Pathologies-tumorales-QCM PDF

Title Pathologies-tumorales-QCM
Author Mélanie ANGONIN
Course Histologie
Institution Université Paris-Saclay
Pages 17
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Summary

Voici une fiche résument les cours anatomopathologie de 3ème année de médecine (DFGSM3) du Kremlin-Bicêtre....


Description

ANATOMIE PATHOLOGIQUE TOME 2 PATHOLOGIE TUMORALE QCM I.

Les tumeurs – généralité

On classe parmi les pseudotumeurs : x4 A. L'hyperplasie nodulaire focale du foie B. L’hamarto-chondrome pulmonaire C. La dysplasie du col utérin D. L'adénome du colon E. La tumeur du sac vitellin F. La dystrophie kystique de la glande mammaire (=Mastose) G. Les néoplasies intra-épithéliales du col utérin H. L'abcès chronique I. Le carcinome hépatocellulaire J. Le botriomycome Réponse : A B F H J  p.4-5 Pseudotumeurs  origine inflammatoire (botriomycome, abcès chronique), dystrophique (mastose = dystrophie (fibro=scléro)-kystique), hyperplasique (hyperplasie nodulaire, chéloïde, polypes hyperplasiques), malformative (hamartome) Parmi les lésions suivantes, lesquelles sont de nature néoplasique ? X3 A. Tumeur stromale gastro-intestinale B. Botriomycome C. Polype hyperplasique du colon D. Adénome du colon E. Carcinome baso-cellulaire F. Angiomyolipome du rein G. L'hyperplasie nodulaire focale du foie H. L'hamarto-chondrome du poumon I. Un carcinome in situ du col utérin J. La dystrophie kystique de la glande mammaire Réponse : A D E F I  p.3-5 Le compte rendu anatomo-pathologique de la biopsie d'un polype colique conclut à « polype hyperplasique ». Il s'agit de A. d'une lésion précancéreuse B. d'une pseudotumeur C. d'une lésion inflammatoire D. d'une lésion métaplasique E. d'une lésion malformative Réponse : B  p.5 Parmi les caractères macroscopiques suivants, indiquer celui (ceux) qui permet (permettent) de suspecter la malignité d’une tumeur : x2 A. Consistance pierreuse B. Mauvaise limitation

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C. D. E. F. G.

Compression des organes de voisinage Présence de métastases Présence de nodules satellites Présence de remaniements hémorragiques intra-tumoraux Fermeté à la coupe

Réponse : A B D E F  p.8-9  Consistance pierreuse ? Parmi les caractéristiques morphologiques suivantes, quelles sont celles qui s'observent habituellement dans les tumeurs malignes : x3 A. Encapsulation B. Activité mitotique importante C. Présence d'emboles tumoraux intravasculaires D. Régularité de la taille des cellules E. Anisocaryose Réponse : B C E p. 8-9 La malignité d'une tumeur est formellement affirmée sur: A. sa fermeté à la coupe B. la compression des organes de voisinage C. la présence d'emboles tumoraux dans des vaisseaux lymphatiques D. la présence de mitoses atypiques E. la présence de métastases Réponse : C D E  p. 8-9 Le développement d'une tumeur bénigne peut se compliquer de : x2 A. Compression du tissu avoisinant B. Métastase ganglionnaire C. Récidive à distance après exérèse incomplète D. Récidive locale après exérèse complète E. Récidive locale après exérèse incomplète Réponse : A E  p. 8-9 Parmi les lésions citées, lesquelles sont des tumeurs malignes : x2 A. L'angiomyolipome rénal B. La mastose sclérokystique du sein C. Le condylome génital D. Le nævus nævocellulaire E. Le mélanome Réponse : E  p.11 + 101-102 (Mastose sclérokystique du sein = pseudotumeur de nature dystrophique) Parmi les tumeurs suivantes, lesquelles sont bénignes et de nature purement conjonctive : x3 A. Chondrome B. Liposarcome C. Léiomyome D. Adénomyome prostatique E. Verrue séborrhéique Réponse : AC  p.11

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Parmi les tumeurs suivantes, lesquelles sont de nature conjonctive bénigne ? A. Lipome B. Angiosarcome C. Ostéome D. Adénomyome prostatique E. Papillome F. Léiomyome G. Nævus nævocellulaire H. Lymphome Réponse : ACF Lymphome  tumeur du tissu lymphoïde / nævus nævocellulaire  classés à part (ni épithélial, ni conjonctif) On classe parmi les tumeurs conjonctives malignes : x3 A. Les fibrosarcomes. B. Les mélanomes. C. Les liposarcomes. D. L'angiomyolipome du rein. E. Les botriomycomes. F. La maladie de Kaposi G. Le léïomyosarcome H. Le choriocarcinome I. le botriomycome Réponse : ACFG  Maladie de Kaposi = sarcome de Kaposi = maladie diffuse caractérisée par la présence de lésions tumorales malignes comportant une composante vasculaire. Origine virale. La (les) tumeur(s) suivante(s) est (sont) de nature épithéliale : x1000 A. Carcinome épidermoïde bronchique B. Adénocarcinome du rein C. Adénome de la thyroïde D. Léiomyome de l'utérus E. Adénome colique F. Linite gastrique G. Adéno-fibrome du sein H. Adénocarcinome thyroïdien I. Papillome vésical J. Léiomyome de l’œsophage Réponses : A B C E F H I  Linite gastrique : tumeur maligne de l’épithélium gastrique  adénocarcinome Les tumeurs suivantes sont des tumeurs purement épithéliales : x1000 A. Léïomyosarcome B. Angiosarcome C. Choriocarcinome D. Les condylomes E. Angiome F. Mélanome G. Lipome H. Les carcinomes I. Les léiomyomes

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J. K.

Les papillomes Les adénomes

Réponse : C D H J K

La (les) tumeur(s) suivante(s) est (sont) des tumeurs des revêtements glandulaires : A. Tumeur papillaire vésicale B. Adénome colique C. Condylome ano-génital D. Carcinome baso-cellulaire E. Séminome testiculaire F. Carcinome épidermoïde bronchique G. Cystadénome H. Adénocarcinome de l'endocol Réponse : B G H Un angiome est une tumeur : A. conjonctive B. épithéliale C. bénigne D. maligne E. de nature vasculaire Réponses : A, C, E Un lipome est une tumeur : x2 A. Conjonctive B. Épithéliale C. Bénigne D. Maligne E. De nature vasculaire Réponse : AC Un adénome x3 A. Est une tumeur bénigne d’une muqueuse ou d’un parenchyme glandulaire B. Peut se développer dans un tissu endocrine C. Est une tumeur fréquente des voies excréto-urinaires D. Peut évoluer vers un carcinome épidermoïde E. Peut être le siège de lésions dysplasiques F. Est constitué par des cellules tumorales malignes G. Peut se développer aux dépens de revêtement malpighien H. Peut évoluer vers un adénocarcinome Réponse : A B E H

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II.

Le tissu cancéreux

Les caractères cytologiques suivants sont évocateurs de la nature cancéreuse d’une tumeur : x3 A. Un rapport nucléo-cytoplasmique bas B. L’hyper-chromatisme du noyau C. La perte de la polarité cellulaire D. L’anisocaryose E. La présence de vacuoles de mucus intra-cytoplasmiques F. La petite taille des nucléoles G. La présence de mitoses anormales H. La présence de ponts d’union intercellulaires Réponse : B C D G EH ?  types particulier de tumeur (adénocarcinome gastro-intestinal, et carcinome épidermoïde …) Le stroma est un tissu conjonctif : x3 A. Qui accompagne le développement d’une pseudotumeur B. Qui accompagne le développement d’une tumeur maligne C. Qui accompagne le développement d’une tumeur bénigne D. Présent dans les lésions hamarto-mateuses E. Présent dans les lésions pseudo-tumorales F. Présentant des caractères histologiques de malignité G. Particulièrement abondant dans les cancers squirreux Réponse : BG

III.

Les lésions précancéreuses

On classe parmi les lésions précancéreuses : x2 A. Les néoplasies intra-épithéliales du col utérin. B. L’adénome de la prostate C. Le nævus nævocellulaire D. L’adénome colique E. L’adéno-fibrome du sein F. Les polypes adénomateux du colon G. Les hamarto-chondromes pulmonaires H. La mélanose de Dubreuilh I. La dysplasie rénale Réponse : A D F H B ? Nævus nævocellulaire  uniquement si jonctionnel Le compte rendu anatomo-pathologique d'une biopsie colique conclut à « adénome tubuleux en dysplasie de haut grade ». Il s'agit de x2 A. Une lésion précancéreuse B. Une pseudotumeur C. Une tumeur épithéliale D. Une lésion métaplasique E. Une lésion malformative Réponse : AC

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Le compte rendu anatomo-pathologique de la biopsie d'un polype colique conclut à « polype hyperplasique ». Il s'agit de A. d'une lésion précancéreuse B. d'une pseudotumeur C. d'une lésion inflammatoire D. d'une lésion métaplasique E. d'une lésion malformative Réponse : B

IV.

Histoire naturelle du cancer

Un carcinome intra-épithélial : x4 A. Ne franchit pas la membrane basale B. Est limité au chorion C. Peut évoluer vers un cancer infiltrant s'il n'est pas traité D. Peut être dépisté au niveau du col utérin E. Donne des emboles carcinomateux intra-lymphatiques Réponse : A C D Un carcinome intra-épithélial = in situ du col utérin : x2 A. Ne franchit pas la membrane basale B. Est limité au chorion de la muqueuse cervicale C. Peut évoluer vers un cancer infiltrant s'il n'est pas traité D. Peut coloniser les glandes endo-cervicales sous-jacentes E. Peut se compliquer de métastases ganglionnaires F. Se présente sous forme d’un polype du col G. Ne comporte pas d’atypies cytonucléaires H. Donne des métastases ganglionnaires iliaques Réponse : ACD Dans le carcinome in situ du col utérin, on observe : x2 A. la destruction de la membrane basale par les cellules tumorales B. une perte de la différenciation de l'épithélium C. des mitoses atypiques jusque dans la couche superficielle de l'épithélium malpighien D. la présence de cellules cancéreuses dans le chorion E. des emboles tumoraux dans les lymphatiques profonds Réponses : B, C La néoplasie intra-épithéliale de grade III du col utérin : x2 A. est une lésion d'origine virale B. est d'origine malformative C. ne comporte pas d'atypies cytonucléaires D. comporte des atypies cytologiques et des mitoses nombreuses E. peut se compliquer de métastases ganglionnaires iliaques F. est définie par l'absence de franchissement de la membrane basale G. peut coloniser les glandes endo-cervicales H. correspond à un carcinome in situ Réponse : A D F G H

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On peut affirmer avec certitude le diagnostic de cancer in situ du col utérin sur : x5 A. Une biopsie cervicale B. Une pièce d’hystérectomie totale C. Un frottis cervico-utérin D. Un prélèvement extemporané E. Une pièce de conisation Réponse : B E L'identification sur un frottis de dépistage cervico-utérin d'une lésion intra-épithéliale de haut grade selon la classification de Bethesda implique : A. De répéter le frottis 6 mois plus tard B. De pratiquer une conisation C. De pratiquer une colposcopie avec biopsie D. De pratiquer une hystérectomie totale E. De refaire immédiatement un frottis de contrôle Réponse : C La présence de cellules cancéreuses dans les vaisseaux au sein d'une tumeur primitive est : x5 A. Une localisation tumorale secondaire B. Un embole tumorale C. Une lésion qui ne s'observe jamais dans les cancers in situ D. Une lésion qui évolue toujours vers une métastase E. Une thrombose fibrino-cruorique Réponse : BC La voie de dissémination métastatique préférentielle des cellules tumorales dans les sarcomes est : A. Sanguine B. Lymphatique C. Péritonéale D. Excréto-urinaire E. Méningée Réponse : A (SArcome  SAnguin / Carcinome  lymphatique) Parmi les organes suivants, les sites les plus fréquents de métastases de carcinome sont : x2 A. Le cerveau B. Le pancréas C. Le rein D. Le foie E. Le poumon F. La surrénale G. L'estomac Réponse : A D E F Métastase de carcinomes (voie lymphatique)  Surrénale, Cerveau, Foie, Poumon  Suce mes Couilles, Fils de Pute Métastase de sarcomes (voie sanguine)  Foie, Poumon  Fils de Pute Parmi les organes suivants, lesquels sont fréquemment le siège de métastases x3 A. Rate B. Surrénale

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C. Estomac D. Foie E. Poumon Réponse : BDE Parmi les cancers suivants, quels sont ceux qui donnent fréquemment lieu à des métastases osseuses au cours de leur évolution ? x5 A. Adénocarcinome du sein B. Carcinome baso-cellulaire C. Carcinome vésiculaire de la thyroïde D. Carcinome hépatocellulaire E. Adénocarcinome de la prostate F. Adénocarcinome colique G. Carcinome de la thyroïde H. Léïomyosarcome I. Adénocarcinome du rein J. Carcinome urothélial Réponse : A C E G I (Thyroïde, Prostate, Sein, Rein, Bronches  Ton Père Sa Race Bâtard OU STP RoBin ;) Devant une métastase osseuse sans cancer primitif connu, il faut rechercher en priorité : A. un adénocarcinome du sein B. un carcinome baso-cellulaire C. un léiomyome utérin D. un adénocarcinome de la prostate E. un adénocarcinome de la thyroïde Réponse : A, D, E Une métastase peut compliquer l’évolution d’ : x7 A. Un condylome ano-génital B. Un adénocarcinome de la prostate C. Un kyste dermoïde de l’ovaire D. Un nævus nævocellulaire E. Un carcinome baso-cellulaire de la peau F. Un papillome laryngé G. Un botriomycome H. Un adénocarcinome du sein I. Un mélanome Réponse : B H I Une métastase ganglionnaire peut provenir d' : x3 A. Un mélanome. B. Un carcinome in situ du col utérin C. Un nævus nævocellulaire. D. Un adénocarcinome colique. E. Un carcinome papillaire de la thyroïde. F. Un carcinome baso-cellulaire Réponse : A D E

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V.

Classification des tumeurs

La classification TNM d'un cancer prend en compte : x4 A. La taille de la tumeur B. Le degré de différenciation de la tumeur C. La présence de métastases ganglionnaires D. Le type histologique de la tumeur E. L’extension aux organes voisins F. La présence d'emboles tumoraux Réponse : ACE Tumeur (extension / taille) Nodes (ganglions lymphatiques) Métastases ± La classification pTNM des tumeurs est utile pour : x3 A. évaluer l'extension locorégionale d'une tumeur maligne B. évaluer l'extension locale d'une tumeur bénigne C. déterminer le degré de différentiation d'une tumeur maligne D. évaluer le risque de cancérisation d'une lésion précancéreuse E. évaluer le stade anatomique d'une tumeur bénigne F. choisir le traitement le mieux adapté G. évaluer les effets du traitement Réponse : A F G pTNM  extension anatomique locorégionale + ttm Les grades histopronostiques des cancers incluent les paramètres suivants : x3 A. Taille de la tumeur B. Nombre de mitoses par champ C. Degré de différentiation D. Présence de métastases ganglionnaires E. Atypies des noyaux Réponse : BCE Grades  degré de malignité  histologie / différenciation

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VI.

Tumeurs épithéliales

Dans un cancer quels caractères morphologiques évoquent le diagnostic de carcinome épidermoïde : x6 A. La présence de ponts d’union intercellulaires B. Une sécrétion de mucus C. La présence de globes cornés D. Une architecture en lobules et en massifs E. La présence de cavités glandulaires F. Une production de kératine par les cellules tumorales G. La présence de pigment mélanique Réponse : ACDF Carcinome épidermoïde : Kératose actinique  lésion précancéreuse Macroscopie : ulcérations à bords surélevés et indurés, fond crouteux, aspect kératosique Histologie : lobules, ponts d’unions, maturation cornée  globes cornés Le carcinome épidermoïde est le type de tumeur maligne le plus souvent observé dans : x5 A. L'estomac B. Le canal anal C. La peau D. Le rein E. L'exocol utérin F. La cavité buccale G. L’œsophage H. Les bronches I. Le colon J. La vessie Réponses : B, C, E, F, G, H ,  Revêtements malpighiens Le cancer primitif de la thyroïde est le plus souvent : x3 A. Un adénocarcinome B. Un sarcome C. Une tumeur conjonctive D. Un carcinome épidermoïde E. Un lymphome Réponse : A Le cancer du colon est le plus souvent : x6 A. Un adénocarcinome B. Un sarcome C. Un carcinome endocrine D. Un carcinome épidermoïde E. Un lymphome F. Une tumeur stromale gastro-intestinale Réponse : A Le cancer primitif du sein est le plus souvent : x3 A. Un adéno-sarcome B. Un sarcome C. Une tumeur endocrine D. Un carcinome épidermoïde E. Un lymphome

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Réponse : A ?  carcinome canalaire infiltrant = adéno sarcome ??? Le type de cancer le plus fréquent de la glande mammaire est : A. un carcinome neuro-endocrine B. un carcinome canalaire in situ C. un lymphome D. un carcinome canalaire infiltrant E. un carcinome lobulaire infiltrant Réponses : D Le cancer primitif du rein est le plus souvent: x3 A. Un adénocarcinome B. Un sarcome C. Une tumeur endocrine D. Un carcinome épidermoïde E. Un lymphome F. un papillome G. une tumeur épithéliale Réponse : A G La linite gastrique est un type particulier de tumeur caractérisé par : x4 A. Un stroma très inflammatoire. B. Un stroma fibreux très abondant. C. Un aspect macroscopique ulcéro-végétant en « chou-fleur ». D. La production de kératine par les cellules tumorales. E. Un aspect cartonné de la paroi gastrique. F. La présence de mucus intracytoplasmique G. Une production de mucus très abondante Réponse : BEFG Linite gastrique : forme infiltrante : pas de bourgeonnement en surface Stroma fibreux abondant, épaississement de la paroi (indurée, cartonnée, rigide), mucus cytoplasmique repousse le noyau en périphérie Le compte-rendu anatomo-pathologique d'un prélèvement ganglionnaire conclut à : « présence dans un tissu ganglionnaire d'amas de cellules atypiques ébauchant des structures glandulaires et siège d'une mucosécrétion ». Il s'agit : x2 A. D'une lésion bénigne B. D'une tumeur maligne C. D'un lymphome D. De la métastase ganglionnaire d'un adénocarcinome E. De la métastase ganglionnaire d'un carcinome épidermoïde Réponse : BD Une tumeur infiltrante du col utérin est le plus souvent : A. un adénocarcinome B. un carcinome épidermoïde C. un sarcome embryonnaire D. une néoplasie intra-épithéliale E. une léiomyosarcome F. Un condylome Réponse : B

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Laquelle ou lesquelles des tumeurs suivantes peuvent survenir sur un revêtement cylindrique glandulaire : A. carcinome urothélial. B. adénome. C. carcinome baso-cellulaire. D. adénocarcinome . E. carcinome épidermoïde Réponse : B, D, E La présence de cellules sécrétant du mucus dans des massifs tumoraux découverts au sein d’une métastase pulmonaire est compatible avec un cancer primitif dont le siège est : A. Pancréatique B. Gastrique C. Hépatique D. Thyroïdien E. Testiculaire Réponse : B ? A ? Le compte rendu anatomo-pathologique de la biopsie d’un polype colique conclut à « adénome tubuleux en dysplasie de haut grade ». Il s’agit de : x3 A. Une lésion précancéreuse B. Une pseudotumeur C. Une tumeur épithéliale D. Une lésion métaplasique E. Une lésion malformative Réponse : AC Un papillome : A. Est une tumeur bénigne d’un parenchyme glandulaire B. Peut être le siège de lésions dysplasiques C. Est constitué par des cellules tumorales malignes D. Peut se développer dans un parenchyme endocrine E. Peut se développer aux dépens du revêtement cutané Réponse : BE Une tumeur maligne peut se développer sur : A. Une gastrite chronique atrophique B. Une métaplasie épidermoïde de la muqueuse bronchique C. Un adénome colique D. Une verrue séborrhéique E. Un adénofibrome du sein Réponse : A B C ? L'adénome du côlon est : A. Une lésion tumorale B. Une lésion hyperplasique C. Une lésion qui peut présenter différents degrés de dysplasie x D. Une lésion qui n'évolue jamais vers un cancer E. Une lésion observée dans la polypose colique familiale

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Réponse : ACE

Une tumeur endocrine bien différenciée A. Est caractérisée par la présence de grains de zymogène dans les cellules tumorales B. Peut secréter des hormones identiques à celles produites par le tissu normal homologue C. Est de haut grade de malignité D. Comporte de nombreuses mitoses E. Peut s'intégrer dans le cadre de maladies familiales génétiques Réponse : A ? BE Le compte-rendu anatomopathologique d’un prélèvement cutanée à : « présence d’une lésion épidermique associant hyper-papillomatose, hyper-acanthose et hyperkératose ». Il s’agit d’ : A. Une lésion inflammatoire B. Une lésion tumorale C. Un carcinome baso-cellulaire D. Un carcinome épidermoïde E. Un papillome Réponse : B E

VII. Tumeurs conjonctives Un léiomyosarcome est : x2 A. B. C. D. E. F.

Une tumeur maligne Une tumeur de type musculaire striée La plus fréquente des tumeurs du myomètre Une tumeur de type musculaire lisse Une tumeur anaplasique Une lésion précancéreuse

Réponse : AD

VIII. Types tumoraux particuliers Dans les mélanomes, les éléments suivants sont de mauvais pronostic : x3 A. Siège aux extrémités B. Caractère nodulaire d’emblée C. Développement sur une mélanose de Dubreuil D. Grade I de Clark E. Indice de Breslow >4mm F. atteinte limitée au derme superficiel Réponse : ABE Dubreuil = lésion précancéreuse, mais de bon pronostic Un nævus nævocellulaire désigne : A. Une lésion mélanocytaire B. Une tumeur maligne C. Une lésion pigmentée D. Un mélanome E. Une lésion précancéreuse

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Réponse : AC (c’est le fait qu’i...


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