Histoire du sport L1 STAPS PDF

Title Histoire du sport L1 STAPS
Course Histoire du Sport
Institution Université Savoie Mont Blanc
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professeur: gilles monteremal...


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Histoire du sport :

I/ Intro : 1/ définition et limite du sport : a) Sport ? DEF : Vient de « desport » mot issu de l’ancien français, désignant le délassement et l’amusement physique et intellectuel de l’aristocratie au moyen Age. Def 19e siècle : Ce mot forgé en Angleterre au 19e siècle, revient en Europe continentale (France en 1828, Allemagne en 1831) avec une évolution du sens « tout exercice en plein air, (tel des courses de chevaux, canotage, chasse à courre, tir, pèche, tir à l’arc, gym, escrime). Ces exercices corporels hérité de l’ancien régime sont des activités héritées de la guerre en vue des compétences exigées. Def de Larousse 1875 : un ensemble d’amusements, d’exercice et de plaisirs, fait par des hommes riches et oisifs. Nouveauté : le sport vient aussi de l’attrait des paris sportifs (mode britannique qui vient en France) distraction physique, ludique gratuite, hédoniste(plaisir) d’un groupe social restreint (milieu favorisé : bourgeoisie noblesse) ayant du temps libre et adoptant le modèle anglais (paris argent). 3e def, de Coubertin : nouvelle vision, notamment sur la finalité : le sport = culte volontaire et habituel de l’effort musculaire intensif appuyé sur le désir de progrès et pouvant aller jusqu’au risque (volonté de former un corps parfait, une élite) volonté et régularité des efforts physiques dans une perspectives de dépassement de soi (pousser ses limites)  logique performative (changement : avant c’était plaisir), primat de l’individu qui existe en tant que tel et non qu’en groupe. 4e def : Georges Hebert 1925 : volonté de développer le sport à l’armée et dans toute la société. Sport regroupe tout genre d’exercices ou d’act physique ayant pour but la réalisation d’une perf et dont l’exécution repose sur l’idée de lutte contre un élément défini : distance temps obstacle adversaire, les éléments, soi-même. Nouveauté : il y a combat, et le sport nait du progrès technique. ->logique performatrice et agonique (au bout de soi-même, agonie) 5e def : Vigarello : il y a une dif radicale qui sépare le sport et les jeux traditionnel même s’ils ont en commun certains gestes et formes  sport différent des jeux anciens les pratiques sportives représentent une figure spé. Elles installent de manière inédite l’exercice physique collectif tant dans le temps et l’espace que dans le tissu social de la communauté. Insertion du sport dans la société (sport = fait social) et choix des racines historique du sport qui diffèrent des jeux anciens. 6e def : Ensemble des activités physiques investies de valeurs individuelles et collectives faisant sens et déterminant les critères de pratiques fondées sur une approche normative qui conduit à la production d’une perf en vue de s’affronter indiv ou collective à toute forme de difficulté (personnelle environnementale adverse obstacle) dans les espaces structurés de manière formelle ou informelle. Nouveauté : distinction individuel ou collectif, valeurs du sport, espaces de rencontres plus cadrés.  Constante : activités corporelles codification compétition performance

7e def : Patrick Clastres : le sport n’est qu’un concept, représentation général et abstraite, il n’y a pas de def unifiée et codifié du sport, il n’y a pas d’institution légitime pour le définir (exemple du bridge, la fédé de bridge anglaise amène le gouvernement en procès car celui-ci a arrêté de considérer le bridge comme un sport).

DEF globale  Des invariants : activité physique multiple, avec : Une pratique encadrée : - par une codification pour permettre des rencontres (volonté universaliste tout le monde peut se rencontrer, mêmes règles...), et pour éviter les dérives -par des instances (clubs, fédés nationales et internationales) Une pratique valorisée : -la compète dans un cadre ou durée délimitée (stade) -des récompenses sont présentes (titres médailles argent). Des variantes : -Un éclatement des aspirations et des valeurs recherchées (très différentes selon la pratique, pratique hors compète hédonisme plaisir, pratique en compète->perf). -Des activités sportives « fun » rattrapées par la sphère économico-médiatique (CIO qui ramène des nouveaux sport (slopestyle retombés économique argent important)

B) les enjeux divers : Le sport n’est pas neutre. Il y a toujours un enjeu politique (représentation du pays exemple du nombre d’athlètes par pays), sociétal, économique, médiatique. Il y a la notion de sport spectacle et sport de masse. Notion amateurisme professionnalisme, entre les deux il y avait l’amateurisme marron (revenu au black)

C) Diverses figures du sport : - Des pratiquants : au début c’était une pers qui avait du temps et donc qui pratiquait plein de sports différents « le sportman ». Puis démocratisation, grâce à la réduction du temps de travail, congés élitisme pour les grands pratiquants et massification de la pratique. Au début il n’y avait pas de femmes (fait de société). Les premières femmes étaient des filles ou femmes de grands pratiquants. - Des dirigeants : prosélytisme et carriérisme, souvent des anciens grands sportifs voulant ouvrir leur sport au plus grand nombre (prosélytisme), souvent aussi des pers voulant jouer leur carte personnelle de carrière et de politique. - Le public : des spectateurs (gratuitscurieux payant, certains sont plus connaisseurs), des auditeurs (1ers combats de boxe a permis une forte augmentation de l’achat de poste de radio et des téléspectateurs ( années 1955-1960) dif spectateurs qui va être plus connaisseur… alors que le téléspectateur voit que le porteur de balle donc juste pour l’émotion).

D) Divers médiateurs : Rapport consubstantiel entre le sport et la presse au début, puis adaptation aux nouveaux médias. Passage d’une passion à des rapports organisationnels et mercantiles. Hybridation des activités  journal qui va créer un évènement pour en parler avant, après pendant, pour meubler et susciter de l’intérêt. Les rédacteurs sont souvent des sportifs chauvins de leur équipe donc analyse subjective. Les photographes immortalisent les scènes avec leurs moyens (avant c’était de loin ou sur phase arrêté)

E) Divers lieux divers temps : -Initialement le sport se pratique en extérieur dans la nature, puis il va y avoir la construction d’enceintes spécifiques (stades, piscines, gymnases intérieur…) pour codifier, encadrer et faire payer l’entrée… -Organisation d’un calendrier autonome (agenda setting), avec une saisonnalité (trêves en été) et des compétitions fédératrices (TDF). -émergence du sport spectacles (commerce, promotion médiation)

2/Histoire du sport : a) Une histoire factuelle, émotionnelle : Histoire journalistique, livre de mémoires, les « fabuleuses histoires », les biographies… se sont très bien vendu  marché de la littérature sportive qui s’intéresse plus aux émotions véhiculées. Edouard Seidler : 1964 « le sport et la presse »

b) Une histoire globale : Le sport est un fait social total (Mauss), car il embrasse toutes les parties de la société (politique, social, économique, religieux, médiatique, éducatif…). Il permet une nouvelle vision de la société.

c) Une légitimité universitaire : Eugen Weber, un des pionniers de cette histoire, dénonçait en 1971 l’étrange suspicion, voire l’antipathie que les hommes de lettres et de sciences témoignaient encore pour la recherche des acts physiques considérées comme des manifestations vulgaires.  Il dénonce que personne ne s‘intéresse à l’histoire du sport. L’histoire du sport est vu comme une marginalisation pittoresque (windock), il y a donc un snobisme académique des historiens vis-à-vis du sport (Redmond), qui est donc tenu en lisière du champ historique (TETART) L’histoire du sport débute dans les pays anglo-saxons en 1951, en France il émerge en 1960-1970, grâce au contexte favorable : explosion du phénomène sportif, critique des normes universitaires après mai 1968, crise d’identité professionnelle de l’EPS sur l’origine et fondement de la discipline  historiens vont essayer de relater les faits en faisant des liens, en cherchant à comprendre… Les précurseurs de l’histoire du sport sont les sociologues dans les années 50-70 avec les jeux, loisirs, sports. Huizinga montre que la société est basée sur le jeu, Caillois propose une classification des jeux en 4

catégories : lutte simulacre, hasard, et vertige. Dumazedier montre la démocratisation d’une société de loisir, basée sur les 3D (délassement, divertissement, développement). Il analyse le peloton comme on analyse une société  hiérarchie dans le peloton, champion puis serviteur. En France, il y a émergence des études d’histoire du sport en 1960-1970. Cette histoire s’est déroulé en 4 renouvellements théoriques et institutionnel (TERRET). (Surtout fait par des sociologues) 1- Une nouvelle génération d’historiens s’intéresse au corps et un peu au sport, double ancrage dans l’histoire sociale et l’histoire des mentalités. 2 thématiques : olympisme et certaines sports (JP Bodis s’intéresse au rugby, et Alfred Wahl au foot. Il montre que le sport permet de créer des relations amicales ou de les envenimer. Marianne AMAR utilise le sport pour montrer que la France était une puissance moyenne avec exemple des JO) 2- Surtout des historiens issus des staps influencés par l’histoire sociale, étudie l’histoire de sport à l’échelle régionale ou sur un groupe social  influence de l’histoire des mentalités. (Exemple : Sport ouvrier (leziart), la sociabilité (pierre Arnaud qui pense que le sport est le fondement de la sociabilité dans la 3e république). 3- Années 1980 : influence de pierre Bourdieu -> comment peut-on être sportif ? Montre que le sport fait partie d’une certaine façon de vivre, Sport= autonomie relative (règles relations) 4- Les travaux de Michel Foucault sur le corps-> objectif de déconstruire des normes et critiquer des institutions (crée la revue quel Corps ?) + vigarello prolonge son travail (le corps redressé) il travaille sur le corps qui est contraint (se tenir droit à table  Norme sociale) et sur l’entretien du corps (abimer, laver…). Il y a aussi un courant critique : Jean marie Brohm (1968) a critiqué le sport  opium du peuple, le sport ne fait que transposer au niveau de l’activité non directement productive du loisir du temps libre, la compet sociale mais sous forme ludique et aliéné. Parallèle entre compet sociale et sportive. Marc Perelman (le sport barbare) : Le sport légitime l’ordre établi (dictature politique) quel qu’il soit. Le sport : un des grands systèmes totalitaires des temps modernes, Le sport lamine tout sur son passage et devient le seul projet d’une société sans projet. La nation, ce n’est plus un peuple… Exemple de livre : football, une peste émotionnelle, la barbarie des stades

D)Le retard des historiens : Dominique Lejeune : sociabilité des alpinistes durant la fin du 19e siècle début 20e (1974) Dans les années 80-90 : Hubscher, Durry : histoire en mouvement, le sport dans la société française(19-20e) 1992 Rioux : élargir les objets d’étude en Histoire culturelle (tout est sujet à l’histoire) favorable aux études sur le sport. Clastres et dietschy  séminaire sport « culture et société » du 19e à nos jours. Sport société et culture en Francehachette 2006 Tetart  histoire du sport en France 2007  On voit qu’il y a un intérêt progressif de l’histoire dans le sport

E) Les précurseurs anglo-saxons de l’histoire du sport : 4 thématiques étudiées -Nations (idéologies, relations internationales, transfert culturel) -Classes (sport et milieu social)

- « Histoires raciales » (sport colonial, migrations pour le sport…) -Gender history (sport= reflet du sexisme, relations sociales entre les sexes, masculinité, virilité, femmes commencent à faire de l’athlé en 1920)

F) Elargissement des objets et des méthodes : Inscription dans l’histoire culturelle, ATTALI et SAINT MARTIN : grille de lecture pour étudier le sport dictionnaire culturel du sport Retour des études sur l’évènement et les grandes figures (JO, feusbery).

G) Histoire du sport : corporation bien organisée : Des structures : 1987 SFHS : société française d’histoire du sport 1989 : international society for the history of physical éducation for sport (ISHPES) 1995 : comité européen d’histoire du sport Organisation : Carrefours d’histoire du sport depuis 1996 Publications : revues éphémères (sport et histoire) …

3/ remise en question de certains mythes : apolitisme du sport 1) Une neutralité ? Richard HOLT : le sport est politiquement neutre ce qui induit une inefficacité de toute forme de propagande parmi les pratiquants (même s’y il y a des normes totalitaires, les pers choisissent euxmêmes leur pratiques, influence des idées politiques fut probablement toujours tempérée par les priorités athlétiques des jeunes. Ils ne pratiquent pas le sport pour la race mais pour eux-mêmes (en réalité des fois ont peu de choix)).

2) Un héritage contesté : politisation du discours journalistique Pb : les journaux sont de droites il y a une grosse lutte pour la présidence entre droite et l’union populaire (gauche), pour faire voter à droite les journaux sportifs (l’auto) disent : « voter automobiles » (qui sont dirigés par la droite) politisation

3) Politisation du sport ? régimes totalitaires : On ne peut séparer sport et politique car le sport a toujours été en reste un phénomène de société. Il s’est en outre mis clairement depuis l’origine au service de la politique (Kruger)  Rôle pionnier des régimes totalitaires : avant le sport était pur puis avec l’Italie fascisme, le nazi puis l’Allemagne de l’est et ouest  le sport n’a plus de neutralité car diffuse la propagande nationaliste. Liens entre sport et propagande serait tardif ?  Le sport serait biaisé par les régimes totalitaires ? Démarche républicaine et patriote : Sociétés gymniques en France entre 1871 et 1914 pour une éducation républicaine et patriotique des masses -> dressage du gymnaste (obéissance, enseignement collectif (gym collective pyramides…)). - Une grammaire du mvt, l’ordre (progression d’exercices) et la discipline (forme d’enseignement). - Triomphe du mérite : les concours = sacrifice du soi au profit d’une communauté d’appartenance (la société la fédé la nation) - Société de gymnastique  république en miniature  Sport était déjà non neutre mais propagandaire.

4/ interprétation historique sur l’origine du sport : trois grilles de lecture 1/ continuité depuis quand ? a) Depuis l’antiquité Thuillier  sport n’est pas né depuis Olympie mais surement depuis l’Egypte antique : nombreuses scènes qui ressemblent aux sports (courses et chars, tir à l’arc, sauts, compétitions, spectacle de masse et enjeux financiers). Jeux olympiques (-776) Zeus Jeux pythiques ‘-590)  apollon à Delphes Jeux isthmiques (-580) Poséidon à Corinthe Jeux néméens (-573) à Némée puis Argos (en l’honneur des morts pour la patrie)  Pratique certes de sport mais le but était l’honneur des dieux (+ musique…). Les constantes de ces jeux : Compet entre Grecs (pas d’esclaves), compet entre champions qui représentent les cités nations, qui sont entrainés et pris en charge par la cité (logé rémunéré). Epreuves : - Athlétisme, course à pied (du stade (de 192.5 m), course en arme saut en longueur avec élan (avec haltères), lancer de disque javelot, lutte, -> forme le pentathlon. - Sport de combat : boxe (combat jusqu’à épuisement et abandon), pancrace (tous est permis sauf dans les yeux et orifices du visage) Sports servent pour l’armée La nouvelle figure sociale : LE CHAMPION Milon de Crotone : + grand athlète de l’antiquité, aristocrate né en -553 et mort en -508 pers très inséré dans la société et la politique de la cité, très musclé, multiple champion de lutte (7 * champion olympique, 6 pythique, 9 néméen 10 isthmique)  précoce et longévité C’est une figure politique et militaire : chef de guerre contre la cité de Sybaris C’est une figure philosophique : membre de la communauté pythagoricienne C’est une figure religieuse : héro des jeux : prêtre du temple d’Héra. C’est un idéal athlétique : physique et spirituel  personnage de légende. Emergence d’une culture sportive : 1) entrainement (puis professionnalisation), 2) hygiène corporelle diététique, 3) musculation et soins, 4) esthétique du corps  rationalisation de la pratique sportive Mais il y a discours et tradition anti sportif : opposition entre la force et le savoir (Xénophane : que le savoir est bien plus utile), inutilité du sport, rituel magique= alectorie (pierre que Milon mettait dans sa bouche) Atout et critique de cette continuité historique : Atout : Codification d’activité corporelle Proximité linguistique (athlon : effort athlète) Architecture des stades romains inspirent les stades modernes Processus de désacralisation de ces jeux, institutionnalisation des grandes compètes Création des jeux olympiques par Coubertin  s’en inspire  continuité

Limites : Programme : six jours dont 3 de défilés, sacrifices  primat du religieux Les pratiques ont des fonctions militaires, éducatives, sacrées, agonistiques (ce qui compte c’est la place et non la perf (dif du sport moderne)) Romains empruntent aux étrusques et aux grecs (donc pas de continuité) La longueur de l’interruption est trop importante pour évoquer une continuité.

b) Depuis le Moyen Age : Merdrimac « Sport au moyen Age » il montre une réflexion sur les relations entre les sociétés médiévales et l’activité physique (corps, jeu loisir) dans un cadre géo large (Europe ouest). Il constate la naissance du mot desport, la multiplicité des jeux sportifs (lutte lancer de pierre) … Arguments : - Tournoi de chevalier peut être assimilé à un sport (entrainement spectacle, engagement physique) - Rôle des clercs dans les jeux de balles (il y avait une pratique avec règles terrain dans cloitre entre deux prières) - Similitude avec chasse au renard, à courre.  Mise en perspective des activités physiques en lien avec les pratiques sociales. NADOT : il replace le sport dans une continuité historique depuis la Grèce antique, passant par le moyen Age, la création de sport ne serait pas anglaise. Argument : chaque époque : la classe dominante instrumentaliserait le sport pour imposer son autorité et ses valeurs. (Noblesse au MA puis bourgeoisie au 19e) perception marxiste de la société du sport. RUQUOI : une internationale chevaleresque : il montre que dans le contexte de féodalité, les joutes rassemblent les mêmes codes et des valeurs communes (fair Play, honneur, loyauté), le même modèle éducatif,  similitude dans l’Europe. Les tournois sont des grands spectacles, avec enjeux financier politiques et symboliques il y a donc bien un rapprochement avec « le sport » Au 15e siècle : tournoi chevalerie allemande et anglaise  il y a des écuries qui vont de tournoi en tournoi comme en sport), + individualisation de la pratique

2/ modernisation des anciens jeux traditionnels : thèse mutationniste -

A l’époque moderne, en France (17-18e) : courte paume ressemble au tennis (codes, matériel, pratiquants) La soule : localisé en Europe occidentale dans les campagnes (Normandie, Bretagne). Aire d’implantation de la culture française, elle se déroulait en automne et hiver (jamais en été). Similitude avec Sport : - règles (affrontement a mains nu) - objectif : apporter l’objet dans un lieu convenu), il y a violence récurrente pour régler des conflits  interdictions royales car menace l’ordre public mais ne sont pas suivi.

Les critiques sur la soule : - Rapport espace-temps : espace pas précis et temps pas très limité  pas comme le sport. - Codification : nbre de joueur ? gestes interdits ?  Pas assez de règles pour être un sport. - Différence dans signification socioculturelle : opposition entre communautés masculine, enjeu dans l’identité locale, sexuelle (intégrer les célibataires), identité professionnelle  logique pas performative ni de gagner…

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+ rugby déjà implanté avant la disparition de la soule Extinction dans les campagnes vers 1860-1880 car gaspille l’énergie (industrialisation)

3/ Naissance dans Angleterre victorieuse au 19e siècle Trois modèles explicatifs : A) Grille d’analyse marxiste (économiqu...


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