façon significative pour elle. Là on se situe sur le fait que l’émotion est une réponse adaptative!; lsq événement qui survient je vais produire une émotion, et cette émotion va me permettre de m’adapter, par ex y a le feu, je vais avoir peur donc je vais partir en courant. La réaction est une bonne réaction, elle est adaptée à ce type de situation. Elle permet à l’individu de s’adapter à son environnement. Cette définition est dans l’interface entre le sujet et son environnement. La valence émotionnelle: émotion positive ou négative. Positive: amour, tendresse, engouement, joie, béatitude. Négative: tristesse, colère, peur, surprise, dégoût, douleur, honte, timidité, mépris, doute, culpabilité, inquiétude, souci. On va avoir bcp plus d’émotions négatives diversifiées que des émotions positives. Y a des émotions brutes et d’autres teintées, nuancées. La façon dont on régule les émotions va permettre d’avoir un contact avec l’environnement.

2- L’expression des émotions: • La joie/tristesse On voit apparaitre des sourires de satisfaction assez tôt. Autour des 6 semaines, on a le sourire social qui apparait en réponse à un visage humain connu. A 3-4 mois, le rire va apparaitre, notamment parce que l’enfant, à cet âge, va être sensible à la nouveauté; capacité des enfants à repérer la nouveauté dans leur environnement. Plus les enfant grandissent plus ils se ressemblent. A 6 mois le bébé va rire bcp, facilement. Autour de 9 mois il peut sourire et rire au contact de ses parents, mais le bébé peut aussi être impassible ou pleurer à la vue de certains visages. Le bébé fait l’expérience d’émotions contrastées très tôt: la joie, le plaisir (apaisement),…après le biberon / les pleurs (tristesse, colère) causés par la faim, la fatigue, la peur ou la douleur (coliques). Tristesse: chez les tout petits les pleurs, sont souvent confondu avec la tristesse mais ce sont des pleurs qui répondent a un besoin physiologique, pas parce qu’il est pas content, mais parce que ça peux être lié à la douleur. On peux pas parler de tristesse dans ces moment la, mais de quelque chose qui est déclenché par un aspect physiologique. Le sourire sociale peut t’il être de l’imitation ? Le sourire social est un sourire qui s’adresse a une autre personne, sauf que les nouveaux ont tendance a imiter bcp de chose alors qu’ils en ont pas forcément conscience—>automaticité qui existe, en ce qui concerne certaines conduites. (cf.travaux de Meltzoff). • La colère On la voit apparaitre tôt, dans les 6 mois, c’est provoqué par une frustration (prendre son jouet, l’attacher au siège auto, l’arrêt d’une activité plaisante). A 13-15 mois, lorsque l’enfant est en colère, il peut sortir de son parc, empoigner un jouet,.. colère qui s’exprime par des cris, hurlements. Le bébé compose aussi avec sa colère; en pointant ce qu’il veut, ou bien en s’apaisant lui-même (il suce ses doigts, serre contre lui son nin-nin (s’auto-organise)). Il peut être aidé par ses parents dans cette «!composition!». On a une adaptation du bébé à son environnement direct, on va construire nos émotions à partir de l’environnement, émo-

tions qu’on va réguler et qu’autrui (les parents) vont nous aider. L’enfant a besoin d’une méthodologie. La colère culmine au cours de la deuxième année: l’enfant pousse, mord, griffe, donne des coups de pieds, tire les cheveux. Au-delà de deux ans, ces conduites se transforment en dialogue, négociation, ruse, etc. Le dialogue c’est lorsque l’enfant arrive à communiquer ses intentions, ses émotions, autrement qu’avec des expressions. Lorsque un des enfant va prendre le parapluie, s’amuser, l’autre va prendre le parapluie = imitation, de manière assez immédiate. Si A prend l’objet B peut imiter, et inversement. Au moment où l’enfant entre dans la phase du langage, de façon assez évidente les conduites d’imitation vont baisser. Ça signifie que l’arrivée de l’utilisation des mots va avoir une incidence sur la manière dont l’enfant communique.

CM2 • La peur/ l’angoisse! La peur s’exprime à travers deux types de peur!: ❖ Celle de l’inconnu: apparait vers 6 mois et culmine à la fin de la première année, puis s’estompe dès 2 ans. L’enfant ne sourit plus aux inconnus même souriants, pleure dès que l’inconnu s’approche (quand le Père Noël ou un clown s’approche de lui). Il y a des différences interindividuelles: des nourrissons très réactifs et d’autres qui s’accommodent bien des inconnus. Les différences sont liées: - Au tempéraments de l’enfant: les tempéraments difficiles sont les tempéraments anxieux. Il faut apaiser bcp pour être dans de bonnes conditions. Ces tempéraments sont dits «!difficiles!» car demande bcp d’actions de soins. Les enfants faciles, eux sont assez observateurs, calmes (s’auto-organisent bien), qui observent et trouvent les éléments dans l’environnement qui leur conviennent. - sentiment de sécurité envers le donneur de soins, pour s’auto-organiser donc se réguler. - comportement de l’inconnu, de ses caractéristiques. - la situation: si la mère pas loin, enfant peut réussir à se réguler facilement. ❖ L’angoisse de séparation: c’est quand les personnes familières à l’enfant (ex!: mère) le quittent, l’enfant peut alors pleurer, voire se mettre en colère. L’étude du phénomène d’angoisse de séparation a été opérationnalisée par M. Ainsworth et formalisée par la «!situation étrange!» (théorie de l’attachement, Bowlby). L’angoisse apparait vers 8/9 mois pour culminer vers 14 mois et s’estomper à partir de 2 ans. Cette angoisse dépend des expériences de séparation du bébé, du climat qui entoure la séparation. Il est important d’aider l’enfant à faire l’expérience de la séparation, surtout lorsqu’elle est nouvelle (avec des rituels par ex), dans un climat apaisant (expliquer simplement, évoquer le retour). Le climat aura une incidence importante dans la manière dont l’enfant va comprendre ce qui se joue. L’ explication que donne le donneurs de soins est fondamentale. A la maternelle, le premier jour, plus les parents restent, plus l’enfant pleure/est triste. Si l’angoisse de séparation perdure au-delà de 3 ans, elle est considérée comme une pertur-

bation affective. Ne veut pas dire que c’est irréparable mais c’est un signe important pour consulter. En fonction des cultures, on va avoir des manifestations différentes en ce qui concerne la réaction à cette «!situation étrange!»: Nord de l’Allemagne: 49% d’enfant de type «!insécure-évitant!» montraient peu de signes d’animosité au moment de la séparation et peu de joie à l’égard de la mère à son retour. ➔ Interprétation culturelle: pratiques de laisser souvent le bébé seul momentanément (à l’extérieur des magasins ou à la maison) ➔ L’enfant est habitué à s’auto-organiser, surtout lors de courtes séparations ➔ Il est donc peu sensible à une courte séparation. Pas de situation poussant à l’angoisse Japon: bcp d’enfant vont présenter un type «!insécure-résistant!». Les enfant pleuraient bcp au moment de la séparation et étaient inconsolables quand la mère revenait. ➔ Interprétation culturelle: mères très proches de leurs enfant dans les pratiques éducatives, pas ou peu de babysitting ➔ L’enfant a peu d’expérience de la séparation ➔ Sensibilité accrue aux 3 min (pleurs, et quand mère revient, difficilement consolables) Kibboutz (Israël): les enfants présentaient un comportement de peur intense à l’arrivée de l’inconnu. ➔ Interprétation culturelle: les mesures de sécurité contre la menaces d’attaques terroristes augmentent la peur des inconnus. les inconnus ne sont pas invités à approcher les enfants. ➔

L’enfant développe de la méfiance ou tout au moins de la prudence envers les inconnus.

Dans les zones urbaines d’Israël où les menaces sont moins importante, ce comportement est moins présent. Avant 6 mois: colère, joie, tristesse, peur. Ces émotions vont être perceptibles relativement tôt. Ce ne sont pas les seules: dégoût (travaux sur les nouveaux-nés). • Du changement dans les émotions vécues par l’enfant et ses parents Nouveauté chez l’enfant!: Vers 10-12 mois: déplacement/marche et exploration de l’environnement. Un enfant, avant de marcher, va se déplacer. Peut se déplacer à 4 pattes, assis etc. Il se déplace comme il peut ou marche, mais dans les deux cas va explorer l’environnement de façon différente. On va avoir des progrès sur le plan moteur qui vont avoir des répercussions sur le plan émotionnel. Peut aussi accéder à des objets quand il veut, voir des objets qu’il ne voyait pas avant (découvrir), découvrir des espaces, c’est une période où l’environnement est un terrain de jeux. Les enfant sont en général curieux, ont tous une appétence à apprendre, porté par la curiosité. Un enfant observateurs, pose des questions aux adultes. Il doit passer par; pourquoi, comment, c’est quoi. Un Enfant expérimentés; manipulation, expérimentation; n’a pas conscience du danger.

Nouveauté chez les parents: ils demandent à l’enfant d’être prudent,ils grondent, interdisent, ils punissent l’enfant. La relation enfant – parents change: ❖ Sur le plan émotionnel; l’enfant est plus souvent en colère, fait des crises. Les parents vivent plus d’épisodes de peur, de colère, et de confrontation avec l’enfant. ❖ Sur le plan éducatif; les parents vont accompagner l’enfant dans sa découverte du monde et vont déployer des affects positifs, dans des situations nouvelles, événements nouveaux, ou par rapport à de nouveaux objets (explications, encouragements, etc). Les parents considèrent l’enfant comme étant plus intelligent et aussi plus responsable de ses actes. Chez l’enfant, y a une réorganisation de la vie émotionnelle, car il vit des patterns émotionnels différents et son rapport à ses parents change. On va attendre de l’enfant qu’il se comporte d’une certaine façon. Plus l’enfant va grandir, plus il y aura des attentes. • Des émotions de plus en plus nuancées Au fur et à mesure que l’enfant grandit, on a des émotions de plus en plus nuancées. On est au début de la deuxième année: éléments qui montrent que la conscience de soi est bien présente (utilisation du «!Je!», «!moi!», «!à moi!», jeux de faire-semblant; l’enfant va se mettre dans la peau de la maitresse, du docteur). L’enfant prend conscience de lui-même et par voie de conséquence, prend aussi conscience des autres!: la conscience sociale. L’expérience du miroir (Lewis et Brooks, 1978): On joue avec l’enfant, on lui met une gommette sur le front, on le met devant le miroir, celui qui n’a pas conscience de lui il va pas rester devant et s’il a conscience de lui il va vouloir s’amuser à enlever cette gommette. La conscience de soi et des autres entraîne l’apparition d’émotions qui vont impliquer d’une certaine façon le regard des autres: -

La fierté: sentiment de contentement et de satisfaction (fierté de réussir à nager, faire du vélo).

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La honte!: sentiment de malaise dû à une crainte réelle ou non de provoquer une réaction négative des autres ou de soi-même (d’être surpris en train de faire une bêtise, ou de l’avoir fait).

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Le doute: sentiment d’hésitation poussant l’enfant à évaluer la pertinence de chaque action, selon les exigences parentales (douter de pouvoir être propre). Contrainte qui appuis sur la conduite.

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La timidité/gêne!: sentiment d’inconfort en présence des autres (intimidé de chanter devant les autres) . C’est généralement situationnelle.

CM3 • Determinants des émotions: ❖ Les émotions apparaissent au sein du milieu familial (certaines émotions sont alors permises et d’autres sont interdites), la famille vas peser sur le fait de produire ou non certaine émotions chez l’enfant.

❖ Leur intensité dépend de la culture (les enfants font l’apprentissage de l’expression socialement acceptable des émotions). ❖ Dépend aussi du tempérament de l’enfant (facile/ difficile/ lent): l’expression nonverbale des émotions facilite tôt les interactions de l’enfant avec ses parents, .. aux autres. (l’émotion, avant le langage fait parti du système de communication entre l’enfant et le reste de sa famille ). L’enfant façonne sa personnalité en une équation unique. 3- Reconnaissance des émotions faciles et compréhension des émotions: Vers 5/6 mois, les bébés commencent a reconnaitre les expressions faciales émotionnelles (et au ton de la voix): la joie, la colère. Vers 8/9 mois, les bébés comprennent que les émotions sont associés à des objets, des événements, car ils cherchent a comprendre les émotions de leurs donneurs de soins et ils ont besoin de repérer ces émotions pour savoir comment réagir face a ces situation nouvelles (lors d’exploration d’objets puis lors de l’exploration de l’espace): c’est la référenciation sociale. (vas aller cherche un climat émotionnel, afin de pouvoir réaliser la situation, se comporter ou explorer). Durant le période pré-verbale (jusqu’a 18mois-2 ans), l’expression faciale est importante car elle est le seul moyen pour le bébé de communiquer. A partir de 24 mois (début de la 3e année); l’enfant développe ses capacités a lire les expressions faciles émotionnelles et a repérer les actions d’autrui. (inférer/lire des états mentaux chez autrui). Expressions facile et conduites sont connecté. cf; expérience de la falaise. Entre 3/4 ans et 5/6 ans (enfant pré-scolaire), l’enfant, comprend des sentiment plus subtils (manque), comprend que face a un même événement, les émotions peuvent être différentes. L’enfant commence a pouvoir contrôler son expression émotionnelles: ce n’est pas forcément ne pas montrer ses émotions mais par exemple minimisé ses émotions ou utilisé une autre émotion pour en masqué une. A 6/7 ans: l’enfant reconnait la source de l’émotion qu’il ressent. vers 8/9 ans: l’enfant reconnait l’effet de l’expression émotionnelle d’autrui sur ses propres émotions. 4- Communication des émotions: • Développement du lexique des états émotionnels: Il en comprend plus qu’il n’en dit. Il vas parler des ses propos émotions, des émotions d’autrui. Vers 18 mois/ 2 ans: l’enfant évoque plus souvent des comportements émotionnels que des états émotionnels externes. Ex: j’ai pleuré, j’ai donné un coup de pied. Il peut comprendre des états mentaux : être endormi, avoir faim, c’est bon, être content, être propre, être fatigué ou triste. Vers 3 ans: L’enfant vas évoquer aussi bien ses propre émotions internes que celles des autres. Il vas aussi être de plus en plus sensible aux causes et aux conséquences des autres. Les jeux de faire semblant; ce sont des espaces d’expressions des émotions des

personnages, évocation des causes et des conséquences des émotions et de faire face (adaptation). Vers 6 ans: Il comprend souvent des états émotionnels plus nuancés: être nerveux, géné, jaloux, malheureux, mais ne produit que la moitié ou le tiers de ces termes. connaissent plus qu’ils n’en utilisent. • De grande différences inter-individuelles: Dans une contexte familial d’émotions négatives: on parle peu autour des émotions. Les mères parlent différemment des émotions selon qu’elles s’adressent à leur fille ou garçon parlent davantage autour de la tristesse avec leur fille, de la colère avec leur garçon.A propos d’un scénario sur la colère, les mères parlent plus de relation à restaurer à leur fille et acceptent plus les conduites de vengeance avec leur garçon. Les différences filles/garçons probablement dues à la culture/éducation. Les enfants d’âge préscolaire attribuent plus facilement la peur et la tristesse aux filles et la colère aux garçons En psychopathologie: les sujets alexithymiques sont des sujets qui ont des difficultés à raconter leurs émotions, à les distinguer verbalement 5- La régulation des émotions • Définition Capacité a gérer les réactions émotionnelles: leur intensité et leur durée. Au plan physiologique, de l’expression/ du comportement. Au plan psychologique: dans un but qui fait sens pour le sujet. Qui permet le bien être, le sentiment d’efficacité personnelle, l’équilibre émotionnel et qui permet de s’adapter au contexte social. En grandissant, l’enfant fait l’expérience d’émotions de plus en plus nuancés, l’expression de ses émotions doit et maitrisé, contrôlée, régulée. L’enfant vas juger la pertinence de telle forme d’expression émotionnelle et ainsi tenir compte de ce qu’ils est possible de faire selon le contexte sociale . • Soubassements neuronaux: La capacité de réguler ses propres émotions (hémisphère droit) dépend du développement cérébral à l’âge préscolaire et au-delà: ❖ de la myélinisaton des axones permettant une plus rapide conduction de l’influx nerveux inter-hémisphérique - L’enfant pense plus vite (pose des questions sur ce qu’il écoute) - Il peut traiter plusieurs idées ou actions (peut écouter une question et y répondre, écrire des lettres dans l’ordre alphabétique). ❖ Du développement du cortex pré-frontal ou se trouvent logées les fonctions exécutives (inhibition, flexibilité, planification, attention,…). ❖ Du développement du système limbique impliqué dans les réactions émotionnelles. Il est composé de: l’amygdale (enregistre les émotions positives et négative a forte charge émotionnelle), qui est reliée à l’hippocampe (fonction de stimulation): lié ...


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