Experimentations Pédagogique PDF

Title Experimentations Pédagogique
Course Staps
Institution Université de Bourgogne
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Experimentations Pédagogique, Imbert...


Description

Expérimentations pédagogiques Définitions : Marsenach : Elle différencie les pratiques régressives (à l’ancienne), les pratiques dominantes, et les pratiques innovantes (qui sont peut-être les pratiques de demain) Une innovation est définie comme l’introduction d’un changement dans la pédagogie, dans une pratique d’enseignement

En quoi ces pratiques sont innovantes ?    

En terme de support : exemple de la CP5 à une époque (Delhemmes en 1988) Les formes de groupements / les méthodes pédagogiques : exemple de la pédagogie différencié (après le travail par vague de la suédoise) Les contenus d’enseignement : Qu’est-ce qu’on enseigne ? Les modalités d’évaluation

Problématique : Des expérimentations existent depuis la fin du XIXème siècle. Ces expérimentations sont de plus en plus le fruit du travail d’enseignants et on assiste à une multiplication croissante des expériences pédagogiques et didactiques au fil des années.

1880-1960 : les expériences scolaires des médecins Les pratiques dominantes à cette époque : les contenus de l’EPS sont uniquement sur le mouvement:  Analytique : gym suédoise (Tissié)  Complet, continue et arrondi (Demeny)  Naturel (Hebert)  Fonctionnel : Leboulch avec la psychocinétique « Les leçons ne sont qu’une suite d’exercice alternés et dosés » (IO DE 45) « Ces contenus d’enseignement sont centrés sur « l’éducation du mouvement » depuis les programmes de 1891 (Arnaud (1981, « Le corps en mouvement »)) : « Ainsi de 1880 à 1960 environ, l’éducation physique n’a pas de contenus autre que le mouvement qu’elle exerce. » même si ce mouvement est rationalisé, organisé. »

Dans les pratiques dominantes l'objet d'enseignement c'est le mouvement et le contenu c'est le mouvement. On retrouve ces pratiques dominantes dans les expériences pédagogiques et sanitaires de cette époque. Ainsi l'innovation ne porte pas sur les contenus mais principalement sur le volume de pratique (très important) et les méthodes pédagogiques (pédagogie active)

Expérience pédagogique 1 : Tissié et la LGEP (Ligue Girondine d’EP) : 1888-1914 : Une croisade en faveur de l’EP Afin d'aider les élèves de l'académie de Bordeaux à mieux organiser leurs temps de jeu, Tissié créé le 19 décembre 1888 la Ligue girondine d’éducation physique. Il innove en réalisant les premières rencontres sportives entre établissements scolaires de l’académie de Bordeaux . Ce sont des prémices du sport scolaire Quels que soit le lieu, l’heure, le temps il y a EP : Sa volonté de combiner santé physique et santé morale (innovant) s’exprime jusqu’à la première guerre mondiale pour répondre aux deux problèmes majeurs de la société de cette époque, la « dégénérescence de la race» et la dépopulation de la France de la IIIe République Il considère l’homme dans sa totalité (innovant à cette époque) Ils créent les récréations actives et ils innovent aussi sur la place des femmes dans la société Tissié a toujours été attentif à la reconstruction d’une jeunesse saine et vigoureuse

Expérience pédagogique 2 : L’expérience des classes santé : Latarjet : 1931 Sous l’égide du Professeur Latarjet et par les médecins, elles ont eu lieu dans des écoles primaires ! Dans un contexte positiviste (donner la santé) ou on assiste à l’absence de formation approfondie des professeurs d’EPS. Latarjet part du constat suivant (évaluation diagnostique) : "chaque année, l'office d'orientation professionnelle détecte, par l'examen médical des états physiologiques défectueux … petite taille, poids insuffisants, indices de débilités" (Arnaud, 1985) "L’institution scolaire est davantage préoccupée du développement de l'intelligence verbo-conceptuelle" et a donc tendance à envisager l'activité physique comme propédeutique aux savoirs intellectuels afin de lutter contre le surmenage et la sédentarité scolaire Il s'agit de remédier à l'état de délabrement physique des écoliers, les dépenses sont financés par la ville de Lyon (demi-pension …) L’innovation portait sur :  Une alternance entre travail intellectuel et pratique physique  Pratique physique méthodique et suivi par médecin  La diminution de la durée des cours,  L'obligation de la demi-pension (pour un suivi alimentaire des élèves),  Utilisation des méthodes de pédagogies actives  Un séjour à la montagne. Une part importante à l'éducation physique (55 minutes le matin et 40 minutes l’après-midi), à l'hygiène (respectivement 20 minutes et 35 minutes) alors que la part du travail intellectuel est sensiblement diminuée (deux fois 1 h 45) On combine donc augmentation de l’EP et hygiène dans ces classes santé Résultat :  Une meilleure assiduité (moins de maladies) et de meilleurs résultats scolaires dans tous les domaines.  On suppose que la diminution des absences d’élèves (353 pour classe santé contre 1413 pour classe témoin) explique les meilleurs résultats scolaires  C’est l’une des toutes premières expériences de « mi-temps pédagogiques » Mais on ne pouvait pas le développer dans toutes les écoles (problème financier) car elle demande un gros investissement. Elles se finissent avec la guerre

Expérience pédagogique 3 : L’expérience pédagogique de VANVES : Fourastier (médecin) : 19511967 

OU? Dans les établissements scolaires vanvéens.



QUAND? Développement entre 1951 et 1967 et enfin leur déclin à partir de 1968



POURQUOI? Il constate l'inadéquation des emplois du temps (EDT) aux élèves (surmenage, absence d'exercices physiques..). Il réorganise l'EDT, diminue les heures de travail intellectuel (20h30), augmente la pratique physique (17h30) pour aboutir à une volume horaire à peu près égal. Les 1ères classes de neige (1953) datent de cette expérience.

Résultats : "spectaculaires" selon le Dr Fourastier : gain de poids, de taille, disparition des petites maladies, amélioration très importante des résultats scolaires et sportifs par rapport à la classe témoin. L'influence de cette expérience (instaurant le mi-temps pédagogique) portera sur l'arrêté du 7 Août 1969 instaurant le tiers temps pédagogique à l'école primaire.

Bilan : -Toutes ces expériences ont été couronnées de succès -Alternance entre temps de travail intellectuel et temps de travail physique -Elles se sont appuyées sur un aménagement global du temps de travail qui a permis de rentabiliser le temps scolaire pour le bien être des élèves et pour leur réussite. -On aperçoit déjà une notion de bien-être dans ces expériences (alors qu’elle apparaitra en 2000 dans les programmes) -L'absence de diffusion de ces principes et de ces expériences réside donc bien dans le manque de volontarisme politique à engager les moyens nécessaires (N AMAR NÉS POUR COURIR Sport, pouvoir et rébellion - 1944-1958 , 1987) mais aussi dans "la résistance endémique de l'institution scolaire à tout changement" (Arnaud 1985)

1960 : Les expériences pédagogiques de l’ENSEPS Les pratiques dominantes à cette époque : 1959 : Performance dans les évaluations et évaluation sur mouvement sportif -Désormais l'EPS s’appuie sur une pratique sociale de référence (objet culturel clairement identifié : le sport) et des contenus sportifs. -Chantal Amade-Escot (1994) parlera de technicisme assumé pour ces années. On regarde et on répète le geste. Nombres de répétitions, vitesse d’execution -La technique est conçue comme un modèle à imiter et non comme la mise en œuvre d’un savoir, une création signifiante de l’élève (GARRASSINO 1980 parlera de « technique maudite »).

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Les premières innovations vont être d’ordre pédagogique : les moyens les plus efficaces pour animer le groupe, la classe, l’établissement (la question des contenus n’est pas abordée) Attribution de rôles nouveaux pour l’élève Les pratiques innovantes dans la revue EPS sont selon Arnaud (1985, 1986) l'apanage des théoriciens : "les productions didactiques échappent partiellement aux hommes de terrain".

Expériences Pédagogiques 1 : Expérience de Corbeil-Essonnes par des élèves de l’ENSEPS, des athlètes de haut niveau : Dès 1965 L'innovation porte sur  

Le support : la programmation pour l'ensemble des classes est entièrement sportive (# IO 59) Les formes de groupement à partir d'évaluation diagnostique basée sur des tests de valeur physique générale et le rendement en sport-collectif

Evaluation diagnostique : classe divisée en 2 groupes hétérogènes (les bons et les mauvais), on fait ensuite 2 équipes homogènes dans chaque groupe Ce n’est pas l’élève au cœur de ces innovations, c’est le groupe mais on accorde aussi des responsabilités individuelles (responsabilité du groupe, tache d’observateur, d’arbitre …) "Nous n'avons peut-être pas assez respecté l'individualité de l'élève mais nous avons drôlement respecté la classe; Du groupe classe nous avons tiré tout ce qu'on pouvait en tirer " (entretien de Jeanne Férignac – L'EPS face au sport – 1999). Utilisation exclusive de la compétition pour le contrôle des résultats : "l'évaluation pour nous était une évaluation sportive" … seul la perte ou le gain du match comptait ou la diminution de la défaite. "On ne notait pas, juste des appréciations sauf quand les notes intervenaient pour le passage et la moyenne, notamment en 3ème et en terminale.". On innove uniquement sur la pédagogie Le contenu des séances "utilisaient des exercices demandant à l'élève de reproduire des modèles collectifs (exercices tactiques) ou individuels (exercices techniques) … le modèle était donné par l'enseignant qui démontrait ou par les élèves jugés proches du modèle" (1975). Les élèves sont responsabilisés (sont responsables des groupes, tâches de gestion, etc.).

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Les activités sportives sont choisies en fonction des choix éducatifs effectués, avec une répartition annuelle Le travail est organisé par cycles d’une même activité avec une alternance : de compétitions inter-équipes et de séances de travail La compétition n’est pas un but mais un moyen

La participation aux stages M Baquet a permis de transformer progressivement le contenu des séances. "On n'a jamais, assez curieusement, parlé du fond, c'est-à-dire des taches; on n’a pas dit comment on allait apprendre". "On ne sait jamais mis à discuter des problèmes de fond sur l'apprentissage par exemple" (entretien avec Serge Ferret – L'EPS face au sport – 1999).

Expériences pédagogiques 2 : La république des Sports : J. de Rette : 1964-1973

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OU? Expérience propagée dans plus de 80 établissements Quoi? AUTOAPPRENTISSAGE Si l’idée d’aménager l’école en république n’est pas neuve (elle a éte évoquée dans le plan Langevin-Wallon de 1945-1947), sa réalisation dans le cadre de l’EPS est bien une réelle invention de De Rette. Leçons organisées selon les propositions de Corbeil en cycles, les élèves gèrent eux-mêmes les compétitions Expérience pédagogique originale qui consiste en un apprentissage scolaire de la citoyenneté à partir d’une participation active des élèves ayant le sport comme support. Contenus : Des exercices de techniques ou de tactiques extraites du secteur fédéral : « nous proposions des exercices de techniques (exercices de tir par exemple) et des exercices de tactiques (exercices de placement …). Tout notre vocabulaire appartenait au jargon sportif ; système de jeu, circulation tactique, schéma tactique… le contenu des séances d’EP était donc totalement sportif. » (P. Mercier L’EPS face au sport, p 14).

Il y aura d’abord une période d’entraînement : les élèves sous la direction de leur capitaine s’échauffent, se préparent et, ensuite, sous la direction de leur professeur qui joue le rôle d’entraîneur, de conseiller, se répandent par équipe sur le terrain et s’entraînent Véritable reflet des structures politiques gaulliennes (élection dans chaque classe de président, secrétaire, deux capitaines...) Son utilisation dans une organisation nouvelle satisfait le ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse et des Sports qui voit une manière intelligente d’économiser des moyens en même temps que de former des animateurs à moindre coût 1971: « l’action devait s’évanouir brutalement sans qu’il soit possible de comprendre pourquoi » (Andrieu) Elles ne tiennent pas compte des « minorités » (de genre, de race, de conditions sociales, etc.) et des pratiques culturelles, tant dans les principes affichés que dans les manières de gouverner

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De la FARS (fédération des animateurs des RS) à la FARE : la fin des RS A partir de 1969 cette FARS se transforme en FARE (E = éducatives) du fait d’un soutien financier beaucoup moins net de la part du MJS et puis aussi parce qu’émerge le problème des contenus qui renvoient à la question de la spécificité de la discipline : « le problème de contenu de notre discipline s’est posé »

Les Stages Maurice Baquet : Mérand : 1965-1980 

Qui ? Mérand and Co (mort de M. Baquet le 4 juillet 1965) La fédération sportive et gymnique du travail (FSGT) organise les stages Maurice Baquet, destinés à aborder les problèmes liés à l’apprentissage des activités sportives par les enfants, donc à des finalités éducatives



Quand et Où ? Début des stages M. Baquet à Sète (Colonie Gai Soleil) en juillet 1965 jusqu'en 1980 (après Lycée de Font Romeu puis dans les CREPS de Dinard et Bouloris jusqu'en 1988).



Quoi ? nombre de spécialités proposées : 4 en 1964, 8 en 1966, 10 en1968 et 11 à partir de1970

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Ce sont des colonies de vacances, on n’est plus en EP 4 semaines pendant l’été A partir de 1970 on évolue dans les contenus en parlant d’exercices

Dès 1976 : jusqu'à 400 enfants participaient à chaque stage (1023 enfants sur les 3 séjours de juillet d'août et septembre). Le bilan global fait état de 5000 enfants ont vécu l'expérience, 1000 moniteurs de colonie de vacances, 1000 professeurs d'EPS, 500 étudiants. En novembre 1967, à Nanterre, le congrès de la FSGT crée le CPS : centre pédagogique et scientifique (secrétaire : René Moustard ; président : R. Mérand).



Support : activités sportives (traditionnelles principalement même si des mémentos sur la voile)



Formes de groupement : équipes à partir d'un grand groupe divisé en deux clubs (A et B). Le terme république était emprunté au plan Langevin-Wallon dans lequel l'organisation sociale était basée sur la prise de responsabilité des élèves. Des délégués siégeaient à une assemblée de la colonie. Contrairement à la RDS, à Gai-Soleil c'est l'organisation de la vie sociale qui prime sur l'organisation du sport.



Les contenus : 1970 est bien la date de cette centration sur les contenus avec le thème du stage de cette année: l'exercice. Des mémentos d’animation et d’initiation sportive, proposant des exemples de séances, d’exercices et de nombreux conseils, sont en effet mis au point par la FSGT

Destiné à des enfants, il s’agit de leur proposer un sport adapté => Sport éducatif de Mérand. L’effort de théorisation réalisé à l’issue de ces stages va être utile à de nombreux enseignants qui voient dans ces productions, des outils pour mettre en application les directives données par les IO 67.

La FSGT (fédérations multisport) combat certaines déviances du sport (sport-spectacle, importance de l’argent…) et préfère se centrer sur une politique sportive à finalités éducatives. Pour cela :

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Elle s’occupe de la formation de ses cadres, sous forme de stages Elle accueille de nombreux enseignants d’EPS, comme Mérand, et met en place des cercles d’études par spécialités sportives.

1970- à nos jours : Les innovations didactique des enseignants d’EPS : L’élève au centre Les pratiques dominantes : Arnaud affirme que "l'ère de la didactique scolaire débute véritablement en 1971" avec la prise en charge par la corporation elle-même de sa propre formation continuée.   

Dans cette décennie (1972 – 1982) les enseignants du secondaire (ES) domineront les productions didactiques (130 articles pour les ES contre 85 pour les formateurs de formateurs FF) pour 2 raisons : transformation des missions de l'ENSEPS (à partir de 1970) la formation universitaire des enseignants d'EPS

P. Arnaud : « L’enseignant s’intéresse moins au geste qu’au processus par lequel l’élève parvient à l’acquérir. »

Analyse des innovations de la REVUE EPS 

De plus en plus d'enseignants de terrain innovent, formalisent leurs propositions (dans les revues professionnelles : Hyper, Revue EPS …).



Pour la période qui s'étend de 1984 à 1996, Méard et Bertone ont constaté que le point de centration de ces articles était "comment rendre l'élève motivée et autonome ?". Ils parlent pour cette période de « raz de marée didactique » dans l’EPS des années 80 et 90, du moins dans le discours …reléguant la dimension relationnelle, communicationnelle de l’éducation au second plan"…Il s'agit pour les auteurs d'une "magistrale dérobade" de l'enseignant (dans les discours en tout cas).

Les activités support : avec 3 dispositifs : 

"Faire autre chose" : ultimate, triathlon, spéléologie, VTT, voltige équestre …



"Mettre l'accent sur l'émotion spécifique de l'APS" : versant acrobatique de la gym (Fiard, n°235, Goirand n° 200 ; pôle du défi collectif en foot (Taina, n° 244)



"Mettre l'accent sur l'émotion privilégiée par l'élève" : course collective (Pithon, n°184) ; gym collective et inter classe (Allouchery, n°242).

Les contenus :  

Le discours professionnel se focalise sur "proposer un savoir accessible, finalisé, fondamental et construit par les élèves". La compétence

L‘évaluation   

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Dimension certificative minorée Les auteurs parlent "d'obsession évaluative" avec notamment l'importance prise par les évaluations formatives (pour réguler l'acte d'enseignement) et formatrices (pour améliorer les apprentissages). Types d'évaluation qui tentent d'engager activement l'élève dans sa formation (les articles systématisent l'auto évaluation et favorisent la co-évaluation, ce sont des procédés qui sont valorisés dans le discours professionnel à cette époque). L'évaluation est présentée comme un moyen pour faire réussir les élèves, la dimension certificative (note sanction) est minoré. On objective les critères de réussite permettant de renseigner l'élève sur son niveau, ses progrès à partir d'une attitude active de sa part (en référence aux niveaux d'habiletés des compléments des IO de 1985). INFLUENCE DE LA PPO

Les enjeux  

Volonté pédagogique de rationaliser l’acte éducatif (recherche d’une continuité dans l’enseignement : des finalités jusqu’à l’évaluation concrète) Volonté politique de légitimation de la discipline, comme le dit en substance M. Portes (1999) :« j’ai adhéré à l’amicale pour rationaliser une discipline afin de mieux la défendre et la promouvoir ».

Depuis les années 1990 Cette volonté d'accéder au statut de discipline comme les autres avec un contenu identifié nécessite donc de construire ce que Jacqueline Marsenach (1991- EPS quel enseignement ? I N R P) nomme l'EPS de demain :

Les GAIP :    

Groupement académique d’innovations pédagogique Pineau décide de les mettre en place Synthétiser ce qui se fait dans les académies et innover (Pilotage par chaque académie avec l’inspection pédagogique) Apparition de plusieurs sortes de conceptions : culturaliste (Lyon, Dijon) – développementaliste (Nantes) – Intégratrice (Créteil)

Les Revues spécialisées  

Les cahiers EPS de Nantes (1989) : M.Delaunay rédacteur en chef Organisme de développement des innovations pédagogique dans l’académie de Nantes

Le CEDREPS : 1993 

Collectif d’étude disciplinaire pour le renouvellement de l’enseignement de l’EPS, dans le cadre de l’AE EPS (association pour l’enseignement de l’EPS) (1993)

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