Conference macro rattrapages PDF

Title Conference macro rattrapages
Author Marie de Longueau
Course Mise À Niveau Macroéconomie
Institution Université Paris Dauphine
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2015.09.23 Macroéconomie Epistémologie : philosophie des sciences c'est à dire l’étude des conditions dans lesquelles sont produites les connaissances scientifiques. Economie se présente comme une méthode scientifique. Popper a deux critères décisifs : produire des théories à partir d’un raisonnement hypothético-déductif, de la même manière que dans les sciences de la nature (autre manière possible l’observation, permet la réalité). Kuhn dit que l’observation si elle ne se base pas sur une théorie préexistante, n’aboutit pas sur un paradigme. La méthode inductive ne fonctionne généralement pas. Ex : notion de chômage est construite par l’observateur : différents types de chômeurs. Il faut donc poser un raisonnement, puis le confronter avec des données empiriques. 2 ème critère : la confrontation au donné empirique (qui se guide sur l’expérience) : réfutationnisme : ex : un cygne noir en dit plus que mille cygnes blancs : même si les 1000 premiers sont blancs impossible d’affirmer qu’ils sont tous blancs, alors que premier noir : théorie réfutée. On ne vérifie pas une théorie, on s’assure simplement qu’elle ne pourra être réfutée. Observation difficile à faire : les gens changent de comportement rapidement. En plus très dur d’expérimenter : si salaire augmente, ou vont placer cet argent les gens ? impossible de vérifier sans donner cette somme : expérience impossible. Les seuls possibles sont des expériences naturelles (les réalistes s’apparentent au fait expérimental). Ex : peu dans les classes, Piqueti montre que les notes vont augmenter. Dur de lire la science, donc les seuls à pouvoir en juger sont les scientifiques eux mêmes. Cela créer une division au sein des économistes. Caractéristiques contradictoires de l’éco (science pluriel)

I – Un exemple de conflit scientifique : faut il mener des politiques de relance en Europe ? Politique de relance : insuffisance de croissance, injection de capital dans les entreprises avec l’argent de l’état, donc plus d’emploi et ainsi plus de croissance. Trois solutions différentes :  Politique de l’offre, vise à améliorer la situation des entreprises, si cela qui bride la croissance. Prélever donc moins d’impôts pour soulager les entreprises.  Politique de demande : partir de l’idée que le problème n’est pas le manque de production d’entreprise, mais bel et bien le manque de conso : offrir plus de pouvoir d’achat au client, pour permettre aux clients d’acheter et aux entreprises d’embaucher. Cela suppose accroitre le déficit budgétaire.  Ne rien faire : mécanismes du marché assureront seuls un retour à l’équilibre. L’état devrait donc ne pas agir, et laisser faire le mécanisme du marché. Ces 3 possibilités dépendent de l’observation. Or celles si sont parfois contradictoires : Artus « la France depuis longtemps à un problème d’offre » donc solution de politique de l’offre. Heuyer dit lui que la panne qui frappe la France est dû à une situation de manque de demande, qui est plus important que le problème d’offre. Derrière l’opposition entre problème offre et problème demande :

 1 ère vision : vision orthodoxe : réduction déficit entraine : augmentation de la confiance, baisse des taux d’intérêt : ces deux facteurs entrainent augmentation des investissements et donc de la croissance. Il faut donc réduire le déficit budgétaire.  2 ème vision : Vision keynésienne : Augmentation du déficit budgétaire, augmente conditions de vie : permet la croissance, donc croissance qui entraine forcément des rentrées fiscales : et donc désendettement de l’état. Vision dite dynamique, nécessaire de l’accroitre pour le réduire. On a donc des désaccords théoriques, dans différents contextes, l’un est forcément plus correcte que l’autre. Ici paramètre important multiplicateur budgétaire : k = taux de variation de la production/ taux de variation du solde budgétaire. Alors combien vaut k ? Le FMI tente de pré visionner ces chiffres : en règle générale k a une valeur de -0,5%, donc si volonté de déficit budgétaire alors baisse des rentrées fiscales. Supposons que les rentrées varient comme le PIB. Deux effets contraires : réduit le déficit de 1 pt, en réduisant la croissance on réduit la rentrée fiscale. Croissance baisse, également rentrée fiscale qui baisse : donc perte de 0,25 pt. Or si le déficit budgétaire baisse, alors confiance augmente etc. En Europe, politique de relance avec augmentation du déficit budgétaire, or se rende compte que c’est mauvais : donc volonté de réduire le déficit budgétaire. Blanchard a dit en 2013, lors d’une crise financière, les entreprises ne peuvent accéder au crédit des banques. Donc en temps de pénurie financière l’état doit être capable d’intervenir, donc le multiplicateur n’aurait pas la même valeur. Donc d’autres enchainements sont caractéristiques : par ex ménage et entreprise face à la crise, privilégie le désendettement : effondrement de la demande. Donc FMI a volonté de retravailler son k. Face aux données k est estimé à -1,5%. Donc la valeur du multiplicateur n’est pas constante. Donc si k=-1,5, alors baisse de croissance de 1,5 pt, mais aussi moins de rentrée fiscale. Donc augmentation de seulement 0,25%. Donc la politique d’austérité serait considérablement couteuse. L’austérité doit donc être mesurée pour pouvoir soutenir les entreprises. Les théories ne sont pas vraies ou fausses, elles dépendent beaucoup des facteurs extérieurs. Ici il est nécessaire de considérer le cas de la crise financière. Conflit perdure car les différents facteurs ne sont jamais analysés de la même manière.

II- Les limites d’une science sociale Qu’est ce que le travail d’un économiste ? déterminer les facteurs essentiels (théoriciens). Eclairer l’avenir (prévisionnistes), ils collaborent afin d’exercer leur but. Mais y’a une marge entre le travail académique, et le travail du prévisionniste. Agir sur le réel (« conseillers du prince »), conseil le premier ministre (analyse économique). Pourquoi l’économie est elle donc si souvent dans une situation de conflit ?  Des représentations différentes de l’économie, planifier une économie : estimer la valeur de milliards de paramètres. Il faut donc simplifier. Simplifier consiste à dégager les traits les plus importants, mais également trouver le bon degré de simplification « ce qui est simple est faux, ce qui est compliqué est impossible ». Si trop simplifier alors c’est abstrait, toujours valable et partout mais leur haut degré d’abstraction sont relativement éloignés de la réalité. Paul Renner « l’enjeu n’est pas de parvenir à un consensus sur un modèle exact, mais de déterminer quel modèle

s’applique le mieux à un cadre donné ». La pluralité des modèles est inévitable, du fait de la multiplication des facteurs, et la simplification entraine différent modèle. Ex : forme des courbes de cout : plus l’on produit, plus le cout de production est cher. Or d’après des études, plus l’on produit plus la production est moins chère. Théorie des couts croissants : très important, pour équilibrer. Relation entre deux variables, valeur des paramètres quasi jamais constante, existe aucune constante. Il faut être capable d’interpréter les manières d’interpréter de chacun : mêmes infos pas toujours les mêmes effets ce qui est important c’est l’interprétation de chaque analyste. Eco discipline particulièrement complexe avec les différents facteurs. Rôle des institutions : puisque les institutions sont différentes (entreprise), alors leur réaction seront très différentes. (Entre start up ou FTN). Si on se base sur les institutions alors les explications sont claires mais difficile de prévoir quelque chose. Sans institution théorie très abstraite, faible valeur explicative.  Dur de produire des résultats de portée générale, résultat à chaque fois provisoire. Il faut toujours relativiser en économie, du fait des différentes institutions. Donc difficile de prévoir l’économie.

Macroéconomie 25.09.15 Pourquoi une protection sociale ? Introduction : Système des retraites des marins mis en place par Colbert au 17 ème, sécurité sociale mise en place en 1945, cela s’appelle le modèle social français. Today modèle bousculé, par difficulté économique et mondialisation. Protection sociale s’appuie sur la cotisation, correspond à des biens sophistiqués (santé), la santé est de plus en plus cher. Deuxième élément : la mondialisation, concurrence entre système de protection sociale différent, les moins développés donc les moins couteux, permettent à des entreprises d’avoir des couts moins élevé (car moins de cotisations), les pays sont donc incités à réduire leur protection sociale. Contexte relativement difficile. Cotisation sociale : prises-en charge collective d’un certain nombre de risque financiers (maladie, chômage, vieillesse etc.) dur de distinguer d’une notion connexe qui est le service public. Service public jugé essentiel qui peut ne pas être rendu sans une intervention des pouvoirs publics. Santé : service public + protection sociale. Certains services non inclus dans la protection sociale tel que l’éducation devrait faire partie de la protection sociale. Les services inclus différencient entre la capacité de prendre ses services, si le mécanisme du marché ne permet pas de prendre en charge une égalité pour tous alors mise en place d’une protection sociale. Aucune liste de la protection sociale, change entre chaque pays. On vit dans des économies de marché dans lesquels les biens et services sont produits par des entreprises privées. Ex : santé offre privée et offre public, complexe car les deux services sont proposés. Fourniture des médicaments fournis par privé mais pas libre du marché. Imbrication privée public, assez complexe. Pareil pour financement : santé sociale (sécu) ou bien mutuel, assurance privée. Dans le financement comme dans la production des services, imbrication. Santé sociale appelé économie mixte car mélange privé public, fixation des prix, entreprises tel que mutuel administré par représentation de l’adhérent : non objectif de profit. Combinaisons privé public est la même chose dans tous les pays. Ex : voir diapo. Système de protection sociale développée par les nouveaux pays riches, synonyme de pays du « nord ».

Ce choix de la protection sociale semble inévitable, pourquoi ?

I – Arguments en faveur de la protection sociale a) Présence d’externalité Action d’un agent économique qui ont un impact, positif ou négatif, sur un autre agent économique. Caractéristique qui fait que c’est une externalité : impact pas pris en compte dans les prix, ex : pollution, si une entreprise rejette produits chimiques ballec car aucun cout supplémentaire, c’est la collectivité qui va devoir amortir ces couts (dépolluer une rivière). Non intégrer dans les prix. Ces externalités perturbent les prix. Ex : en santé sociale : vaccin moins de chance d’être malade, moins de chance de transmettre. Analyse : 4j de salaire perdu/grippe, tant que prix vaccin < salaire. Vaccin évite de contaminer 4 personnes autour de moi, si elles perdent 4j de travail : 4 x 5 donc 20j gagné, l’avantage du vaccin > pour la collectivité. Externalité car ça ne rentre pas en compte dans le choix de la vaccination ou non. Solution subvention de la vaccination ainsi cout plus bas, donc prend en compte l’avantage de la collectivité, dans les deux cas implique l’intervention du pouvoir public. Subvention permet de prendre en compte les prix d’internaliser l’externalisation. Pauvreté des enfants et apprentissage, difficulté de nutrition, donc distribution petit déjeuner la collectivité effectue ça, impact sur le bénéfice collectif, car le rendement des cours sera meilleur. Assurance chômage et appariement, alloc de chômage les pousse à y rester, vrai mais elles sont calculées pour être moins élevés que le salaire (57% du salaire). Si on enlève chômage alors tu prends le premier emploi, donc pas forcément métier qui correspond, gaspillage du capital humain. Donc investissement de l’éducation inutile, gaspillage d’argent placé. Donc l’allocation chômage n’est pas si mal venue, permet de trouver un emploi adéquat : externalisation positive. b) Stabiliser la demande globale Keynes selon son idée dans un monde où règne l’incertitude existe la possibilité de sous emploi : période de chômage élevé. L’incertitude signifie que les décisions économiques en particulier celles qui engagent l’avenir sont difficilement basé sur le calcul. Ex : investir au brésil : dur d’estimer le marché qui est instable.

Importance de notion de risque et d’incertitude. Différence l’incertitude n’est pas probalisable, veux jouer à la roulette russe 1/6 au barillet, valeur du taux d’intérêt ? -> incertitude. Ancien président directeur général de General Electric dans son autobiographie il l’a appelé « straight from the gutts », avec les tripes. Quelque soit les modèles économiques etc toutes les décisions sont prises au feeling. A un certain moment le calcul ne nous permet pas de prendre une décision. On risque à tout instant que le pessimisme l’emporte : non investissement car vision mauvaise de l’avenir par les chefs. Très important donc de réduire l’incertitude, fournir une situation sure pour permettre investissement. Protection sociale permet de stabiliser la demande : maintenir les salaires en cas de crise : différence entre 29 et 08, quand le chômage explose salaires, emploi s’effondrent l’économie est ko en très peu de temps. Alors qu’en 08, les salaires permettent de maintenir conso (moins d’un % de pertes). Tout cela permis par la protection sociale. Permet de stabiliser la demande globale et donc rassure les entreprises qui investiront dans l’avenir. La protection sociale permet de stabiliser les entreprises et donc l’activité économique. Plus la demande s’effondre, plus le chômage augmente, donc injection de capital dans les allocs chômage, permet de limiter la chute de la demande. Et ainsi stabiliser la demande globale et permettre donc une relance de l’économie. Détérioration de la sécurité sociale, 14 milliards de plus dépensé lorsque la demande s’effondre, 14 milliards dépensé par les entreprises, donc évite la catastrophe. c) Existence de bien tutélaires Bien pour lequel il est indispensable de mettre l’individu sous la tutelle de l’état. Ex : « fumer tue » mais pas tout de suite : accorder une préférence au présent qui plus grand que sur l’avenir. D’un coté plaisir immédiat, risque qui pèse dans le temps trop faible.  Autorité au dessus des individus, permettrait de mettre en place une politique anti tabac. Pour le moment politique incitative. Politique pas trop violente car nécessité de liberté, l’état nous oblige à le prendre en compte. Etat nous oblige à cotiser pour nos retraites, individu incapable de s’assurer pour nos vieux jours. Donc assurance retraite/chômage sont nécessaires. Mécanismes rendu obligatoire car les individus ne sont pas suffisamment responsables. Existence de ce défaut : forte favorisation du présent, obligation de s’assurer.

Cette obligation favorise une certaine redistribution, bonne santé vers mauvaise santé, donc si aucune assurance obligatoire : alors en mauvaise santé paie beaucoup plus que les autres car les gens en bonne santé n’auront pas ou peu de raison à payer, incapacité à payer : meurt. Nécessité d’une autorité raisonnable et assurant la bonne et juste redistribution des biens. d) Présence d’asymétrie d’information Mécanisme de l’anti sélection Akerlof (prix Nobel d’économie en 2001) : analyse le marché des voitures d’occase, quand tu l’achètes, peu de précaution. Les acheteurs d’occase ne payent que pour une qualité moyenne, si on a une voiture d’occase « parfaite », jamais obtenir le prix qu’elle vaut. Tenter de la sortir du marché. Si toutes les voitures de bon état sortent du marché : les acheteurs n’ont aucune raison de beaucoup payé pour une mauvaise voiture  Asymétrie d’info : le vendeur en sait plus que l’acheteur. Assurance maladie : bon risque : coute pas cher, mauvais risque : santé précaire. Tentative de la part des assurances de limiter les risques, complexe difficulté de distinguer aux gens le risque qu’il représente, comment faire en sorte de forcer les gens en bonne santé à payer ? Paieront pas, donc ceux qui veulent complète paieront cher car les autres ne paient plus. Aux Etats Unis qqn de séropositif a beaucoup de mal à s’assurer car mauvaise redistribution. Donc plus de marché d’assurance : solution assurance obligatoire : supprimer le paiement en fonction du risque. Ici l’état prend ses responsabilités et rend obligatoire l’assurance. Donc meilleure solidarité pour les personnes fragiles. Ex assurance santé senior : assurance privée avec asymétrie d’info : choisissez ce que vous voulez comme assurance : montrer le mal de chaque « bons ou mauvais risques », si trop mauvais risques alors pas assuré. e) Question des inégalités Question sociale : peut on admettre l’absence d’accès a des services jugés essentiels tel que la santé, l’éducation etc. : un pauvre malade ne sera jamais accepté d’être soigné : inacceptable. Obligé de soigner les gens, donc par exemple aux Etats Unis : les non assurés vont aux urgences, les états fédéraux amortissent derrière, 50M dans ce cas donc coute très cher. En terme d’éducation : FMI a eu volonté de rendre payant l’école dans le tiers monde : égalité d’accès nous oblige à fournir un accès à chacun, égalité des chances.

Risque de pauvreté inacceptable également, donc quand chômage de longue durée s’est développée : rsa (revenu de solidarité active) Question politique : Rapport Beveridge : comment éviter la montée des extrêmes après 29 ? Beveridge répond qu’il faut lutter contre un certain nombre de maux inacceptables, la protection sociale est un moyen de maintenir le lien social, la solidarité entre tous. La redistribution des biens en est un exemple éloquent. II – Des organisations variées et en évolution a) Systèmes mixtes Selon les pays on fait plus ou moins confiance aux services, histoire nationale relativement compliqué : en 45 mise en place de la sécurité sociale : alsace Moselle bénéficie des reformes de Bismarck car avant appartient à l’Allemagne. Pour répondre aux problèmes et aux besoins plusieurs solutions.  Produire un système d’assurance sociale, en échange des cotisations chacun est assuré. Peu redistributif : ceux qui paient le plus, bénéficieront le plus lorsqu’ils seront dans le besoin. Ex : le chômage.  Assistance : cibler la protection sociale sur les plus pauvres, prestations sociales réservés aux plus pauvres  Prestations universelles : quelque soit le revenu on les touche : alloc familiale, today différente en fonction du revenu des familles. Gosta esping andersen : 3 types de protections sociales. Voir diapo. Libéral/sociologie-démocrate/bismarckien. Bismarckien : tout est prélevé sur le salaire. Fondé sur le contrat de travail : cotisations sociales. Donc nécessité d’avoir un travail pour être assuré. Aucune redistribution des biens. Géré par les sociétés sociales. Beveridge : chômage de masse : non assuré. Sdf qui n’ont pas eu cette volonté. Donc pas de travail, donc pas couvert. Exemple : création du rsa : 500€ minimum par mois, même si y’a pas de cotisations. Sociale demo : tout le monde touche des aides. Liberal : seuls les plus pauvres. b) Le cas de la France Changement peu adapté : mise en place en place du RMI, transformé en rsa : aide conditionnelle réservé aux personnes aux revenus bas. Création de la Csg : par opposition a la cotisation sociale, pas assise sur les salaires mais par la quasi totalité des revenus. Création en 98 de la cmu : permet aux personnes qui n’ont pas de mutuels d’en bénéficier d’une ppsé par l’état. Les changements nous éloignent du système

bismarckien. Today mixte entre Bismarck et libéral. Il a fallu paré aux plus pressés : plus de 30 ans qu’il y a deux millions de chômeur. Cette évolution pose un certains nb de problèmes politiques. Faut il plafonner les allocs chômages ? 1,5 M de chômeur touche moins de 1000€ par mois. On doit garder ce système de protection sociale, mais quels périmètres, et quels systèmes ?

2015.09.28 Macroéconomie Quel salaire minimum en France demain ? Salaire minimum : salaire en dessous duquel on ne peut pas rémunérer un salarié employé dans des conditions normales. C’est un salaire brut payé à l’heure. Nombreuses dérogations pos...


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