Cours L1 : Histoire et théorie du design PDF

Title Cours L1 : Histoire et théorie du design
Author Zélia bocquet
Course Histoire et théorie du design 1
Institution Université Bordeaux-Montaigne
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Histoire et théorie du design : Introduction : De quoi parle t on quand on parle de design ? Le design est une pratique qui se décline des pleins de domaines différents Que sais je , Vial Stéphane , Le design. A lire Midal Alexandra , Intro a l’histoire d’une discipline , Paris , Pocket. Définition du design : Vidéo sur le design : Roger Tallon = un des premiers designer industriels français , il a bossé pour techness et le deuxième c’est Maugirard. Quand on parle de design on parle principalement de mobilité et création industriel alors que adk c'est bcp plus vaste. Une activité de conception et de dessin , de mise en forme Le terme de programme est emprunté a l’architecture qui est également une discipline de projet . Il s’agit de ce que l’on nomme également le cahier des charges , c’est a dire l’ensemble des éléments conditionnant le projet : le contexte les besoins , les contraintes. Un designer = un pro qui répond a un programme , il apporte la notion d’usage dans la relation produit usager «. C’est celui qui répond a une demande. Son savoir repose dans les méthodes et la créativité dont il est capable de mettre en oeuvre. Elle vient de la notion de projet , c’est quelqu’un qui a visualise et tente de crée un projet. Le designer a des contraintes contrairement au plasticien Le design ,’évolue pas dans le domaine de l’art. Le designer est un homme d’action , il conçoit le programme ce qui engage sa responsabilité. Le designer doit faire des choix. Il y a une question d’éthique du designer. Le designer rend a des vrais besoin pas aux besoin du capitalisme. Il pense l’usage du produit dans la durée et dans l’utilité. le design n’est pas une mode il existe depuis toujours , c’est une chose naturel , et ça veut dire l’acte de conception et le marché . C’est cher car il plait a une certaine catégorie sociale d’individus. Design graphique n design d’environnement , design de produit , design de mode , design textile , design de service , design eco durable etc .. Le design est il assujetti au dieu industrie ? Le design prend des formes très variés donc non , avec des idées et des pratiques totalement diff selon les designers. Il travaille a des échelles très variées de projet. Le design est souvent caractérisé par le mobilier et les objets. Le design intervient dans le quotidien , rien n’est fait sans. Le design de service c’est comment améliorer un service , et la relation entre

l’espace et l’objet. C’est améliorer l’expérience quotidienne. Le design est il une mode ? Il existe depuis toujours , adj on confond souvent la conception avec les produits du design, Designer c’est concevoir et donner une forme a un usage. C'est imaginer le retour des gens sur les objets. Adj on vend du design , Roger Tallon semble s’opposer a cette morale du design , mais il est un fait avéré : le design constitue une plus value du produit industriel. Le problème de l’usager est le problème central du designer. Actualisation de cette remarque : améliorer augmenter l’expérience d’usage du produit pour l’usager. Le designer connait son client adj et fait en fonction de lui. Le terme design a été utilisé la première fois en 1849 par Henry Cole. Il est arrivé dans les années 60 en France , c’est un latinisme , qui vient de senare. Lire le texte Le design n’est pas que de la conception , c’est aussi une mise en forme. Accepté par l’académiee française le terme design en 1971 Designe n’est pas le stylisme Raymond Lowey Arts libéraux autrement appelés Beauxarts avaient le droit d’exposer. Arts décoratifs autrement dit Arts Utiles avaient le droit de tenir boutique mais pas d’exposer. 1861 : Premiere exposition universelle , sera la première fois que les Arts Utiles seront exposés. Le vocal arts décoratifs permet de distinguer le chant des beaux arts et des arts utiles. le style art déco est un style qui date des année 30 , c’est un style avec bac d’ornements . Cours n°2!: Terminologie et histoire de la discipline

Histoire et définition des concepts!: Arts appliqués! : Terminologie employée dans la seconde moitié du XIXème siècle, pour distinguer les arts utiles et les arts libéraux (beaux arts). Il désigne la création artistique (peinture, sculpture, décor…) appliqués aux produits industriels, souvent par des artistes. Au milieu du XIXème siècle, le terme industrie désigne

principalement l’artisanat, son sens évoluera au fur et à mesure du développement de la mécanisation de la production (industrie mécanisée). «!Ce que la société entend par arts appliqués, c’est la qualité ornementale que les hommes choisissent d’ajouter aux articles utilitaires! » W. Morris, L’art et l’artisanat d’aujourd’hui, 1891. Arts décoratifs! : Terminologie contemporaine de la précédente. Elle permet également de distinguer les arts utiles (artisanat) des arts libéraux à la fin du XIXème siècle. Elle désigne les objets décoratifs issus de l’industrie, pour les distinguer des œuvres d’arts ou des objets sans décor. Le terme décoratif possède une étymologie intéressante, Décorum! : convenance, règles du bon usage, commodité, peuvent être considérés comme autant d’ancêtres du mot fonction. Cette terminologie verra son sens se modifier à mesure que le mouvement moderne se développera en France jusqu’à prendre sons sens péjoratif et critique puisque le mouvement moderne rejette l’ornement. En 1925, Le Corbusier publie un ouvrage critique intitulé L’art décoratif d’aujourd’hui!: «!L’art décoratif est un terme inconcis et inexact par lequel on représente l’ensemble des objets-membres humains! ». En qualité de fonctionnaliste, il définit les objets courants comme des prothèses fonctionnelles prolongeant et spécialisant les membres humains. Attention! : le style art déco fait partie des arts décoratifs mais art déco et art décoratif ne sont pas la même chose. Esthétique industrielle!: Vocable utilisé par Raymond Loewy, pour désigner son activité de design. Expression en usage depuis les années 1930. Elle désigne le métier de designer comme un spécialiste de l’esthétique des produits de consommation courante. Elle est associée à la dimension commerciale du design fondée sur la séduction. Cette dénomination tombe en désuétude à mesure que le design cherche à démontrer qu’il s’intéresse à d’autres valeurs que la valeur esthétique des objets (vers 1970). Création industrielle! : Vocable utilisé à partir des années 1950, voisin de l’esthétique industrielle, employé pour valoriser le développement de la production industrielle mécanisée qui permet enfin des productions de design en série. «! Il invite à cerner le secteur du point de vue du mode de production. Il évoque une création indissociable de la production, et donc inscrite dans une dimension collective tendant à l’anonymat des designer et à une signature de marque.!» Il est à

la source d’une idée encore très ancrée que le design est implicitement lié à la production de masse, or aujourd’hui il conçoit également pour des secteurs artisanaux ou semi-industriels. «! Tout est création industrielle au sens large.! » Christine Colin, «! design! », Encyclopedia Universalis Métiers d’arts!: Placé du côté de la catégorisation des métiers, il permet de distinguer l’activité du designer de celle de l’artisan. Les métiers d’art valorisent les métiers traditionnels de l’artisanat en ajoutant une activité de conception à celle de la fabrication. Les métiers d’arts sont classés par catégories (art du feu, par exemple qui rassemble la verrerie, la céramique…). Face à la montée de la production en série, l’artisanat trouve un nouveau souffle en valorisant l’objet unique. Ils sont valorisés dans les années 1980.

Réponses aux questions!: Le terme d’! «! arts décoratifs! » permet de distinguer les objets du quotidien. Le concept de «! métiers d’art! »sert à différencier le designer de l’artisan. Le terme de «!création industrielle!» permet de distinguer la production industrielle de l’artisanat. Le concept de «!design!» renvoie quand à lui au mode de conception. Ces vocables sont apparus successivement. Le terme d’! «! arts décoratifs! » est arrivé en 1870 (comme le terme d’ «! arts appliqués! ») suivi en 1940 par l’apparition des «! métiers d’arts! ». En 1950, arrive le concept de «! création industrielle! » (et d’ «! esthétique industrielle! »). A la fin des années 1950, est apparu le concept de «!design!». Le design s’inscrit dans la terminologie qui lui pré-existe. Il existe une palette d’approche de la discipline, palette qui a évolué et s’est enrichie avec le temps. Le vocable «! art décoratif! » revêt deux sens! : celui d’ornement et celui d’objet utilitaire destiné à l’habitat sous toutes ses formes. L’adjectif «! décoratif! » englobe l’aspect pratique, pas uniquement celui d’ornement. Cet adjectif se rapproche de la notion de fonction, d’utilité, qui a donné son modernisme au design. Ce vocable permet de distinguer les objets d’arts des objets à valeur utilitaire. Cette distinction correspond à une réalité historique qui existait entre les arts libéraux (beaux arts) et les arts décoratifs (arts utiles). Jusqu’en 1851, seuls les arts libéraux étaient exposés.

Mais, cette année, à Londres, se tient pour la première fois une exposition regroupant les arts libéraux et les arts décoratifs. «!Création industrielle est le voisin du vocable d’! «!esthétique industrielle!». Depuis la seconde moitié du XIXème siècle, les objets produits industriellement conçus par des ingénieurs, des techniciens et des bureaux d’études ont progressivement remplacé les productions de l’artisanat traditionnel. En France, le nombre de travailleurs de l’entreprise industrielle concentrée passe de 1!200!000 en 1850 à 4! 500! 000 en 1910. Dans le même temps, les artisans ont décru en proportion exactement inverse de 2! 500! 000 à 900! 000. Ce nouveau mode de production concerne les objets produits artisanalement avant la révolution industrielle et les objets nés de celle-ci. Cela permet donc de différencier la pièce unique de l’artisanat de celle produite en série. Parmi les critères qui pourraient éventuellement permettre de distinguer un produit industriel d’un produit artisanal, on retrouve!: - la taille de l’unité de production. - l’automatisation de la production.

Victor Papanek = designer hongrois qui dénonce le design commercial.Dans Design pour un monde réel il critique le design commercial. L’ensemble de fonction regroupe! : la mehode , l’utilisation , le besoin , la telesis , l’esthétique Méthode!: l’action réciproque des matériaux , des outils et des procédés. Matériaux utiliser de maniere honnete , de maniere économique ( energie , temps , matériaux ) Utilisation!: rapport entre l’uasge et l’usager Besoin!: sociaux , identitaires. Besoin du commenditaire et l’usager. Le design commercial avait mit en avant que les objets beaux se vendaient mieux et Papanek veut montrer que le design peut repondre a de vrais besoins. Priorités dans les besoins!: la société crée des faux besoins par exemple le perceuse pour femme.

Un ordinateur ou un téléphone est un marqueur social , le besoin social est important pour certaines personnes. Il y a des besoins psychlogiques!: ne doit pas avoir l’air dangereux. La Telesis!: le rapport entre un un produit et son contexte sociaux économique. La reception du produit , si il repond aux attentes de sa clientèle. Raymond Loewy , Stade MAYA = %ost Avdance but yet Acceptable COURS 3: LES DOMAINES TRADITIONNELS ET EMERGENTS DU DESIGN

29/09/17 Un sac a main: Quelque chose d’utile au quotidien, qui nous sert à ranger des objets en les gardant toujours avec nous. Un sac peut être de différentes couleurs ou de différentes formes mais il garde toujours le même usage. Le sac peut aussi être définit comme un accessoire de mode, de beauté, ou de style, toujours en gardant une image d’utilité. Victor Papanek •

Il désapprouve les produits industriels qu'il juge peu sûrs, ostentatoires, mal adaptés et souvent inutiles, il critique le fonctionnalisme: !



Le fonctionnalisme résume la conception de ceux qui créent les éléments quotidiens produits par l’industrie. Réaliser un objet qui fonctionne bien implique l’étude sa fonction, donc son usage. La forme est la conséquence de cette fonction. !



Mais Papanek veut montrer que le design peut être utilitaire et pas seulement définit comme « beau » ! • Il faut qu’il y es a la fois une économie des matériaux que le matériel soit honnête (qualité technique, qu’il soit beau..) ! One shot, Patrick Jouin !

• Il ne faut pas confondre les besoins du commanditaire et les besoins des usagers, cette question du besoin va être poser par apport a l’éthique du designer Le besoin est une question importante dans le design —> besoin commanditaire — > besoin usager •

Le design était vu comme quelque chose d’esthétique aux Etats Unis, quelque chose qui se ! vendait mieux car c’était « beau »: design commerciale !



Société de faux besoins (perceuse pour homme/femme)! Papanek critique donc cette pensée en montrant que le design doit être considéré comme un vrai besoin, avec l’exemple de la perceuse pour femme, on voit qu’ici ce n’est pas un vrai besoin, c’est un besoin psychologique ou il n’y a pas de tension entre usager et produit, la perceuse pour femme est un objet facile et identifiable, que les hommes peuvent aussi utiliser ! Telesis: Charlotte Perrian créer une « Chaise longue en bambou et en bois » (1940): c’est un succès avec une culture fonctionnaliste au savoir faire traditionnel! Comparé a la voiture Renaud qui n’est pas en cohérence avec son époque ou avec le client, c’est une oeuvre trop en avance sur son époque car il faut que le design soit en lien avec l’époque !

« La laideur se vend mal » Raymond Loeury

COURS 4: DE QUELS BESOINS EST NÉ LE DESIGN INDUSTRIEL?

06/11/17 La notion d’innovation renvoie intuitivement à l’aide de nouveauté de changement et de progrès. Dans une acceptation large, l’innovation peut être assimilée a tout changement introduit dans l’économie par un agent quelconque et qui se traduit par une utilisation plus efficace des ressources. En réalité, l’innovation constitue un phénomène économique multiforme, spécifique, et complexe. La notion d’innovation renvoie intuitivement à l’idée de nouveauté de changement et de progrès. Différentes natures de l’innovation: • • • • • • •• ••• Innovation de procédés ou de processus! ! Elles concernent principalement le domaine productif. ex: la robotique Innovation de produit! ! Elles affectent essentiellement la sphère de consommation Innovation générique! ! Est diffusée dans la société et dans l’économie dans son ensemble. ex: internet

Les innovations qui introduisent une rupture paradigmatique historique sur le plan scientifique: ex: machine à vapeur, internet, biotechnologies Les innovations radicales qui affectent les modes de production ou de consommation de manière significative et relativement durable: ex: automobile aérien Les innovations incrémentales consiste à des améliorations ou des recombinaisons de produits, services ou processus existants: ex: mise à jour système, smartphones Il y'a donc une portée différencié des innovations. Importance des expositions universelles depuis 1851 pour faire entrer les inventions dans l’innovation En France: 1923: première présentation de machines encore inconnus(machines a laver, aspirateurs..) 1926: Création du salon des arts ménagers, lieu de témoignage de l’évolution des techniques et des conceptions. Jusque dans les années 1980: popularisation de l'hygiénisme et du taylorisme COURS 5: APPROCHE HISTORIQUE DES QUESTIONS LIÉES À LA RÉCEPTION DU PRODUIT • Catharine Beecher, une quaker, a publié American Woman’s home en 1869: l’ouvrage intéresse les industriels • Christine Friedrich mix taylorisme (travail à la chaine en industrie) et consumérisme: mode de vie liée a la consommation (consommateur, ce qui nous pousse a acheter) • Frank et Lillian Gilbreth: étude minutieuse des mouvements dans le travail (time and motion studies), initiateurs de l’ergonomie: l'étude scientifique de la relation entre l'homme et ses moyens, méthodes et milieux de travail • Henry Dreyfus travail aussi sur l’ergonomie, et les proportions du corps et les postures • 1930: Streamline: En forme de gouttes d’eau. Le style stramoine avec son cote glamour, devient populaire aux Etats Unis, et relance la

consommation. (Rationaliser): Organiser un processus de manière à accroître son efficacité, permet de simplifier le rapport à la technique au delà de l’esthétique, l’objet devient familier. •

Aux États Unis l’idée est de modifier le comportement des usagers, en Europe on va supprimer l’artistique pour centrer sur le fonctionnel. !



L’Europe est les États Unis commencent à s’intéresser a la technologie, et à la glorifier. Avec les nouveaux matériaux développées par les scientifique, (acier, aluminium, béton armé..) on parle d'honnêteté des matériaux (éthique du design), va donc s’installer une nouvelle logique de structure. !



On rejette l’ornement parce qu’il vient des cultures traditionnelles: on veut une idée d’universalisme afin de réduire les différence et le nombre de conflits. !



Culture pragmatique (on se concentre plus sur la pratique, les faits et l’action): on s'intéresse au réel !



On parle de fonctionnalisme des années 30 à 50 mais le style persiste. ! Fonctionnalisme (la forme et l'apparence extérieure doit découler de sa fonction et de ses articulations intérieures): le créateur doit traiter les problématiques objectivement, de façon neutre !

et impartial. On construit plus vite est en préfabriqué pour réduire les coûts!

• !

Cuisine de Francfort 1926 cuisine par et pour les femmes dans constructions types HLM bas! Cuisine intégrée dimension émotionnelle absente fait de cette cuisine un échec !



Le Crystal palace est une prouesse technique exposé lors d’une exposition universelle en Angleterre, pour montrer la puissance industrielle du pays. Les bâtiments construits sont insalubres, la production est polluante, la qualité esthétique est faible. !



Les architectes de l’époque sont avant tout artistes !

LES ORIGINES DU DESIGN

•1851: « Le crystal palace » de Joseph Paxton: Exposition universelle! La taille du bâtiment est spectaculaire, grâce a des méthodes de construction qui sont construites en usine et ensuite appliquées sur place. Ce type de construction permet un assemblage, on a mis 6 mois pour le construire. il montre la puissance industriel et technologique britannique, ceci va marquer une polémique concernant le devenir de la société industriel

John Ruskin s’élève contre la mécanisation, il va considérer que ce n’est pas de l’architecture car c’est un bâtiment industriel = Rupture entre le secteur de l’artisanat et de l’art, et le secteur de l’industrie! « La nature est la moralité humaine » William Morris est l’élève de John Ruskin, au départ il est contre la machine, et puis il va dénoncer les conditions de vie de l’ouvrier, pour lui les arts appliquées vont d’abord donner une esthétique, celle de démocratiser l’art, il s’intéresse a la revalorisation de la vie de l’ouvrier, il va chercher a valoriser le travail artisanal et proposer un style qui soit représentatif des capacités de l’artisanat La période est compliqué sur le plan artistique, les produits industriel on une faible qualité esthétique, on est dans une période Eclectisme, on va mélanger tous les styles, des copies de mobiliers anciens, exotique, l’orientalisme

Le rapport de l’industrie (productivité) et de l’art (savoir-faire) démontre une problématique Mouvement Arts et Crafts de William Morris: •

Un nouvelle architecture, une création de mobilier rustique et fonctionnel qui émerge du travail ! et du projet de William Morris. !



Ces différents mouvement suscitent renaissances des arts décoratifs. L’ambition de que des ! artistes et des artisans travaillent ensemble. ! • William Arthur Smith Benson fidèle aux idées de John...


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