Acrosport - S2 - STAPS L1 PDF

Title Acrosport - S2 - STAPS L1
Course Acrosport
Institution Université de Reims Champagne-Ardenne
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LICENCE STAPS - Acrosport - CM - Première année - Deuxième semestre - Mme SALAUN...


Description

ACROSPORT-S2-CM1 lundi 16 janvier 2017 15:56

CM1 1. Genèse de l'activité a. Origine ancestrale - Dès l'Antiquité  Preuve :  Fresque, tombe du nouvel Empire (vers 1400 av JC)  Reliques en reliefs □ Dans des lieux variés : ex : Chine 800 ans av JC, Egypte, Empire romain, Afrique du nord et Europe, □ déjà une pratique universelle à cette période □ Souvent présentent des exercices acrobatiques avec une exigence de maitrise corporelle  Dans les textes : Iliade d'Homère - 2 aspects :  Pôle acrobatique  Pôle esthétique : recherche du beau de l'époque

b. Influence des saltimbanques - Animations de rue, de château - Jeux collectifs, figures dynamiques - Preuve :  Figurine dans des ouvrages - Les saltimbanques vont de ville en ville pour distraire les dirigeants - Pyramides prise de main à main - Troupe professionnelle qui voyage, majoritairement en Europe au Moyen-âge

c. Influence circassienne - Le cirque, music hall : de nombreuses et variées pratiques acrobatiques collectives - Mise en évidence de qualités :  Force  Équilibre  Souplesse - Les numéros sont associés à des effets scéniques : ex : tenue, musique, jeux de lumière, matériel spécifique - Notion de statut vivante (main à main, élément statique) à élément dynamique, collectif  Passage du statique au dynamique du cirque ancien au contemporain - Peu d'influence sur l'acrosport - Influence en sens inverse : les gymnastes vont vers cette dimension de spectacle - La formation sportive permet un débouché professionnelle au sein des cirques contemporains (cirque du soleil)

d. Influence gymnique - Au sein des sociétés de gymnastiques avec le développement des fêtes et des animations - Moitié du Xxème siècle ou les sociétés avaient une approche militaire

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 La gym sportive se réalisait en plein air □ Ex : constitution collective de pyramide en plein air  Sous l'impulsion de la gym militaire font des spectacles : ex : école de Joinville Gymnastique militaire  Démonstrations (Joinville, brigade spéciale de Paris, pompier de Paris ojd) □ Ecole de Joinville : école à l'origine de l'évolution vers le sport de compétition □ Dans cette école apprentissage pédagogie, recherche perfection, harmonie gestuelle, gout de l'effort, dépassement de soi □ A permis de créer l'INSEP à Paris (haut niveau Français) Fédération Internationale des Sports Acrobatiques (FISA) créée en 1973  2 activités : □ Tumbling : faire un maximum d'acrobatie sur une piste, maximum de vitesse horizontale □ Acrosport 1984 : CIO : reconnait les sport acrobatiques comme sport olympique (gymnastique artistique, rythmique et trampoline) FISA fusionne avec la FIG en 1998 : intégration trampoline, tumbling et acrosport L'acrosport a changé d'un pdv culturel (sauf à l'école) : gymnastique acrobatique (une discipline parmi les 7 appartenant à la FIG) Cette discipline s'est prioritairement développé en Europe dans l'ancienne URSS et RDA En France :  Fin 1970 apparition en Lorraine  Puis région Grenoble, et Normandie  Intégrée en 85 à la fédération française de sport au trampoline  1986 : 1ère compétition nationale (Grenoble)  1992 : Rennes organise le 10ème championnat du monde  1994 : reconnaissance acrosport discipline de haut niveau par le ministère JS, en 2009 perte partielle de cette reconnaissance □ 3 pôles de formation dont la majorité des athlètes Fr sortent  Pratique qui se développe en même temps fédéral-école depuis années 1990  Alternative à la pratique de la gymnastique en EPS (début textes officiels 1997, 2002 au BAC, CAP, BEP, en 2009 liste nationale des APSA), à l'UNSS (1985 1er code, 2002 1ER championnat de France UNSS)  2 approches envisagées : artistiques ou acrobatique  Déficit de connaissance théoriques de l'APS qui peut mettre les élèves en difficulté et en insécurité  Pour arriver à une connaissance grandissante (publications spécifiques, investissement des enseignants, évolutions des codes et des évaluations certificatives)

e. Influence sociétale - En plein essor depuis les années 70 - Extension vers d'autres pratiques  Paddle accrobatique  Les cheerleaders  La natation synchronisée

f. En synthèse - De toutes ses influences  La gymnastique acrobatique retire des valeurs □ Par la chorégraphie, des valeurs féminines, bourgeoises □ Par l'acrobatie, des valeurs masculines, populaires, militaires □ Par le spectacle, (fête) une valeur universelle ACROSPORT Page 244

 La gym acrobatique évolue avec □ Une motricité de plus en plus complexe □ Une diversification des pratiques  Difficile de faire émerger les liens entre la naissance et le développement de cette APS  Mais en commun Tjs une recherche de créer une émotion chez les spectateurs grâce à des effets visuels dont les pyramides sont une clé mais aussi toutes les conditions autour d'elles (effet visuel, musique, costume, ambiance) ◊ 2 orientations  GA Spectacle  GA compétition

2. Définition - Eva Mauriceau, 2010 : "la gymnastique acrobatique est une discipline collective de production d'enchainements, comprenant des éléments acrobatiques de groupe (pyramide statiques et dynamiques) et individuelles (éléments gymniques), liés entre eux par une chorégraphie, et destinés à être vus et jugés" - Nécessite une prestation en musique dans un espace précis, le praticable de 12X12m - Tony Froissart, 1997 : "activité collective de production de formes en groupe dans la perspective de créer une composition basée sur des effets visuels, Architecture de forme, simultanéité, complémentarité afin d'être vu et apprécié et de produire une étonnement" - Définition sport scolaire, valence artistique - 5 caractéristiques : - Activité acrobatiques :  Gymnaste □ Se mouvoir en remettant en cause son équilibre de terrien et s'équilibre (tête en bas et pied en l'air)(pyramides) □ Utiliser par alternance ou simultanément des appuis divers (pieds, mains, corps) □ Pour s'élever à partir d'un support semi-élastique (le porteur envoie avec des impulsions la voltigeuse, requiert synchronisation du couple), et synchronisation des actions V-P □ Afin de multiplier et diversifier les rotations du corps dans l'espace, les positions d'équilibres instables, de départ, d'arrivé  Acrobatie = ◊ Position inversée ◊ Vol ◊ Appui pédestre et manuel - Activité artistique :  Rôle chorégraphe - danseur □ Relation à la musique, rythme varié, □ Les procédés de composition chorégraphique □ Faire naitre une émotion chez le spectateur - Activité esthétique :  Gymnaste - danseur □ Activité morphocinétique : production de forme corporelle précise et attendue □ Amplitude, tenue précise du corps □ Enchaînement et continuité - Activité collective :

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 Formations collectives □ Duo féminin □ Duo masculin □ Duo mixte □ Trio féminin □ Quatuor masculin □ Différenciation des rôles dans les pyramides  Porteur  Voltigeur  Semi porteur ou semi voltigeur (trio et quatuor) ◊ Intermédiaire  UNSS : de 4 à 6 élèves ou 5 à 8 élèves - Activité compétitive :  Rôle du juge □ 3 types d'exercices : composés d'éléments collectifs et individuels reliés entre eux par la chorégraphie, durée 2 à 2m30  Statique  Dynamique  Combiné □ UNSS : 3 minutes  Pyramide statique (3 positions V - variée, équerre ATR)  Dynamique (chandelle, rigodon, prise carrée, prise alternée, redressement, renversement)  Eléments individuels (maintien, souplesse, acrobatie sol)  La figure en "chaine" : une pyramide qui se lit de droite à gauche, tlm sur le même niveau  Le tableau : au début et à la fin, pas une pyramide, organisation du groupe avec un effet visuel - Atouts :  Activité accessible et ludique □ Peu de matériel (tapis) □ Activité favorisant l'animation □ Accessible à tous (âge, mixité, morphologie)  Activité créatrice, scénique, et spectaculaire □ Acrobatique, aérienne, chorégraphie, esthétique □ Collective □ Artistique  Activité propédeutique □ À la gymnastique artistique

3. Précisions : terminologie, évaluation - La pyramide : est une production de forme corporelle collective à 2 mini dans laquelle chacun des partenaires a un rôle bien défini - Le porteur : gymnaste qui est en contact avec le sol et qui soutient tout ou partie du poids d'un partenaire - Semi-porteur :en contact avec le porteur et le voltigeur - Le voltigeur : gymnaste qui n'est pas en contact pédestre avec le sol et dont le poids est supporté par un ou plusieurs porteurs - Eléments individuels : acrobatiques, chorégraphiques, liaisons - Spécialisation des rôles en porteur ou voltigeur, sauf en scolaire, chacun doit essayer pour

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comprendre le travail collectif - Le joker : - Aide : le porteur ou le voltigeur pendant le montage et ou le démontage - Assure la sécurité de la figure - Apporte un complément par un élément esthétique ou acrobatique à la figure - 2 types de pyramides : - Statiques :  Contact permanent entre les partenaires □ Soit éléments de maintien de 3" □ Soit éléments de transition (relient 2 porteurs de 3") réalisés par le voltigeur ou le/les porteurs - Dynamique :  Contact entre les partenaires brefs et un envol obligatoire □ Des phases aériennes donnant lieu des salti (axe transversal) et vrille (axe longitudinal) □ Des réceptions au sol et des rattrapers sur partenaires - 3 types d'exercices - L'exercice statique :  Uniquement des pyramides statiques et des éléments individuels de catégorie 1 (maintien, pivots). Les qualités de force, d'équilibre, de souplesse et d'agilité doivent y être démontrées. - L'exercice dynamique :  Uniquement des pyramides dynamiques et des éléments individuels de catégorie 2 (sauts-salti - L'exercice combiné  Pyramides statiques et dynamiques  Éléments individuels catégorie 1 et 2 - Evaluation : - 1 juge arbritre : organise / vérifie les écarts de note, faute de temps, écroulement, non respect exigence - 2 juges à la difficulté : carte de compétition (dessin et ordre des éléments présentés) - 3 à 4 juges à l'exécution - 3 à 4 juges artistique  Une dizaine de juges avec des rôles bien définis et différenciés - Les secteurs de notation : - La difficulté : addition; pyramide, etc.. - L'exécution : déséquilibre, bras fléchie, note négative partant de 10 et on soustrait des points - L'artistique : sur 5 points, fonction de ce qui est réalisé on enlève des points par manque d'effet, de synchronisation, etc… - Note finale : - addition  Note moyenne de l'exécution  Note moyenne de l'artistique  Note de difficulté - Moins  Les pénalités du juge arbitre

4. Les enjeux de formation : intérêt éducatifs de l'APS

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- Collaborer, coopérer pour construire ensemble des figures (répartition des rôles), un enchainement. Se faire confiance mutuellement, s'aider, communiquer (V - NV) pour choisir, pour agir en sécurité, réguler, créer. - S'engager lucidement en toute sécurité (de soi et des autres) - Maitriser son corps dans l'espace (inhabituel), se repérer - Se mettre en valeur, impact du regard de l'autre - Construire un projet collectif - Au centre des conflits socio-cognitifs du groupe car c'est une activité vecteur de socialisation et d'autonomie - Il donne sens aux interventions de chacun - Formalisation sur un document écrit qui favorise le suivi - Solliciter une activité de création - Sollicitation d'une activité de créativité en toute sécurité - Aider le gymnaste de passer de "je reproduis" des figures du code à "je produis et compose" à partir de figures existantes ou créées - Le socle de ces transformations basé sur la construction du savoir sécuritaire - Réaliser une activité collective acrobatique renversée, tournée, voler - Où le voltigeur se renverse, tourne, vole avec des appuis manuels dynamiques et le porteur accompagne, participe à l'activité acrobatique en régulant son activité avec de appuis porteurs dynamiques - l'acrobatie est le facteur motivant pour les individus - Sollicite les émotions, apporte le plaisir - Rechercher des montages et démontages acrobatiques - Aspect qualitatif de la notion d'enchainement - Renforcent l'activité de création, rupture des usages communs du corps (terrien) - Favorisent le projet collectif - Sont des indicateurs d'un niveau d'expertise (complexité de l'APSA) - Confrontation et résolution de problèmes posés - Renforcent la motivation - Utiliser des jokers, aides - Ils participent à :  l'intégration des rôles sociaux de cette activité collective  La progression technique de l'acrobate en toute confiance  Une éducation axée sur la dimension sociale - Vivre l'activité du vu et jugé - Prégnance du regard de l'autre - Confiance - Assurance - Interprétation : vivre avec pleinitude l'activité

- En résumé : - l'activité du gymnaste est multiple : motrice, sociale, émotionnelle et réflexive - Toute personne peut être en activité effective en développant des attitudes d'écoute mutuelle (audition mais aussi kinesthésique) - Avec le passage de l'écriture d'un synopsis, c'est un dispositif de construction de l'acrobatie par l'image, le dessin, la parole puis dans les actes. Les gymnastes identifient ainsi les actions à réaliser pour chacun de rôles avant de les réaliser

5. Les problèmes fondamentaux - Contrainte de l'APS, sous forme de dualité - Prendre des risques / les maîtriser - Prendre en charge sa propre sécurité / avoir en charge la sécurité de l'autre

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Se déséquilibrer / se rééquilibrer Perdre ses repères de terriens / prendre des nouveaux repères Dominer ses émotions / faire émerger celle des autres Avoir peur / prendre plaisir Aider / se faire aider

6. Les ressources - Affectives : engagement et contrôle émotionnel (confiance, cran, contacts, peur, plaisir, regard…) - Relationnelles : communication V - NV au service d'un projet collectif - Bio-mécaniques : équilibre, gainage, tonicité, souplesse, coordination (traction - poussée) - Bio-énergétique : résistance, force (explosive dominante), tension (excentrique, pliométrie, isométrique), vitesse - Bio-informationnelles : - Perceptives :  Prise d'informations visuelles (regard permanent entre P-V), tactiles, proprioceptives (pression des appuis), vestibulaires (équilibre), auditive (musique)  Traitement et sélection des informations (prises; les appuis) □ Système vestibulaire et visuelle très sollicité en pôle acrobatique - Cognitives : - Attentionnelles, vigilance, planifier ses actions - Choisir ses placements en fonction des règles sécuritaires - Représentations fonctionnelles : sens donné à la production collective, motifs d'agir ensemble - Conceptuelle : création, projet, règles sécuritaires, principes physiques à intégrer

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ACROSPORT-S2-CM2 mardi 14 février 2017 16:03

CM2 : ACROSPORT 1. 2. 3. 4.

Construire l'acrobatie Acrobatie et sécurité La classification des figures et l'évaluation Conclusion

1. Construire l'acrobatie a. Les bases d'appui au sol pour favoriser l'équilibre, la sécurité -

Les plus larges et donc les plus stables possibles vers les plus réduites (biomécanique) Rapprocher les CG du sol vers un éloignement Les appuis doivent permettre la régulation AV-AR et latéral Les zones de départ bien identifiées (P-V), à côté du porteur et jamais dans l'axe

b. Les contacts entre les partenaires, les prises - Point d'ancrage des pyramides - Fondamentaux pour fixer la pyramide  Repérer les prises efficaces  Faciliter les régulations dans tous les plans de l'espace  Assurer le contrôle réciproque par les prises, transmettre l'énergie pour faciliter le montage/démontage □ Positionnement des doigts : régulation □ Protection des articulations : poignet, cheville

□ Principe autour des prises  Stabilité : contact serré, articulation verrouillée  Largeur des surfaces d'appui : écarter les doigts  Sensation d'aisance : contrôle réciproque/communication entre partenaires (au départ)  Articulation : angulation 45° (protection pas de 90° pour les poignets dans les prises) ◊ Rm : Prise spécifique statique et dynamique (carrée) : cf BV ◊ Thème d'étude : rechercher puis réaliser des pyramides fixes à deux en jouant sur les points de contact entre V-P, enrichir les différentes prises : tableau prise

c. Les alignements segmentaires -

Pour chacun des partenaires et entre eux Placement relatif des segments corporels (intégrité) Placement de la tête (système visuel, vestibulaire) Souci d'efficacité (transmission force) Evite la fatigue du porteur : ex : en alignant ses segments dans l'axe de ses appuis NON ALIGNEMENT = NON SECURITE  Porteur : ex : fermeture angle bras tronc, dos creux

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 Porteur : ex : fermeture tronc-jambe  Voltigeur : ex : dos creux, poignets, hyerflexion, épaules en ar de la verticalité

d. Les charges et les placements - Placement du dos contrôlé, bassin en rétroversion - Placement des appuis stables - Privilégier la majorité des actions porter, lancer, rattraper avec un travail des bras et des jambes - Gérer la charge et la difficulté toujours au profit du placement

e. Le montage et le démontage d'une figure - Définir la zone de départ et de réception  Respecter la sécurité □ Le plus haut monte en dernier □ Le plus haut descend en premier □ La descente est tjs accompagnée par le P, le V réalise une descente en freinant □ Toujours sur un côté du porteur  Pour monter et/ou descendre, utiliser un partenaire comme aide et ou parade  Communiquer, développer la qualité d'écoute des partenaires  Rechercher un effet c à d de la diversité entre le montage et le démontage en lien avec le thème - Construire avec les élèves une méthodologie  Quoi? Définir la figure  Où? Quel espace nécessaire? Quelles zones D/A?  Dans quel ordre?  Qui fait quoi et quand?  Comment et où se tenir?  Où et comment placer ses appuis?  Qui va donner le départ (synchro)? Quels signaux? Compter pour donner un rythme commun

f. Les actions motrices à construire pour le porteur (faire un tableau) -

Soulever Porter Équilibrer et s'équilibrer Maintenir Lancer, propulser Rattraper, réceptionner Se déplacer Compenser les masses sécuriser

- Les compétences à développer par rapport à ces actions :  Avoir des appuis précis et stable □ Trouver des postures adapter pour supporter le partenaire Avoir des prises précises et efficaces  □ Soutenir le partenaire en lui fournissant des appuis solides et immobiles  Verrouiller les articulations (bassin rétroversée)  Résister au PdC du V  Diriger a pyramide (communication)  Soulever avec une action dominante des jambes et des bras

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Action première sur la verticalité et l'éloignement ensuite Regarder toujours le V Garantir la sécurité du V Accompagner le V dans la descente Gérer les déséquilibres, réguler la pyramide, décider de l'ajustement du collectif (durée)

g. Les actions motrices à construire pour le V -

Monter sur Sauter sur s'équilibre, se laisser équilibrer Se stabiliser dans des postures diverses Se renverser Tourner Voler descendre du P Se réceptionner au sol ou sur P

- Les compétences à développer chez le V :  Vérifier que le P est prêt  Avoir une mise en place rapide  Monter e plus près possible de l'axe vertical du porteur, réduire les bdl, pousser sur la verticalité  Débuter son ascension sur la base la plus solide  Être à l'écoute du porteur (parole, sensation, vue)  Accepter et suivre les directives du P  Être capable de tonicité, gainage, souplesse et dynamisme  Être capable d'une descente contrôlée en respectant le porteur, accompagner par le P, dans la zone définie (contractions excentriques )  Prendre soin du P sur la durée totale de la pyramide - Conséquence sur la constitution des groupes = construire un apprentissage progressif - Privilégier le travail à 2 (accompagner par un joker) □ Pour faciliter l'accès en développant la coopération motrice entre partenaire (taille/poids, affinité, complicité, communication) □ Acquérir les fondamentaux prises, appuis, alignement □ Favoriser la sensation (re...


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