Chapitre 2 : Adam Smith PDF

Title Chapitre 2 : Adam Smith
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Course Histoire de la pensée économique
Institution Université Paris Nanterre
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Chapitre 2 : Adam Smith I. La division du travail, productivité du travail et richesse des nations Enrichissement des nations : – développement économique – croissance du PIB Contexte de la Révolution industrielle. Enrichissement pas globalement partagé. Phénomène inédit de décollage. Facteur essentiel richesse des nations pour Smith : « Les plus grandes améliorations de la puissance productive du travail (…) sont dues (…) à la division du travail » Puissance productive du travail = efficacité productive du travail, ajdhui correspond à la productivité. Ici ref à la productivité moyenne. Quand on divise le travail, on fait augmenter cette productivité moyenne du travail. Si L est constant comme Q/L augmente, veut dire que Q augmente → enrichissement SI Q constant comme Q/L augmente, veut dire que L diminue Avec Q/L augmente, deux phénomènes, pour une part Q augmente et d'autre part L diminue. Révolution industrielle : forte productivité qui a donné lieu à la fois à l'enrichissement des nations mais aussi diminution qté travail. Ce que produit directement division du travail = un accroissement de la productivité, qui produit une augmentation du produit. Division du travail → gains de pté (L) → richesse des nations A. Division du travail, productivité du travail et richesse des nations (chap1) Pour comprendre ce phénomène d'ensemble, on peut s'intérésser à ce qu'il se passe dans une petite manufacture (manufacture d'épingles). A. Smith compare deux scénarios organisationnels. Sur base même qté de travail : – sans division du travail, chaque travailleur produit une épingle du premier au dernier stade de production. Dans cette situation, chacun pas spécialisé sur un stade productif, il manque d'habitude pour chaque opération particulière. – Avec division du travail, idée : on décompose la production en plusieurs opérations et sur cette base, un travailleur donné se consacre à une (ou quelques unes) de ces opérations. Dans cette manufacture, il en distingue 18 opérations. Comparaison des méthodes organisation de la production (méthode de statique comparative) Conclusion : à masse de travailleurs constants → production plus importante que sans division du travail. Quand on sépare les emplois et les métiers, on obtient une plus grande puissance productive. En perfectionnant et développant cette séparation des tâches que l'on va dvlper la société et richesse

des nations. 3 arguments sur la base desquelles division du travail fait richesse des nations via pté : – en divisant le travail on obtient « un accroissement d'habileté chez chaque ouvrier individuellement » Avec spécialisation tâche, à force de la répéter, on la fait de façon de plus en plus économique, acquisition d'une plus grande habileté. – « l'épargne du temps qui se perd ordinairement quand on passe d'une espèce d'ouvrage à une autre » – « l'invention d'un grand nombre de machines qui facilite et abrège le travail et qui permet à un homme de remplir la tâche de plusieurs », on peut l'entendre deux façons : – individu concentré sur un tâche, il devient spécialiste, ce qui peut lui donne idées d'innovations, peut être à la base de dvlpt nvelles méthodes – diviser le travail, idée qu'elle va amener création d'un corps spécial de travailleurs : les savants dont métier va constituer à inventer des nouvelles machines. Pas spécialisés sur tâches de réalisation mais de conception (cf taylorisme). La division du travail est celle à l'origine d'une opulence générale, la multiplication de la production de marchandises est liée à une meilleure pté du travail. Effets division du travail contrebalancés par certains effets pervers, liés notamment au caractère lassent, abêtissant de la répétition de la même tâche. L'émerveillement de Smith face aux effets formidables de la division du travail rend possible idée que le dvlpt économique opérée par division du travail peut vaincre la rareté des ressources (vu comme condition indépassable par Hobbes). Grâce amélioration pté suite divitions du travail permet horizon d'une industrie qui permet abondance. Rq : Marx reconnaissait au moins deux bons côtés au capitalisme : pour une certaine classe idée d'une liberté + système qui permet abondance. Quesnay, la physiocratie Influencé par poids agriculture dans éco française → idée richesse ne vient que de l'agriculture. Toute richesse, toute valeur grâce à agriculture, productivité exclusive de l'agriculture. Smith pose une autre évidence : la productivité du travail. Tour de force réalisé au début de la Richesse des Nations : mise en évidence rôle de la productivité travail en montrant qu'avec une même force de travail si j'organise bien ma production je vais pouvoir obtenir augmentation importante de ma production. Division du travail, marché national aussi, pas seulement intra-firmes : – division ville (industrie) / campagne (blé) – division artisanale du travail : spécialisation dans une production (et non seulement une étape du processus de production)→ échange général de tous les surplus Division internationale du travail, Smith propose aussi que les nations se spécialisent. On a donc plusieurs échelles : – division du travail intrafirme – division du travail dans le marché national



division internationale du travail

Selon Marx : division travail intrafirme ne fonctionne pas même manière qu'au niveau national ou international. Ce qui régule division travail niveau national et international, c'est le marché, Marx va l'appeler la « division sociale du travail » ou la « division marchande du travail ». Division du travail intrafirme : on est plus dans le marché (régulation par les prix) mais dans l'organisation avec . Marx parle alors de division technique du travail. La régulation de la division du travail dans l'entreprise ne fonctionne pas sur même mode que régulation division du travail au niveau national ou international. Ce sont des règles qui régulent la division du travail dans l'entreprise, ce ne sont pas les prix. Alors que ce sont qui régulent la division nationale ou internationale du travail. 3 niveaux – division intrafirme (niveau le plus micro) – division sociale du travail au niveau marché national – division sociale du travail au niveau marché internationale Attention les expressions « sociale » et « technique » on ne les trouve pas !!! Idée d'une cesure entre ce qu'on appelerait ajdhui théorie de la croissance et de l'autre la théorie de la valeur. Hypothèses faites sur les rendements différentes dans les deux cas : – dans théorie de la croissance, comme on le trouve nota chez Smith, on fait une hypothèse de rendements croissants : plus on se spécialise sur une certaine tâche et meilleure on devient et donc plus d'efficacité. – dans théorie de la valeur : rendements croissants exclus. Rendements non croissants (= constants ou décroissants) B. Origine de la division du travail (chap2) Idée : peut y avoir pb désajustement entre les biens et les hommes selon Hume : ce dont je suis propriétaire pas forcement ce qui me satisfait. Un échange va donc se dérouler. Cette liaison échange et division du travail se fait de la façon suivante : si on divise le travail, ce n'est pas l'effet de la raison. C'est car nous avons un goût pour l'échange, existence d'une tendance, un penchant pour l'échange. Etres humains faits pour échanger. C'est cette tendance à l'échange qui amène les humains à diviser le travail. Ce penchant est-il inné ou dû à l'usage de la raison et du discours ? Pour A.Smith ça n'est pas la question, tout ce dont nous avons besoin de savoir c'est l'existence de ce penchant à l'échange. Animaux : êtres complets à la différence des individus car ceux-ci sont interdépendants et c'est ce qui permet aux groupes sociaux êtres plus efficaces. On retient de Smith qu'il a posé le principe d'intérêt individuel. Pas contradiction propension à l'échange et fait de suivre son intérêt individuel.

Modalité d'apparition de cette division du travail : au début ce qui peut amener un individu à se spécialiser : un peu plus d'efficacité puis approfondissement, learning by doing. Cette masse commune de biens créés se partagent ensuite entre les individus. C. Division du travail et étendue du marché (chap3) A. Smith nous a dit que la division du travail issue de la faculté à échanger, donc l'accroissement de la division du travail limitée par la taille de la cause c'est-à-dire la taille du marché. Dvlpt transports maritimes importe car grâce à lui chaque type d'activité peut se dvlper plus loin. Transportes maritimes permet de raccourcir les distances, facilite l'activité économique et le progrès de la division du travail. Quand on a deux espaces économiques qui s'ouvrent l'un à l'autre, en pratiquant le commerce, ils encouragent vivement leurs industries respectives. (cf achèvement de la division du travail chez Smith c'est l'idée d'une division internationale du travail) Remarque : cette idée que quand marché étendu permet l'écoulement d'une plus grande production, écho avec théorie croissance endogène: explication croissance pour une bonne part par rendements échelles croissants, or cette idée rendements échelles croissants possible que quand marché large, avec une demande suffisante pour absorber le vol important de marchandises créées. D. Division du travail et usage de la monnaie (chap4) Une fois que la division du travail établie, un individu satisfait ces besoins seulement pour une très faible part via consommation d'une partie de sa production. Quand division du travail dvlpée, individu va trouver moyens subsistance dans échange surplus de production. Chaque homme devient un travailleur spécialisé, individu plongé dans participation à l'échange. « L'homme devenant marchand, la société devient commerçante » Pour que la DT puisse correctement s'instaurer il faut que l'échange ne connaisse pas de difficultés. Echange doit être fluide, intéressant de recourir instrument universel du commerce : la monnaie. Introduction monnaie pas comme réserve de valeur mais comme instrument de transaction. Si on échange sans monnaie, on est dans le troc et il peut facilement donner lieu à un blocage de l'échange car donne lieu à la : si je suis en troc pour qu'un échange se fasse il faut que je veuille ce que tu as et il faut que veuilles ce que j'ai. En économie monétaire cette double coïncidence des besoins est une condition qui tombe. Intérêt monétarisation de l'économie : . A Smith nous dit que la monnaie c'est intéressant comme intermédiaire des échanges. (Pour que cela fonctionne cette monnaie doit aussi être communément acceptée) La conception de la monnaie ici mise en évidence par Smith : assez commune chez les économistes → conception fonctionnelle ou instrumentale : la monnaie c'est bien car c'est utile, ça sert, ça a une fonction. Monnaie n'est pas présentée comme une nécessité structurelle.

Question de la valeur, distinction : – valeur d'usage – valeur d'échange Distinction déjà présente chez Aristote. Elle est cruciale car en théorie de la valeur, l'objet essentiel = expliquer la formation des valeurs d'échanges. A cet égard on a une première disjonction : ceux qui vont considérer que la valeur d'échange quant à sa grandeur est indépendante de sa valeur d'usage (cf position de Smith) : le prix n'est pas fondé sur la valeur d'usage mais sur conditions de production. Autre théorie, celle : valeur d'échange (donc px de marché) fondé sur la valeur d'usage, l'utilité de la marchandise contribue à déterminer le prix. Le paradoxe de l'eau et du diamant permet appuyer idée formation valeur d'échange ne doit pas être appuyé sur considérations propres à l'utilité ou valeur d'usage. Cf eau → faible valeur d'échange mais forte valeur d'utilité diamant → faible valeur d'usage mais grande valeur d'échange. Il s'intéresse à la mesure de la valeur d'échange : le prix réel des marchandises (donc en travail et non en argent). Puis (chap 6), il annonce qu'il va décomposer ce prix réel des amrchandises en un taux de salaire, taux de profit et taux de rente. Enfin (chap 7), Smith évoque écarts possibles entre prix naturels (taux moyens salaire etc) et prix courants (celui qui prévaut sur le marché, demande etc) II. Théorie de la valeur, classes sociales et revenu (regroupement des chap 5 à 7) A. Prix réel et prix nominal (chap5) Ce qui compte dans une économie = les prix réels c'est-à-dire les prix relatifs et même plus spécifiquement encore comme théorie de la valeur chez classiques théorie valeur travail, prix réels associés à la quantité de travail. Prix réel : en travail Prix nominal : en argent La richesse économique tient à la quantité de travail que l'on peut commander c'est-à-dire que l'on peut acheter. Pas seulement richesse économique qui tient à cette qté de travail, mais tout simplement la valeur. Valeur échangeable d'une denrée (ou valeur d'échange d'une denrée): qté de travail d'autrui que cette denrée peut permettre à l'individu d'acheter. Théorie de la valeur c'est-à-dire que l'on met monnaie de côté ce qui compte ce sont les biens (position classiques et néo-classiques) Chez Smith : théorie de la valeur travail (classiques : Smith, Ricardo, Marx) et spécifiquement chez Smith théorie de la valeur travail commandée (à la différence Ricardo ou Marx : théorie de la valeur travail incorporée : qté de travail qui a été nécessaire à sa production, valeur intrinsèque à la marchandise).

Ce qui fait valeur d'échange d'une marchandise = le travail commandée. Prix réel : travail ou

que l'on doit s'imposer pour obtenir cette chose

Smith discute une affirmation de Hobbes : « ». Smith critique ou du moins limite cette affirmation : le travail commandée en effet un pouvoir, mais pas un pouvoir pol ou militaire comme chez Hobbes (pouvoir de le voler, ou tuer l'autre), le travail commandé est un pouvoir économique et la teneur de ce pouvoir éco c'est le fait que ce pouvoir me permet de m'épargner le travail en l'imposant à autrui. La richesse entendue économiquement, fait de pouvoir s'économiser de la peine. Ce que Smith nous propose : un double mouvement de dévoilement. Si on regarde échanges sur un marché on voit échanges monétaires, il faut faire un effort intellectuel et derrière ces échanges de monnaie il faut d'abord voir échanges de troc. Monnaie ne sert qu'à fluidifier les échanges. Au-delà derrière les échanges de troc il faut voir les échanges de travail producteurs. Pour comparaison valeur dans espace et le temps : il faut en venir au travail. Smith finit ce chapitre par une polémique qu'il dvlpe contre les mercantilistes. Intéressante théoriquement : critiquer mercantilistes permet appuyer sa théorie de la valeur. S'appuyer sur objectivité des biens c'est mettre de côté une autre forme objectivité dans économie : la monnaie. Critique contre mercantilistes : critiques contre approches économiques qui se basent sur monnaie, il faut aller au-delà de la monnaie selon lui. Mercantilistes ont un point de vue trop vulgaire et phénoménologique, ils confondent la richesse avec son expression monétaire car selon Smith richesse n'est pas une quantité d'argent. Sa théorie de la valeur → fondée sur marchandises, il faut aller au-delà des phénomènes monétaires. Ce qui est intéressant par rapport critique système mercantile : il construit son ennemi, il regroupe sous même étiquette de mercantiliste des auteurs très différents. C'est dans sa critique qu'il construit ce courant d'analyse économique, car il ne s'agissait pas d'un courant de pensée très structuré. Une difficulté : en mettant monnaie de côté et en disant derrière monnaie il faut voir les rapports économiques, il va falloir plus loin après avoir édifier théorie réintégrer la monnaie pour montrer qu'elle est neutre, car si on l'a mise de côté c'est qu'elle n'influe pas. Pour réintégrer monnaie → neutralité de la monnaie. Smith rencontre là des difficultés comme Ricardo, Marx, néo-classiques etc. B. Les parties constituantes du prix des marchandises (chap6) Grandeur valeur d'échange 2 types de société Ce qui caractérise cet état social informe ou rude et primitif, c'est le fait que ici on a des travailleurs qui sont presque indépendants, économie artisanale.Tous les produits du travail reviennent aux travailleurs. Smith considère que par hasard, dans la nature : rencontre entre un chasseur de daims et un chasseur de castors. Chasseur de daim a réussi à en attraper 2, chasseur de castor dans même journée de travail a réussi à tuer 1 castor. Pour Smith, s'ils se rencontrent, l'échange va se faire à 2 daims pour 1 castor, mais ce prix réel

(relatif) repose fondamentalement sur une équivalence cet échange repose sur la journée de travail de l'un contre la journée de travail de l'autre. Dans cette économie pré-capitaliste, travail commandée ou travail incorporée revient un peu au même, mais devient différent dans l'état social avancé. État social avancé (chez Marx = mode de production capitaliste), il est d'abord caractérisé par émergence d'un groupe social particulier que l'on va appeler les capitalistes et la fonction économique de ces capitalistes : le fait d'avancer les subsistances et matériaux. Smith dit que la théorie de la valeur travail incorporée ne vaut plus dans cet état société, la seule qui reste pertinente est la théorie de la valeur travail commandée. Ce qui vient définir nouveau stade économique, ou nouveau modèle de société économique : apparition groupe particulier les capitalistes venant avancer les salaires et matières du travail. De la façon la plus claire, Smith ici vient catégoriquement distinguer les concepts de salaires et de profits (nouveauté importante et reprise) : Deuxième point introduit par Smith : fait que cet état avancé, ne se caractérise pas seulement par apparition des capitalistes : il faut prendre en compte un troisième groupe : propriétaires fonciers, cet état avancé se caractérise aussi par une appropriation des terres. Rente devient une troisième catégorie de revenu : ce qu'exige le propriétaire de la terre en contrepartie de l'usage ou de l'utilisation de la dite terre. P=w+ π+r C. Prix naturels et prix de marché (chap 7) « Du prix naturel des marchandises et de leur prix du marché » Chez les classiques plusieurs prix, pas seulement prix du marché qui correspondent aux prix courants qu'on voit le jour le jour, il y a aussi des prix naturels selon Smith notamment. Prix naturels : prix qui correspondent au taux normal, ordinaire, prix moyen en des circonstances ordinaires. PM = prix de marché PN = prix naturel QO = qté offerte par les producteurs QDE = demande effective (en volume) (en pensant que le prix qui va prévaloir est le prix naturel) Effectual demand (différent de effective demand, demande effective chez Keynes) chez Smith, c'est par opposition à la demande absolue. qqchose que je voudrais bien dans l'absolu, qqn rêve d'être propriétaire d'un carrosse. Mais selon Smith si individu n'a pas argent pour acheter ce carosse, alors cette demande ne compte pas.

Le prix de marché : prix qui se forme au marché, est le rapport entre au numérateur une valeur, un PA, une qté d'achat égale au prix naturel multiplié par la demande effective et au dénominateur la qté offerte. IDEE : du côté demande, arrivent avec de l'argent et qté argent qu'ils injectent : qté qu'ils voudraient

multiplié par le prix, ce sont les dépenses prévues et rendues effectives en quelque sorte. On a donc au numérateur données en valeur Dénominateur : qté de biens en volume PM = (PN x QDE) / QO Transactions vont se faire à un prix de marché qui n'est pas nécessairement le prix naturel et à cet égard cette règle de formation des prix (ou « règle de Smith »), elle nous détermine une formation particulière du prix différente de la règle vue en micro (théorie néoclassique). Règle de Smith ; le prix de marché se forme comme le rapport de la demande en valeur sur offre en volume Ce qui va se passer : processus de convergence, Smith l'appelle processus de « gravitation » : les prix de marché vont graviter autour de leur prix naturel. Si grâce libre concurrence ce processus aboutit, on va avoir ajustement des quantités offertes et demandées, qui vont être donc égales → on arrive à l'équilibre. (Ici, on peut donc concevoir déséquilibres avec idée de prix différents, ce qui n'est pas concevable chez néo-classiques ) Le processus d'ajustement et de convergence : On...


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