PHI1501 C - Gervais Yamb PDF

Title PHI1501 C - Gervais Yamb
Author Marie-Pier Dion
Course Raisonnement et pensée critique
Institution University of Ottawa
Pages 25
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Summary

Gervais Yamb...


Description

PHI1501C Cour 1    

Le 8 septembre 2017 Définir la philosophie n’est pas une entreprise facile. En effet, chaque philosophe pourrait, selon sa conception du monde (Weltanschauung), définir la philosophie C’est dire qu’il existe autant de définitions de la philosophie qu’il existe des philosophes Mais est-ce une raison suffisante pour ne pas esquisser une définition dite ‘’opératoire’’ de la philosophie ? L’histoire de la philosophie occidentale nous enseigne que les philosophes grecs de l’antiquité furent parmi les premiers penseurs à proposer une définition de la philosophie  Mais nous savons aujourd’hui, grâce aux recherches de certains philosophes, que les anciens égyptiens et les penseurs asiatiques ont essayé de concevoir un mode de penser rigoureux qui pourrait être considérer de philosophique

 La philosophie pour l’être humain ordinaire c’est  Une réflexion abstraite, sans aucune emprise ou influence sur le réel  Des élucubrations (réflexions) qui n’ont rien à voir avec la réalité  Les choses se compliquent davantage quand les philosophes eux-mêmes s’opposent sur la définition à donner à cette discipline  On le voit, cette critique, adressée aux défenseurs de l’idéalisme allemand (Hegel) met en évidence une certaine ‘inutilité’ de cette approche philosophique lorsqu’il est question de changement, de transformation de réalités, c’est-à-dire le vécu concret des individus  L’homme a la raison contrairement à l’animal  Réfléchir ; définir – pouvoir sur les choses car tu dis ce que c’est  Non seulement les comprendre mais avoir un pouvoir  C’est quoi la souffrance ?  Difficile car il y a différents types de souffrance  Par exemple ; pour toi, ta mère qui est malade – le fait de na pas être en santé  Par exemple ; Enfant qui a des parents séparés – bonheur différent  ‘’Opératoire’’ – y-a-t-il encore des référence, principe qu’on peut se référer ?  Pensée philosophique  On ne peut pas dissocier l’esprit et le corps Dialecte périphérie du centre  Occident ; philo sur l’Afrique  Philo Bento ; Belge a dû dire que les africains font de la philosophie pour la prendre au sérieux  Occident – moyens pour propager  Être ordinaire (ex ; plombier – no name)  Il y a les vrais humains et les autres sont les moins qu’humains  Abstractions – Exemple ; idée de Dieu, ça s’est abstrait  C’est quoi l’immortalité, la liberté (absence de contrainte, c’est une expérience  Élucubrations – manière de raisonner  Idée – réalités  Marx – réalisme – le plus important c’est de transformer et de changer  Au-delà de la configuration 1e  Exemple ; prendre du bois et de le transformer en table



Vous allez changer les choses en faisant ceci – concret + travaille

 1 seule définition suffit à l’examen  Ce qui est important  Dieu, foi (difficile à expliquer)  Philo – réflexion  Amour – qu’est-ce que l’amour ? (Amour, désir, amitié) – plusieurs types d’amour  Examen – Faire la philosophie, c’est être en route …  1e (Pythagore de Samos) – ‘’La philosophie est l’amour de la vérité  Mais, qu’est-ce que la vérité ? Existe-t-il une vérité ou des vérités ?  Cette définition ne nous aide pas à entre dans la problématique d’ensemble de ce cours, focalisée sur les modes de raisonnement et l’élaboration d’une pensée critique  2e – Faire la philosophie c’est un état d’esprit, être en mouvement  Exemple ; Ottawa (A) jusqu’à Gatineau (B)  Philosophie mais ne veut pas dire que tu es à destination  Devient un dogmatisme. Non! Doit remettre en cause cette vérité. Tu dois questionner le point B jusqu'au point Z et au point Z, cela est le début d’un commencement  C’est ce mouvement qui fait philosopher  Le je, question, réponse  Réponse appelle une nouvelle question, contentez de cette réponse n’est pas de la philosophie  ‘’ Quelqu’un qui pense ‘’ – mais c’est quoi penser ?  Arrêter pour un bilan mais on se remet en route par la suite  Popper – la connaissance s’obtient par essai et erreurs  Remet en cause Retour au Cour 1  Pas tout le monde peut être philosophe. La capacité de voir les choses autrement. C’est une démarche particulière. Dans une classe, on va tous avoir une différente philosophie  On a tous la capacité de pouvoir réfléchir en philosophe mais savons-nous comment utiliser nos pensées ?  Nos raisonnements peuvent sembler être structuré mais en réalité, la structure n’est pas seulement la forme mais aussi le sens. Doit avoir une cohérence (prémisse et conclusion doit être liées)  Nous sommes tous quelque part philosophe dans la mesure de réfléchir et donner une cohérence à nos arguments  Différence entre le philosophe professionnel – il a été formé  ‘’L’ouragan ; comment est-on arrivé là ? C’est quoi la partie invisible ? Comment éviter les ouragans ? C’est l’homme quelque part. Quand vous détruisez les arbres…Ne pas respecter cette terre, on détruit la nature et la nature se venge. La mission de l’être humain est de préserver cette nature’’  Un non professionnel ‘’dérèglement planétaire’’

 Avons-nous la capacité de voir les choses d’une façon globale ou est-ce seulement les philosophes ?  Science ; Sui Generis – qui a une certaine originalité  Philosophie – on n’arrive jamais à une vérité (Carl Popper - ouvrage)

Cour 2

Le 12 septembre 2017

Qu’est-ce que la philosophie ? Définitions…  La 2ème définition se réfère au mot grec “philosophe” (philo-sophos) formé par opposition à sophos (définition par étymologie)  Partisans de Socrate vs les sophistes  Socrate ; Ce qu’il sait, c’est qu’il ne sait rien. (Commencement de la sagesse). Il était désintéressé. Docte ignorance. C’est une ignorance qui possède en elle un savoir. Vous mets dans des conditions pour que vous réalisez que vous ne connaissez rien et que cela c’est le début de la connaissance  (Kairos) – comment saisir l’opportunité du moment peut importer es moyens qu’on peut utiliser  Sophistes avaient pour rôle de former. Demande d’argent. Cours de rhétorique, dialectique, etc.… Mais il y a un problème – problème éthique. Ils sont des penseurs mais pas des philosophes  Il désigne celui qui « aime » le savoir, par différence avec celui qui, possédant le savoir, se nomme “savant”  Le philosophe allemand Karl Jaspers précise que “ce sens persiste encore aujourd’hui : l’essence de la philosophie, c’est la recherche de la vérité, non sa possession, même si elle se trahit elle-même, comme il arrive souvent, jusqu’à dégénérer en dogmatisme, en un savoir mis en formules, définitif, complet, transmissible par l’enseignement. Faire la philosophie, c’est être en route. Les questions, en philosophie, sont plus essentielles que les réponses, et chaque réponse devient une nouvelle question” (Lire Karl Jaspers, Introduction à la philosophie, traduction de Jeanne Hersch, Paris, Plon, 1965, pp. 10-11).  La 3ème définition se réfère au mot grec “philosophie” (philia et sophia). Il renvoie à “l’amour de la sagesse”. Mais de quel amour s’agit-il ? De quelle sagesse parlonsnous ? Page 9 du recueil  L’amour dont il est question ici se rapporte au mouvement de l’âme, à une tension vers autre que soi ; et la sagesse dont il est question veut être un “savoir pratique”, c’est-à-dire une manière de faire et d’être.  En résumé, l’amour de la sagesse dont il est question ici est une tension vers un savoir-faire, un savoir être (et, pourquoi pas, un faire-savoir ou transmission des connaissances). Existe-t-il méthode philosophique ?

 Une définition de la méthode  Du grec « met-odos » qui signifie le chemin, la voie, l’instrument  Ce qui nous permet d’atteindre nos objectifs  La méthode est l’instrument théorique dont on se sert pour réfléchir, analyser ou comprendre les réalités  Par conséquent, la méthodologie philosophique se veut donc un discours ou une réflexion qui s’appuie sur un instrument théorique pour analyser une question ou un problème théorique. Aussi parle-t-on, par exemple, de la méthode de Socrate (Maïeutique), de la méthode de Descartes (le doute méthodique).  La maïeutique de Socrate (cf. Métayer, pp. 110-111)  Agir de la meilleure façon qui soit  Ce qu’elle est : Une discussion, un dialogue, un débat argumentatif  Sur un sujet précis, dialogue pour comprendre le sens, quand l’autre va vouloir présenter ses arguments, il va argumenter  Ses caractéristiques :  Dialectique par l’argumentation, la discussion et les enchaînements des questions et des réponses  Critique par un examen rigoureux des opinions des interlocuteurs pour en évaluer la solidité et la cohérence  Réfutation par une argumentation « contre » un raisonnement en démontrant ses limites, ses lacunes, ses faiblesses  Une méthode à 5 étapes  Ses finalités :  Découvrir son ignorance  S’ouvrir à la connaissance et au savoir  Se comprendre soi-même et comprendre les réalités dans leur essence  C’est pourquoi certains commentateurs de la pensée antique parlent de la Maïeutique comme « l’art d’accoucher les esprits »  Le doute « méthodique » (cf. Descartes, Discours de la méthode, p. 31 et ss).  Ce qu’il est : Remettre en doute tout ce que l’on reçoit comme information  Un exercice de la raison  Une pratique de la pensée  Ses caractéristiques : remises-en cause (« tabula rasa ») systématique  Des sens (origines de possibles illusions optiques) parce que les sens sont trompeurs  Se débarrasser des préjugés, obstacle à la connaissance « vraie »  Ses finalités :  Trouver la certitude  Trouver la vérité « indubitable » Ce qu’il faut retenir pour l’examen 1 1- Concepts à définir  Philosophie  Méthodologie philosophique  Maïeutique socratique  Doute méthodique

Ce qu’il faut retenir pour l’examen 1  Sujets de réflexion

Cour 3

Le 15 septembre 2017 Résumé de parti 1  Pas évident de définir la philosophie  Activité intellectuel – recherche d’une certaine sagesse qui se veut pratique  Cette recherche se décline sous la forme d’une interrogation (maïeutique) qui amène notre interlocuteur qu’il est ignorant (docte ignorance)  Il n’a jamais fini de savoir – ouverture à la connaissance – que vous êtes toujours en chemin – ouvre au savoir  La maïeutique – face à face entre celui qui initie la personne qui ne sait rien (Socrate)  Nous sommes des ignorants, ouverture au savoir, commence la philosophie  Doute méthodique – L’instrument par lequel on s’ouvrent  Procède par étapes  Pour être certain, il faudrait commencer par douter – interrogation  Quel sont les éléments qui me permettent de dire qu’il pleut donc je fais table rase de tout ce que je connais  C’est quoi la pluie, y-a-t-il différent type de pluie ? Point de départ d’une recherche pour atteindre une certitude  Doute et méthodique – pour s’ouvrir au savoir  Le philosophe réfléchit comme un mathématicien  Esprit de rigueur et un esprit d’analyse  Au temps d’Aristote – savant (savoir universel) ; politique… plusieurs choses en même temps – capacité intellectuel hors norme  Logique  Exemple de raisonnement – quel est le contraire de la couleur blanche ?  Le noir ? C’est faux  Le non-blanc (rouge, vert, jaune…)  Ce type de raisonnement a influencé (la religion ; si Dieu est gentil, Satan est méchant…) – pas toujours des informations et représentations qui sont vrai  Quand on se met à raisonner, il y a une cohérence  Proposition et le non proposition – principe là que les anciens utilisaient  Pour dire que le noir est le contraire de blanc, voudrais dire que P est le contraire de Q  Philosophe et scientifique = corrélation  Emprunte aux sciences dures, des méthodes  Lien entre la philo et les sciences sociales  Doit avoir un esprit critique – comment cette ethnie a évolué ?  Lire et interprété les chiffres  Statistiques – philo ; capacité d’interpréter ses chiffres et ses mesures (arrive de l’Ontario car ils sont probablement francophones et c’est pour cela qu’ils sont à uOttawa)  La philosophie est une littérature – la question du sens et des fondements Nouveau Thème – Raisonnement

 Qu’est-ce que le raisonnement ?  Principes qui oriente les idées et les organises pour qu’elle soit convaincante  Faculté qu’on les humains  La plus partagé du monde  On peut être intelligent et non raisonnable et vice versa (corrélation)  Distinction entre l’intelligence et la raison (discours, logos)  Agence les idées car il y a exercice de la raison  Plusieurs types de raisonnement  Essaye de mettre les idées ensembles. La capacité d’enchaîner les idées de manière ordonné et d’être capable de les contrôler  P1 P2 C – doit faire du sens  Élaborer un raisonnement pour convaincre La raison ; faculté de penser de manière rationnelle Rationalité ; caractéristique d’une pensée qui enchaine ses idées d’une manière consciente, ordonnée et contrôlée pour atteindre un but précis en s’appuyant sur de bonnes raisons (Métayer)  Un énoncé est tout ‘’message’’ produit à l’aide du langage ou un ‘texte’, si on donne un sens très large à ce mot. Question : toute forme de langage est-elle un énoncé ? Non. Ça doit être clair ou écrit. Au fait, qu’est-ce que le langage ? C’est la structure de base du discours. Énoncer, c’est ‘’dire’’ ! (Proposition, commence à élaborer un raisonnement et tu argumentes en contexte) – Langage écrit et parler  ‘’Je suis fatiguée’’ – énoncé affirmative  ‘’Tout homme…’’ – énoncé déclarative  Peut avoir plusieurs propositions  Tout le monde a besoin de décodé le message  L’énoncé déclaratif ; message ou texte qui a le potentiel d’être vrai ou faux. Ce point est important parce que d’un point de vue logique, l’étude de l’argument vise à déterminer dans quelle mesure les valeurs de vérité sont transmises entre les propositions  Exemple 1 ; La terre est ronde (prétention d’une vérité jusqu’à preuve du contraire)  Exemple 2 ; Le ciel est bleu  Argument ; Une séquence de propositions où l’on cherche à établir une conclusion sur la base de certaines prémisses  Prémisses est ce qui vient avant la conclusion  Prémisses – seulement en contexte de raisonnement sont l’objectif est d’aboutir à une conclusion  Il est important de savoir qu’un argument qui a une structure logique solide est un argument dans lequel la vérité des prémisses entraîne nécessairement la vérité de la conclusion  Si l’analyse de la structure d’un argument se fait termes de logique et de vérité, alors, minimalement, les propositions à l’intérieur d’un argument doivent avoir le potentiel d’être vraies ou fausses  

Des propositions sont des énoncés écrits qui pourrait être réfuté par vrai ou faux  Des ensemble de jugements à partir les arguments sont construits  Définition technique  Le raisonnement est une opération complexe qui implique l’ordonnance ou l’organisation de plusieurs parties ou constituants de base  Que les philosophes appellent ‘’jugements’’ (Métayer)  Définition standard (Métayer)  Le raisonnement est une opération intellectuelle qui consiste à lier les jugements de manière ordonnée ou à utiliser un ou plusieurs jugements pour en soutenir un autre  D’autres définitions  Le raisonnement est une opération mentale par laquelle nous enchaînons des propositions les unes aux autres afin de produire une proposition nouvelle. Ainsi, à partir des deux propositions suivantes, on peut déduire une 3 e  P1 ; tous les humains sont mortels  P2 ; Or, les canadiens sont des humains  C ; Donc, tous les canadiens sont mortels  (Montigny) Le raisonnement est aussi une suite d’affirmations comprenant une conclusion et des prémisses qui sont énoncées dans l’optique de soutenir la conclusion 

Cour 4

Le 19 septembre 2017

La structure du raisonnement  Il y a un ordre qui doit être contrôlé par la personne qui reflète  C’est une évolution  Argumenter et raisonner – synonymes mais tout dépend de la situation  La maïeutique de Socrate – exercice d’argumentation (jeu de question, réponse)  Ensemble de propositions que j’agence manière dont ils sont organisés deviennent des prémisses  Objectif finale – rendre notre raisonnement valide et solide  Le raisonnement est constitué de plusieurs parties  Prémisses (propositions, affirmations, énoncés ou jugements) – P  Un ensemble de proposition qui doit aboutir à une conclusion mais il faudrait qu’il y ait des liens d’inférence – établit la logique (conjonctive de coordination) – lien entre P et C  Conclusion – c’est le jugement à soutenir



 Le schéma par Métayer  Prémisses doivent soutenir la conclusion  Lien d’inférence (Car, donc, alors que) – mot-lien pour une suite logique dans le raisonnement

 Structure 1 ; prémisses indépendantes  Pas de lien logique  Il fait très froid au Canada P1 Il neige abondamment en ce moment P2 Je ne peux pas faire du jogging C (Mais si tu rajoute des mots-liens, ça fait du sens)

 Structure 2 ; prémisses liées ou conjointes  Andrée fait le lien

 Structure 3 ; chaine de raisonnement ou raisonnement complexe  Il fait beau et il fait chaud alors je vais aller me baigner donc j’irai magasiner demain

La forme et le contenu (Métayer)

 La forme ; l’aspect purement logique des liens existant entre les jugements qui le composent  Le contenu ; idées qui constituent la matière des jugements et qui renvoient à des choses déterminées  Les différents types de raisonnement pourraient aider à faire cette distinction  Validité et vérité Typologie et analyse  Raisonnement déductif  Ce qu’il est ; le raisonnement déductif suit un mouvement de la réflexion allant du général au particulier  Sa forme ; c’est en quelque sorte une réflexion pyramide  Exemple ; Jean est plus que Matt (P1) Matt est plus grand que Simon (P2) Donc Jean est plus grand que Simon (C)  Le syllogisme est un raisonnement logique à deux propositions (majeure + mineure) conduisant à une conclusion  Le syllogisme permet de valider la véracité formelle de la conclusion  Exemple ; Tous les êtres humains sont mortels (Majeure) Or Socrate est un être humain (Mineure) Donc Socrate est mortel (Conclusion)  Le critère de validité ; si les prémisses sont vraies, la conclusion d’une déduction valide est nécessairement vraie  Le principe de non-contradiction qui consiste à affirmer et nier en même la même chose, doit être vérifié  Raisonnement non-déductif  L’induction ; raisonnement qui consiste à partir du particulier au général (La démarche scientifique ; observation, etc.)  Sa forme ; raisonnement sous forme d’entonnoir ou de triangle renversé  Le lien de nécessité logique en question ; Peut-être fausse même si les prémisses sont vraies. On peut nier la conclusion après avoir formulé les prémisses, sans se contredire sur le plan logique  Ses limites ; La fiabilité est fonction de la suffisance des cas particuliers étudiés ; plus l’énumération est complète plus la généralisation est vraisemblance. Mais une énumération totale est impossible  La recherche de la meilleure explication ; elle vise à trouver la meilleure explication d’un évènement ou d’un phénomène, ou simplement à trouver une explication plausible. On appelle aussi ce raisonnement l’abduction  Raisonnement convergent ; Un type de raisonnement fourre-tout qui regroupe plusieurs raisonnements comprenant une variété de prémisses hétérogènes et indépendantes. Ces prémisses tendent toutes à soutenir la conclusion, mais pour des raisons distinctes

Préparation à l’examen  Partie A : Définition des concepts et problèmes de raisonnement  Voir la fin des PowerPoint pour les définitions possible – soyez explicite  6 concepts  Deux problèmes de raisonnement  Partie B : Plan détaillé de la dissertation  Structure, logique et cohérence de l’argumentation  Qualité de la langue  Analyse critique  Référence aux auteurs Consignes générales de la dissertation Définition  La dissertation est une réponse, développée et organisée, au problème plus ou moins explicite. Il s’agit d’un travail original qui reflète vos connaissances, idées personnelles, parfois vos opinions ou vos prises de position. Il s’agit aussi d’une argumentation bien soutenue par des exemples, du raisonnement logique, des citations du texte Forme  Introduction ; poser le problème  Corps du devoir ; examiner et proposer une solution  Conclusion ; faire une synthèse de v...


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