Guide Étude (Résumé) PDF

Title Guide Étude (Résumé)
Course Littérature amérindienne du Québec
Institution Université de Sherbrooke
Pages 15
File Size 316.6 KB
File Type PDF
Total Downloads 50
Total Views 134

Summary

Résumé de tous les cours et des notions importantes dans le cours de Marie-Hélène Jeannotte. ...


Description

Littérature Amérindienne (Étude) Indianité : Ensemble des images, des thèmes et des valeurs associés, dans l’imaginaire, au fait d’être amérindien Identité amérindienne : Identité personnelle, unique et insaisissable d’une individu tel qu’il se définit luimême Appropriation culturelle : Utilisation (inappropriée) par une personne ou par un groupe d’éléments d’une autre culture. (Problématique : Lorsqu’on groupe dominant emprunte des éléments à un groupe dominé pour but de marketing ou divertissement) 1) Éléments sacrés-codifiés qui peuvent avoir un sens profond. 2) Non-respect des souhaits d’un groupe dominé 3) Utilisation des symboles pour faire de l’argent. Éthique en littérature Problématique : - Les productions sont si vieilles que la loi sur les droits d’auteurs ne s’applique pas et les droits des « mythes » sont partagés. -

Les auteurs collectifs (nation, communauté) ne sont pas reconnus On ne peut pas identifier un seul détenteur de droits sur les techniques/histoires.

Oralité *** Les autochtones ont toujours eu un support matériel lié à la transmission du savoir (totems, pétroglyphes, écorce de bouleau, quippu, bâtons innus…) Oralité : -

Moyen de communication (SUPPORT) Voix et corps (gestuel, mimique…) Repose sur la mémoire

Tradition orale : -

contenu (connaissance, technique, valeur) Ensemble de savoir transmis PAR l’oralité Ensemble de création socio-culturelle (symbole)

Littérature Orale : -

Contenu dont la forme a été travaillé, dont la VOIX est le MOYEN (message lité à la parole) Formes codifiés et organisés. Ex : Récit, mythes, légendes, histoires…

DE TRANSMISSION.

CARACTÉRISTIQUE 1) 2) 3) 4)

Variabilité « à demi fixé »(plusieurs versions) Repose sur la performance du compteur Moment et groupe identique (évènement partagé) Beaucoup de répétitions, de formules (tournure rituelle), déictique (mot dont le sens dépend du contexte (ex : ici, hier…)

FONCTION 1) Cohésion sociale (établissement des valeurs) 2) Transmettre des connaissances 3) Divertissement Mythes 1) Expliquer l’origine du monde (alternance nuit et jour, naissance et mort, distinction entre humains/animaux/végétaux/) 2) Dicter les règles de conduite en société (mixité, règle vie/ chasse) ** Ce sont des récits dans un passé lointain où les hommes ne sont pas clairement séparés des animaux. *** Il y a des personnages « surhumain » (mi-dieu) avec des pouvoirs surnaturels. De l’oralité à l’écriture Écrivain : Auteur ayant une pratique écrite Auteur : Création ** Souvent, la manifestation orale est considéré comme du folklore alors que la tradition orale autochtone constitue une expérience littéraire JUSTIFIÉE Littérature Orale Collectif Actif

Littérature Écrite Solitaire Différé

[Écrit : Stabilisation des textes (pas propre à la culture autochtone)]

3 régimes d’oralité (Paul Zumthor) : 1) Oralité exclusive (traditionnellement autochtone.) 2) Oralité mixte 3) Oralité seconde

« L’histoire de l’Écriture amérindienne est indissociable de la réalité coloniale » Boudreau. -

Assimilation religieuse (utilisation de l’écriture pour Évangéliser) Assimilation par les pensionnats (couper les jeunes de leur langue et de la transmission orale des traditions) Dépossession du territoire fait à l’écrit

** Méfiance envers l’écriture : associé à beaucoup de moments négatifs → outil du colonisateur Premières publications autochtones (littéraire = 1971) Pourquoi 1970? : On publie pour :

Désir de prendre la parole eux-mêmes (réaction politique de 1969) Première génération ayant une éducation « québécoise » Contexte mondial de décolonisation (émanciper)

1) Dénoncer et revendiquer au blanc (livre s’adresse aux colonisateurs – écrit en langue non autochtones) 2) Valoriser la culture autochtone – Objectif d’éducation (réalité des cultures autochtones) ** écriture est tout de même marquée de procédés oraux. Puisque les autochtones écrivent dans des genres « dévalorisés » (conte, essai, autobiographie) on s’en sert pour dire que ce n’est pas de la vraie littérature (pas roman) *** Nous sommes influencés par l’institution en ce qui concerne la hiérarchie des genres. (Réducteur + dangereux) 1) 2) 3) 4)

Manifestes et essais politiques-polémiques Récits de vie- essais historiques Œuvres de fiction (poème/théâtre/Roman) Essais philosophiques (?)

_

Deux premières catégories ont une très grande valeur pour les auteurs amérindiens

+

** processus de guérison

Littérature : objectif extérieur au texte (fonction transitive) littérature ENGAGÉE Pourquoi si peu de romans ? 1) 2) 3) 4) 5)

Résistance consciente aux attentes des Québécois Roman n’a pas d’équivalent ORAL Manque de ressources (temps, moyens) Maitrise de la langue – manque soutient Structure narrative TRÈS différente Vocation littéraire détournée vers domaine pratique (choix de domaines utiles pour les études : droit, médecine…)

Marque de l’oralité dans l’écriture 1) 2) 3) 4) 5) 6) 7)

Genres privilégiés (poésie, conte, théâtre, chanson…) Personnages mythologiques Personnages détenteurs de la tradition Personnages qui racontent Répétitions, tournure anaphorique Mots/ tournures familières Marques du récit (je vais vous raconter, je vais vous parler…)

Forme de l’oralité contemporaine : Rap, (Rythm and poesie), slam, théâtre, cinéma…

Théories postcoloniales 

S’intéresse aux sociétés ayant été marquées par la colonisation

Population autochtone Québec

En littérature :

Français Les autocthones, au Québec, serait en double colonisation.

Objectif : Comprendre comment le colonialisme a marqué la culture des sociétés concernées. ** On met de côté l’approche éthique. On passe du point de vue du groupe dominant à celui du groupe dominé. ** Œuvres est indissociable de son contexte (politique : Rapport de pouvoir inégalitaire) *** DROIT DES AUTOCTONES À RACONTER LEUR PROPRE HISTOIRE (Théorie contestée MAIS elles sont importantes car elles ont influencé la vision de la litt. Autochtone.) Littérature postcoloniale -

Littérature issue d’une société marquée par la colonisation Critique du discours coloniale Marques formelles de cette tensions politique.

** Auteurs vont fortement insister sur les différences entre son groupe et le groupe dominateur. Qui? : - Pays autrefois colonisé (ex. Algérie, Inde…) toujours sous domination politique d’une métropole (Ex, Canada, Usa) objet CONTEXTE POLITIQUE

Territoire - Grande diversité dans un sujet ou un

ESTHÉTIQUE

** Écriture du traumatisme (guérison) – Souvent mal compris des cultures dominantes.

CARACTÉRISTIQUES 1) 2) 3) 4) 5)

Remise en qestion de l’ordre colonial Délégitimer l’order dominant de la société (contester le discours colonial : «c’est pour leur bien ») Renversement de point de vue- réécriture de l’histoire Reconquête de l’image de soi (valorisation) Décentrement (valeurs) : Déplacement centre référence/ Prise de position radicale pour être entendu

Forme -

Transgression des codes (refus code dominant) Mimicry (imiter) Thèmes (lié à l’expérience) :Espace (territoire), tradition/modernité Narrateur dominé (victime colonisation) Figure styles : Ironie, parodie, allégorie Discours sur la langue ou jeux de langue

Paradis perdu : Avant les blancs, tout était beau et parfait. AVANTAGES 1) Permet de se détacher de l’aspect esthétique du texte en ce concentrant sur le contexte matériel et social (foule de conditions différentes : accès à l’éducation, a des outils d’écriture.) 2) Permet de ne pas considérer comme la littérature postcoloniale comme de la littérature européenne. 3) Décentrement (litt. Marginale) Remet en question des critères de littéralité. 4) Posture de lecture OUVERTE (controversé)

-Nouvelles visions de la litt (contrôlable?) + Traverses les limites culturelles (vigilance face à l’ethnocentrisme) ** Théories riches et complexes qui évoluent. LIMITES 1) 2) 3) 4)

Généralisation de toutes les littératures (homogénéiser) les littératures postcoloniales Nier certaine identité interne (relation entre colonisé) Réduire les œuvres à leur contexte politique et social Tendance à idéaliser

Nouvelles approches pour comprendre la litt. Autochtone Thomas King : Problèmes : -

Blancs = début de la litt. Termes inappropriés Met emphase sur la relation coloniale alors qu’il y a beaucoup plus que ça. Laisse entendre une idée de « progression » (litt. Évolue avec l’arrivée des blancs)

Solutions : 4 types de litt. Autochtone : 1) Tribal : Récits présents DANS la communauté (pas destiné aux étrangers), et dans la langue de la nation 2) Récit polémique : s’adresse au non-autochtone et décrit le fossé culturel entre les cultures. Valorisations de la culture et description négative des impositions culturelles (+revendication) 3) Récit Interfusionnel : Mélange l’écriture et l’oralité (respect d’une structure narrative orale. 4) Récit Associatif : Auteurs contemporains qui vont transformer les codes occidentaux (roman, poésie…) pour y intégrer les impératifs amérindiens (rapports de force…) Organisé de manière litt. (pas climax à la fin). On s’intéresse à la communauté plutôt qu’à un individu.

Critique autochtone 1) Critique ayant comme objet la litt. Autochtone. S’intéresse aussi aux répercussions historiques+ traditions littéraire autochtone 2) Théories (le plus souvent) développée par les autochtones. Pourquoi ? -

Auteurs contestent l’ensemble des théories litt. Occidentale. (Ne reflètent pas les RÉALITÉS d’écriture autochtone.) Point de vue occidental n’est pas adapté pour interpréter les codes de la litt. Autochtone. Théories occidentales imposée qui supposent qu’il n’y a pas de tradition intellectuelle chez les autochtones. ** reproduit dominance = imposer une autre culture sur leurs traditions littéraires.

** risque de faire des lectures erronées lorsque allochtones. **méfiance envers les universitaires. (Chercheurs n’ayant pas conscience des impacts)

-

Relation entre auteur/chercheur et sujet est symboliquement inégale.

Enjeux de la littérature autochtone 1) Réappropriation des récits Lenore Keeshig-Tobias : « Stop stealing our native stories » **Histoires volées (contribu à faire véhiculé certains stéréotypes faux.) *** RECONQUÊTE DE POUVOIR 2) Écriture du traumatisme - Théories occidentales ne se contente que d’analyser le texte (pas le contexte) - Critique autochtone : Part d’une expérience pour développer des outils critiques car la litt. est remplie de traumatisme. - Imbrication de l’expérience personnelle et de la théorie litt. - Inclure contexte d’écriture + sociale ** Littérature de la guérison (DONC pas objectif) 3) L’oralité - Tradition orale a une influence sur la litt. amérindienne et comme il est écrit. - Structure narrative orale (souvent) - Insister sur le fait que la litt. autochtone n’a pas émergée (pas greffé à la litt. québécoise) - Idée qu’il s’agit d’une transmission (conteur-conteur/ auteur-lecteur) ** Métamorphose de l’oralité Esprit de communauté : Est au cœur de la litt. Englobe les relations entre humains, animaux, et territoire. 1) Esprit des animaux : On peut dénoter dans les œuvres la présence animale qui a un pouvoir. (métaphore ou allégorie qui a ont un impact majeur) CLASH avec le monothéisme occidentale *Reflet de la spiritualité. 2) Relation à la terre (personnifiée) – Espace et territoire. *terre peut devenir un personnage. Elle peut aussi aider à trouver une identité 3) Relation entre les humains : Sens du groupe, sens de la famille est très présent. personnages)

(Constellation de

Limites de la critique autochtone -

Pression de devoir connaître la culture de l’autre avec des connaissances très poussées Appropriation culturelle? (outils théoriques autochtones?) Ton engagé, très militant Critique sur les critiques non-autochtone à cause de ses points (on ne peut pas comprendre…)

Piste de lecture œuvres   

Contexte dans lequel elles ont été écrit Reprise de parole/ réappropriation des récits Caractère aliénant des stéréotypes

   

Adopter une position d’engagement éthique Reconnaître les limites de sa connaissance Tenter d’améliorer ses connaissances Reconnaître le travail des spécialistes autochtones



Ne pas hésiter à entre dns un débat critique avec les auteurs autochtones et les critiques autochtones (alliés)

Identité autochtone et littérature Post-indien : Arrive après la simulation d’être « indien », et la perception d’une présence autochtone devient résistance et survivance. Thomas King : -

Autochtone = race Littérature aut. Est composée par un aut. Tendance à essentialiser l’identité amérindienne. Penser qu’il y a un dénominateur commun entre tous les autochtones, malgré les différents vécus.

Gérald Vizenor : -

S’intéresse au concept de « vanishing indien » ou comme quoi l’identité amérindienne est figée dans le temps. Il s’y oppose avec le post indien.

Bernard Assiniwi : -

« Je suis ce que je dis que je suis » revendique le droit d’être qui il veut. Identité = autodéterminé Pas de définition ethnique de l’identité Identité est une question d’EXPRESSION DE SOI Rejette l’idée que sang = identité.

Réductiosn identitaires = aliénation Géographiques    

Mise en réserve (plusieurs aut. Hors de la réserve ne se sentent pas chez eux) Manque d’espace de territoire Réserves éloignées les unes des autres (coupe échanges traditionnels) Encourage l’idée de Terre-Mère (territoire prédéterminée)

Économique     

Réserve ne permet pas une grande activité économique Pas de contact entre les nations Doivent chasser, pêcher pour survivre Pratiques artisanales dans des buts commerciaux + guide touristique Contribue aux stéréotypes, car pression et pas de choix

Politique   

Dépend du gouvernement pour subventionner les conseils de bande Pas de gouvernement aut. Loin des communautés (pas de débat, mythe du concessus)

** Basé sur l’exclusion (aussi dans la modernité) Altérité

1) Fait d’être un autre, caractère, état de ce qui est autre. 2) ** La non-concordance entre un sujet un groupe de référence, selon une série de trait jugé pertinent dans un contexte donné.

1) Concept variable (ex. stéréotype négatif et positif) 2) Concept relationnel En opposition entre deux termes, dualité. o Autrui significatif : Ceux à qui nous nous opposons Aide à définir une identité 2 grands archétypes qui sopposent 3) Construction discursive, idéologique et sociale (perception énoncer dans le discours) 4) Concept réversible 5) Notion contextuelle ( Qui est le groupe de référence? Quelles différences sont pertinentes dans le contexte d’actualité.) Formes textuelles de l’altérité. -

Quels sont les procédés à l’œuvre dans la mise en discours de l’Autre? Quelles stratégies discursives princpaes marquent l’altérité es personnages? Quelles osnt les représentaitons de l’Autre? Répercussions de l’Autre sur le sens de l’œuvre?

Lieux d’analyse 1) Énonciation - Pronoms personnels (Ex. nous/ils) - Deux cas de figures : Narrateur fait partie des Autres ou Narrateur = référence - Démonstratif : Ex, ces étrangers... 2) Espace - Distinction es lieux - Lien métonymique 3) Description physique - (langue, vêtement, noms…) - Profils sémantiques - Rend visible l’altérité (surdétermination des traits) 4) Éclatement des voix 5) Stratégies réthoriques - Figure de styles, réseau sémantique…) - Satyre, parodie, ironie 6) Folie/Étrangeté (renvoie à la perception de l’Autre) ** Accumulation des marques formelles renvoie à la figure de l’Autre.

Modes de perceptions de l’Autre

1) La fascination Rejoint un certain exotisme (projections valeurs-images) Dénote d’une méconnaissance de la culture. ** Pas un véritable désir de connaître l’Autre = Fantasme 2) Négation/ Exclusion Désir de classé les groupes sociaux distinctement Pas de désir de connaître. 3) Connaissance de l’Autre On s’intéresse à la culture de l’Autre (pas domination) On veut en connaitre davantage. Mode d’accueil des étrangers dans le groupe de référence 1) Assimilation

X

2) Exclusion

O

O

X

XX XXX

O

X

X

X

X

X X XX

O

O

O O

XXX

O

3) Admission

4) Ségrégation O

XoXO

XX

XXX O O O O

O

XXXXXXX

o

XOX

L’engagement en littérature «En réalité les peuples minoritaire sont le plus souvent opprimés, de sorte que l’exercice même de l’écriture pour qu’il s’insère dans un l’affirmation collective du droit à l’existence et à l’expression est soit subtilement découragé soit brutalement réprimé. Comment? 1) Mettre en gage l’Autorité 2) Faire un choix (prendre position) 3) Poser un acte (écriture, publier, dénoncer…) Littérature engagé Engagement de la pensée Dévoilement Idée de débat et d’avancement

Littérature Militante Écrit politique (outils pour défendre quelque chose en dehors de la littérature) Prise de partie- cause précise Écrits Transitifs

Écrits transitifs : But précis (effet direct sur le monde), il y a une attente de résultat. -

Très présent dans les petites littératures (litt = pas litt – but social!) Problème : Désacralisation de la littérature.

La littérature engangée dépend du contexte (Très difficile d’étudier une œuvre hors contexte) -

Contemporanéité : S’engage dans une cause du présent. Remet en question la notion de postérité. Bris de temporalité.

Engagement chez les auteurs autochtones Communitism ( community + activism) : Auteur engagé activement pour une communauté. Au québec   

Posture de valorisation de la culture autochtone (ex. Bernard Assiniwi) Promotion de la culture (responsabilité de faire connaître les enjeux) Dénonciation des violences + réappropriation culturelle (but guérison) Urgence, appel à la justice.

Différence : Écrire pour les allochtones VS écrire pour les autochtones. Engagement = Auteurs, éditeurs et critiques. Théâtre autochtone Au québec : Récent (1985 le porteur des peines du monde) Pourquoi? -

Proche de la tradition orale Mythes se représentent bien à travers le théâtre grâce aux costumes, aux jeux de lumière… La scène est plus adaptée pour les représenter que le roman ou le poème. Permet de reconstituer un rituel. Mythes importants car si on perd mythes on perd la culture. Les mythes sont réadaptés de facon contemporaine (ex trickster au dollo) Mythologie a émergée dans le territoire où les autochtones vivent.

Ondinnok : Troupe de théâtre principale au Québec  

Fondé en 1985 par Yves Sioui Durant et Catherine Joncas (directeurs jusqu’en 2016) Mot huron signifiant : Rituel théâtrale de guérison- désir secret de l’âme

Objectifs : 1) Créer un théâtre mythologique (rituel initiatique contemporain pour sortir la culture du folklore) Mythologie de TOUTE l’Amérique. 2) Donner une vitrine hors du folklore au culture 3) Formation des autocthones au théâtre. Intégrer les autochtones au domaine théâtrale (atelier formation d’auteur, relève) Cycles de productions 1) 1985-2000 Dramaturgie du Mythe 2) 1995-1997 Théâtre de Guérison Manawan 3) 2000- comment être amérindien au 21e siècle

** Certaines pièces sont traduites dans plusieurs langues Yves Sioui-Durand : Dramaturge le plus reconnu au québec en dehors de son statut autochtone. Dramaturgie du Mythe 

    

Perte de la spiritual...


Similar Free PDFs