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Title Dossier-final
Course Sociologie
Institution Université Jean-Monnet-Saint-Étienne
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Summary

Recherche faite sur la sociologie du sport, td dirigé par Jésus Miranda...


Description

Darlène Bicot Manon Besse Louise Brunel Ibrahima Sine Camara Coralie Boeuf Gauthier Barallon Alexandre

TD1

DOSSIER

Compréhension de la pratique sportive au sein de notre société.

Année 2017-2018

Introduction :

L’objet de notre recherche est le rapport au corps, dans l'optique de la pratique sportive. Ceci est un phénomène de société. Depuis sa démocratisation, la pratique d’une activité sportive touche dorénavant tous les individus et n’est plus réservée seulement à une élite masculine issue de la classe bourgeoise. Aujourd’hui la France s’inscrit dans une logique d’individualisme occidental où les individus sont plus libres et autonomes et se détachent de la religion. Depuis l’essor du capitalisme, l’individu doit se conformer aux lois du marché et devient un produit de la société de consommation. La logique de concurrence induit le fait de devenir une meilleure réalisation de soimême. Tout cela a conduit à la naissance du mode dualiste de l’homme et de son corps. Nous avons choisi ce thème car nous trouvions cela intéressant et original. C’est une nouvelle perception du rapport au corps. Le sport touche tous les individus et occupe une place prépondérante dans la société. De là a émergé notre question de départ : En quoi le regard des autres influence-t-il notre comportement ?, que nous avons orienté sur la thématique du sport. Il est donc nécessaire de définir les termes principaux. Le sport se définit par une activité physique exercée dans le sens du jeu et de l'effort, et dont la pratique suppose un entraînement méthodique et le respect de règles. L'approche sociologique n'a pas pour objectif de décrire l'ensemble des activités sportives mais d'en comprendre l'impact et les causes dans des domaines tels que la santé, l'éducation, les loisirs, l'économie ou la culture. Quant à l’image de soi, il s’agit de l’image qu’une personne se forge autant par elle-même qu’à travers le regard des autres, ceci passe par la négociation avec autrui. L’expression des sentiments sont des émanations sociales qui s’imposent selon e contexte et ayant des formes intérieures et extérieures qui peuvent être positive ou négative dans une situation donnée. De là en découle la problématique centrale : Comment le sport participe t-il à la construction de l’image de soi ? De ce fait nos hypothèses sont : la pratique du sport est-elle forcement dans une optique de beauté du corps ou plutôt de bien être ? Et les différences entre les classes sociales et le genre. Plusieurs concepts sont liés à cette problématique, tel que la distinction de Bourdieu qui illustre le fait que les sports sont différents selon les classes sociales et le but n’est pas le même. Il y a également la violence symbolique que traite Passeron et Bourdieu dans La reproduction. C’est une domination sociale non consciente et collective. De plus Kaufmann illustre notre thème à travers l’exemple de son article Corps de femmes, regards d’hommes. Cet auteur analyse la façon dont les normes structurent la vie sociale et contemporaine des individus. De plus l’interactionnisme symbolique que traite David Lebreton traite de l’influence d’autrui sur la perception de soi. Cet

parle aussi du nihilisme qui est une idéologie qui refuse toute croyance irrationnel. Le nihilisme rejette toute valeur bourgeoise dominante. Afin de traiter notre sujet nous avons interviewé à l’Université Jean Monnet des étudiants, sportifs et amateurs en première année de sociologie dans notre classe mais également un directeur de salle de sport, également coach à BRC coaching performance à la Terrasse, à Saint Etienne. Dans notre salle de classe nous avons interrogé quatre étudiants tous sexes confondus dépendant de leurs parents et un professionnel hors cadre de l’Université. Pour cela nous avons fait des entretiens individuels ainsi que de l’observation s’inscrivant dans une méthode hypothético inductive. C’est à dire qui par des observations pour se vérifier vers des hypothèses. Nous avons choisi cette méthode car, il nous semblait important d’observer pour comprendre notre sujet. En outre, nous avons préconisé des entretiens individuels pour le confort de l’interviewé, c’est à dire qu’il soit plus à l’aise et que l’attention soie plus portée sur l’interview. A travers nos observations nous avons regardé la routine matinale des individus. Afin de lier cela à notre thème, nus nous somme plus particulièrement penché sur le déjeuner, le temps passé dans la salle de bain et l’attention qu’ils portent à leurs corps. Nous avons choisi d’observer cela car c’est en rapport avec la condition physique et la construction de l’image de soi. Nous avons observé que la façon que les individus donnent à se voir est différente selon les individus. Pour cela nous nous sommes appuyés sur La distinction, La Reproduction et La Domination Masculine de Pierre Bourdieu, Corps de Femmes, Regards d’Hommes de Jean Claude Kaufmann, Anthropologie du Corps et Modernité, La Sociologie du Corps de David Lebreton ainsi que Se faire respecter, ethnographie des sports virils dans des quartiers populaires en France et aux Etats-Unis, d'Akim Oualhaci. Nous avons choisi ces ouvrages car ce sont des données scientifiques qui permettent de justifier et d’affiner nos observations.

I) Pourquoi pratiquer un sport ? a) L'esthétique du corps comme objectif

Une des premières hypothèses qui a été soulevée proposait que certaines personnes exercent une pratique sportive dans l'objectif d'avoir un beau corps. La distinction du beau et du laid est probablement aussi vieille que les sociétés humaines, cependant leurs définitions et conceptions ont évolué au fil des siècles. Le corps n'a pas été l'objet des mêmes attentions et modifications durant l'histoire. L’esthétique est devenue aujourd'hui un moyen de transformer son mode d'existence, à travers les soins et efforts consacrés au corps. Cette nouvelle conception du corps semble participer

à la construction identitaire de l'individu moderne, avec notamment une logique d'apparence où la peau lisse et le volume des muscles font loi. A travers l'essor du culturisme et de la chirurgie esthétique depuis les années 1970, la recherche de l'amélioration de l'image corporelle s’est accrue. Jean Claude Kaufmann, dans son ouvrage Corps de Femmes, Regards d’Hommes paru en 1998, dit qu’il n’est pas donné à tout le monde de s’exhiber comme il le souhaite. Ce comportement est régi par une norme implicite ou les silhouettes fines sont plus largement acceptées. Comme nous avons pu le voir lors d’entretiens réalisés au sein d’une salle de classe, le sport pourrait donc avoir pour objectif d'avoir un beau corps. Selon un interviewé, qui pratique la musculation à hauteur de cinq fois par semaine, le sport lui serait d’abord utile pour se sentir beau. La pratique d’une activité physique lui permettrait ensuite de se défouler, d’expulser son stress. Enfin, l’interviewé revient sur le fait que le sport lui permettrait en tout point d’être en forme pour l’été à la plage. Cette personne a choisi de pratiquer la musculation car selon lui, c’est le sport qui lui permettrait d’obtenir un beau corps, qu’il définit par un corps musclé, le plus rapidement. Selon lui, « c’est toujours mieux d’avoir un beau corps », pour reprendre ses propos. Le fait de muscler son corps influence également le choix de ses vêtements, il va volontairement en choisir qui mettent en avant ses atouts physiques. Il porte donc un grand intérêt à la manière dont il s'habille. Cela l’aide à bien se sentir. Il souligne également le fait que l’alimentation est importante afin d’avoir un beau corps. On retrouve cela à travers les vidéos des petits déjeuners où l’interviewé ne choisit pas son repas au hasard. Nous lui avons également demandé si il avait un modèle dans le sport et pourquoi, il nous a répondu que oui et que c’était très important pour lui, il se compare sans cesse, dans le but de s'améliorer et d'atteindre le but qu'il s'est fixé. Nous voyons donc bien ici que le sport est pratiqué dans le but d’avoir un beau corps. Il est nécessaire pour de nombreuses personnes d’avoir un bon rapport à leur corps. Ceci apparait comme un phénomène de société. L’individu est la cible d’une société de consommation qui le pousse à être toujours plus beau, et le sport en est un des moyens. L’interviewé nous montre également une volonté d’exhiber son corps à la plage par exemple. Le regard des autres et l’image de soi que les gens nous renvoient apparaissent donc primordiaux. Cela influence généralement les pratiques des individus. Jean-Claude Kaufmann nous montre cela à travers le texte Corps de Femmes, Regards d’Hommes. Effectivement, l’auteur nous montre dans cet ouvrage que la plage est un lieu où il y a divers comportements régis par des normes implicites comme par exemple : les hommes évitent de trop regarder les femmes. Il y a donc un contrôle de soi qui s’opère, c’est le fruit de la socialisation et de ce que Norbert Elias appel la « civilisation des mœurs ». Jean-Claude Kaufmann nous montre que lorsqu’une femme fait du sport les seins nus à la plage (quand elle joue aux raquettes par exemple), selon les individus, elle le fait nécessairement

pour être vue et regardée : « Debout c’est de l’exhibitionnisme ». Le sport est totalement antinomique avec la fixité, qui constitue un article essentiel du code des seins nus. Il y aurait donc des codes qui dicteraient aux femmes qui font du « topless » de rester discrètes, si possible allongées sur le ventre sur leurs serviettes et de ne pas déambuler sur la plage. Cependant il est autorisé pour les hommes torses nus de courir en bord de plage. Il y a donc des codes implicites qui dictent nos manières de nous montrer et de nous comporter.

Selon David Le Breton, professeur à l’université de Strasbourg, membre de l’Institut Universitaire de France et chercheur au laboratoire Cultures et Sociétés en Europe : « L’image du corps traduit la représentation que le sujet se fait de son corps ». En effet, d’après son ouvrage Anthropologie du Corps et Modernité publié pour la première fois en 1990, l’image qu’un individu se fait de son corps serait le reflet du contexte social et culturel dans lequel il vit, également associé à l’histoire personnelle de l’individu en question. Il évoque également l'impact du jugement social sur l’image que l’on se fait de son corps, qui serait alors la raison pour laquelle une grande partie de la population actuelle accorde une place si importante à son esthétique corporelle. La beauté est un facteur essentiel de nos jours et le sport est un outil important à son entretien. Il permet en effet la sculpture de la musculature du corps, qui a alors pour conséquence un regard perçu comme positif de la part de l’autre et un aspect de séduction. D’après Le Breton, la femme perdrait de son potentiel de séduction avec les années, notamment par le vieillissement de son corps. Toutefois le sport pourrait venir ralentir, ou tout du moins amortir, ce processus de vieillissement. Du côté des hommes, la sculpture du corps est souvent associée aux salles de musculation, comme nous avons pu le voir lors de nos entretiens, et selon les dires d’un interviewé ce sport permettrait d’arriver le plus vite possible à un corps que l'on pourrait qualifier de « beau ». L’ouvrage sur lequel nous nous appuyons, Anthropologie du Corps et Modernité aborde la notion du « paradigme de la machine », qui renvoie au body-building, une discipline qui consiste à développer sa masse musculaire dans un but purement esthétique. L’idéal-type serait incarné par le célèbre acteur, culturiste et homme politique américain: Arnold Schwarzenegger. Le culturisme est une pratique qui s’est énormément développée ces dernières années. On peut le remarquer dans les revues masculines ou féminines qui montrent qu'énormément d'hommes servant de modèles dans des magazines pratiquent le bodybuilding, en particulier dans les revues consacrées au sport. David Le Breton observe également que l'esthétique du corps passe également par les cosmétiques et produits de beauté en tout genre, en particulier chez les femmes. Cette affirmation a pu être démontrée lors des vidéos mettant en scène la routine matinale des étudiants, où l’on a pu

remarquer qu'un grand nombre de fille utilisait ces cosmétiques afin d’entretenir le visage, une partie sur laquelle les effets du sport ou de la nutrition sont limités. Le visage est la partie du corps la plus singulière, elle varie pour chaque individu. C’est la raison pour laquelle la société de consommation cible de manière évidente cette partie du corps, à travers tous les spots de publicité que nous observons dans énormément d'aspects de notre vie courante (internet, cinéma, courrier, téléphone, etc.)

b) Le bien-être physique et mental au cœur de la pratique sportive :

Goffman a montré l'importance de la mise en scène du corps et des comportements dans les interactions sociales. Il a toujours insisté sur l'importance de la « face » (ce que l'on veut montrer de nous-mêmes dans nos interactions sociales) dans les relations entre les individus. Pour lui, les relations sociales sont mises en place comme dans une pièce de théâtre, où chaque individu possède un rôle à jouer, et tente, à travers ce rôle, de montrer le meilleur de lui-même, de se mettre en valeur. Le comportement est donc un élément central dans la construction des interactions sociales, et les individus tentent de modifier le leur afin de se mettre en valeur, que ce soit pour eux-mêmes ou pour les autres. Cependant, le rôle que joue le corps dans cette interaction, en particulier dans notre société, n'est pas à négliger. En effet, dans une société où l'achat et la consommation de biens possède une place prépondérante, l'image, la représentation de corps parfaits, ou en tout cas désignés comme tels, fait partie de notre quotidien. La publicité, les œuvres de fiction (films, bandes dessinées, etc.) et l'art en général nous abreuvent chaque jour d'images de corps parfaits, sculptés par le sport ou même par la chirurgie esthétique. Ainsi, la sculpture du corps devient un élément prépondérant dans l'interaction sociale. Le corps fait désormais partie intégrante de la « face » que nous voulons montrer aux autres. Ce phénomène est évidemment visible par la multiplication des salles de sport, des régimes « miracles », ou encore des concours de beauté. La pornographie, dans l'étalage qu'elle fait de corps attitrés comme « parfaits » fait également partie de la prise d'importance du corps dans l'interaction sociale. Etant donné que notre image de nous-mêmes se construit en partie par le regard des autres, en tout cas par l'intériorisation que l'on en fait, le corps fait partie intégrante de cette image. Nous voulons être beaux, et surtout être désignés comme tel par autrui. La construction du corps fait donc bien partie de ce que Goffman nomme la « face positive », c'est-à-dire le côté de nous-mêmes que nous montrons aux autres à travers l'interaction sociale. La « face négative » est pour sa part notre

intériorité, nos pensées, notre caractère, nos opinions profondes, que nous montrons rarement aux autres en premier lieu. Ici, le sport s'inscrit donc comme un composant à part entière de cette face positive. Il s'inscrit avant tout comme une recherche de l'esthétique plutôt que de la performance. L'identité se construit donc ici à travers l'esthétique plutôt que par la performance : « Le corps est un élément de l’imaginaire social, et dans la société moderne le corps est un élément important car l’image du corps est relie à l’image de soi. » David le Breton, La Sociologie du Corps. L’individualisme occidental est centré sur le nihilisme (Ivan Tourgueniev), qui est un mouvement qui prône une organisation sociale basée sur la rationalité et le matérialisme. Ce mouvement a permis de faire reculer la pression de la religion sur les corps des individus et ainsi leur accorder une plus grande marge de manœuvre. Chaque individu se soumet à ses propres valeurs et initiatives. Le sport est l’un de ses éléments qui permet de jouir de son corps, et participe à la construction de l’image de soi. Cette construction passe inévitablement par l’expression des sentiments, qui sont des émanations sociales, et qui s’imposent selon le contexte et ayant des formes intérieures et extérieures qui peuvent être positives ou négatives dans une situation donnée. C’est ce que Marcel Mauss dit : « on fait plus que manifester ses sentiments, on les manifeste aux autres puisqu’il faut les manifester ». On se les manifeste à soi en les exprimant aux autres, pour le compte des autres, et cette expression devient essentiellement symbolique. Les sentiments s’expriment physiquement en nous et sont enracinés dans des normes collectives. L'entretien du corps : Le corps humain peut être beau ou laid, socialement parlant, et a une tendance à s’affaiblir et acquérir des maladies au fil des années. Dans la société moderne les pratiques hygiéniques sont reliées à la consommation de produits médicaux. Ces pratiques hygiéniques reposent sur la symbolique du sale et du propre. Les femmes ont leurs propres rituels comme le maquillage, qui joue beaucoup dans l’image de soi. Les femmes se maquillent pour se sentir mieux et l’idée de ne pas se maquiller peut être vue comme une atteinte à l’identité profonde, car elles veulent donner une bonne image d'elles-mêmes. Dans son livre L’Eloge du Maquillage, du Cosmos aux Cosmétiques (Max Milo, 2007) Camille Saint-Jacques nous montre que le maquillage procure aux femmes un plaisir esthétique et qu’il est essentiel pour nombre d'entre elles. Selon Mary Douglas, « le corps est le modèle par excellence de tout système fini ». Le corps humain reproduit à petite échelle les pouvoirs et les dangers qu’on attribue à la structure sociale. Dans de nombreuses sociétés, le sport est un composant extrêmement important dans la construction de son identité. Ainsi, l'endommagement de ce corps auquel nous attachons tant d'importance est vu comme un ébranlement personnel.

II. Classes, genres et pratique sportive : a) Le rôle de l'appartenance de classe dans la pratique sportive : Dans "La distinction", Bourdieu montre que nos choix et jugements sont pour l’essentiel le reflet de notre position sociale, ils sont déterminés en grande partie par des habitus qui prennent sens à travers une stylisation de la vie et des pratiques distinctives soulignant la différenciation et la domination sociale. Dès 1978, Bourdieu fait une analyse du fait sportif dans Comment peut-on être sportif ? Où il insiste sur les pratiques différenciées des classes sociales. Aux classes dominantes les pratiques corporelles qui allient grâce, esthétisme, contrôle de soi, absence de contact viril, sports instrumentés et onéreux, pratiques désintéressées exercées dans un but essentiellement éducatif et ludique. Aux classes populaires les activités physiques et sportives qui allient force et virilité, mélange des corps, esprit de sacrifice, compétition, mérite, productivité et professionnalisme. La différenciation sociale se double ainsi d’une distinction sportive opposant sport apollinien et sport dionysiaque, pour reprendre des expressions antiques. Les classes supérieures font plus attention à leur apparence car elles veulent contrôler l'image de leur corps dans des logiques de « bonne image de soi » afin de faire « bonne impression ». Ainsi, à travers le sport, plus particulièrement via l'exemple du golf, sport symbolisé par son attribution aux classes dominantes, nous allons voir de quelles manières le contrôle de l'image de soi joue un rôle dans la mise en place de stratégies sociales. Jouer au golf peut, ainsi, devenir un calcul social. Dans ce cas, les individus ne sont plus strictement prisonniers de leurs habitus, en choisissant de pratiquer, ils cherchent une distinction élective et professionnellement stratégique : être reconnus et acceptés par les membres (désormais, collègues ou amis) de leur nouveau milieu social. La pratique du golf, étant un sport dit prestigieux, participe à l’ascension sociale et à la recherche du profit de distinction. Mais c’est là toute la nuance de cette activité physique et sportive qui, si elle est un sport de classe n’en est pas pour au...


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