Version 3 - voitures électriques PDF

Title Version 3 - voitures électriques
Course Test de français écrit ORTHOGRAM
Institution HEC Montréal
Pages 12
File Size 179 KB
File Type PDF
Total Downloads 94
Total Views 145

Summary

HECFRAN mars 2021, textes sur lesquels il faut faire une dissertation...


Description

TEST HECFRAN DOSSIER DE PRESSE SUJET : L’ACHAT DE VOITURES ÉLECTRIQUES EN ENTREPRISE Vous travaillez dans une entreprise qui songe à convertir sa flotte de véhicules à essence en véhicules électriques. Elle vous demande de prendre connaissance de ce dossier de presse sur le sujet, d’en relever les aspects positifs aussi bien que négatifs et de rédiger une note de synthèse d’environ 450 mots. La note de synthèse en bref Assurez-vous que : 1) votre texte est divisé en paragraphes (1 court paragraphe d’introduction, 2 paragraphes de développement et 1 bref paragraphe de conclusion); 2) les deux points de vue développés dans le dossier de presse sont présents dans votre note de synthèse; 3) vous ne donnez pas votre opinion, vous vous en tenez aux faits mentionnés dans les textes fournis; 4) toutes les idées prises dans les textes lus sont reformulées dans vos propres mots. Vous devez indiquer entre parenthèses le ou les numéros des articles où vous avez trouvé vos idées; 5) votre texte ne contient pas de citations textuelles; 6) les idées que vous présentez sont suffisamment développées pour qu’une personne n’ayant pas lu le dossier de presse en comprenne les idées essentielles; 7) votre texte contient environ 450 mots incluant l’introduction et la conclusion; vous disposez d’une marge de manœuvre de 10 % (donc de 405 à 495 mots). La correction s’arrête à 495 mots. Un texte de moins de 405 mots n’est pas corrigé. Veuillez noter le nombre de mots à la fin de votre texte. Note : Veuillez écrire votre texte à double interligne et laisser deux lignes entre les paragraphes. Note importante : Les articles proviennent de différentes sources et ils ont été légèrement modifiés. De plus, les données statistiques ne correspondent peut-être pas toujours à la réalité d’aujourd’hui. Toutefois, aux fins de cette note de synthèse, vous devez les considérer comme fiables. Les orthographes traditionnelle et rectifiée sont admises dans la rédaction de la note de synthèse. ARTICLE 1 1

Qu’ont en commun les entreprises Laserpro, Tardif Diesel, les restaurants Thaï Zone de Sherbrooke, le CHUS et l’Université de Sherbrooke? Elles sont quelques exemples d’industries, commerces et institutions qui ont été dans les premières à convertir progressivement leur flotte de véhicules en véhicules électriques! Que ce soit par l’acquisition de modèles 100 % électriques ou d’hybrides rechargeables, tous s’entendent pour dire que ce virage a eu un impact positif sur l’image de leur organisation, sur la rentabilité de leurs opérations, mais surtout sur l’augmentation du plaisir et de l’intérêt de conduire électrique pour leurs employés! Nul doute, les entreprises jouent un rôle déterminant dans la Stratégie d’électrification des transports du Québec. Car il faut dire que pour atteindre l’ambitieux objectif de 100 000 véhicules électriques sur les routes du Québec d’ici 2020, il faudra traverser une route cahoteuse. [...] Bien que la performance des batteries électriques évolue rapidement et que de nouveaux modèles entreront prochainement sur le marché, l’anxiété de l’autonomie se règle principalement par une présence accrue de bornes de recharge. Voilà où les entreprises peuvent faire toute une différence! Que ce soit pour les besoins directs de l’entreprise et de sa flotte de véhicules corporatifs, ou pour permettre aux employés de se brancher au travail, les bornes électriques en entreprises permettent de faciliter l’usage de véhicules électriques et contribuent à démystifier le phénomène auprès des noninitiés et sceptiques. Sans compter que pour un écomobiliste, la possibilité de se brancher au travail en plus de son branchement le soir à la maison lui permet de réduire son anxiété de l’autonomie et de rouler 100 % électrique et sans émission de carbone à longueur de semaine! Encore hésitant? Plusieurs concessionnaires automobiles offrent des essais routiers de moyenne durée variant de quelques jours à quelques semaines! [...] Un coup de pouce : le programme Branché au travail Via le programme Branché au travail, l’aide financière pour l’acquisition et l’installation de bornes de recharge en milieu de travail peut atteindre 50 % des dépenses admissibles jusqu’à un maximum de 5000 $ par borne de recharge. Il n’y a pas de limite précise quant au nombre de bornes installées et admissibles à une demande de remboursement. Par contre, la somme maximale de l’aide financière attribuée par établissement est fixée à 25 000 $ par année financière. 2

Attention cependant : pour que vous bénéficiiez d’une aide financière, votre borne de recharge doit être utilisée exclusivement pour la recharge de véhicules appartenant à l’entreprise (parc de véhicules de l’entreprise, municipalité ou organisme) ou pour la recharge de véhicules appartenant à vos employés. Il doit être clairement indiqué qu’elle sert à cet usage. L’électricité doit être fournie gratuitement pendant trois ans à cette borne.

ARTICLE 2 Le Salon de l’automobile de Genève a ouvert ses portes au public jeudi. L’occasion pour les constructeurs de présenter leurs dernières nouveautés et cette année encore, les voitures électriques figurent en bonne place sur les stands des Renault, Volkswagen et autres Peugeot. De quoi attirer les conducteurs sensibles à l’environnement, mais aussi les entreprises qui mettent à disposition des flottes de véhicules pour leurs collaborateurs (pour usage privé et professionnel). Un secteur où l’électrique a encore du mal à faire valoir ses arguments. Un quart de voitures électriques dans les entreprises [...] Si les entreprises sont à la traîne sur l’électrique, c’est parce qu’elles raisonnent différemment des particuliers. Le premier critère reste le coût d’utilisation des véhicules. Or, celui-ci reste souvent plus élevé pour une voiture électrique que pour un diesel ou un essence. [...] Tous les coûts engagés pendant la durée de possession de la voiture sont pris en compte (prix d'achat, fiscalité, financement, valeur de revente, assurance, entretien…). [...] L’autre obstacle au développement des voitures électriques en entreprise, c’est l’autonomie. La Renault Zoé peut atteindre 300 kilomètres, selon les conditions de trajet : pas mal pour un particulier mais insuffisant pour un commercial qui passe ses journées sur la route. Derrière la petite citadine, la plupart des électriques affichent une autonomie réelle de 150 à 250 kilomètres, trop peu pour s’imposer massivement dans les flottes professionnelles. Pas mieux du côté des utilitaires : le Renault Kangoo ZE peut rouler sur 120 à 200 kilomètres. Dans la même logique, le nombre toujours limité de bornes de rechargement freine l’électrisation des flottes d’entreprise. [...] ARTICLE 3 3

Lorsque l'entreprise de télécommunications TRJ Telecom a décidé de fournir une voiture électrique à l'un de ses employés, elle croyait faire une bonne affaire tout en aidant l'environnement. « On pouvait bénéficier de la subvention de 8000 $ offerte par le gouvernement du Québec pour encourager l'achat d'une voiture électrique, dit le vice-président de l'entreprise, Charles Jolicoeur. Et comme notre employé habite assez loin de son lieu de travail, ça lui permettait de se rendre au bureau de façon plus écologique. » Mais Revenu Québec et l'Agence du revenu du Canada (ARC) en ont décidé autrement. « Les deux agences choisissent de pénaliser plutôt que d'aider les entreprises qui préfèrent les voitures électriques aux véhicules à essence », explique la fiscaliste Marie-Hélène Rocheleau, du bureau comptable Hardy, Normand et ass. « Il y a principalement deux problèmes dans leur interprétation des règles fiscales, dit-elle. Dans les deux cas, elles choisissent l'option défavorable à l'environnement. » Ces problèmes sont liés au calcul de la subvention gouvernementale, poursuit-elle. « Quand un employé utilise une voiture électrique d'entreprise à des fins personnelles, Revenu Québec et l'ARC ne tiennent pas compte de la subvention de 8000 $ pour mesurer cet avantage imposable. Mais elles le font quand vient le temps de calculer l'amortissement de l'achat de la voiture par l'entreprise. » Par exemple, pour une voiture de 30 000 $, le fisc impose l'employé en fonction de la valeur totale du véhicule, mais ne permet à l'entreprise de n'amortir qu'une somme de 22 000 $, compte tenu de la subvention de 8000 $. « C'est contradictoire, ça désavantage les voitures électriques. Et c'est ce qu'on appelle un bogue fiscal », souligne Mme Rocheleau. Mais il y a pire : lorsque le fisc tient compte des frais d'utilisation (carburant, entretien, immatriculation, etc.) pour juger de l'avantage imposable obtenu par un employé, il utilise les mêmes montants que pour une voiture à essence. Or, une voiture électrique, même si elle est plus chère à l'achat, coûte bien moins cher en carburant et en entretien par année, selon la CAA.

4

« Le résultat, c'est que par exemple un célibataire, qui gagne 50 000 $ par année et qui utilise une Chevrolet Volt 2018 fournie par sa compagnie, devra payer 3000 $ en impôts supplémentaires par an pour un avantage imposable que le fisc estime à 8080 $, alors que le coût réel pour l'entreprise de l'utilisation de cette voiture est de seulement 2800 $ », dit Marie-Hélène Rocheleau. (note 1) « Bref la voiture peut finir par coûter plus cher d'impôt que de frais d'utilisation. Ce n'est pas logique! »

Pas de réponse du gouvernement Questionné par La Presse, le cabinet du ministre provincial des Transports, de la Mobilité durable et de l'Électrification des transports André Fortin nous a plutôt dirigé vers le cabinet du ministre des Finances, Carlos Leitão, qui n'avait pas répondu à nos demandes hier au moment de publier. « Des voitures électriques, je serais prêt à en acheter bien plus. Mais mes employés n'en veulent pas parce que ça leur coûte trop cher d'impôt ! », mentionne Charles Jolicoeur, de TRJ Telecom. Pourtant, dans le cadre de sa politique sur la réduction des gaz à effet de serre, le gouvernement du Québec s'est donné pour objectif de voir 100 000 véhicules branchables sur ses routes d'ici 2020. Même si les Québécois achètent déjà la moitié des voitures électriques vendues au Canada, le gouvernement reste bien loin de son objectif. À la fin de l'année dernière, on en comptait seulement 21 500 en circulation dans la province. Dans un document déposé en février, le Comité consultatif sur l'économie et l'innovation - un groupe présidé par Monique Leroux et qui regroupe des dirigeants d'entreprise de tous les secteurs, en plus d'investisseurs institutionnels et d'institutions de recherche - recommande d'ailleurs au gouvernement de hausser encore davantage l'aide à l'achat, mais de la réduire dans le temps, afin de stimuler l'adoption des véhicules électriques au Québec. L'application des règles fiscales au sujet des voitures électriques est d'autant plus contradictoire que depuis janvier, Québec force les concessionnaires automobiles à offrir de tels véhicules à leur clientèle, sous peine de pénalités sévères. En 2025, le gouvernement s'attend à ce que 10 % des ventes ou locations concernent les voitures à faibles émissions polluantes. « Les entreprises commencent de plus en plus à s'intéresser aux véhicules électriques », dit Hugo Jeanson, copropriétaire du concessionnaire Bourgeois Chevrolet, à Rawdon. 5

« On a mis 525 nouvelles voitures électriques sur la route l'an dernier, poursuit-il. Les ventes [à des entreprises] représentent de 5 à 10 % de nos revenus; on voudrait certainement que ce soit plus! Si le gouvernement donne un rabais aux entreprises pour les encourager, il devrait aller dans la même direction avec les impôts! » NOTE 1 : Notre scénario repose sur l'hypothèse que le tiers du kilométrage effectué par l'employé est à des fins personnelles.

ARTICLE 4 Le Conseil régional de l’environnement de l’Estrie (CREE) propose aux entreprises de la région de tenter l’expérience de la voiture électrique pendant une semaine. Il lance un programme appelé ICI propulsé à l’électricité pour dénicher 40 entreprises intéressées. « Nous cherchons sans cesse des solutions pour réduire nos émissions de gaz à effet de serre. Nous avons tenté de cibler les véhicules qui circulent toute la journée en ville. Dans beaucoup de cas, l’utilisation d’une voiture électrique peut devenir rentable très rapidement. Toutefois, la part de marché des véhicules électriques au Québec demeure très minime », explique Jacinthe Caron, directrice du CREE. Avec cette expérience, le CREE cherche entre autres à briser le mythe de l’autonomie insuffisante des voitures électriques. « L’idée, c’est de proposer un essai assez long pour démontrer qu’on peut convertir sa voiture à essence en voiture électrique. » Les participants bénéficieront aussi d’ateliers d’information sur les véhicules électriques, l’écoconduite et les autres options pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. Si Mme Caron a été discrète sur les entreprises s’étant engagées dans le processus, Hydro-Sherbrooke a confirmé son implication et testera une voiture électrique pendant une semaine. « Nous avons des contraintes opérationnelles. Être sur la route toute la journée avec une seule charge, ce n’est pas nécessairement possible. Il faut l’essayer pour voir ce que nous pourrions avoir comme possibilités ou comme difficultés. Nous avons déjà une voiture hybride et nous avons une nacelle hybride aussi pour les monteurs de ligne », explique Christian Laprise, directeur général d’HydroSherbrooke.

6

Le distributeur d’électricité verra aussi à simplifier la vie des entreprises impliquées. « Si une entreprise a une difficulté à se raccorder à une borne de recharge, nous lui offrons une borne temporaire gratuitement, de même que l’électricité de la borne pendant la semaine. Si elle veut installer une borne permanente, qui demeurera après la semaine, nous offrons une subvention de 500 $. » [...] Selon [Jacinthe Caron], les principales craintes devant l’utilisation des voitures électriques sont l’autonomie et le coût d’achat. Le retour sur l’investissement, dit-elle, peut toutefois être très rapide. [...]

ARTICLE 5 Le gouvernement du Québec souhaite faire réfléchir les entreprises et les municipalités à leur consommation de carburant et prévoit leur verser 12,3 millions de dollars ces deux prochaines années pour qu’elles adoptent des véhicules et des camions électriques. Le ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles, Jonatan Julien, estime que la lutte aux changements climatiques est « l’affaire de tous » et invite les entreprises et municipalités du Québec qui disposent d’un important parc de véhicules à entrer dans la danse. Avec le nouveau programme « Transportez vert », elles pourront par exemple obtenir jusqu’à 200 000 $ pour faire l’acquisition de technologies vertes qui n’étaient pas déjà couvertes par un programme gouvernemental. « On parle de camions légers, on parle d’autobus qui ne sont pas exploités par une société de transport en commun, on parle de véhicules électriques à basse vitesse qui transportent une charge utile d’au moins 750 livres », a détaillé M. Julien, en conférence de presse, vendredi.

Des pick-up électriques Tous ces véhicules à faible consommation de carburant n’étaient pas admissibles à une subvention gouvernementale jusqu’à maintenant.

7

« Ce sont des solutions qui tombent dans les craques des programmes existants », comme Roulez vert, pour l’achat d’automobiles électriques, et Écocamionnage, qui cible le transport lourd, a dit le ministre. L’État québécois a même une solution pour les organisations qui comptent dans leur flotte des camionnettes et des fourgons à essence, et dont les versions électriques ne courent pas les rues. En partenariat avec l’entreprise québécoise Ecotuned, il propose de financer jusqu’à 50 % leur conversion en véhicules 100 % électriques. Pour environ 70 000 $, la jeune entreprise montréalaise est capable de remplacer le moteur à essence des camions légers Ford par un système de propulsion entièrement électrique et pourra bientôt faire de même avec des modèles de marque GM et Dodge. Le système peut être désinstallé lorsque le véhicule a atteint la fin de sa vie utile et être réutilisé dans d’autres véhicules par la suite. « Le moteur électrique a une durée de vie de 1 million de kilomètres, et on respecte les performances d’origine », vante Andy Ta, fondateur d’Ecotuned. 34 % des GES Par le biais du programme « Transportez vert », le gouvernement est aussi prêt à offrir jusqu’à 30 000 $ pour former des employés à une conduite plus écologique. Enfin, il propose jusqu’à 100 000 $ aux organisations pour qu’elles fassent le bilan de leur consommation énergétique et pour les accompagner dans la transition verte de leur parc de véhicules. À lui seul, le transport routier est responsable de 34 % des émissions totales de gaz à effet de serre (GES) au Québec. Avec ces nouvelles mesures, le gouvernement pense pouvoir effacer 18 500 tonnes de GES par année. De nouvelles sommes devraient être annoncées en 2021. « On regarde beaucoup les dollars investis par rapport aux résultats. On pense que c’est un programme qui va vraiment porter fruit », a prédit Jonatan Julien.

8

ARTICLE 6 L’abandon des véhicules thermiques au profit de l’énergie électrique se dessine doucement dans les flottes d’entreprise. Bien évaluer les besoins des salariés est nécessaire pour faire le bon choix. Du haut de leurs 2 100 m dans les Alpes suisses, les cols du Saint-Gothard, de la Furka et du Grimsel sont par nature hostiles à la circulation de véhicules électriques. Ils ont beau ne pas être équipés de bornes de recharge, ils n’effraient pourtant plus les conducteurs des nouvelles voitures électriques : elles disposent d’une autonomie accrue et leurs batteries se rechargent avec une étonnante facilité. Entre Zurich et Milan, à bord du nouveau Mercedes EQC 100 % électrique, dès l’amorce des premiers cols, l’autonomie de 400 km disponible tend à fondre comme neige au soleil. Cependant, alors qu’il redoutait la « coupure » de courant en haut du Saint-Gothard, le conducteur se retrouve avec plus de 100 km d’autonomie au bas de ses pentes. Magique! Grâce aux commandes de l’accumulateur d’énergie au volant, l’exercice en descente consiste à faire varier le niveau d’intensité de la récupération d’énergie cinétique afin que celle-ci recharge les batteries. En quelque sorte faire jouer le frein moteur plutôt que la pédale de frein, un système qui fonctionne aussi en milieu urbain. C’est le nouveau code de conduite qui s’impose à bord de ces voitures électriques. Bien plus petite mais tout aussi véloce, la nouvelle Peugeot 208, dans sa version électrique, encourage cette même pratique. Deux niveaux de freinage et de récupération d’énergie sont proposés sur ce modèle qui sera commercialisé en fin d’année. Sur son nouveau modèle, le constructeur de Sochaux annonce même des coûts d’utilisation identiques entre une version électrique et thermique [...]. ARTICLE 7 La voiture électrique au Québec commence à gagner en popularité. Et votre entreprise pourrait bien en profiter! En mars 2018, on dénotait une hausse annuelle de près de 69,7 % dans le nombre d’enregistrements de voitures électriques au Québec. On en dénote environ 25 000 dans la province. Il s’agit donc d’une croissance plutôt impressionnante quand on pense que la voiture électrique n’est en vente libre que depuis 2013 dans la province. Pas surprenant de voir le nombre de bornes de recharge augmenter!

9

L’électromobilité (la capacité de se déplacer avec l’électricité) s’est donc démocratisée, et continue de gagner des adeptes de manière constante. Ce constat pousse certains entrepreneurs québécois à se procurer une voiture électrique pour leur entreprise. En plus de contribuer à l’environnement, une entreprise effectuant ses déplacements en voiture électrique pourrait économiser gros. La voiture électrique au Québec : pour le bien de la planète (et de votre budget) D’importantes ristournes, offertes par le gouvernement du Québec, incitent les consommateurs à se tourner vers la voiture électrique. Pourquoi pas votre entreprise ? [...] Le site d’Hydro-Québec possède un outil vous permettant de calculer les économies potentielles que vous pourriez réa...


Similar Free PDFs