Roger Chartier synthèse PDF

Title Roger Chartier synthèse
Author Juliette Poitte
Course Histoire et Communication
Institution Université Sorbonne Nouvelle
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Summary

synthèse du livre de Roger Chartier pour la préparation d'un examen de Mme Marcil...


Description

Roger Chartier, lectures et lecteurs dans la France d’Ancien Régime, Seuil,1987

Chapitre 3 : stratégies éditoriales et lectures populaires (1530-1660)

Il part d’un constat : bien qu’entre 16 et 18e siècle, l’alphabétisation est faible ou l’essentiel demeurent la parole et l’image, mais l’écrit imprimé joue un rôle important dans la circulation des modèles culturelles (la religion par ex). La culture du plus grand nombre est pénétrée par le livre aves ses formes neuves et son utilisation diverge. Axes du texte : - le livre avec ses mutations - Son usage ainsi que les stratégies d’éditeurs pour vendre et la manière dont lisent les lecteurs même ceux analphabètes pour avoir accès à la culture. Borne chronologique = 1530 (le livre imprimé s’affranchi du livre manuscrit) & 1660(censure de la politique monarchique avec la parution de diff édits) Chartier S’intéresse à la présence des livres et autres imprimés chez ceux qui n’appartiennent pas à l’élite. Il se demande si on peut reconnaitre une familiarité « populaire » avec le livre ou un marché nouveau s’ouvrirait pour les libraires. Les lecteurs « populaires » Expression de Daniel roche = tt ceux qui n’appartiennent à aucune des trois robes : le robe noire (clercs), la robe longue (avocats procureurs, hommes de médecine), la robe courte (les nobles). Les lecteurs populaires = les paysans, compagnons, maitres de métiers, ceux qualifiés de bourgeois. Our connaitre si ces milieux st familiers de l’imprimé, Chartier s’intéresse à une enquête réalisée à Amiens = une ville d’importance moyenne – un site urbain.

Constats de l’enquête Amiénoise : - Les possesseurs de livre présentent une minorité d’après les inventaires de 1503-1576= sur 4442 INVENTAIRES après décès, 887 mentionnent la présence de livre. - Le livre imprimé n’a pas été le privilège exclusif des notables il a touche une pop modeste car on remarque que les marchands st 259 à posséder des livres et 98 pour les gens de métiers ou artisans. - Le pourcentage des inventaires de livres est très variable en fonction des catégories sociales. Les nobles = 72% des inventaires avec livres. - Médiocrité des bibliothèques populaires : en moyenne les marchands possèdent 6 livres et les médecins 33. - Il y a qq exceptions 16 marchands et 2 artisans qui possèdent plus de 20 livres. - L’inégale distribution du livre à l’intérieur du monde des artisans et des gens du métier. Avec les travailleurs de la terre, alimentation, maçon qui st défavorisés en livre. A l’inverse ceux qui travaillent le bois, le cuir,métaux,tissus st familiers de l’imprimé.(cf la capacité à signer)

= le livre demeure rare chez les lecteurs populaires, possédé en très petit nombre + les possesseurs de livres st une minorité+ inégale répartition au sein du monde des artisans et gens du métiers. A Paris, (1601-1670) 1 siècle plus tard la part des marchands artisans dans les possesseurs de livre est moindre. Par ex = un vitrier dt l’inventaire de 1601 possède que 4 livres et un marchand drapier en 1606 lui aussi 4 ouvrages. A Grenoble, entre 1645 ET 1668 = le geste de l’achat = marchands et gens du métier 10% de sa clientèle : Grâce à la publication des comptes de jean Nicolas, un libraire = parmi les 460 clients identifiables les marchands et gens de métiers ne st que 49 = 10,6% de sa clientèle = les marchands et plus encore les artisans st des acheteurs rares au 17e .

Livres possédés et achetés = le primat du religieux

Les marchands et artisans amiénois achètent essentiellement au 17e siècle des livres d’heures. 48 % des marchands n’ont que des livres d’heures = seul type de livres possédes.et 33% pour les artisans. a cote des heures mais en moins grande quantité des bibles, missels. Il y a aussi des livres de pourtraicture qui st destines à l’exercice du métier avec des modèles patrons. = le livre d’heures constitue un marché fondamental pour l’édition du 16 siècle car il a la fois une clientèle de notables et une clientèle « populaire ». De plus le livre d’heure est bon marché t a fait à la portée des lecteurs démunis. A Grenoble chez Jean Nicolas, mi 18 -ème les ouvrages religieux constituent le tiers des livres achetés par marchands et artisans ; CES derniers achètent des bibles, livres de liturgie, livres de dévotion, littérature apologétique (défendre une position de façon cohérente) qu’ils soient catho ou réformés. Puis il vend ensuite des ouvrages achetés pour les enfants = abdc, livre de grammaire. La littérature du siècle comme Balzac ou l’histoire se font une place limitée. = les inventaires après décès amiénois et grenoblois dressent plusieurs constats : - Les lecteurs populaires ne forment qu’une minorité dans le public du livre - Cette minorité achetée seulement qq titres avec la primauté du religieux. Ainsi, il semblerait entre le 16 e et le 18e qu’il n’existe pas de public « populaire » spécifique dans le sens ou les libraires n’aurait pas intérêt à s’atteler s à imprime des livres pour ce public minoritaire. Il n’a pas d’attentes particulières de la part de ces lecteurs. Cela élimine l’hypothèse de l’existence d’un marché propre par les libraires en imprimant a grd nombre et bas prix.

Toutefois, Chartier nuance tt de suite son propos, au 16 et 18e siècle, le rapport à l’écrit n’implique pas forcement une lecture individuelle ou la possession du livre chez soi. Ainsi, le libraire conscient de ce constat vt instaurer des moyens pour parvenir à un lectorat le plus large possible.

A la ville, les maniements collectifs de l’imprimé

Le peuple urbain : l’écrit imprimé peut-être collectif ou médiatisé par une lecture à voix haute : 3 lieux pour ce faire : - l’atelier et la boutique ou les livres de techniques st consultes par le maitre et ses garçons pour guider le travail. - Les assemblées religieuses tenues dans les villes (aussi à la campagne) organisés par les prosélytes protestants. = vise a persuader, convaincre gagner des fidèles ou il y a des chants de psaumes et la lecture à vois haute de l’évangile pour mêler ceux qui lisent, ceux qui entendent et ceux qui apprennent et enseignent. Ces assemblées st permis par l’approvisionnement du commerce clandestin des livres imprimes à Genève et introduit par les colporteurs en France. = lieux ou s’opèrent en commun, l’apprentissage du livre. Le retour à la vraie foi est permis par l’écrit imprimé - Les confréries joyeuses soient de métiers ou de quartier ou se lisent et circulent des pièces imprimes au moment des festivités. Par ex, à Lyon, les « confrères de la coquille » prennent en charge la confection de l’imprimé et exhibent lors des défilés « des devises, imprimées en latin ou en français » ou ils donnent un commentaire écrit des ces devises dans des recueils. Cette confrérie joyeuse d’imprimeurs fait aussi imprimer des livrets pour l’occasion afin d’être échangés dt les festivals. = forme d’acculturation à l’écrit, élaboré en commun avec des gens qui lisent pour ceux qui ne peuvent pas(familier) ;

A la campagne, les veillées sans le livre = l’accès à des imprimé n’est pas permis à la campagne L’accès collectif connait 2 modalités : - Communautaire = la veillée paysanne : rares et tardives ft allusion a des jeux, danses, travaux mais PAS à la lecture des livres ; par ex description d’une veillée tenue à Lyon en 1548 chez Robin CHEVET : rien n’indique que chevet lit, on peut supposer qu’il l’a appris par cœur et que ces histoires appartiennent encore à l’oralité !!! pas d’acculturation à l’écrit. Ainsi, la mention des lectures faites lors des veilles paysannes st rares voire inexistantes elles ne permettent pas une familiarité avec l’imprimé dans les campagnes. - Seigneuriale = ex avec la chronique de sire de Gouberville, on sait qu’il lit e qu’entre lui et ses amis les livres circulent cependant la lecture seigneuriale est très rare aussi, moment d’exception. = alors que à la ville, nombreuses et diverses st les occasions de rencontrer l’imprimé, a la campagne l’écoute du livre reste un moment exceptionnel.

L’imprimé dans la cité : images et textes

La lecture ind et la simple audition de l’écrite existe donc en villes ds diff instances énumérés ci-dessus ; L’écrit TYPO EST proche même de ceux qui ne savent pas lire. Entre 1530 et 1560, dans les villes, le rapport à l’écrit n’est pas un rapport au livres en tant que patrimoine. La culture citadine correspond à une autre manière d’appréhender la lecture de manière différente que par le prisme d’un livre uniquement. L’acculturation typo passe par d’autres supports plus modestes. C’EST pour cela que les imprimeurs vt se hâter a produire des supports divers pour un lectorat large.

Les images volantes Le genre typo le plus éloigné de la culture écrite (présent mais en petite quantité dans les titres, légendes, commentaires) - Imprimés en grands formats ou le motif gravé constitue l’essentiel ! - Usages domestique et public : (mur de la chambre ou de l’atelier) et l’occasion de la fête du saint patron elles st distribués. - Image et textes = titulature de la confrérie, indication de l’église ou est érigé, historique de la confrérie, oraison en l’honneur du saint patron) - Alimentent la piété de ceux qui lisent ou non - Le plus souvent réalisés par imagiers, graveurs et imprimeurs d’estampes. JUSQUA fin du 16e ce st les ateliers de paris qui contrôlent le marché avec une gravure taillée sur bois puis gravure en taille douce. L’image religieuse évolue : gravure sur bois grands formats - petites images en taille douce de mme format que les livres. ==Ainsi double usage de la gravure = en image volante et en planche à l’intérieur d’un livre D’après la bibliothèque nationale, la part du religieux serait de 80% dans les gravures sur bois de la fin du 16e siècle. == les estampes st dominées par l’image religieuse. Autre domaine important de la production d’images volante sinon religieuses : L’imagerie politique : Durant les guerres de religions, guerre des images importantes entre Henri III et les De guise. Affrontement avec des représentations dévotieuses Ce qui engendra l’ordonnance de Henri iv pour supprimer tt les pieces concernées par la ligue. L’image du divertissement, satiriques et moralisatrices ou le texte tient encore moins de place que dans les estampes religieuses se limitant souvent à un commentaire en vers, explicatif. = favorise l’entrée du peuple urbain dans la culture de l’écrit imprimé.

Les placards : les canards et occasionnels reprennent leurs formats Les canards  une feuille de grand format avec un titre fait pour être vu et crié, une gravure sur bois et un texte descriptif dune 10aine de lignes= images et textes s’agencent. (Paraissent ss forme de brochure et de placards juste recto .)

Quelques occasionnels en format in folio liés à l’actu politique reprennent cette impression sur un seul recto (placards)portant en revanche un texte plus long que celui des images volantes et une image à la différence des placards. Les placards  vt moins être immédiatement populaire car ils recourent exclusivement à l’écrit. Cependant, vu qu’ils st affichés ils peuvent être lu par ceux qui savent pour ceux qui ne savent pas. =possibilité de nourrir la culture du plus grand nombre. == au 16 et 18e siècle, les imprimes ss des formes diverses permettent la double lecture (image et texte) == l’imprimerie a diffusé un modèle d’imprimé destiné à être affiché, collé aux murs des maisons églises (placards et images volantes). Elle a ainsi profondément transformé une culture privée au contact de l’écrit. Ces modifications ont permis aux analphabètes de se familiariser avec l’écrit ce qui a permis l’essor d’une alphabétisation urbaine accompagné d’une création d’un marché populaire.

Les canards : essor à partir de 1530 distribués par les colporteurs urbains -livret in quarto ‘grand formats’ ou in octavo’petits formats’ avec un petit nombre de pages entre 7 à 16 pages. (qq uns comme les occasionnels st parus en format in folio ss forme de placards.) - l’édition de ces livrets semblent augmenter au fil du temps car 8% ont été imprimés entre 1550 ET 1576 ; alors que 66% ont été imprimés entre 1600 et 1631(à nuancer par rapport a la conservation durable des livres pour le 17e s) ; - Entre 1530 ET 1630, ce st les imprimeurs libraires de paris et Lyon qui s’en charge. A paris, les imprimeurs ne st pas spécialisés dans cette prod de livres peu couteux à destination d’un public « populaire » ils font cela à l’occasion= c’est une activité à côté d’une autre.

A Lyon le marché est dominé par un imprimeur Benoit Rigaud : centrée sur l’édition de livres bon marché. - Le principe du réemploi lorsqu’on insère des images dans les canards, fait sur bois on réutilise le motif sur plusieurs éditions. De même pour le texte : on retrouve svt la même narration peut être reprise qq années plus tard. Par ex : l’histoire de la mort de marguerite de la rivière exécutée qui revient svt à des dates ou des lieux différents. - Contenu : crimes et exécutions (89 éditions), possessions diaboliques, miracles, tremblement de terre, les sacrilèges créatures monstrueuses. - =Lecture d’alphabétisé puisque le texte prime - Nourrit les imaginations citadines - Lu par public populaire mais aussi par les élites urbaines en meme temps qu’elles mettent de la distance avec cette lecture de seconde ZONE ; (Comment est-ce possible que les canards qui st essentiellement écrit permettent lecteurs mal habiles qui passent par l’oral pour comprendre ce qu’il déchiffre. Les canards permettent l’apprentissage car ce n’est pas rébarbatif pour eux vu qu’il n’y a pas bcp de pages.)

Est-ce que Chartier dit que les livres bleus st lus par tt les français ou bien ils st lus par les habitants de la ville et ceux de la campagne ne les lisent pas. En France il y a de l’écrit qui circulent quotidiennement dans les villes qui savent lire un peu ou pas bcp alors que les campagnes st à l’écart jusqu’ au début du 18e. Acculturation : les citadins st en contact avec des imprimés, canards placards, almanach aux quotidiens, ils ne peuvent pas échapper à ça (dans sa maison, en collectivité) A la campagne c’est un monde de l’oral. A la ville tt le monde n’est pas touché par les même écrits, les élites ont besoin de livres pour se former et sa profession. Puis il y a des livres

destinés aux loisirs qui ne st pas retrouves ds les milieux marchands, artisans qui eux possèdent des livres religieux et livres pour leurs enfants. Défense de cette idée en ville = Basculement d’une culture de l’oral à une culture de l’écrit Il ne s’agit pas du fait que les gens lisent des textes philosophiques de Platon qui st érudits mais le fait que différents types d’imprimés font changer la manière de réfléchir, font émerger une culture où l’écrit a de l’importance. = acculturation de l’écrit. La bibliothèque bleue Crée par analogie aux canards qui st essentiellement produits par les imprimeurs parisiens, Nicolas Oudot s’attèle à ce nv types d’imprimés qui ressemble aux canards mais avec du contenu diffèrent. - Réemploie du bois pour les images, livrets peu couteux - Contenu : pour la plupart des romans de chevalerie (200 pages, in cuarto= grds formats) ou les vies de saints (in octavo=petits formats en petits livrets), littérature savante - Donner une large circulation à des œuvres savantes qui ne st pas nouveaux. Son fils lui dans ce même prolongement publie ce même contenu et édite aussi sous la forme expérimentée de son père des textes que son père avaient négligés. Il publie donc des livres d’instruction et d’apprentissage, fait place au burlesque, litt de la réforme catho. Les Oudot gardent la main levée sur la production de livre bon marché. Même si d’autres imprimeurs éditent des livres bon marché ce st les meilleurs : Edme Briden. 1273 éditons de la bibliothèque bleue Production troyenne dense aussi dans les almanachs : Les imprimeurs qui passent contrat avec des faiseurs d’almanach : l’auteur lui remet le texte chaque année avec l’obtention des permissions par les autorités ecclésiastiques. Pour l’imprimeur, le paiement annuel d’une somme d’argent avec des exemplaires d’almanach pour l’auteur et l’obligation d’insérer une photo de l’astrologue.

-accords passés quant à l’impression et à la distribution de leurs almanachs pour se partager les éditions d’almanach.

Une clientèle citadine : bibliothèques bleus, almanach compris touche essentiellement un public citadin. La vente de ces livres est faite par colportage, le colporteur est d’ailleurs une figure citadine qui propose occasionnels, pamphlets, livres bleus gazettes. Le colportage s’évadera or les villes a partir du 18e siècle avec les livres bleus. Diffusion citadine du matériel imprimé de Troyes = les accords passés entre Troyes et un libraire de la capitale. Par ex : nicolas I Oudot avec Jean Promé On retrouvait là les activités d’un élargissement du lectorat à Paris et Lyon au 16e siècle. Des lectures partagées : L’almanach = une lecture plurielle pour ceux qui savent de l’écrit et les autres des signes. Constitué d’horoscopes, conseils, préceptes. Il est la représentation d’une société inégalement approvisionnée à l’écrit ou il existe de multiples rapports à l’écrit. Au 16e s La lecture des livres bleus et almanach : un monde de demi lettrés, petits nobles, bourgeois des villes, marchands = plaisant lire. Ds le monde des métiers urbains, ces livres pouvaient connaitre le maniement collectif qu’on connait dans l’atelier ou la confrérie joyeuse. Stratégie éditoriale et césures culturelles 1530-1600 étape décisive dans l’édition = analphabétisme fort même dans les villes qui st en avance sur les campagnes. La propriété individuelle en tant que patrimoine du livre reste réservé à l’élite. La constitution d’u marché « populaire » a été préparé par un matériel qui mêlait typo et xylo rendant l’écrit familier même à ceux qui ne savent pas lire. De plus, la circulation des imprimés s’appuie sur les liens communautaires tissé par le petit peuple en villes.

Ccl et remarques sur texte ) mal habiles qui passent par l’oral pour comprendre ce qu’il déchiffre. :

Comment est-ce possible que les canards qui st essentiellement écrit permettent lecteurs populaires Les canards permettent l’apprentissage car ce n’est pas rébarbatif pour eux vu qu’il n’y a pas bcp de pages.) au 16e siècle à Lyon et paris et au 17e à Troyes (retour de cette volonté de produire à bas prix aussi à paris au 17e avec les accords notamment avec Oudot) des imprimeurs éditent ces livres peu couteux mais avec nombreux acheteurs. Plus, dans les cités l’acculturation à l’imprimé est quasi quotidienne parce que les murs portent des images, les livres st présents.

Question : Est-ce que Chartier dit que les livres bleus st lus par tt les français ou bien ils st lus par les habitants de la ville et ceux de la campagne ne les lisent pas. Réponse : En France il y a de l’écrit qui circulent quotidiennement dans les villes qui savent lire un peu ou pas bcp alors que les campagnes st à l’écart jusqu’ au début du 18 e.

Acculturation typo voire xylo : les citadins st en contact avec des imprimés, canards placards, almanach aux quotidiens, ils ne peuvent pas échapper à ça (dans sa maison, en collectivité) A la campagne c’est un monde de l’oral. A la ville tt le monde n’est pas touché par les même écrits, les élites ont besoin de livres pour se former et sa profession. Puis il y a des livres destinés aux loisirs qui ne st pas retrouves ds les milieux marchands, artisans qui eux possèdent des livres religieux et livres pour leurs enfants. Défense de cette idée en ville = Basculement d’une culture de l’oral à une culture de l’écrit Il ne s’agit pas du fait que les gens lisent des textes philosophiques de Platon qui st érudits mais le fait que différents types d’imprimés font changer la manière de réfléchir, font émerger une culture où l’écrit a de l’importance. = acculturation de l’écrit. Les formes éditoriales qui publient des livres bon marché distribuent des textes qui n’appartiennent pas ou pu à la culture imprimée des élites. Diffusion maximale de textes délaissés oubliés. Opposions en filigrane entre 2 corpus de texte : ceux qui nourrissent les pensées des plus riches et plus instruit...


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