Dissertation genre poétique PDF

Title Dissertation genre poétique
Author Valentine Alex
Course Genre poétique
Institution Université Catholique de Lyon
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Alex Valentine

L1

Dissertation de Genres poétiques

Sujet : Dans De l’Allemagne (1810), Germaine de Staël écrit « Le poète ne fait, pour ainsi dire, que dégager le sentiment prisonnier au fond de l’âme. (…) La poésie lyrique s’exprime au nom de l’auteur même ; ce n’est plus dans le personnage qu’il se transporte, c’est en luimême qu’il trouve les divers mouvements dont il est animé. » (Chapitre X, « De la poésie ») Introduction : La poésie lyrique est un genre littéraire qui consiste à mettre en évidence les sentiments enfoui du poète ; elle permet également d’aborder des thèmes diverses tels que l’amour, la mort et la beauté. En effet, cette poésie est souvent écrite à la première personne et s’adresse à une personne en particulier (toi,tu,te). Dans De l’Allemagne, Germaine de Staël (critique littéraire du XVIII° siècle) définit la poésie comme un moyen d’extérioriser le « moi » intérieur du poète .Les sentiments n’est plus retranscrit à travers les yeux d’un personnage mais sont au contraire exprimer par le poète lui-même. Toutefois, la poésie lyrique répond à des critères d’écritures spécifiques, telle que une ponctuation importante et nécessite alors un travail d’écriture et de recherche. Elle ne se résume donc pas à la simple expression des sentiments du poète Nous nous demanderons alors en quoi la poésie de Louise Labé et de Lamartine permettent-elles d’extérioriser leur moi intérieur mais également mettre en évidence le travail d’écriture du poète. Pour cela, nous nous appuierons sur les « Sonnets» de Louise Labé (1555) et « Les Méditations poétiques » de Lamartine (1820). Dans une première partie, nous verrons que les œuvres de Louise Labé et Lamartine ont une part autobiographique. Dans une deuxième partie, que ses œuvres sont le fruit d’un travail d’écriture du poète. Et enfin, que les œuvres possèdent une universalité du propos.

I-/ Une poésie autobiographique Dans cette première partie nous discuterons la part autobiographique présente dans les recueils de Louise Labé et Lamartine. En effet chacun de ces deux poètes utilisent leurs expériences personnelles pour écrire leurs poèmes et ainsi exprimer leurs sentiments enfouis.

Tout d’abord analysons la dimension autobiographique dans les poèmes de Lamartine. La poésie de Lamartine est une poésie du cœur qui s’inspire de ses relations amoureuses et notamment de celle d’Antonella, Julie Charles sa première femme et Marianne Birch avec qui il restera marier jusqu’à la fin de sa vie. Ces trois femmes ne seront directement citées dans son œuvre car Lamartine réunit ses trois amours à travers le prénom d’Elvire. Elvire est une figure de papier qui représentera pour le poète « la femme aimé ». En effet

Lamartine écrira ses médiations suite à l’annonce de la mort d’Antonella et la mort de Julie Charles comme il nous l’explique dans son commentaire page 73 « J’avais perdu, l’année précédente, par une mort précoce, la personne que j’avais le plus aimée jusquelà. Mon cœur n’était pas guéri de sa première grande blessure, il ne le fut même jamais. » . Nous pouvons voir dans ses paroles que Lamartine utilisera la perte de l’être aimé pour écrire sa poésie mais également pour « chanter » la douleur qu’il à ressenti face à la mort. Afin d’appuyer cette idée, prenons l’exemple du poème « Le Lac » , un poème écrit en l’honneur de sa relation avec Julie Charles. Ce poème devait à l’origine s’intitulé « Ode au lac de Burge » en l’honneur du lieu de rencontre entre Lamartine et Julie Charles. Mais il prendra alors le nom du « Lac » afin d’apporter un propos plus universel et permettre d’effectuer un effet polysémique. Le poème s’adresse donc à plusieurs destinataires qui sont le lac, les éléments de la nature et la femme aimé. Cet effet peut être mis en parallèle avec « L’ode à Leuconoé » un poème écrit par Horace qui tout comme Lamartine possède un effet d’amplification et de prolicité. De plus nous retrouvons dans ce poème le topo de l’être aimé comme nous pouvons le voir avec les 16 quatrains écrits au discours direct ou lorsque Lamartine s’adresse au lac pour évoquer le thème du souvenir mais également du temps qui passe. Cette évocation présente dans les vers 21-36 ressemble comme une prière au temps et à la déchirure de l’être aimé. Nous pouvons également voir au vers 49-64 une prière de Lamartine ou il demande à la nature de lui laissé que ses souvenirs heureux. Tout au long de ce poème nous pouvons entendre a voix de la femme aimé comme par exemple dans la rupture avec « tout à coup » ou la nature semble admirée la femme ou au vers 6 ou nous avons 2 lyriques qui se répondent « ô lac » et « ô temps ». Cette réponse illustre l’idée du temps qui passe tout comme la métaphore de l’eau et du vol d’oiseau. L’hypallage du « flots chéris » montre l’idée d’un bonheur passé avec l’être aimé et le regret de ce bonheur perdu. Dans ce poème nous pouvons donc voir que Lamartine utilise son ancienne relation avec Julie Charles et ses sentiments pour constitué son poème.

Ensuite nous verrons que Louise Labé utilise également ses expériences pour écrire ses poèmes. En effet Louise Labé dans son recueil les « Sonnets » s’adresse à un « tu » qui semble être l’un de ses amants : Olivier de Magny. Par ailleurs son recueil semble constitué les étapes de la passion amoureuse qu’elle à vécu avec son amant. Nous retrouvons également une poésie du corps qui permette de désigné l’être aimé « œil, corps, yeux, main, esprit » et d’apporter une dimension sensorielle à l’ensemble de ses poèmes. Tout au long de son recueil Louise Labé nous décrit l’évolution de sa relation avec l’être aimé : du début passionnelle, à la souffrance de l’absence de l’être aimé pour finir avec la douleur de la perte de l’être aimé. Nous possédons donc dans ce recueil les topos de la rencontre amoureuse avec la description physique de la femme aimé, l’expression de la douleur de l’amour ainsi que l’idéalisation de la relation amoureuse. Afin de comprendre l’influence de ses sentiments dans sa poésie, analysons le sonnet 5 du recueil. Dans ce poème écrit en décasyllabe Louise Labé s’adresse à « Vénus », l’astre de l’amour pour parler de la douleur qu’elle ressent quand l’homme qu’elle aime est absent. Cette évocation de Vénus qui apparait que la nuit peut être mise en parallèle avec

l’astre du Soleil qui représente un astre masculin. Vénus est également témoin de sa souffrance tout comme le lecteur comme nous pouvons le voir avec la présence du « tu ». Nous retrouvons également la thématique du regard ; l’œil de la poétesse voit Vénus et Vénus la regarde. Rappelons que « l’œil » est la partie du corps qui verse les larmes et qui est présent dans ce poème avec l’allitération du L et du M. L’emploie du « je » permets également de comprendre qu’elle parle de ses propres sentiments « J’endure mal » vers 11. De plus l’évocation du « lit » au vers 7, constitue pour la poétesse le lieu de fantasme d’être avec l’être aimé mais également un lieu de souffrance ou elle souffre de l’absence de l’être aimé. Le pronom possessif « mon » démontre également l’idée qu’elle parle de ses sentiments. Ce poème met donc l’accent sur sa propre douleur et illustre le fait que Louise Labé utilise son expérience de la passion amoureuse pour écrire son recueil. Enfin nous verrons que ses deux poètes s’incluent dans le romantisme et extériorise leurs sentiments intérieurs dans leurs poésie. En effet la poésie est un art qui permet de montrer l’âme et les sentiments enfouis du poète. Dans un article d’Aurélia Foglia sur « L’invention de l’intériorité », la poésie lyrique est définit comme « un chant intérieur de l’âme du poète ». Lamartine écrira que « L’homme est un être sensitif et pensant et qu’il est « instrument sonore de sensations et de sentiments d’idées ». Par ailleurs Aurélia Foglia définit également le « je » de la poésie comme « le héros d’une vie commune (au double sens de banale et de partageable) qui loge sa vie affective et se plaint d’un jeu de diffractions sans fin ». Hegel dans « l’Esthétique » que « La poésie lyrique est à l’opposé de l’épique. Elle a pour contenu le subjectif, le monde intérieur, l’âme agitée par des sentiments et qui, au lieu d’agir, persiste dans son intériorité et ne peut par conséquent avoir pour forme et pour but que l’épanchement du sujet, son expression ». Par ailleurs les deux poètes s’inscrivent dans un romantisme qui vise l’extériorisation des sentiments qui les habitent. Au sens premier du terme le romantisme se caractérise par l’emploi du moi sur le monde, l’emploi du « je » mais également sur le développement de la sensibilité de l’auteur dont les expériences personnelles s’opposent à la raison. Dans leurs recueils Lamartine et Labé parle de leurs passions vécues et ainsi soigner ou exprimer la douleur qui les habitent. Dans cette partie nous avons pus constaté que Lamartine et Labé utilisent leurs expériences pour extériorisé leurs sentiments enfouis et ainsi créer leurs poésies. Or les vécus des auteurs ne constituent pas l’intégralité du travail du poète. Lamartine et Labé effectuent également un long travail de documentation pour créer leurs poèmes.

II-/Un travail d’écriture poétique Dans cette deuxième partie nous allons voir que Lamartine et Labé s’inspirent des poètes de l’antiquité et de Pétrarque pour créer leurs œuvres poétiques. Leurs expériences personnelles ne sont donc pas les seules sources d’inspirations pour créer leurs œuvres.

D’une part nous allons voir que Louise Labé possède une poésie qui s’inspire de la poésie italienne et notamment de celle de Pétrarque. En effet le premier sonnet de Labé est écrit en italien et démontre ainsi la personne cultivé qu’était la poétesse. Labé tout comme Pétrarque écrit des poèmes d’amour en l’honneur de l’être aimé. Tous deux écrivent des sonnets possédant deux quatrains et deux tercets. La structure du poème semble aussi similaire. Le quatrain italien et français se présentent ainsi « a b b a ». Les tercets quant à eux diffèrent dans la poésie italienne et françaises : en Italie les tercets se présentent comme ceci « c c d » alors qu’en France les tercets se présentent ainsi « e e d ». Les rimes dans les poèmes de Pétrarque et Labé jouent sur l’alternance de rimes féminines et masculines afin de créer une certaine subtilité. De plus chacun de ses poètes utilise le topo de la rencontre amoureuse « l’innamoramento » ainsi qu’une description du corps de la femme aimée (blason) .La douleur de l’amour et idéalisation de la relation amoureuse est également présentent chez les deux poètes. Mais Labé prend aussi une certaine distance par rapport à Pétrarque. En effet la poétesse, s’inscrit dans le mode du pétrarquisme mais essaie de modernisé le modèle italien. Dans le sonnet huit de Labé, le poème ressemble presque à une traduction du sonnet 134 de Pétrarque. Le sonnet 2 joue également avec les codes pétrarquistes. Elle s’approprie également un lyrisme masculin pour en faire un féminin comme nous pouvons le voir dans les sonnets 2 et 21. Tout deux possèdent une poésie du corps et parle de l’amour malheureux comme un chaos qui semble les faires souffrirent constamment. Le fond et la forme du sonnet sont rigides et démontrent la puissance de l’amour endolorie. Elle s’inspire également de la philosophie antique dans leurs œuvres comme par exemple le mythe des androgynes de Platon ou la philosophie Néo-platonicienne qui désigne l’union des amants comme un amour pur et courtois. Labé s’inspire certes de ses émotions mais également de ses connaissances pour créer son œuvre et parler de ses émotions. D’autre part, nous verrons que Lamartine s’inspire de la Nature et des poètes de l’Antiquité pour écrire ses poèmes. Lamartine au début de sa carrière écrit des « Elégies » d’amour qui possède une forme semblable aux poèmes de l’Antiquité. Une inspiration des poètes antiques qu’il nous explique dans la préface de son œuvre à la page 61 « Cependant je lisais beaucoup, et surtout les poètes…A mes retours de voyages, pour passer les hivers tristes et longs à la campagne, dans la maison sans distraction de mon père, j’ébauchai plusieurs poèmes épiques, et j’écrivis en entier cinq ou six tragédies ». Mais cette inspiration des textes antiques ressemblait d’avantage à de l’imitation pour Lamartine qu’a de la véritable création poétique. Cette prise de conscience marquera le début de son art comme il nous l’explique dans sa préface à la page 63 « Je n’imitais plus personne, je m’exprimais pour moi-même. Ce n’était pas un art, c’était un soulagement de mon propre cœur, qui se berçait de ses propres sanglots ». Pour Lamartine le véritable art c’est « être touché ; oublier tout art pour atteindre le souverain art : la nature ». Une inspiration de la Nature que nous retrouvons dans son poème « L’isolement ». Dans ce poème le paysage reflète le paysage intérieur du poète : le paysage se déplace et se promène tout comme le poète. Le parallélisme du lac et du fleuve reflète notamment l’état intérieur du poète qui est à la fois agité et calme face à la solitude. Le ciel clair contraste au paysage sombre du poète. De plus le climat présent dans ce poème semble mélancolique « Vieux chênes », « Tristement », « Tableau changeant ». L’évocation du temps changeant montre également le temps qui passe et les sentiments enfouis du poète « le soleil se couche », « la lune se lève » vers 11-10 et 11-12. La Nature devient donc l’une

de ses principales inspirations pour écrire ses poèmes car elle lui permet de créer des métaphores entre ses sentiments et le paysage. Dans cette partie nous avons pus constaté que Lamartine et Labé n’utilisent pas uniquement leurs expériences personnelles mais également des sources d’inspirations diverses tels que la poésie italienne, les textes antiques ou la Nature. Mais leurs poésies ne servent pas uniquement à soigner ou extériorisé leurs sentiments enfouis mais également de tenir un propos universelle afin d’instruire leurs lecteurs. III-/ Des poèmes aux propos Universel Dans cette dernière partie nous allons voir que Lamartine et Labé expriment certes leurs émotions dans le but d’extériorisé leurs douleurs mais leurs vécus permettent aussi d’instruire ou éduquer leurs lecteurs. D’une part nous allons voir que l’expérience de Louise Labé sur la passion amoureuse permet pour la poétesse de prévenir ses lecteurs et plus précisément ses lectrices sur les ravages de la passion amoureuse. Afin d’éclairer mon propos nous nous baserons sur l’un des derniers sonnets de Labé : le sonnet 24. Ce sonnet clos le recueil et met en évidence la colère de la poétesse suite à l’abandon de son amant. Dès le début du sonnet la poétesse indique que ce sonnet est dédié aux lectrices « Dames » et demande à ce qu’elles fassent preuves d’indulgence envers son sort. La suite du sonnet résonne comme une mise en garde de la passion amoureuse et de ses effets comme nous pouvons le voir au vers 8 « Mais estimez qu’Amour, à point nommé ». L’Amour pour Labé peut arriver à tout le monde et n’épargnez personne. Cette mise en garde est également accentuée par la présence de la négation omniprésente dans le sonnet : « Ne reprenez » vers 1 ; « N’aigrissez point » vers 7. L’anaphore du « Si » permet également de montrer les reproches qu’elle à sur la passion amoureuse. Pour la poétesse l’amour est une perte de temps et est une source de douleur et de malheur. La passion amoureuse qu’elle à vécue est une erreur « J’ai failli »vers 6. De plus Labé fait une référence aux personnages mythologiques de Vulcan et Adonis qui sont le mari et amant de Vénus. Pour elles les femmes vont tromper leurs maris pour un homme beau et ne doivent pas sans vouloir car cette tromperie est un effet néfaste de l’amour. Elle fait également rimée le mot « amoureuse » avec le mot « malheureuse » comme si l’amour était voué à la souffrance. La fin de son sonnet se ferme sur un « Gardez-vous », un impératif qui donne l’ordre à ses lectrices de se protéger de la passion amoureuse. Nous pouvons également mettre ce conseil avec Madame de Lafayette, une autre auteure femme du 16ème siècle qui met aussi en garde les femmes sur les dangers de la passion amoureuse. Au début de « La Princesse de Montpensier », Lafayette utilise la métaphore de la guerre pour décrire les ravages de la passion amoureuse « Pendant que la guerre civile déchirait la France sous le règne de Charles IX, l’amour ne se lassait pas de trouver sa place parmi tant de désordres, et d’en causer beaucoup dans son empire ». Pour elle sa passion avec le duc de Guise à eus raison d’elle-même. Labé et Lafayette utilisent donc leurs œuvres pour tenir un propos universelles à savoir celui de faire attention à l’amour et aux ravages qu’il peut causer. D’autre part nous verrons que Lamartine utilise ses méditations et ses promenades en pleine Nature pour développer une certaine spiritualité sur la mort et sur son rapport avec Dieu.

Lamartine dans sa préface page 68 définit son rapport avec dieu et sur son salut « Un salut est un adieu à l’existence et à la nature, mais un adieu qui est un salut aussi ! Un salut plus enthousiaste, plus solennel et plus saint à la vision de Dieu qui se lève tard, mais qui se lève plus visible sur l’horizon du soir et de la vie humaine ! ». Dans son poème de « L’isolement », Lamartine utilise le spectacle de la nature pour sublimer l’espérance et aller vers un au-delà. La réflexion qu’il à sur la perte de l’être aimé et de la mort est une réflexion qui s’universalise et qui unit l’amour divin et l’amour spirituelle. De plus ce poème permet également de se mettre à la place du poète et de réfléchir nous aussi à la mort et sur son effet. Dans le vers 11 Lamartine utilisent un parallélisme afin de démontrer que l’amour entre les Hommes est sanctifié et est à mettre au même pied que l’amour charnel. Cette vision idéale montre les limites du langage et de ce qu’il peut exprimer. De plus Lamartine veut aussi élever son œuvre spirituellement et faire que son œuvre possède une portée métaphysique. La poésie lyrique fonctionnera pour lui comme un moyen de s’exprimer comme il nous est expliqué à la page 493. Son œuvre doit fonctionner comme un recueillement mental avant d’être une prière. Lamartine dans son œuvre universalise son propos afin d’aborder des questions métaphysiques tels que l’amour et la mort. Conclusion : Pour conclure la poésie lyrique décrite par Germaine de Staël, permet effectivement au poète d’extériorisé leurs souffrances intérieures. Mais également de mettre en évidence le travail d’écriture du poète ainsi que tenir un propos universel qui vise à éduquer ou avertir son lecteur. En effet, à travers les œuvres de Lamartine et de Louise Labé nous avons pus voir que certes les poètes romantiques s’inspirent de leurs propres vécus pour écrire leurs œuvres mais également de leurs sources de documentations. Cette documentation démontre leurs travails d’écriture et témoignent aussi de leurs volontés d’avertir le lecteur sur les ravages de la passion amoureuse ou de savoir comment agir face à la perte de l’être aimé....


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