Intro a la comptabilité PDF PDF

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Course Introduction à la comptabilité
Institution Université de Bordeaux
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Introduction à la comptabilité [email protected] 2 controles en TD sur 30 examen final 20 2 heures, QCM, questions de cours, exercices et cas C. Disle, R Maéso et M Méau «! introduction à la comptabilité général!» édition dunod. un résume de la liste des comptes du PCG Une calculatrice Espace de cours en ligne : IALCE

Chapitre 1 : qu’est ce que la comptabilité ? Introduction : Comptabilité omniprésente aujourd’hui dans tout les champs de la vie économique. Concerne tous les agents économiques ( entreprises, ménages) mais également les autres (administrations, associations. La comptabilité est un langage. On parle de système d’infirmations comptable : il fournit de l’information aux agents. Lorsque l’entreprise fait sa comptabilité elle donne de l’information à un certains nombres de personnes. - A qui ? : a beaucoup de gens : les parties prenantes ( les actionnaires ou investisseurs, l’état ( TVA → impôt), administration, les banques, salariés, concurrents, clients, fournisseurs. Historique de la comptabilité - Comment ? système codifié et unifié. Elle a des règles précises. On fait de la comptabilité pour quelque chose, elle a un sens. Quelles sont les caractéristiques générales de la comptabilité? 1/ L’historique. Elle date du début de l’humanité, puisque l’on a les premières traces néolithiques. Dans comptabilité il y a «! compter! », on comptait les produits de la chasses et on enregistrait l’infirmation par gravures ( os, grottes ). Il fallait garder des traces afin de préserver et transmettre l’information. Dans l’Antiquité avec l’essor du commerce, on a un développement de la technique comptable, chez les romains on a la notion de compte et de «!débit/crédit!» (registres de commerce). Les registres de commerces enregistraient seulement les flux monétaires : cela s’appelle une comptabilité de caisse ou une comptabilité en partie simple. Révolution comptable au 15 ème siècle acec l’apparition de la comptabilité en partie double: on enregistre les flux monétaires et les flux réels, physiques ( marchandises, dettes, créances). La comptabilité donne beaucoup plus d’informations. Il est encore en vigueur aujourd’hui. La comptabilité en partie double vient en fait de la pratique des marchands vénitiens, il s’agissait de cités-états, il fallait prévoir une comptabilité en partie double, afin de donner d’avantages d’infirmations. Elle a été popularisée par Luca Parioli qui a diffusé cette pratique et qui théorise la comptabilité en partie double. Il s’agit d’un moine franciscain ( 1445-1517) : traité de mathématiques (1494). Après la Renaissance, diffusion en Europe, est ajd utilisée par toutes les entreprises dans le Monde. XX ème siècle : apparition de la calculatrice et de l’ordinateur. Tentatives de comptabilité en parties multiples mais n’a pas fonctionné. Au XX ème : essor des normes internationales(IFRS), comptabilité c’est aussi un contexte et pas seulement une technique, cela se fait dans le contexte du cadre conceptuel. On a 2 visions de la comptabilité en tant que technique.

- européenne : toutes les parties prenantes sans en privilégier. traditions, centralisation sur l’Etat (il doit légiférer) - anglo-saxonne: elle est tournée pour l’investisseur ou l’actionnaire. Elle est «! plus financière!». Ici ce sont des professionnels. On reproche au niveau international aux règles de compta d’être trop financières. C’est un outil relatif, contingent. II/ Définition, rôle et objectifs . A/ Définitions de la comptabilité. Il existe 4 sortes de comptabilité - la comptabilité idée «!financière!» (ou externe) - la comptabilité de «!gestion!» (ou interne) : elle s’intéresse au calcul des coûts - la comptabilité «! publique! » : comptabilité des administrations, règle ≠ de la comptabilité financière - la comptabilité «!nationale!» 3 définitions de la comptabilité: - Plan comptable général ( PCG) français : la comptabilité est un système d’organisation de l’information comptable : il permet de présenter une image fidèle du patrimoine, de la situation financière, et du résultat de l’entité. La comptabilité est une représentation. - Le FASB ( normes comptable américaine ): fournir une information utile aux actionnaires/ investisseurs et aux autres parties prenantes. Vision financière, tourné vers le résultat. - L’IASB (normes comptables internationales) : représentation de la situation de l’entreprise, l’objectif est de fournir des infirmations à un large éventail d’utilisateurs. Informations sont tournés vers la situation et la performance financière et les flux de trésorerie Définition : contingente. vision actionariale (EU) ≠ vision partenariale ( europe) B/ Rôle de la comptabilité. 3 roles : - moyen de preuves qu’une réalité a eu lieu, il faut faire un enregistrement régulier et exacte des opérations. (ex : paiement d’un client) - c’est aussi un moyen de contrôle : permet de contrôler en recoupant des informations ( ex : recouper l’extrait bancaire avec le compte 512) - un outil de gestion : avec tout les chiffres on peut faire de l’analyse financière et porter un diagnostic (est ce que je gagne de l’argent? est ce que je gagne suffisamment ? ) C/ Objectif de la comptabilité. Fournir de l’information mais cette information est standardisée a travers 3 choses: le bilan, le compte de résultats et les annexes. Il s’agit des états financiers. Il y a des éléments pour chaque partie prenante. Remarque : on constate un écart entre les producteurs d’informations et les utilisateurs d’informations comptables. C’est l’asymétrie d’informations. Les producteurs d’info sont les entreprises. Le compatibilité a pour but de donner de l’information aux parties prenantes.

Conclusion: 2 visions actionariale et partenariale. nécessité de comprendre le contexte comptable.

Chapitre 2 : la normalisation comptable. La normalisation est importante parce qu’elle donne les définitions de la norme comptable. Elle doit avoir un ordre commun à toutes les entreprises pour plusieurs raisons : - pour avoir les mêmes définitions entre les entreprises - pour avoir les memes méthodes à des fins de comparaisons ( entre pays, secteurs d’activités, entreprises). Pour avoir une certaine homogénéité des pratiques comptables, il y a nécessité de normaliser la comptabilité et de définir le cadre général. Quels sont les éléments du cadre conceptuel comptable et pourquoi la normalisation de la comptabilité est-elle importante ? I.

Qu’est ce que la normalisation comptable ?

A/ Définitions : C’est un ensemble de règles, définitions et concepts homogènes qui régit un cadre conceptuel donné. Qu’y a t-il dans la mondialisation ? - objets comptables - méthodes de traitements des chiffres et évaluations - procédures /options possibles en matière de comptabilité B/ Intérêts et limites L’intérêt est d’avoir un cadre de référence unique et donc permet d’homogénéiser toutes les pratiques : fiscales et sociales. exemple : taux IS : impôts sur les sociétés. En France on est à 33% (1/3). Irlande 12,5%. EU 30% La limite est le risque de privilégier certaines parties prenantes. Aujourd’hui les normes IFRS sont très financières, on privilégie plutôt les actionnaires. II/ Les institutions de normalisation A/ Les organismes nationaux Chaque pays à une institution comptable qui s’occupe spécifiquement de la comptabilité. 2 visions : - européenne : il s’agit d’un service public de l’état. C’est le ministère de l’économie qui en a la charge. - états unis : associations professionnelles privées. L’état n’a pas de mains direct la dessus (financiers, banquiers, auditeurs). En France : l’ANC : l’autorité des normes comptables crée en 2009 ( fusion de deux organismes) dépend du ministère de l’économie. Qui ? des directeurs financiers, des banquiers, des experts comptables, commissaires aux comptes, fonctionnaires de l’administration fiscale, universitaires. Que fait-elle ? - établie des règlements qui donnent des prescriptions comptables. (comment faut-il faire ?) elles peuvent être générales ou sectorielles - si une loi relative à la comptabilité est en discussion au parlement : l’ANC donne son avis en tant qu’expert - l’ANC peut également émettre des avis et des prises de postions sur des normes comptables internationales

- elle participe aux travaux théoriques sur la comptabilité (recherche académique ). Doctrine. Formes : études et recommandations. B/ Les organismes internationaux: L’IASB : international Accounting Standard Board ils édictent les normes internationales IAS et les normes IFRS (international financial Reporting Standard) Aujourd’hui : 28 normes IAS, 15 IFRS Pourquoi un tel changement de nom ? la norme IFRS se concentre d’avantage sur fournir de l’infirmation financière et on perd la notion d’image fidèle. Elle devient de plus en plus financière et très centré sur les actionnaires. Comment sont élaborés les normes : elles sont faites selon une procédure le «! due process!» (démocratique) - l’IASB soumet sur son site ( eifrs.org ) un projet de norme. - collecte des avis de toutes personnes intéressés ( débats) - synthèse des avis et l’IASB adopte la norme définitive L’UE doit ratifier par une directive la norme IFRS adoptée. Processus plutôt consultatif. Normalisation: définitions : L’IAS 1 définit l’information comptable est résumé dans les états financiers, il a 3 éléments indissociables : - bilan : représente le patrimoine de l’entreprise : actif ( ce que l’on possède) et passif ( ce que l’entreprise doit ). On le fait à la fin de l’exercice comptable (période comptable = 1 an) - compte de résultat enrichissement net de l’entreprise sur l’exercice. Résultat qui va être la différence entre les produits moins les charges, - annexes : documents qui précisent les chiffres du bilan et du CDR ( compte de résultat). III/ Le plan comptable général français (PCG) A/ Historique et contenu. Il date de 1947. Inspiré du plan Goering 1942. Les comptes étaient hiérarchisés «! en cascade! ». Logique de compte et de sous comptes, les chiffres qui servent à la numérotation ont une signification. Il y a eu un certains nombre de réformes, des plans comptables générales 1982, 1986, 1999 ( a été faite pour intégrer les nomes comptable internationale) . Dans le PCG il y a 3 éléments: - des définitions et des règles générales (IAS 1) - principes comptables - classification des comptes. B/ Les principes comptables : Ces principes sous-tendent toutes les règles comptables et les techniques. 10 principes comptables : - principe de non compensation : Les éléments d’actifs et de passif doivent être évalués séparément. Aucune compensation ne peut être opérée entre les postes ( lignes du bilan et du compte de résultat) d’actifs et de passifs du bilan ou entre les postes de charges et de produits du compte de résultat. exemple : E entreprise et F fournisseur E doit 1000€ à F et F doit à E : 200 € : je ne peux pas enregistrer E doit à F 800€ - principe de permanences des méthodes : A moins qu’un changement exceptionnel n’intervienne dans la situation du commerçant, personne physique ou morale, la présentation des comptes annuels comme les méthodes d’évaluation retenues ne peuvent

être modifiées d’un exercice à l’autre. Si des modifications interviennent, elles sont décrites et justifiées dans l’annexe. sauf exception on ne change pas les méthodes comptables utilisées. ceci permet les comparaisons dans le temps. - principe de prudence : la comptabilité est établie sur la base d’appréciations prudentes, pour éviter le risque de transfert, sur des périodes à venir, d’incertitudes présentes susceptibles de grever le patrimoine et le résultat de l’entreprise. (pertes réelles ou potentielles (latentes) : comptabilité pessimiste, les gains : que les gains réels sont enregistrés. - principe de continuité d’exploitation : Pour l’établissement des comptes annuels, le commerçant, personne physique ou morale est présumé poursuivre ses activités . hypothèse : pas dans une situations de liquidation/ faillite . Cadre : normal - principe d’indépendance des exercices : les différents utilisateurs de l’information comptable ( propriétaires, dirigeants, personnel, tiers et l’Etat) ont besoin d’informations périodiques. Il faut déterminer les résultats de la gestion passée de l’entreprise et prévoir les résultats futurs, et donc découper la vie continue des entreprises en périodes ou en exercices comptables. De plus, les charges et les produits appartiennent à un exercice déterminé. - principe d’intangibilité du bilan d’ouverture : le bilan d’ouverture d’un exercice doit correspondre au bilan de clôture de l’exercice précédent. - principe des couts historiques (ou nominalisme): la comptabilité utilise l’unité monétaire sans tenir compte des variations de son pouvoir d’achat. Il suppose donc que l’unité monétaire est une unité de mesure stable et que l’on peut additionner les unités monétaires de différentes époques ( pas d’actualisation) exemple : 100€ ajd avec taux d’intérêt de 6%/ 105 € dans 1 an. → taux d’intérêt : valeur € varie dans le temps. L’inflation entre en jeu aussi. - principe de l’importance relative : la régularité et la sincérité des comptes s’apprécient par rapport à la traduction de la connaissance que les dirigeants ont de la réalité et de l’importance relative des évènements enregistrés. la comptabilité est construite en fonction de l’information disponible. - principe de bonne information : au de la de la conformité aux règles et aux principes, le problème essentiel est d’apporter aux différents utilisateurs des documents financiers, une information satisfaisante, c’est à dire une information suffisante et significative pour les comprendre. - principe de prééminence de la substance sur la forme ( de la réalité sur l’apparence ): la comptabilité traduit l’information en privilégiant la réalité économique de l’opération, plutôt que la forme ou les modalités de celle-ci. Dans le cas de certaines transactions, il existe des difficultés pour résoudre des problèmes comptables d’application, les uns voulant traduire l’opération juridique, les autres la réalité financière. C/ La nomenclature des comptes . Il y a 8 classes de comptes numérotés de 1 à 8: - les classes 1 à 5 comprennent tout les comptes de bilan - classes 6 et 7 : comptes → compte de résultat - classe 8 spéciaux Définition d’un compte : un compte est un tableau a deux colonnes qui contient une information comptable spécifique. Une colonne comptabilise les augmentations du compte, et l’autre comptabilise les diminutions du compte. 3 éléments dans un compte : - son numéro : il se lit de gauche à droite. Exemple : 215 : 1er chiffre → classe du compte 2ème chiffre → sous compte etc. - l’intitulé du compte : nom de l’objet comptable - solde du compte : niveau du compte en unité monétaire €

Débit

Numéro et intitulé

Crédit

Solde ( débiteur ou créditeur ) Détail des classes de comptes :

- Classe 1 : comptes de capitaux : ensemble des moyens de financements propres et externes à long termes ( captal social, réserves, bénéfice(résultats), dettes à long terme, subventions) - capital social → apports des actionnaires - réserves → bénéfices passés - résultats : bénéfice/ perte de l’année. - dettes → emprunts auprès des banques

- Classe 2 : comptes d’immobilisation : ensemble des actifs destinés à rester durablement dans l’entreprise. Il s’agit des biens durables. ( plus d’1 an) - immobilisations incorporelles : immatériels → brevets : 20 ans en monopole → marques : 10 ans → logiciel - immobilisations corporelles - immobilisations financières : titres financiers de long terme : actions (tires de propriétés d’une entreprise) / obligations ( titres de créance)

- Classe 3 : comptes de stocks et en-cours : ensemble des biens et services qui interviennent dans le cycle d’exploitation de l’entreprise. - stocks de matières premières, produits finis, marchandises.

- Classe 4 : comptes de tiers : comprennent les opérations (créances et dettes) à court terme réalisés avec d’autres agents ( fournisseurs, clients, état, salariés..)

- Classe 5 : comptes financiers : ensemble des avoirs monétaires ainsi que les actifs très liquides - VMP ( 50) : titres financiers de court terme + comptes bancaires de l’entreprise. - Classe 6 : comptes de charges : sommes et valeurs versés ou à verser en contrepartie de biens et services consommés par l’entreprise, en exécution d’une obligation légale, ou exceptionnellement sans contrepartie. Il existe ≠ types de charges: - exploitation : - financières : résulte d’une activité financière, intérêt payé, titres financiers, perte de change. - exceptionnelles : ponctuelles

- Classe 7 : comptes de produits = enrichissements. Ensemble des sommes ou valeurs reçues ou à recevoir en contrepartie des activité réalisé par l’entreprise - produits d’exploitations - produits financiers - produits exceptionnels

Conclusion : - Payer moins d’impôts en optimisant les opérations ( transferts de résultats, d’actifs et de passifs) Chapitre 3 : L’analyse La comptabilité est un langage traduit une image fidèle. On passe de la réalité vers les états financiers ( bilan, compte de résultat, annexes ) Quelles sont les bases de fonctionnement de la comptabilité qui lui permettent de traduire la réalité des entreprises? I/ Les états financiers : le bilan et le compte de résultat 1 / Le bilan A/ Exemple simple. Exemple de compte de résultats : on a les charges (-) et les produits (+) Exemple de bilan actifs : ( ce que je possède : le K) et le passif ( ce que je dois des ressources, financement ce que je devrais rendre). Le bilan est équilibré : actif = passif compte de résultat équilibré par son solde : → positif : P-C > 0 : bénéfice → négatif : P-C < 0 : perte Perte : P-C = E ; 90 - 105 = - 15 P-C-E = 0 → équilibre B/ L’information comptable hiérarchisée : structure des états financiers et classes de comptes Classes 1 à 5 : bilan Classes 6 et 7 : compte de résultat Où ? Dans le bilan Actif

Liquidité croissante

Bilan

Classe 2

Classe 1

Classe 3

Classe

Classe 4

Passif

Exigibilité croissante

Classe 5

Classe 1 : passif Question : est-ce que je dois ou je possède l’élément de la classe concernée Capital : appartient à l’actionnaire, l’entreprise lui doit Classe 2 : actif Classe 3 : actif Classe 4 : actif & passif : il y a deux types de compte : les comptes de créances et les comptes de dettes. Les créances se retrouvent à l’actif et les dettes au passif. Classe 5 : actif

Ordre dans l’actif/passif : Dans l’actif c’est classé par liquidité croissante: liquidité : capacité d’un actif à être transformé en monnaie. Dans le passif : on a une classification par exigibilité croissante. exigibilité : échéance plus ou moins lointaine pour honorer un passif. Capital social : très peu exigible, car destiné à rester longtemps dans l’entreprise . Les dettes de court termes comme les dettes fournisseurs et les dettes de l’impôt sont très exigibles. En bas du passif : découverts bancaires, (CBC : concours bancaires courants ): ils sont fortement exigibles. 2/ Le compte de résultat : Les charges et les produits sont classés par nature ( exploitation, financier, exceptionnel) Exploitation : lié à l’activité principale de l’entreprise Compte de 60 à 65 / 70 à 75 Financier : tout éléments lié à une activité financière ( paiement d’un intérêt, titre financier, ou une devise ) 66/76 Exceptionnel : ce sont des éléments ponctuels qui ne sont pas li! »s à l’exploitation ni au financier 67/77 Charges Classement par nature : - Exploitation - Financier - Exceptionnel

Compte de résultat

Classe 6

Produits Classement par nature : - Exploitation - Financier - Exceptionnel

Classe 7

II / La notion de flux et de quantité. A/ Définitions

Flux entrants

Flux sortants Quantité

Flux : Mouvement d’une quantité Quantité : grandeur à un moment donné En comptabilité le flux et le mouvement d’un compte et la quantité et le contenu du compte. Les flux peuvent être monétaires et réels. B/ Méthodes et applications. Méthode pour caractériser la réalité économique: - identifier les agents concernés - identifier les flux entre agents - repérer les conséquences sur les q...


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