Anthropo BIO DOC RÉUNI PDF

Title Anthropo BIO DOC RÉUNI
Author Samantha Kuamambo
Course Histoire naturelle de la communication humaine
Institution Université de Liège
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Summary

resumé...


Description

Anthropologie biologique note HNC partie 2 Ovule qui vient d’être fécondé par un spermatozoïde. (photo slides). 4 semaines et demis plus tard, on voit un embryon humain avec des gênes qui proviennent d’espèces précédentes. Après 5 semaines, on a certaines formes bronchiales qui apparaissent. Après 3 mois, on a l’apparition du bébé humain.

On remonte à l’origine de l’univers : il y a un objet qui émet un son dans l’espace. La lumière c’est 300 000Km par seconde. Théorie du Big Bang : on est dans un univers en expansion et si il y a eu expansion c’est qu’il y a eu un point de départ. Qu’est-ce qui se passe si on fait marche arrière ? Les rayons lumineux diminue de plus en plus. Les physiciens ont commencé à s’intéresser à la matière de l’espace. Les premiers atomes se forment après les premières minutes du Big Bang. Au début, il y a surtout de l’hydrogène et de l’hélium qui au final vont arriver à construire le monde. On se situe dans la constellation de la Vierge où se situe notre galaxie. Il faut 100 milles ans pour traverser notre galaxie de la voie lactée. Une galaxie est une galaxie spirale car composé d’hydrogène. Au sein de ses bras spiraux de galaxie se forme des soleils. Lorsque la masse devient suffisante, les atomes d’hydrogène vont se fusionner pour donner de l’hélium. è Le soleil est née (le nôtre à 4 milliards d’année). Il faut qu’il condense suffisamment de matières pour former des atomes. Il devient une géante rouge lorsqu’il a enflé grâce au carbone. Pour des étoiles plus massives que notre soleil, la fusion peut aller jusqu’à fabriquer du fer qui sont plus lourd que l’hydrogène. Nous sommes par exemple des poussières d’étoiles. Autour de notre soleil va s’organiser des planètes. Les planètes proches du soleil se forment par des éléments lourds et inversement. è Processus d’accrétion. Ensuite la terre est née. C’est là que le vivant va apparaître (origine : 3 milliards ½ années). Elle a une taille suffisante pour garder de l’atmosphère. è La seule qui permet a priori d’accueillir des humains. L’oxygène de la Terre a été amené par le vivant. Venus a un effet de serre très marqué. Aucun humain ne pourrait y vivre.

Francesco Redi ( 17ème siècle) Il va mettre un morceau de viande dans un bocal et il découvre que si on recouvre le bocal d’une gaze fine, il n’y aura jamais d’asticots sur la viande.

Autre auteur Si on la fait bouillir et que l’on bouche le flacon après refroidissement, on n’a plus de microorganisme. Ces micro-organismes sont arrivés par l’aire. Il y a une faille dans son expérience : il est normal que les microbes ne se développent pas puisque lorsque on bouche le flacon, les microbes ne savent pas respirer. Pasteur è Fin de la théorie de la génération spontané. Le vivant se développe lorsqu’il est déjà là. ð Théorie de la pasteurisation. D’où vient le vivant si il n’y a pas de génération spontanée ? Les êtres vivants les plus simples sont les bactéries. Stanley Minet et Oparin Quand le vivant est apparut sur Terre, elle n’était pas la même que aujourd’hui disait Oparin. Elle n’avait pas la même atmosphère. Elle était chargée d’éléments hydrogénés. Terre bombardé par les rayons du Soleil puisque il n’y avait pas de couches d’ozone. Le vivant est apparu dans des conditions qui n’était pas les mêmes que aujourd’hui et ce sont ces conditions qui ont poussé à l’apparition du vivant. = Oparin Il a démontré que des briques de vivants pouvaient se former à partir des éléments non-vivants. Il a trouvé 18 acides animés. Ces briques de vivants étaient susceptibles de se créer spontanément. On s’est intéressé aussi à des molécules organiques provenant de météorites et de commettes. Il y a une atmosphère primitive bombardé par des éclaires par exemples et qui va créer des briques de vivants. Ces derniers sont sensibles aux UV et on imagine qu’elles se sont accumulés là où elles pouvaient se protéger des UV.

Un être vivant : Il a une caractéristique particulière qui est la reproduction. Par après, il y a une série de manifestations comme la respiration, le fait de mourir un jour etc. Les phospholipides : ce sont des lipides qui ont une forme particulière et lorsque l’on les mets dans l’eau, elles forment des petites sphères. Les acides aminés : on peut les associer constamment. Coarcevat : on n’a pas réussi à ce qu’elles se reproduisent.

Il y a des organismes qui vont inventer une nouvelle opération chimique : la photosynthèse qui va produire de l’oxygène. Pour les organismes qui vivaient avant, c’était un poison.

Séance 2

Il nous manque clairement de l’oxygène. Membranes : elles peuvent se former spontanément. Lipides particulier mais quand on les met dans l’eau elles forment des petites sphères :

Les protéines fonctionnels peuvent aussi se fabriquer que l’on appelle des anzines :

Toutes les molécules du vivant peuvent être fabriquées artificiellement mais pas de là à créer un être vivant.

Les premiers êtres vivants se nourrissent de la soupe primitive.

Les roches de ces époques la ont été refondues

Lorsque les premiers vivants se sont formés avec des ions ferreux de l’océan, elles ont donné ceci

Ces êtres vivants vont se mettre à produire de l’oxygène dans un milieu où il n’y en a pas. L’océan va se vider des oxydes de fer et ces derniers vont transformer l’atmosphère primitive et le transformer par l’oxygène que les ions rejettent. Avant 570 millions d’années = unicellulaires Il y a des unicellulaires qui produisent des dépôts calcaires =

Chez les poissons, on voit apparaitre les vertébrés.

Le dév développement eloppement de la paléon paléonttologie humaine humaine.. En ce qui concerne l’homme, son origine divine prévalait sur l’hypothèse de l’évolution. à Le créationnisme a prévalu pdt des centaines d’années. Selon celui-ci, le monde = fixe, immuable.

Carl VON LINNE 1707 – 1778. Botaniste suédois. Systema naturae (1735 – 1758) Créateur de la classification binominale, qui donne un nom de genre et d’espèce. à Chgmt implicite de la conception des choses au 19ème. è Implicitement, il a rapproché les êtres qui se ressemblent : l’Homo Sapiens figure près des singes (Simiens – Homo). Aujourd’hui, cette classification est universelle et est exprimée en latin.

Georges-Louis Leclerc de BUFFON 1707 – 1788. Directeur des Jardins du Roy. Histoire Naturelle générale et particulière Il a décrit bcp d’animaux et se rend compte qu’il existe des espèces disparues. Il osera dire que l’homme est peut-ê plus ancien que ce qu’en dit la Genèse, ce qui l’oblige à quitter Paris. « On peut le tenir pour le dernier des hommes pcqu’à l’exception de l’âme, il ne lui manque rien de ce que nous avons et pcqu’il diffère moins de l’homme qu’il ne diffère des autres animaux auxquels on a donné le même nom de singe. » è Prescience de l’évolution.

Jean-Baptiste LAMARCK 1744 – 1829. Histoire des animaux sans vertèbres ; Philosophie zoologique Durant le 19ème, les idées d’évolution = acceptées. è Père du transformisme, avant DARWIN. Il imagine que les organismes se transforment sous l’effet de l’environnement et que les caractères acquis par un individu peuvent ê transmis à leur descendants. à Hérédité des caractères acquis. à Evolution par l’usage et le non usage. Théories du vitalisme et du finalisme ; mû par une force vitale, l’animal cherche de nveaux buts. « Le besoin crée l’organe, l’usage le fortifie et l’accroît. Les caractères acquis sous l’action du milieu sont transmis. »

Georges CUVIER 1769 – 1832. Anatomiste, ancien directeur du musée d’Histoire Naturel de Paris. Discours sur les révolutions de la surface du globe ; Mémoire sur les ossements fossiles è Loi des corrélations permettant la reconstitution des espèces disparues : il était un spécialiste de la reconstitution des espèces, notamment perdues. Cependant, CUVIER était : a) Fixiste, càd >< à l’idée de l’évolution. b) Créationniste, càd que homme = fruit d’une intervention divine. c) Catastrophiste, càd qu’il acceptait l’idée des catastrophes naturelles (volcans), qui se sont étendues à la Terre et ont enfoui les fossiles, mais explique la résurgence du vivant par l’intervention divine. Il s’oppose donc à : Ø LAMARCK pour le transformisme. Ø SHMERLING pour l’homme fossile.

À ce moment (début 19ème), les progrès de la géologie et de l’étude des fossiles montrent qu’aux ≠ âges de la Terre se sont succédées des faunes ≠.

Charles DARWIN 1802 – 1882. Transformation et évolution par variation et sélection :

Sur l’origine des espèces par voie de sélection naturelle. Sur l’origine des espèces par voie de sélection sexuelle. Durant son voyage du Beagle autour du monde (1831 – 1836), DARWIN se rend aux îles Galápagos. è Sélection artificielle (éleveurs) ; l’homme sélectionne des formes qui l’intéressent pour créer ce qui l’intéresse. >< è Sélection naturelle ; la pression de sélection de l’environnement favorise certaines formes en leur permettant de se reproduire. à C’est un ensemble de facteurs de l’environnement qui crée cette pression de sélection. Cette pression favorise l’expansion de certaines espèces. ! Ici, naturel car implique toute une série de facteurs de l’environnement. Exemple : • La phalène du bouleau, qui s’éclaircit/s’assombrit selon le milieu où elle se trouve. • La pression de prédation.

L’origine de l’Homme L’expression des émotions chez l’animal et chez l’Homme « L’homme a une structure extrêmement voisine de celle des grands singes ; il a donc avec eux une parenté réelle ; il descend de l’un d’entre eux. » En 1871, en se basant sur l’anatomie composée des uns et des autres, prenant comme point de départ l’anatomie des Pongidés, il imagine l’ê situé à la base du rameau conduisant aux Hominidés, juste après la séparation d’avec celui conduisant des grands singes. è La station debout serait esquissée, la bipédie resterait imparfaite. è Crâne et cerveau, encore simiesques et imparfaits, manifesteraient les 1ers indices d’évolution vers une humanisation (capacité crânienne). Il sera soutenu par certains anatomistes dans sa théorie. « Un peu d’animal dans l’homme, un peu d’homme dans l’animal. » Existence de similitudes entre hommes et animaux ; continuité (rupture) entre les 2. è Père de la théorie de l’évolution et de la psychologie comparée.

Philippe-Charles SCHMERLING 1791 – 1836. Médecin autrichien, né à DELFT (P-B) Diplômé à Liège, où il fut professeur à l’Université en 1835. è Fondateur de la paléontologie humaine

SCHMERLING postule l’idée que certains humains ont connu des animaux qui n’existent plus. Il est le 1er à avoir découvert l’homme de Neandertal. è Essor de la paléontologie humaine et de l’archéologie.

Ernst HAECKEL 1834 – 1919.

Il ira dans le même sens que DARWIN (voir + haut). Il imagine le chaînon manquant entre le singe et l’homme : • • •

La station debout et la bipédie = acquises. Le cerveau et le crâne, encore primitifs, auraient un développement intermédiaire. Le langage articulé car le développement consécutif du cerveau/crâne = insuffisant.

Cet être = Pithecanthropus Alalus : Ø Pithecos = singe. Ø Anthropos = homme. Ø Alalus = privé de la parole.

Accélération et accumulation des découvertes d’ossements humains fossiles et d’outils associés Quels faits utilisent les chercheurs pour démontrer l’exactitude de leurs théories ? Les outils. Au début, on croyait que ceux-ci était des artéfacts. Cependant, on s’est vite rendu compte que cela provenait d’autres hommes.

1856 : la calotte de Neandertal (Rhénanie). Capacité crânienne = 1600 cm³. Polémique sur son ancienneté ; Ø Certains la nient. Ø D’autres y croient (HUXLEY). è KING tranche et reconnait l’espèce nvelle Homo neanderthalensis, notamment suite à la découverte (Spy) de crânes similaires, avec les mêmes caractéristiques : • Capacité crânienne très importante. • Crâne allongé à l’arrière. • Fortes arcades sourcilières. 1865 : la mâchoire de Naulette (Dinant), associée à des ossements d’animaux disparus (renne, mammouth, rhinocéros laineux). De facture humaine mais sans menton, c’est le 1er argument en faveur des darwiniens. 1868 : sépulture de 5 squelettes du type Cro-Magnon en Dordogne (France). 1887 : des Liégeois découvrent 2 squelettes dans la grotte de Spy. FRAIPONT les assimile à Homo neanderthalensis. Fin de la polémique sur le caractère pathologique des objets découverts. Il est possible de dater l’ancienneté de ces ossements car la géologie avait évolué. è L’ancienneté de l’homme = dizaines de milliers d’années.

Thomas HXUELY se sent encouragé à promouvoir l’étude de l’anatomie comparée des grands singes et de l’homme.

Les confirmations Eugène DUBOIS (1858 – 1940). Il mène une expédition sur l’île de Java où il trouvera, en 1891, ce que HAECKEL avait imaginé : • Des ossements humains et des fragments de bassins attestant de la maîtrise de la station debout et de la bipédie (fémur, trou occipital). • Une calotte crânienne primitive, simiesque, attestant du retard du développement du crâne : - Capacité crânienne = 800, 900 cm³ (non trouvée chez les singes). - Front fuyant. - Arcades sourcilières marquées. - Dentition caractéristiques d’un ancêtre humain en forme parabolique. - Mention. è Pithecantropus Erectus = l’homme-singe debout.

Ce stade de l’évolution humaine = confirmé par les découvertes de Chine du Sinanthrope de Pékin, associé à des outils façonnés et à des traces de feu. Ces faits et la ressemblance de 2 types conduisent à les admettre dans la communauté du genre humain sous le nom d’Homo erectus. Homme debout avec des caractères ancestraux, des capacités crâniennes inférieures. è L’origine de l’homme = reportée à des centaines de milliers d’années.

Raymond DART (1893 – 1988). En 1924, il découvre un petit crâne d’un enfant de 6 ans. Il s’agit de l’enfant de Taung, le spécimen de la nvelle espèce Australopithecus Africanus, classé dans la famille intermédiaire nvelle des Homo-Simidés : Ø Prognathe (mâchoire en avant). Ø Dentition d’hominidé (parabolique). Ø Forme bipède imparfaite. Ø Petite capacité crânienne. Ø Menton. Il se situe à la base du rameau conduisant aux Hominidés, confirmant la reconstitution imaginée par DARWIN. è L’origine de l’homme = remontée à des dizaines de millions d’années.

En 2001, un crâne, surnommé Toumaï, a été découverte au Tchad. Il est estimé à - 7 MA. Caractéristiques : • Prognathe. • Capacité crânienne ; 350 cm³. • Front très fuyant. • Bourrelets sus-orbitaires très marqués. • Possédant une canine proche des chimpanzés mais pas identique.

Les capacités crâniennes ? • •

Homme moderne : 1400, 1500 cm³ Moyenne chez les gorilles : 600 cm³

Les méthodes de la paléon paléontologie. tologie. Les méthodes de dat datation ation rela relative. tive. Parmi les méthodes de datation relative : Ø Ø Ø Ø Ø

La paléoclimatologie (= étude des climats passés et de leurs variations). La pédologie (= étude scientifique du sol). L’études des faunes et flore associées. Le développement des civilisations de la pierre. La palynologie.

LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES, LA PALÉOCLIMATOLOGIE ? è Les glaciations (= élément de l’environnement majeur concernant l’homme). Dans les temps passés ; alternance de climats glacés et climats chauds. à La calotte glaciaire du nord évolue au cours du temps (périodes glaciaires avec variations climatiques), ce qui a eu des impacts sur l’évolution de l’homme. •

Climat froid, sec : considérable extension des glaciers. à Une /!\ masse d’eau a été immobilisée dans ces glaciers. à Le niveau des mers ↓ et les rivages se sont éloignés, ce qui permet aux hommes de se déplacer + loin et + facilement.



Climat chaud, humide : fonte des glaces. à Le niveau des mers ↑ et les rivages se sont rapprochés. Cela a laissé des traces sur le sol (moraines).

Moraine : -

Abandon devant le front d’extension maximum des glaciers d’accumulations de roches et de cailloux. Amas formé par des débris de roches entraînés par un glacier.

Les glaciations alternent phases de refroidissement et de réchauffement avec l’avancement ou non de fronts glaciers. Ces variations climatiques détermineront la faune et la flore qui lui sont associées.

FAUNES ET FLORES ASSOCIÉ ASSOCIÉES ES ? è Transformation progressive de la faune et de la flore. La Terre a jadis été peuplée d’espèces d’animaux, aujourd’hui disparues. Puisque l’extinction n’a pas affecté en même temps tous les éléments de la faune, il est possible de caractériser et d’identifier chaque époque par certaines associations représentatives d’animaux.

Dans les processus sédimentaires, durant des millions d’années, les cadavres d’animaux morts se succèdent et s’accumulent dans le fond des océans. à Les + anciens se trouvent dans le fond, alors que les + récents se situent au-dessus. è 1er mode d’évaluation de datation relative, malgré l’estimation grossière.

Les fossiles repères ? Les références = petits organismes (unicellulaire, coraux, escargots, …), qui ont été abondants durant l’évolution et se sont transformés au cours du temps, permettant de reconstituer l’échelle complète. Exemple : des gisements ont été retrouvés dans le N-O de l’Ecosse et à Dorset. à La correspondance peut ê faite grâce aux couches.

! Se méfier des artéfacts qui peuvent intervenir ; il faut regrouper ≠ méthodes. è Marge d’erreur. À l’apparition des conifères, ceux-ci produisent de la résine dans laquelle des insectes se retrouvent embués.

La palynologie : La palynologie = l’étude des grains de pollen. Les grains = très spécifiques d’une espèce végétale. à Identification des grains de pollen associés aux fossiles. → En les analysant, il est possible de savoir à quel végétal ou site il appartient et de le dater. → En regardant quel grain en quelle abondance, ≠cier les forêts, des steppes, etc. à Reconstituer les paysages végétaux de ces époques en les situant par rapport aux périodes climatiques. è Cela permet de reconstituer l’environnement dans lequel l’homme a vécu.

INDUSTRIES LITHIQUES ASSOCI ASSOCIÉES ÉES ? è L’outillage, les représentations et les peintures. La découverte de cailloux taillés et travaillés, associés aux ossements humains et aux faunes disparues = important. à L’évolution de de l’outillage = intéressante pour comprendre l’évolution de l’homme car les techniques de taille, l’utilisation des matériaux, les produits finis correspondent à ≠ niveaux d’évolution de l’industrie lithique.

1er stade

2ème stade

3

ème

stade

4ème étape.

Galets aménagés. Àpd 2,5 millions d’années apparaît la Pebble Culture ; les hommes taillent quelques coups sur de la roche volcanique. à Galets aménagés, grossièrement façonnés par de larges éclats. è Peu de coups. Biface. L’homme voit son outillage s’améliorer. à Double symétrie gauche-droite et avant-arrière. Il travaille aussi le silex. Ce sont des armes et outils arrondis à une extrémité où s’assurer la prise de main, pointu de l’autre côté. But = dépecer, creuser, chasser, enlever l’écorce. è Quelques dizaines de coups. Éclats. Des morceaux de silex sont arrachés de leur pierre d’origine. Cet éclat sera retravaillé pour donner un outil + performant. à La taille = + fine et la retouche, + précise. Outils : racloirs, perçoirs, pointes, lames retouchées en couteaux. è Quelques centaines de coups. Industrie laminaire. Les hommes font sauter des blocs, dont les éclats seront retravaillés afin de devenir très pointus, très coupants. Industrie très fine, tirant profit de la matière 1ère. Outils : lames, lamelles, pointes pour flèches et sagaies, burins, poinçons.

è Bcp plus de coups. è Suite aux nbe de coups portés à la pierre, il est possible de voir à quel point le cerveau de l’homme évolue, notamment en remarquant la manière dont il anticipe les choses. L’homme de Cro-Magnon s’intéresse aussi à l’ivoire, aux os, … Il y a bcp de représentations, symboles, statuettes : Ø De la fécondit...


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