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Reportage écrit On quitte la radio. La presse écrite va entrer en concurrence avec la radio. On est dans l'âge d'or de la presse de 1881 à 1889, mais aussi l'âge d'or du quotidien. 1890 presse provinciale augmente. Ventes passent de 2 millions à 5 millions : boum. Le tirage des quotidiens de Province passe de 700 000 à + d'1 millions. Progrès de l'instruction, urbanisation croissante qui aide au progrès de la diffusion. Progrès techniques qui permettent la reproduction des photographies. Illustrer les journaux dès le 19e. Croissance économique permet de dvp la pub et d'offrir aux journaux des moyens de se financer. Il y a des gains de productivité donc on peut élargir les contenus et on va avoir de plus en plus une vulgarisation des connaissances, des rubriques de divertissement etc. Il va y avoir une expansion du réseau télégraphique mondial puis celui de la télégraphie sans fil au début du 20e, naissance également du téléphone, progrès du téléphone. Facilité croissante des déplacements qui va faire que les journalistes vont pouvoir élargir le champs d'information des journaux. Agences de presse vont jouer un rôle de + en + indispensable.

Va y avoir une atteinte à la liberté de la presse pendant la guerre 14-18. Journalistes Francais interdits de front. Ils vont y être autorisés à partir de Juin 1917 pcq le gouv voit un moyen de remonter le moral des troupes. Bon au moral des poilus + valorisation des poilus. Il va y avoir suite à la guerre une dénonciation de ce que le « Canard Enchainé » va appeler le bourrage de crâne qui a été fait pdt cette guerre pr valoriser la guerre et l'effort militaire. Le CA de 1916 va organiser un réferendum pr désigner le grand chef des bourreurs de crânes. On arrive dans les 20's où la presse est discréditée pour des raisons de manip des masses. Néanmoins, la presse fr est en perte de vitesse, pdt la guerre réstriction de papier etc. La presse de l'entre 2 guerres encore très forte, elle est d'autant + forte que le tirage de la presse quotidienne régionale (PQR) augmente, son audience aussi. On a de + un essor très important des magazines. La presse spé devient de + en + imp, multiplications des hebdo po et culturels. La presse féminine est également crée. Presse pour enfants. La presse ne sera jms aussi foisonante, aussi diversifiée du pdv de ses supports, ses thématiques et aussi importante en nbr de periodiques et aussi inventives que dans cet entre 2 guerres et 30's. On est dans la fin de cet âge d'or. On est dans un période qui n'aura jamais été aussi active. Périodique : concerne ts les supports (revues, hebdo, magazines. tt ce qui a une périodicité). Presse c'est trop restreint. Autre élément, il va y avoir en 35 la création du statut de journaliste. Ce statut qui émerge est tjrs celui qui régit la profession. Jusqu'en 35 la dénomination de journaliste est très floue. Intellectuels/écrivains qui vont faire cette presse. Puis vont

s'ajouter des gens qui vont avoir comme métier ce qu'on appellerait ajd le journalisme. Mais reste flou. En 1935, on va décider d'un statut de journaliste. Celui qui en vit, sinon, on est pas journalistes. Autre cas particulier, le journaliste est différent d'un salarié intellectuel ordinaire car il tient en mains des forces sociales qui amènent de l'opinion et il agit sur les mœurs et les idées. Le journaliste est quelqu'un qui est seul devant son patron et doit se tenir ferme devant sa liberté morale. Doit être protégé par l'Etat. Close de confiance à ce moment. Grâce à ce statut de 35, le journaliste en plus d'écrire est aussi le traducteur, le sténographe, le correcteur, le dessinateur et aussi le photographe. Enfin, c'est le moment où on institut une carte d'identité professionnelle et en Janvier 36 on va créer une commission de la carte. Ce statut arrive 4 ans avant la fin de l'âge d'or. On peut essayer en tant que journaliste de tendre à l'objectivité. Faut connaître la ligne éditoriale du journal, et la comprendre. Faut prendre en compte que jusqu'à la fin de l'âge d'or de la presse, véritable engagement partisant des journalistes (ou assimilés) et cet engagement est caractéristique de cet entre 2 guerres et de tous les périodiques de cette période. Donc il y a des polémiques dans ces journaux, souvent ils se répondent d'un pério à un autre. Il y a un vrai ton qui donc est un ton critique et un ton polémique et où on débat. On sait parfaitement que tel hebdo culturel est de droite par exemple. On sait que « Mariane » est de centre gauche. Ce sont leurs couleurs politiques. En revanche, L'Humanité, quotidien qui à partir de 1920 est l'organe d'un parti politique : le PC. Un organe = l'émanation. Ceux qui y travaillent doivent faire partie du PC. L'action française – Charles Mauras A côté de cela, les grands journaux de l'époque ( 1 ou 2 millions d'exemplaires) comme « Paris soir » par exemple. Font la pluie et le beau temps de l'info politique du pays. Sont selon les moments soit à droite, ou centre droit et rarement au centre gauche. Sont assez conformistes et conservateurs....