Contenus-d\'enseignements PDF

Title Contenus-d\'enseignements
Course Préparation au CAPEPS
Institution Université de Montpellier
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Summary

Theme 7 : Contenus d’enseignement I - Définition Arnaud Psyco péda des APS 1985 « les CE sont constitués par l’ensemble des tâches d’appge qui sont en relation avec les objectifs » Remarque : pour Arnaud, CE = situation d’appg + objectifs situation d’appgs sans objectifs = certainement pas de conten...


Description

Theme 7 : Contenus d’enseignement I - Définition Arnaud Psyco péda des APS 1985 « les CE sont constitués par l’ensemble des tâches d’appge qui sont en relation avec les objectifs » Remarque : pour Arnaud, CE = situation d’appg + objectifs situation d’appgs sans objectifs = certainement pas de contenus d’enseignement mais ça peut être une très bonne animation quand même. Hebrard EPS Réflexions et perspectives 1986 « ensemble des savoirs et savoirs faire à acquérir pour agir et réagir face à l’environnement… et l’ensemble des tâches qui les sollicitent » Remarque : pour Hebrard, une situation => c’est des contenus d’enseignement. si on veut espérer une situation d’appge pas trop mauvaise c’est bcp + efficace qu’il y est des objectifs. Marsenach Méthodologie et didactique de l’EPS AFRAPS 1989 « propriétés des actions que l’é doit intérioriser pour accroître son efficacité et les propriétés motrices qu’il doit corrélativement développer Remarque : un CE c’est ce qu’un élève doit comprendre + aussi appliquer pour réussir. IPR Toulouse « règles et opérations que les é doivent mettre en œuvre pour produire les effets à obtenir dans les différents domaines de savoir développés par et dans les APSA » Remarque : différents domaines de savoir = les 5 champs. CE ok si plusieurs APSA : l’é s’est nager, courir, coopérer etc… Un CE doit servir à agir. Rapport jury capeps interne 2001 « élément technique ou connaissance que l’élève dit apprendre, s’approprier, intégrer et utiliser pour avoir la compétence visée » Fondamental : si mon CE me permet d’agir alors cela veut dire qu’un savoir faire sera meilleur qu’un savoir en EPS (mais aussi possible dans les autres matières). But : être au service du savoir faire. Savoir faire > savoir

l’idéal est savoir faire + savoir

Ex : savoir = savoir par cœur le règlement de rugby savoir faire = être incapable d’arbitrer un match de rugby

II - Contenus d’enseignement Contenus d’enseignement (CE) = sont toutes les connaissances et savoirs qui me permettent d’agir.



Catégorie particulière de CE

- les méthodes d’apprentissages. Elles font partis des CE. - les repères Exemple : en badminton -> quand est ce que je me déplace ? niv 1 quand le volant passe de mon côté du terrain Niv 2 et + quand le volant touche la raquette de l’adversaire - règles + principes d’action Exemple : sport co  + la balle arrive vite + elle va être difficile à contrôler donc plus je dois m’appliquer sur le contrôle (principe d’action). 

Compétences (voir polycop)

Tanguy « les usages sociaux de la notion de coméptence » Reue Sc Humaine 1996 « notion transversale, sorte de mot éponge, la notion de compétence s’est généralisé en éducation, en formation et dans l’entreprise » Remarque : c’est un commentaire pas une définition. « éponge »  ca passe partout on met tout dedans. Delignières + Garsault 1993 « ensemble structuré et cohérent de ressources qui permet d’être efficace dans un domaine social d’activité » Remarque : définition super bonne mais elle n’explique pas tout  mais…il faut savoir ce que sont les ressources, c’est quoi un domaine social d’activité ? Pour être compétent : il faut utiliser + maîtriser les CE (repères, connaissances, méthodes) + aussi utiliser les ressources. *les ressources = c’est l’innée + l’acquis Est-ce qu’un élève peut être compétent ? Pas évident à répondre…Comment les programmes peuvent être organisés en compétences alors qu’on a que des apprentis (élèves) ? Ex : savoir nager en natation l’é passe le test il l’a.  on le met à l’océan avec des vagues il ne s’en sort pas. Le savoir nager na garantit pas la compétence. L’élève n’est donc pas compétent ici dans cet exemple. Quelqu’un qui ne fait pas quelque chose de régulier n’est pas compétent.

2.1 Aspects concrets 

Exemple et remarques

Marsenach « les contenus vont s’organiser autour de : faire analyser les conditions du faire, se connaître en faisant » on est en pleins dans l’EPS Remarque : explication à travers un exemple (idée de Marsenach) Le démarquage en sport co Pour qu’il y est un savoir faire : l’é doit agir et faire. Pour que les CE soient construient : besoin de répétition . Il faut que l’élève analyse les conditions du faire. « se connaître en faisant »  si je me connais bien, je vais savoir que cette situation est + propice pour mon gabarie que pour mon copain. 

Quand on examine un CE

L’Ea doit se poser 2 questions fondamentales : *est ce que ce CE est exigible (indispensable) ? *est ce qu’il est facile ou difficile à transmettre ? (différent de difficile à apprendre) Exemple : école primaire ou classe de 6ième en sport c Objectif : apprendre aux é à attraper un ballon. Questions à se poser : *ce CE (voir cet objectif) est indispensable ?  dans le sport co oui. * facile à transmettre ?  dépend de la taille du ballon, du sport co, de l’âge. CE pour un enfant de 5 ans : on lui dit de faire la corbeille (gros ballon) -> accompagner vers le corps (trouver le bon contre promis, ne pas fermer trop trop ni trop tard). CE pour un enfant de 8 ans : tendre les bras en amortissant le trajet de la balle + travailler le lancer du ballon  penser à quel distance, quelle façon de lancer le ballon etc… Certains é ont besoin de repères exemple : regarder la balle tout le temps. 

2-3 idées

- un contenu = est tout ce qui permet à un niveau supérieur /qui permet à l’é de mieux réussir dans l’aps proposé - un ou des CE vont permettre d’organiser l’activité (en direction de la réussite de l’élève si) : * si les CE lui permettent de savoir de quoi il a besoin pour agir. Ex : saut en longueur, le prof lui demande de reculer sa course d’élan. Il sait que il va utiliser ses nombres de pieds pour reculer (il est à 12 pieds, il recule de 2 pieds). * si les CE lui permettent de savoir quel est son niveau (é) pour utiliser ses ressources. * si les CE lui permettent de savoir quoi faire, comment m’y prendre avec ce que j’ai appris ? . «tactique » Ex : l’é sait qu’il est a 12 pieds, il connait ses ressources et il doit faire 5 sauts : élève n°1 il veut assurer le 1er saut (il cherche à changer ses nb de pied selon sa perf)

Elève n°2 : je tente le tout pour le tout j’essaye avec 14 pieds Donc différentes façons d’agir en fonction des ressources des élèves  ce sont des méthodes. Peut être que l’é qui ne prend jamais de risque progresse moins ou moins rapidement. 

Méthodes d’apprentissages

- toutes les méthodes d’apprentissages font partis des CE car un contenu d’enseignement = est tout ce qui permet de progresser. - mieux on est organisée, mieux on maîtrise des méthodes + on a des outils pour progresser vite. Ex : je sais que la méthode imitation pour m’améliorer marche mieux… dans certains cas : celui qui est un peu plus fort que moi. (ne pas utiliser la méthode Montessori comme exemple dans les copies de dida pour la péda différenciée). -les méthodes sont transférables. 

Contenus d’enseignements éducatifs

Grandes orientations didactiques, une s’appelle l’EPS citoyenne  un des grand enjeux en EPS est de « apprendre à vivre en société », comment le prof y contribue t-il ? Les CE peuvent prendre ses différentes formes : - savoirs et connaissances - principes d’actions - repères et critères de réalisation 

Principes d’actions

Piaget : « comprendre, c’est inventer » Remarque : Pour que l’élève comprenne il faut qu’il essaye lui-même d’inventer la règle. Le prof serait bien qu’il mette en place une situation de guidage partielle  l’é trouve luimême ensuite les solutions. Exemple en sport co : quand est ce qu’on est démarquer ? - un é est démarquer si il n’est pas aligné. 2x1 : donner un ou plusieurs principes (quand on est PB) pour dire quand est ce qu’on est en sécurité pour transmettre la balle ? Au défenseur : comment tu peux t’y prendre pour te débarrasser du défenseur ?  l’idée est que l’é invente des solutions pour ne pas être aligné

 Repères et critères de réalisation Article de Bonniol et Genthon : il y a plusieurs repères dont les critères de réalisation. O.Reboul : un repère… « au sens propre c’est déjà une information privilégiée, au sens figurée c’est une information permettant d’en acquérir d’autre » Exemple concret en gym : roulade avant - critère de réussite : rouler dans l’axe de la ligne - critères de réalisation (est un repère qu’on donne à l’é pour qu’il puisse faire et mieux faire) : si j’appuie + sur une main que sur l’autre je roule pas sur la ligne et rester le tête baissé menton poitrine. C’est un repère au sens propre, l’é comprend que quand il tourne la tête ça le désaxe ca fait tourner tout son corps et plus tard il pourra se servir de ce savoir. Bonniol et Genthon (sciences de l’éduc) toute les déf viennent de eux. critères de réalisation = « critère qui concerne l’action et pas uniquement le résultat et qui permet de faire et de mieux faire » Caractéristiques de ces critères : * un critère sert à l’é à évaluer + a réajuster. Exemple avec la roulade avant sur la ligne : l’é voit qu’il n’a pas roulé sur la ligne, avant même de se relever il sait qu’il a raté sa roulade parce qu’il a tourné sa tête. * un critère va interroger l’é + sur le processus que sur le produit. Le critère de réalisation va + aider l’é sur la façon dont il s’y prend que sur son résultat (critère de réussite). Les critères de réalisation vont décentrer l’é du critère de réussite pour le centrer sur « comment je m’y suis pris pour râté » *les critères de réalisation servent bcp + à l’é acteur qu’observateur. Exemple : é sont par 2, un doit regarder si la roulade est dans l’axe, l’autre si la tête est rentré ou pas. L’importance c’est que l’é acteur sente si il a rentré sa tête ou pas, qu’il est des infos sur lui-même. Observateur trop jeune pas rentable… il vaut mieux que l’é répète à un certain âge que plutôt observer. *décentrer l’é sur un repère matériel, visuel et le centré sur un repère intéroceptif, sensoriel. *la puissance d’un critère : + un critère est réducteur – il est puissant. Mais, + il est puissant - il est opérationnel (concret) car il s’éloigne de la mesure. Exemple : roulade avant de l’é toujours. J’aimerais que l’é arrive à se relever sans l’aide des mains  c’est concret pour un observateur et c’est opérationnel  mais c’est pas puissant du tout, ça vaut rien. Une roulade avant efficace : elle va vite et permet de se déplacera pour enchaîner autre chose.

Autre exemple : saut de cheval. Je prends des petites mesures au sol et dit à l’é « j’aimerais que tu atterrisses le + loin possible » car je veux qu’il travaille la répulsion des épaules. Si mon é comprend l’action qu’il va faire avec ses bras ça va le renvoyer et le faire atterrir loin. Ces repères sont concrets mais c’est potentiellement faux… L’é peut aller loin en ayant une trajectoire basse et un autre é peut aller moins loin avec une trajectoire plus haute (passe + de temps en l’air). Donc il faudra que l’é sache combien de temps l’é passe de temps en l’air sauf que c’est très subtile et pas très concret… Un bon critère à tendance à s’éloigner du concret, un bon critère pour agir en meilleur qualité c’est souvent très difficile de le transformer en critère de réussite. Fonctions de ces critères : *ça sert à décentrer l’é de la performance pour le centrer sur la méthode *ça sert à centrer l’é + sur la qualité que sur la quantité Attention de ne pas trop se centrer sur les critères des réussites, l’é sera plus centré sur la quantité dans ce cas… *sert à inciter l’é a hiérarchisé les critères L’é doit être capable de les manipuler des + simples au + complexes. Intérêt de ces critères : 1-les critères de réalisation permettent à l’é de construire 1 compétence puis de l’améliorer (+complexe + personnalisé) en la personnalisant avec ses propres capacités. 2-améliore l’élaboration de « l’intelligence ». Cad l’intelligence motrice surtout. 3- améliore la compréhension + l’adaptation comprendre c’est : utile pour agir ; je m’en sers pour donner du sens à l’information ; me permet d’analyser + synthétiser + transférer. Transférer va me permettre d’atteindre 4 et 5 : 4- augmente l’économie (réussir avec efficience) 5- augmente l’autonomie (réussir tout seul) Ex de critère de réalisation : *repère par la vue ex en javelot : la vitesse d’éjection du javelot *si j’ai l’impression que mon javelot est léger quand je le lance c’est que j’ai bien utilisé mes jambes. Repère kinesthésique.

En badminton : repère  pour marquer le point il faut jouer la où l’adversaire ne sera pas (le temps qu’il fasse un aller-retour) 2.2 Un constat de terrain (Marsenach) Marsenach Elle fait 2 constats sur les CE - majoritairement les CE transmis en EPS sont de 2 sortes : *les CE techniques (comment tenir sa raquette, comment poser les mains pour réussir une roue ?... le prof donne de la technique à l’é). -> Souvent ces CE sont transmis de façon formelle (met ta main comme ça par ex..). *CE indices sur les émotions. Mais…contradiction : elle s’aperçoit que pour évaluer les é on est essentiellement sur la performance (fonctionnelle). Moins on est compétent dans une activité, + on a tendance à donner des CE formelles et non pas des CE proprioceptifs, qui aident à la réussite (ex : roulade avant, quand on n’y connait rien en gym on va dire à l’é rentre ton menton, regarde tes mains etc.. Mais pour réussir la roulade et avoir de la vitesse, il ne faut pas avoir la tête baissé au début, le vrai contenu est : à quel moment tu dois baisser la tête ? mais ça on le sait que si on est compétent et s’y on si connait dans l’APSA). III. Les compétences 3.1 Contexte historique Terme de compétence : au départ n’à rien avoir avec l’école et l’enseignement. On retrouve ce terme dans les entreprises. Il est rentré dans l’école ensuite vers les années 60 à travers Bloom grâce à la PPO (pédagogie par objectif). La PPO a un raisonnement simple : - objectif  travail  évaluation. A partir de la l’éval 1 est réussi donc on passe à l’objectif 2 ou sinon si raté on refait et voir si on change la méthode de travail ? Ce système a était très utilisé mais il pose des problèmes… Ex en sport co : on a 4 objectifs : lancer le ballon – se démarquer – avancer vers la cible – duel tireur gardien. Puis séance de W se met en place. Mais on s’aperçoit que le découpage en objectif très ciblé à un inconvénient majeur : ça n’a plus d’intérêt pour l’é -> car on a tendance à dénaturer l’activité…Avec tous ces objectifs l’é ne perçoit pas l’intérêt du sport co avant d’en arriver à l’objectif 4 (duel tireur gardien).

3.2 Les compétences dans l’école Terminologie « compétence » est issue de l’entreprise. Sauf que l’école a pas pour objectif de produire mais a pour l’objectif que l’élève comprenne. Ex : on estime être un élève bien « formé » : é en Terminal. Un bon é est un é autonome, solidaire etc.. mais aussi il aura le goût du savoir (est ce que c’est une compétence ? mais mais loin de la logique de l’entreprise..) le goût de l’effort. Ex : le gout de l’effort, du savoir, le sens de l’esprit critique.. Comment faire pour évaluer tout ça chez l’é ? Complexe… Donc, est ce que nos compétences dans l’école sont-elles vraiment intéressantes ? 

Issue du monde du W / produire + former é

Intérêt des compétences : - les savoirs servent à agir. On a un certains nombre de savoir, le but est de s’en servir pour agir. - la notion de compétence est une notion bcp + complète que nos contenus d’enseignements. Elle englobe + de choses. Pour agir efficacement (en EPS ca serait l’efficience motrice) il faut des savoirs mais ça englobe : les attitudes, ma morphologie, mon expérience. Intérêt majeur compétence : ça englobe bcp de notions. Pour être efficient il faut cumuler ces notions. - le gros intérêt des compétences : c’est de comprendre, d’accepter, que c’est très difficile de diviser toutes les compétences. - les compétences sont transférables LIRE ARTICLE DE DELIGNIERES REVUS EPS Ex : quelqu’un compétent en escalade  il sait assurer sa propre sécurité et celle des autres ; il sait s’engager lucidement ; techniquement il compétent pour placer ses pieds sous le bassin ; c’est un mixte entre de la technique, de la tactique, des connaissances de la sécurité (donc du savoir faire il sait s’en servir) et si on cumule tout ça  il est compétent en escalade. Quand on veut évaluer une compétence on est obligé de la répertorier selon le niveau de l’élève… Intérêt des compétences  pour quel niveau ? quel degré de compétence ? Donc  comment évaluer cette compétence ? (sous entend qu’on s’est mis d’accord sur des critères). Cf cours évaluation : pour être sur que l’é a compris, il faut l’évaluer dans un contexte différent (ex : l’é a compris le démarquage en hand, on le fait en volley pour voir si il a bien compris). MAIS quoi évaluer ??

- compétences des Ea : quel degré de compétence pour un Ea ? L’Ea ne peut pas être compétent par tout… Compétent pour faire quoi ? * quel degré de compétence pour un Ea pour qu’il fasse des choix pertinents ? (d’objectifs et de CE). *quel degré de compétence il faut pour un prof pour qu’il fasse un traitement didactique de l’APSA ? ex : en club en basket on apprendre de suite à un enfant à dribbler, en EPS le prof va interdire les dribbles parfois..Comment l’expliquer ? (en EPS on ne cherche pas forcément à former un basketteur). Les profs sont pas toujours d’accord sur la façon d’utiliser l’APSA pour qu’elle soit formatrice pour l’é. IV - Réflexions - ce que le prof doit savoir pour faire agir ses élèves est parfois différent de ce que l’é doit savoir pour agir. Ex : le prof sait que la haie a un sens de franchissement. Le prof peut expliquer à l’é + j’ai de la vitesse + la haie peut basculer et que le plus risqué pour tomber et si j’accroche le pied arrière avec la haie. Le prof sait que la moindre gamelle devant tout le monde peut bloquer les é, il ne va pas leur dire, et donc il va s’arranger pour éviter cela en fin de séance, et il va les arrêter. Ce que l’Ea maitrîse, il ne va pas toujours le transmettre aux é. -souvent, ce que le prof enseigne c’est ce qu’il connaît lui-même. - Olivier Reboul « qu’est ce qu’apprendre » 1980  il y a 4 sens du verbe « apprendre » : ces 4 formes d’appge ont un rapport avec 4 natures de savoir : *1ère forme : nature du renseignement (c’est s’informer) *2ième forme : acquérir des savoirs faire -> c’est apprendre à (c’est un acte de l’appge) *3 ième forme : apprendre (c’est s’instruire, comprendre) = rôle de l’école * 4ième forme : c’est apprendre à être (nature des savoirs être, de la civilité) - être capable de définir les CE et les compétences c’est quelque part être capable de répondre aux questions « qu’est ce que l’EPS ? » ou « à quoi sert l’EPS ? »....


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