Résumé-livre-motivation PDF

Title Résumé-livre-motivation
Course Psychologie
Institution Université Grenoble-Alpes
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Summary

résumé la motivation ...


Description

La motivation de Fenouillet Introduction  Derrière le terme « motivation » se cache les raisons qui poussent tout chacun à agir, mais aussi qui expliquent pourquoi de manière énigmatique certains réussissent alors que d’autres échouent. « Motivation » est couramment employée dans la 2 ème moitié de 20° siècle. Il existe plusieurs dizaines de théories qui expliquent ce qu’est la motivation. Pourtant 2 méthodes simples pourraient permettre de régler ce problème de définition :  Le fait que ce concept de motivation n’existe pas : c’est une méthode problématique car elle nie en bloc le regroupement des faits auxquels s’attachent les différentes motivationnelles. Pour cela une solution est proposée : expliquer ces phénomène à l’aide d’autres concepts mais possible que dans certains cas en revanche le gain en simplicité sera perdu en pouvoir explicatif  Définir la motivation au regard d’une seule théorie mais il n’existe pas de théorie à même de rendre compte de l’ensemble des phénomènes dit motivationnels  2 niveaux :  Niveau théorique : particulier, voire presque de l’exception. Chaque théorie motivationnelle apporte sa propre définition de la motivation  Niveau général : métathéorique et a-théorique. Il s’agit d’une définition de définitions qui reste très générale et qui n’a pas pour but d’expliquer précisément l’ensemble des phénomènes qu’elle recouvre Chapitre 1 : émergence de la motivation I. les premières approches motivationnelles  parler de motivation pour expliquer le comportement revient à se demander pourquoi l’individu agit. Différentes conception :  Aristote : existe des passions qui vont guider le comportement  Platon : l’âme serait composée de l’appétit, du cœur et de la raison, qui ensemble gouvernent dans un rapport complexe les actions humaines.  Epicure : le plaisir la cause centrale du comportement → conception qui se retrouve en filigrane dans certaines théories modernes de la motivation  Hédonisme : le comportement s’explique principalement par la recherche de plaisir et l’évitement de la douleur (les raisons du comportement sont purement personnelles) → conception qui se retrouve en filigrane dans certaines théories modernes de la motivation  mais cette philosophie du comportement a ses limites qui sont révélées au 20° siècle. Apparaît alors les premières études sur la motivation qui se sont fondées sur l’instinct (objet d’étude). Mais le mot « instinct » est polysémique :  ce sont des comportements innés, fixes et stéréotypés  une sorte de pulsion qui pousse certaines personnes à commettre des actes sous le coup d’une force irrépressible  une sorte de 6° sens, lorsqu’une personne effectue parfaitement une action sans paraître réfléchir  McDougall (1908) est le premier auteur à avoir proposé une théorie ambitieuse de l’instinct -instinct : disposition physiologique héritée ou innée qui détermine son possesseur à percevoir ou à être attentif aux objets d’une certaine classe, d’être en proie à des excitations émotionnelles d’une qualité particulière lors de la perception de ces mêmes objets, et d’agir en fonction de cette perception d’une façon particulière ou pour le moins d’avoir une impulsion d’action du même ordre. - Un instinct particulier est reconnaissable au but qu’il poursuit → classification riche qui tend à englober l’ensemble des comportements finalisés de l’être humain

Le behaviorisme ou le comportementalisme s’est nettement démarqué de la position de McDougall sur l’innée et l’acquis et la prise en compte des processus mentaux → pour les comportementaliste, les processus mentaux ne sont que les résidus d’actes moteurs et les principes d’un apprentissage par association suffisent pour expliquer l’ensemble des comportements humains → positon dominante de la psychologie jusqu’à dans les années 60 II.

Motivation et behaviorisme

1. le conditionnement  Les behavioristes se servent d’un autre concept : le drive ; pour expliquer le pourquoi du comportement  2 principes d’apprentissage proposé par les behavioristes :  Le conditionnement classique ou répondant : consiste à associer par répétition un stimulus neutre et un stimulus inconditionnel → étudié par Pavlov (1927) Le conditionnement classique repose sur l’association stimulus conditionnel (SC)-stimulus inconditionnel (SI) au travers de la répétition de couplage stimulus/réponse → pour Pavlov, la présence du stimulus est la cause du comportement  Le conditionnement opérant (pour efficace) : → Thorndike (1911) : la sélection de la réponse opérante s’explique grâce à la loi de l’effet qui postule qu’un comportement qui a des conséquences positives a plus de chance d’être répété qu’un comportement qui a des conséquences négatives → Skinner (1931) : la fréquence des réponses opérantes varie en fonction du nombre de renforcements et est liée à la privation alimentaire  nous retrouvons l’hédonisme mais avec une formulation a posteriori → Le conditionnement opérant = l’hédonisme passé 2. le drive et l’incitation  drive = énergie, dynamisme, mobile. Drive est un terme introduit par Woodworth en 1918 pour décrire le réservoir d’énergie qui pousse un organisme à adopter certains comportements pour Hull en 1934, ce sont les déficits physiologiques, ou besoin qui poussent l’organisme à l’action. Il a une fonction énergétique mais il n’a pas de fonction directionnelle. L’ensemble des drives fusionne en une seule énergie qui a pour fonction de dynamiser l’organisme. La direction du comportement est expliquée par les comportements par les associations stimulusréponse  première formulation théorique : S (potentiel de réaction) = R (l’habitude) * D (drive) → Hull modifie son équation : S = R * D * I (l’incitation) Le drive pousse le comportement alors que l’incitation le tire Le paramètre central du drive est le temps de privation alors que l’incitation est fonction de certaines propriétés de l’objectif comme les variations et le goût Il existe un drive secondaire qui est le drive d’un drive pour pouvoir associer cette formulation théorique à l’homme.  Problème : la curiosité, par exemple, est ni un drive secondaire, ni un besoin physiologique  le drive va remplacer l’instinct mais en garder quelques stigmates → théorie de Hull  selon Cannon, l’organisme est animé par des processus psychologiques qui veillent au maintien d’un équilibre dans l’organisme. Il émet aussi le principe d’homéostasie → idée reprit par Hull  dans les années 60, behaviorisme → cognitivisme (s’intéresse à la façon dont les stimulations sensorielles sont transformées, réduites, élaborées, récupérées, et utilisées le concept de « drive » devient caduc et la psychologie de la motivation explose à partir de la en de multiples conceptions. III.

Quelques repères généreux

1. tentatives de définition  drive → théories motivationnelles  Chaque théorie motivationnelle propose une définition du terme qui lui est propre → la définition de la motivation qui est proposée ici ne vise pas seulement à préciser le terme mais cherche surtout à délimiter l’étendue du champ conceptuel  Vallerand et Thill (1993) : « le concept de motivation représente le construit hypothétique utilisé afin de décrire les force internes et/ou externes produisant le déclenchement, la direction, l’intensité et la persistance du comportement » → cette définition est suffisamment large pour englober l’ensemble des théories qui peuvent être rattachées à la motivation, mais son intérêt s’arrête là. Son utilisation est descriptive mais non prédictive c'est-à-dire qu’elle permet de décrire les différents phénomènes qui caractérisent la motivation mais qu’elle ne dit pas comment ni pourquoi ils apparaissent  La prédiction et l’explication de la motivation se situent au niveau de chaque théorie motivationnelle  Les théories de contenus sont celles qui proposent une définition motivationnelle basées sur un ou plusieurs besoins ou facteurs (elles peuvent être affiliées historiquement à l’instinct)  Les théories en termes de processus pour leur part voient le comportement comme le résultat d’un traitement cognitif  Le principal souci d’une classification est de mettre à jour affiliation et distinctions entre catégories 2. le niveau d’aspiration  Lewin est un des premiers auteurs à ouvrir la voie du cognitivisme. Le niveau d’aspiration se définit comme le niveau de performance qu’un individu s’efforce d’atteindre sur une tâche qui lui est familière → directement liée aux buts que poursuit l’individu  Hoppe (1930) illustre le niveau d’aspiration à l’aide de la tâche particulière (poser des anneaux sur une barre mouvante) Le niveau d’aspiration décroit lorsque l’individu échoue, et augmente lorsqu’il réussit.  Mais il y a des réactions atypiques, dans ce cas là, l’individu va agir de façon contraire donc s’il échoue, son niveau d’aspiration augment, et inverse.  Les individus qui ont le meilleur taux de réussites sont ceux qui se fixent des buts réalistes. Alors que ceux qui ont un faible taux de réussite ont tendance à se fixer des objectifs élevés et irréalisables ou très faibles. Les individus avec des aptitudes élevées ou ceux avec une forte ambition ont tendance à avoir un niveau d’aspiration très élevé  autres facteurs peuvent influencer le niveau d’aspiration : groupe social, culture  Les chiffres sont systématiquement plus élevés lorsque l’expérimentateur demande à quoi aspirent le sujet (le but idéal) 3. le besoin d’accomplissement  la motivation d’un individu dépend de l’attente de réussite ainsi que de la valeur qu’il accorde à cette réussite  Racines du besoin d’accomplissement : freudienne et le TAT. Murray crée le TAT (thematic apperception test) est un révélateur des complexes inconscients → il a attiré l’attention sur le besoin d’accomplissement. L’étude du besoin d’accomplissement a d’abord été effectuée grâce au TAT. Le TAT est un outil de mesure.  Apogée des études sur le besoin d’accomplissement dans les années 50 – 60  Les études sur le besoin d’accomplissement ont été dès le départ liées à celles sur la motivation d’accomplissement et aux différentes théories motivationnelle qui en sont issues

4. l’attribution  la théorie de l’attribution est une des théories majeures de la psychologie moderne et qui’ à ce titre, a inspiré de nombreuses théories motivationnelles  S’intéresse à la perception des causes ou raisons qui expliquent l’apparition d’un événement particulier → fondée par Heider (1958)  l’individu fait une distinction entre les causes personnelles et environnementales → les causes attribuées à la personne (causes internes) sont considérées comme intentionnelles et ceci en opposition aux causes environnementales (causes externes)  pour Heider, le résultat d’une action est fonction des forces personnelles (pouvoir –capacité relativement stables de l’individu comme les aptitudes- et effort –intention de l’individu et à l’énergie qu’il déploie pour arriver à ses fins- → si le pouvoir ou l’effort est nul alors les forces personnelles sont nulles –le pouvoir et l’effort sont des forces multiplicatives-) et environnementales  Wiener (1989) :  force personnelles = f(effort, pouvoir) → plus grande est l’habileté, moins l’effort a besoin d’être important pour affronter un obstacle environnemental  effort = f (difficulté, pouvoir) → l’obstacle environnementale est remplacé par la difficulté de la tâche  pouvoir = f (difficulté, effort)  ces différentes formulations montrent tout l’intérêt de l’attribution dans le cadre de la motivation 5. les théories humanistes  4 principes fondateurs :  L’expérience de la personne est l’intérêt central : les personnes doivent être étudiées et décrites en termes de conscience personne ce qui inclut l’expérience subjective de la façon dont elle se perçoit et s’évalue elle-même. Les individus tout au long de leur vie doivent déterminer où ils en sont et vers quoi ils veulent tendre.  l’humanisme est une approche holistique dans laquelle l’expérience humaine n’est pas morcelée, mais où au contraire l’ensemble de la vie de l’individu est considéré → cette position est compatible avec la psychologie de la forme (gestalt theory)  les choix humains, la créativité, l’auto-actualisation, sont les principaux objets d’étude : les humanistes estiment que m’étude de la psychologie doit porter avant tout sur les individus sains, en bonne santé, créatifs, et en pleine possession de leurs moyens. Les individus ont besoin de progresser, de développer leurs potentiels et leurs capacités.  La signification doit procéder l’objectivité dans la sélection des problèmes de recherche : les recherches des humanistes sont davantage centrées sur les problèmes que sur les méthodes. Généralement, les objets de recherche sont principalement sélectionnés car les objectifs et la méthodologie les ont rendues possible. Cependant, certaines recherches doivent être entreprise car elles ont un sens profond et nous concernent tous et ceci même si la méthodologie n’est pas encore au point. La recherche ne peut être totalement libre, les chercheurs doivent aborder les sujets qui sont d’une importance majeure dans la vie des personnes.  La valeur la plus sacrée est celle de la dignité humaine : les personnes sont considérées comme uniques et notables. Les psychologues doivent comprendre les personnes plus que chercher à prédire ou contrôler leurs comportements  La psychologie humaniste place l’auto-actualisation tout en haut des motivations humaines → considérée comme innée et non plus comme un besoin (cf. Maslow)  Un autre axe de recherche dans le cadre des théories humanistes est concentrées sur le soi (self) 6. la théorie de l’apprentissage social

 pour la théorie de l’apprentissage social, les comportements ne peuvent être compris en dehors d’un contexte précis. Le monde extérieur est donc le facteur qui a le plus d’influence sur le comportement. Les déterminants sont appris et les facteurs génétiques en donnent simplement les limites  Cette théorie prend les racines dans le behaviorisme de Watson, Hull ou Miller. elle donne un rôle de premier plan à la cognition. L’apprentissage se fait par imitation, se fait aussi par observation (l’impact du model est multiple –expériences de Bandura sur la poupée Bobo-)  La fluctuation du comportement en fonction de la situation est un aspect central de la théorie de l’apprentissage social c'est-à-dire qu’il y a une certaine stabilité du comportement entre les situations. L’existence d’une structure de la personnalité qui prédispose les individus à réagir de la même façon dans des situations comparables → pour les tenants de l’apprentissage social, il faut prendre en compte l’environnement pour prédire l’action de l’individu Chapitre 2 : les théories de la réussite et de l’échec I.

la motivation d’accomplissement

 mesure du besoin d’accomplissement (Atknson et McClelland)  pour Atkinson, la tendance à adopter un comportement d’accomplissement est le résultat d’un conflit entre les tendances d’approche et d’évitement → ces tendances ont à chaque fois des implications émotionnelles (fierté pour la réussite, honte pour l’échec) L’anticipation de la force de ces émotions va déterminer si au final l’individu va avoir un comportement d’approche ou d’évitement de l’activité  Atkinson propose des équations pour expliquer l’espoir du succès ou la peur de la honte (demander livre si comprend plus) : Ts : tendance à convoiter un objectif de succès Ms : besoin d’accomplissement Ps : probabilité de réussir l’activité Is : valeur incitative du succès  Ts = Ms*Ps*Is Taf : tendance à éviter l’échec Maf : motivation à éviter l’échec If : valeur incitative de l’échec  Taf = Maf*Pf*If  If = 1 – Pf  Ta = Ts – Taf  Ps + Pf = 1  Is = 1 – Ps  If = 1 – Pf  Pf = 1 – Ps ou Ps = 1 – Pf → If = Ps et Is = Pf  Ta = (Ms – Maf) [Ps*(1 – Ps)]  le besoin d’accomplissement est considéré comme une disposition relativement stable chez un individu donné. l’intérêt de cette théorie se limite à la compréhension des résultats où l’individu cherche à obtenir certaines performances, situation  les facteurs environnementaux semblent moduler l’impact des prédictions de cette théorie II.

la résignation apprise

 la résignation apprise est la perception de l’absence de lien entre les réactions et les résultats  expérience de Maier et Seligman (1976) : 3 groupes de chiens (groupe d’échappement, groupe contrôle et le groupe des résignés) reçoivent des chocs électriques  pour Maier et Seligman, la résignation apprise est un état dans lequel

l’organisme a appris que les résultats sont incontrôlables par ses réponses, ce qui induit chez lui une passivité face aux événements aversifs qui peuvent advenir → l’aspect aversif des stimuli présentés n’est pas, en soi, déterminante pour la résignation  Hiroto (1974) : même expérience mais sur les hommes (groupe évitable, inévitable, contrôle) avec des bruits désagréables  Au niveau motivationnel, les sujets résignés présentent un retard dans l’initiative de leur réponses mais aussi au niveau du temps de réponse  La résignation est liée à la perception d’une absence de contrôle des résultats des actions de l’organisme  Expérience de Tennen et Eller (1977) → la simple perception d’une absence de contrôle ne suffit pas pour expliquer la résignation apprise chez l’homme (ceux dont la tache insoluble était dit facile sont les plus impactés car remettent en cause leur propre capacité de contrôle)  Abramson, Seligman et Teasdale → modèle attributif de la résignation qui permet de prendre en compte les inférences des individus sur l’absence de contrôle : 3 dimensions attributionnelles  La dimension interne/externe : à quoi est dûe l’absence de contrôle ?  La dimension globale/spécifique : la résignation apparaît dans toutes situations ?  Dimension stable/temporaire → dimension la plus importante pour expliquer la résignation  Les sujets résignés ont tendance en cas d’absence de contrôle à faire des attributions internes, stables et globales, telles que le manque d’intelligence. Dans les situations où ils arrivent à produire le résultat souhaité, ils tendent à faire des attributions externes stables et spécifiques comme le fait d’avoir eu un coup de chance exceptionnel III.

théorie attributionnelle de la motivation

 la compréhension des causes invoquées par l’individu a un impact considérable sur la persistance de son comportement. La théorie de l’attribution (Heider) peut expliquer la motivation de l’individu  Wiener → examen des relations qui peuvent exister entre motivation et attribution dont le point de départ sont les causes invoquées (capacité, effort mais il y en a beaucoup d’autres comme difficulté de l’activité ou la chance) par l’individu pour expliquer l’échec ou la réussite  Dans le cadre de la résignation, Weiner regroupe les causes dans des ensembles permettant de souligner leurs ressemblances ou leurs différences en utilisant des dimensions causales :  Locus de contrôle (Rotter) ; pour Weiner, c’est locus de causalité : idée que les causes soient situées à l’interne ou à l’externe du sujet  Stabilité : différencie les causes stables (difficulté de la tache, capacité) de celle qui sont instables (effort, humeur)  Contrôlabilité : la possibilité d’action volontaire, que peut avoir ou ne pas avoir l’individu, sur les résultats (humeur n’est pas contrôlable, l’effort si)  Les individus qui attribuent leurs échecs à leurs capacités ou à la difficulté de l’activité (cause stable) ont une attente de succès plus faible par rapport à une attribution en termes de chance ou d’effort (instable). Dans le cas d’une réussite, si cette dernière est attribuée à la chance (instable) alors les pronostiques de réussites seront moins bons que si cette réussite est attribuées à la facilité de l’activité ou aux compétences de l’individu (stable). Si le choix se pose entre 2 causes la plus instable (la chance) augmente les perspectives de réussite dans le cas d’un échec ou les diminue dans le cas d’une réussite  L’individu va éviter les sentiments d’incompétence qui peuvent altérer durablement ses perspectives de réussite. Les stratégies attributionnelles de défense ou de valorisation des capacités individuelles sont d’autant plus vives que l’individu est impliqué par son ego dans une activité donnée<...


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