Analyses des Arts Appliqués PDF

Title Analyses des Arts Appliqués
Author Lucie Nouhant
Course Histoire et Théorie du design 2
Institution Université Toulouse-Jean-Jaurès
Pages 20
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Summary

Cours d'initiation au design avec de nombreuses références....


Description

Analyses Arts Appliqués «!c’est beau et ça fonctionne!» il faut créer du dynamisme. La fonction c’est une intention pour les choses, c’est ce qui est important dans le design. On ne peut s’émanciper de tous les processus qui nous permettent d’imaginer la rencontre entre l’utile et le beau, la fonction et l’esthétique. La forme et la fonction se sont pas forcément fonctionnelles (objets de la nature). La cinétique : copier les chose de la nature pour en créer des nouvelles.

B. MUNARI la forme de l’arbre a une fonction, départagé par branches : logique 1/2. C’est la même organisation que le corps humain, répétition des organisations structurelles naturelles qui ont une fonction vitale. Les objets de la nature mettent en avant la notion de fonctionnalité qui n’est plus directement appliqué à des mécanismes techniques ou psychologiques. Capacité de se multiplier -> se reproduire. On peut dire que les arts appliqués ne sont pas une création de l’Homme. Les gestes de l’homme sont inspirés par son environnement : le monde, la nature sont des points de départ à l’émergence des arts appliqués. Industrie lithique : liée à la pierre. Les arts appliqués sont une discipline de l’interrogation, du regard, de l’observation, un domaine à la fois familier et étranger. Aujourd’hui ce sont des études en construction, faire des arts appliqués c’est avoir une intention et la réaliser. B. MUNARI «!le rêve de l’artiste est somme toute celui d’entrer au musée, alors que le rêve du designer est d’entrer dans les marchés locaux!».

Ouvrage : l’art du design Verner. PANTON, designer connu pour la chaise Panton (1960)

1ère chaise moulée par injection, moule en 2 parties qui permet une production en série, rapide et efficace. Son unité de mesure est le corps. Ventilateur sans pale DYSON (2010)

Qu’entendons nous par production industrielle? Quels sont les enjeux pour les arts et pour l’oeuvre? Quels sont les enjeux pour la production? «!design!» pourquoi et comment? Quels changements sociaux sont à l’origine de la rencontre des arts avec la production? Qu’est ce que sont les Arts Appliqués? Faire un tour d’horizon étayé par des approches plus poussées de réalisations et de postures d’artistes qui révèlent et explorent les enjeux des arts appliqués. Ils tenteront de saisir l’influence d’une époque, d’une société, l’engagement du concepteur et son rôle dans l’émergence d’une discipline. Elle se transforme et évolue en fonction de la société.

On ne répond pas à un problème en design par une seule solution, il y a toujours plusieurs solutions. http://designetartsappliques.fr/taxonomy/term/14 Exemple de def trouvées sur le site « Le design a d'innombrables concertations , le design est une discipline née des problèmes posés par la production indus » T. MALDONADO « Le design est une activité créatrice qui consiste à déterminer les propriétés formelles des objets que l’on veut produire industriellement » « Design : dessein (intention, projet) et dessin (forme, modèle) » définition simple et complexe, interessante. « On entend par AA l’ensemble des créations et productions artistiques, hors du champ strictement pictural, architectural, ou sculptural (beaux-arts), entretenant toutefois un rapport intime avec ces mêmes champs » L’industrie relève un manque de ressources et d’espaces, on doit se questionner sur la voix dans laquelle elle doit s’engager. Notamment depuis les années 2000. http://www.la-fabrique.fr Ce site est un peu de la propagande, qui a pour objectif de revaloriser ce secteur (respect de l’environnement). Il fait appelle a plusieurs références. « l’homme est à la fois homo faber (qui produit) et homo prometheus (qui fabrique et transforme en même temps). L’homme a toujours eu cette double capacité à se représenter le monde et à agir sur lui, l’homme se fabrique des mondes au travers de médiations symboliques et matérielles, càd que l’homme se construit ses réalités en modifiant le monde, l’idée ne va jamais sans l’outil » « le Geste et la Parole » André Leroi-Gourdhan : ethnologue, archéologue, spécialiste de la préhistoire.

L’art (créativité)

L’industrie (technique)

L’industrie (technique)

L’art (créativité)

PRODUIT « Briser le mur d’orgueil entre l’art et l’industrie »

« L’art avec son temps » : on est artiste et on veut intervenir sur un mouvement déjà créé (va se servir de l’industriel) l’art qui suit son temps. « L’art en son temps » : s’investie dans la modification de la société, l’art qui créé son temps. L’arcelormittal, spécialiste de l’acier. L’industrie a développé des systèmes pour réaliser les exigences des artistes. Souvent les nouvelles techniques sont réalisées après. L’industrie influe tous les domaines (manufacture, sidérurgie) : l’art a servit l’industrie. L’industrie transforme totalement la société mais l’art veut vivre avec son temps, donc il faut travailler avec l’industrie : l’art a couru derrière l’indus (reproduire le style industriel). L’art doit être en son temps pour suivre la dynamique du design. Les AA sont des notions évolutives, non définitives. C’est grâce à l’opposition artindustrie que naissent les espaces de créativité, au delà des incompatibilités. Mais on continue à étudier des mondes parallèles qui deviendront les domaines de demain, sans esquiver les domaines déjà connus. Pour faire du design il faut s’engager dans la société et faire face aux problèmes sociaux, économiques et politique. E. GOMBRICH (Autriche) « l’Histoire de l’Art » (1950), un ouvrage de l’histoire de l’art des plus célèbres. - La révolution permanente. Le XIXème - A la recherche de critères nouveaux. La fin du XIXème - Un art d’expérimentation. 1ère moitié du XXème Changement des modes de vie, émergence de nouvelles formes d’art. Car : - Révolution industrielle, révolution sociale, intellectuelle et technologique - Apparition du produit en parallèle à l’oeuvre - « Passer de l’oeuvre au produit » la productivité va faire basculer la société du monde artisanal ou paysan vers un monde industriel. Cette inscription du produit au coté de l’oeuvre, c’est le résultat du basculement d’une société. Henri Cole en 1849 à inventé le mot « design »

L’oeuvre et le Produit, L’oeuvre et la Société Ce sont de nouveaux modes de fabrication, de procédés techniques, la maitrise de nouveaux matériaux et l’apparition de la notion de productivité. Les artisans ne peuvent pas reproduire les produits de manière identique car le travail est fait à la main, contrairement à l’industriel. L’avènement des AA et du design s’inscrit dans le mouvement global d’une époque. Il est important de préciser que les transformations n’ont pas lieu de manière synchrone dans toute l’Europe. La société va évoluer, changer de place dans le monde car production de masse, et reproduction.

Pont de Colbrsokdale, GB, 1777-1779, premier pont en acier, production de masse de pièces de grandes dimensions, plusieurs pièces assemblées, de bonne qualité.

Nous sommes dans la révolution technique des procédés. C’est la naissance des hauts fourneaux qui vont permettre de faire de la fonde de qualité et de produire en série. Le pont a été construit par une industrie familiale. Le coke est un charbon fortement chauffé (nouvelle invention) qui pousse la résistance mécanique et thermique à remplacer le charbon traditionnel. Crystal Palace, 1851, Expo Universelle de Londres

Reproduction des pièces en masse, pour l’assemblage, c’est un préfabriqué construit par Joseph PAXTON, qui était jardinier de formation et propose la construction d’une immense serre en s’inspirant des nénuphars géants. Il ne sera pas autant reconnu comme un architecte. 80 000m2 d’expo, 39m de hauteur sans barrage. Ce bâtiment a été monté puis démonté pour se monter de nouveau ailleurs.

Beaubourg, 1er appel à projet en France en 1971 qui servira à la culture française, ove arrup and partners : agence qui a construit le projet (ingénieurs) + des architectes Piano and Rogers associés. Peter RICE (ingénieur) : Arche de la Défense, Beaubourg, Opéra de Sydney… Beaubourg est un bâtiment construit totalement en acier, sous la gouvernance de Pompidou. Mouvement anglais qui développe une architecture purement théorique sans fondations, utopiste, et qui va être publiée sous forme de dessin et de parution dans la revue ArchiGram. « Plug In City » « la ville devient un organisme ».

Pont GERBER sur le main, à Hassfurt (1866-67) le plus vieux pont de métal construit en porte-à-faux. Il est construit de 3 portées, 26m, 42m et 26m. Cela a inspiré la construction de la structure de Beaubourg : la Gerberette qui a une forme particulière « le pièce commençait à exprimer très visiblement ce qu’il se passait, sa forme était presque le diagramme structurel de la force qui s’exerçait sur elle. Les exigences du moulage s’exprimaient dans l’épaisseur des parties supérieures et

inférieures. L’ensemble était visible, le système était presque l’incarnation de son propre fonctionnement ». Peter RICE Ces 3 projets s’inscrivent dans un contexte social, éco et politique. Leur forme est directement influencée par ces contextes. Beaucoup d’avancés dans le milieu du béton, la matière la plus utilisées. Enormes évolutions aussi dans l’acier. Dans la construction de Beaubourg, il y a une volonté diplomatique, des enjeux politiques (en pleine guerre froide), les gerberettes ont été construites par les allemands car les anglais n’ont pas réussit, pas assez solides. La construction de Beaubourg est une révolution. L’art appliqué comprend : - l’ingénieur - l’architecte - le designer

Tous les 3 des concepteurs (pas créateurs) Car le créatif peut exister dans inventions et techniques, la conception a des exigences (la société).

Peter Rice recherche le fonctionnement, comment elle va durer dans le temps, ce qu’elle va devenir. Jean PROUVE (1901-1984) architecte et designer français, il est autodidacte, co fondateur en 1930 de la fondation d’artistes UAM (Union des Artistes Modernes) puis créé son entreprise en 1931, la société anonyme des ateliers Jean PROUVE La table compas (1948)

Elle est caractérisé par la mise en forme de la feuille d’acier par pliage et soudure. La hauteur est standard (72cm) avec une largeur variable de 70 à 90 cm. Elle obéit à un même principe structure, un axe transversale en acier tubulaire sur lequel sont fixés les 4 pieds fuselés en section triangulaire. Taule pliée soudée et laquée. La chaise standard, acier bois (1934)

La force est appuyée sur les pieds arrière, d’où le renforcement des pieds, car lui même se basculait souvent en arrière ce petit coquin.

Concept FIAT VSS IDEA (1978-1981) Renzo Piano/ Peter Rice s’allient pour la conception d’un voiture, ils ont réfléchit à comment améliorer l’assemblage des voitures en taule. Le coffre est interchangeable, plusieurs possibilités de pliages. Tout deux sont intéressés par l’idée que l’éco de moyen et de matière peut aller avec l’efficacité, la structuration par le pli permet à J Prouvé de s’y engager avec efficacité. « Construire des maisons des meubles comme des voitures ». Vélo acier plié J.Prouvé (1948) Utilisé dans les grandes usines.

Il voulait construire une maison (la maison tropicale) de façon efficace et rapide, construire sans grues, seulement avec 2 ou 3 hommes, maison construite à base d’éléments individuels. Même système que la table, inspiration du compas. La société va refuser la démarche de Jean Prouvé Element central de - Peter Rice : la gerberette - Paxon : fondation d’une serre - Jean Prouvé : le compas Ces 3 hommes sont des structuralistes, ils mènent une industrialisation du détail. Là où ils se distinguent de l’indus et de ses intentions c’est par la recherche de la structure élémentaire (point de départ du concept). Pour certaines personnes le design est une discipline qui créé des systèmes. J Prouvé ne trouve pas que les concepteurs de son époque parviennent à marquer leur temps sinon par l’exception. Il faut de l’intention pour créer un procédé « pourquoi cette forme? pourquoi ce matériau? » « on fait tout avec n’importe quoi, pourvu que ça ressemble à quelque chose de connu ».

La maison de J Prouvé « l’échec des machines à habiter », construite en 1954 près de Nancy sur une colline. Son regret c’est qu’il n’y ait pas dans l’indus plus d’importance accordée aux détails. Entre artisan, art et indus, Prouvé choisit d’être de son temps sans compromis. Sa prof s’apparente à qu’on pourrait appeler de l’art-industrie et de l’industrieart (arts appliqués) En arts appliqués on est plus des cultivateurs que des ouvriers car on doit extraire un fruit de notre travail alors que l’ouvrier se contente de modeler les choses. Prouvé est un cultivateur car il interroge la matière et la forme à découvrir. Mort en 1984, article rédigé par une architecte en son honneur « s’il était en avant des formes, c’st aussi parce qu’il était en avant des matériaux nouveaux et de leur mise en oeuvre ». Il a était président du jury du concours d’architecture en 1971 c’est P Rice qui va gagner le concours en présentant le projet de Beaubourg, de plus le projet était présenté par des jeunes, ce qui a plu au jury. Il a aussi était directeur d’un bureau d’architecte à Paris. P Rice dit de J Prouvé que c’était un grand inventeur, qui a une grande maitrise des matériaux et processus. « jusqu’à la fin du XIX ème, au début de la révolution indus, les ingénieurs étaient des ingénieurs naturels ». Pour concevoir il ne faut pas se réduire à garantir des solutions, il a une nécessité de prendre des risques, une démarche de conception est une démarche à risque. Ce qui caractérise le design c’est la notion d’incertitude et l’hésitation dans la conception. Les idées fortes qui se dégagent sont l’esprit de la matière dont font preuve les concepteurs designers ainsi que l’importance accordée à la structure élémentaire qui permet aux ingénieurs d’innover au delà de ses limites. Au delà de cette de cette idée d’art appliqué à l’industrie, c’est bien la posture qui est remarquable et qui détermine les possibilités d’analyse de notre discipline. « Les grandes interrogations portées par le bas dans ces divers champs d’activités ne sont pas développés dans une société simplement indus, mais dans un monde touché depuis quelques décennies par une révolution dans l’indus » Un dispositif de représentation est une notion très récente mise en avant par des enseignants de la fac Jean Jaurès : on ne va pas voir les choses de la même façon avant et après la révolution indus. Un dispositif est d’abord un espace, un espace concret, posé, un lieu avec des personnages. L’espace de représentation constitue la dimension géométrale du dispositif.

Un dispositif de représentation se trouve partout (cinéma, publicité, théâtre…) chaque époque a ses codes pour mettre en place des D de R.

William Turner (1844) Pluie, vapeur, vitesse « l’organisation signifiante de l’espace constitue la dimension symbolique du dispositif de représentation » L’organisation signifiante ici est l’impressionnisme, qui veut représenter la vitesse du mécanisme technique. Son DR va pour la fascination pour la technique et tous les phénomènes sociaux (la vitesse, sensation de liberté, les trajets plus rapides). William Turner est un peintre du sublime, l’opposition de la réalité et de la fatalité, comment l’homme est fragile face à la nature. Ici l’innovation qui ne cesse d’augmenter et dont l’homme ne pourra rien faire face à ça. « la Gare Saint-Lazare » Claude Monet (1877) Le point de vu sur la modernité est différent de celui de W. Turner. Car il est réticent à l’avénement de ces grandes structures. L’impressionnisme se met au service de la modernité, le flou de la modernité et des objets de l’industrie vis à vis de l’arrivée de la vitesse. C. Monnet est un observateur sensible de la ville moderne, symbole de l’âge indus.

Technique et esthétique Inventeur de la photographie; Nicéphore Niépce en 1826, réalise le premier cliché photographique « point de vue du Gras ». La photographie est l’un des premiers actes de mécanisation d’un dispositif de représentation, l’oeuvre devient un produit, reproductible à l’infini et à l’identique. La photographie est la première rencontre entre la technique indus et l’esthétique. Walter Benjamin « elle parvient à standardiser l’unique ». Grace à la reproduction mécaniser on va pouvoir reproduire des oeuvres.

La valeur d’usage

l’oeuvre (le rituel) le produit (l’ensemble de fonction) La photographie, au delà d’être un produit, elle est aussi un oeil de l’époque industrielle, l’oeil du changement technique et social. Elle va vite évoluer par l’intermédiaire de Kodak et enfin du cinéma qui est une reproduction rapide de photographies. « Si la photographie produit des visibilité modernes, c’est parce que éclairage qu’elle jette sur les choses et le monde est en raisonnante avec quelqu’uns des grands principes modernes, ses façons et ses enjeux, ses raisons, ses modèles, et son plan. Expo universelle de 1889 par Alphonse Liébart présentant la Tour Eiffel. « 200 Campbell’s Soup Cans » sérigraphie Andy Warhol 1962 Critique de la société de consommation. Utilise la sérigraphie en acrylique pour faire passer un message. Il va détourner les systèmes de peinture. Ici l’oeuvre est directement en contact avec la politique, l’éco, le marché.

Marcel Duchamp (1887-1968) peintre, plasticien, homme de lettre français. Il va créer des « ready made » (déjà fait) car il utilise des objets qui sortent de la création industrielle. « Fontaine » 1917 un urinoir exposé à NY par M.Duchamp. L’oeuvre qui a fait polémique car c’est un objet intime et sale, de plus aucune modification n’a été ajoutée. C’est l’acte d’exposer cet objet qui fait l’oeuvre. Il va questionner son art en fonction des techniques, créé des tableaux qui s’inspire directement d’une photographie (la chrono photographie, « l’homme qui marche ») ici et va produire « Nu descendant l’escalier » En 1872 Edward Muybridge a photographier « le galop de Daisy » à l’aide de plusieurs appareils photos se décalant avec un temps de décalage pour voir si les chevaux touchent le sol lors de l’extension.

Chrono Photographie : technique photographique qui consiste à prendre une succession très rapide de photo et permettant de décomposer chronologiquement les phases successives d’un mouvement. L’ancêtre du cinéma car c’est l’animation de la photographie. Yves Deforge est un technicien qui parle de la technique dans « l’oeuvre et le produit » « il y a oeuvre quand la fonction de signe l’emporte sur la fonction d’utilité et/ou quand il a apparence (pour le consommateur) de singularité » « il y a produit quand la fonction d’utilité l’emporte sur la fonction de signe et/ou quand il y a apparence (pour le consommateur) de banalité » « en ce qui concerne la production, il y a oeuvre quand un créateur et/ou un réalisateur, mettent en oeuvre des processus originaux (pour eux) avec affectivité » « Celui qui manque de culture technique vit dans l’ignorance de son propre milieu, il se trouve doublement aliéné » Les designers vont créer dans les années 90 la culture technique qui consiste à considérer la technique comme un milieu de vie et d’existence plutôt qu’un simple moyen de faire. L’objet photo va devenir un document photo et non plus une oeuvre en 1898, des clichés de rues parisiennes par Eugène Atget pour représenter Paris qui est une société en transformation totale, il va filmer la déconstruction du vieux Paris. Images documentaires dans d’autres pays « le terminus de la gare aux chevaux à NY » Alfred Stieglitz qui montre le dernier tram tiré par des chevaux. « l’art pour l’art c’est une théologie de l’art » Walter Benjamin estime qu’il y a du sacré derrière l’art. « L’art pure est un art refusant toutes fonctions sociales mais aussi toutes détermination par le biais d’un sujet concret » L’art n,’est plus ce qu’il était sous l’influence de l’industrie. Le portrait d’une population au portrait d’une économie : critique photographique d’Eugène Atget, démontre la situation économique et politique de l’époque, la révolution industrielle profite à une seule partie de...


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