Document de d\'étude Examen final PDF

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Document d’étude Examen final : Méthodologie 1 Séance 7 : devis quantitatif et qualitatifs 1. Distinguer les différents devis de recherche qualitative;  Phénoménologique : o Elle cherche à découvrir l’essence, la nature des phénomènes et leur attribuer une signification. o Vise la compréhension et la description de l’expérience humaine telle que la vivent les participants à l’étude. o Les prérequis : les participants doivent être capables de refléter et de rapporter le plus fidèlement possible leurs réactions à un phénomènes précis dans leur vie. o Par échantillon intentionnel o La collecte de données se fait par entrevue non dirigées et semi-dirigées (récit de vie) Phénoménologique descriptive Phénoménologique herméneutique Décrire la signification d’une expérience particulière Mettre l’accent sur l’interprétation des expériences But telle qu’elle est vécue par les participants. vécues plutôt que sur leur simple description. Particularit Réduction phénoménologique (mise entre Les idées préconçues sont utilisées pour comprendre les é forces et les limites des interprétations. parenthèse des acquis préalables) Description du processus interactif par lequel les Compréhension et interprétation d’expériences diverses personnes donnent une signification à une situation vécues. Accent particulière 

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Ethnographie : o Met l’accent sur le concept de la culture. Pour expliquer. Elle est issue de l’anthropologie. o Vise à comprendre les modes de vie de groupes appartenant à des cultures différentes. o Le but est de décrire en profondeur le système culturel ou social qui explique le comportement des personnes. Comprendre comment les valeurs sont socialement construites et transmises. o L’échantillonnage est non probabiliste (il y a donc des critères pour choisir le groupe et le lieu) o La collecte de données se fait par observation participante, entrevues non dirigées et semi-dirigées. Théorisation enracinée : o Pour expliquer des facteurs, des processus ou des conséquences. o Visant à décrire des problèmes présents dans des contextes sociaux particuliers et la manière dont les personnes y font face dans le but de générer une proposition théorique des phénomènes sociaux. o Il n’y a pas de question centrale, il faut découvrir le processus social présent dan les interactions humaines. o Met l’accent sur le processus correspondant aux séquences d’Actions ou d’interactions des personnes par rapport à un problème. o L’échantillonnage est théorique puisqu’il doit permettre de fournir toute l’information nécessaire à la compréhension du sujet. o La collecte de données se fait par l’immersion du chercheur dans le contexte social. Étude de cas : o Faire état d’une situation réelle particulière, prise dans son contexte et l’analyser pour découvrir comment e manifestent et évoluent les phénomènes. Analyse en profondeur d’un ou de plusieurs cas. (Groupes, événements, équipes de travail. 3 catégories :  Intrinsèque : s’intéresse à un cas en particulier. (Uber)  Instrumentale : cas est choisit pour nous permettre de répondre à une question d’intérêt (exemple : les compagnies de taxi)  Multiple : le chercheur choisit plusieurs cas pour répondre à sa question d’intérêt (plusieurs taxis) o Le but est de décrire en détail et en profondeur un ou plusieurs cas dans le contexte de la vie quotidienne et sa complexité. Décrire les conditions d’une personne, sa manière de réagir, ses émotions, ses pensées, etc. o Met l’accent sur l’élaboration d’une description et d’une analyse détaillée d’un ou plusieurs cas dans leur milieu naturel. o L’échantillonnage est intentionnel, il est fait par choix raisonné.

o La collecte de données : plusieurs méthodes (observation, entrevue, matériel audiovisuel, etc.)  Étude descriptive qualitative o Type de recherche servant à décrire des phénomènes sans faire appel à une méthodologie qualitative particulière. o Décrire simplement ou sommairement un phénomène ou un évènement peu connu. o Met l’accent sur le qui, le quoi et le lieu d’une expérience ou d’un évènement d’un milieu naturel. o L’échantillonnage est intentionnel, il est fait par choix raisonné. o La collecte de données se fait par entrevues individuelles non dirigées ou semi-dirigées, par groupe de discussion, observation, examen de document, etc. 2. Distinguer les différents devis de recherche quantitative;  Étude descriptive : o Deux objectifs :  Obtenir de l’information précise sur les caractéristiques, les comportements ou les conditions des personnes, groupes etc.  Établir la fréquence d’apparition de certains phénomènes. o Il n’y a pas de cadre de recherche bien défini, les variables sont non définies puisqu’elle ne porte pas sur des relations. o Sujets sont souvent peu connus ou peu étudiés. o 4 types :  Descriptive simple : examine les caractéristiques d’un échantillon, on y précise le phénomène à l’étude et les définitions conceptuelles.  Descriptive comparative : rend en compte les différences dans les variables dans deux groupes ou plus. Les différences sont par rapport à des données démographiques et individuelles.  Enquête : recueillir de l’information sur un phénomène existant, décrire le problème, apprécier des pratiques courantes et faire des comparaisons et des évaluations.  Étude de cas : permet d’étudier des phénomènes oubliés ou ignorés. Description en profondeur et détaillée d’une simple entité. Plus souvent en recherche qualitative. Pour accroitre la connaissance et pour étudier des changements susceptibles de se produire dans le temps.  Étude corrélationnel : o Pour explorer et vérifier des relations entre deux variables ou plus. o Pas de contrôle ou de manipulation dans les variables utilisé.es o Les études se fondent sur la corrélation, degré d’Association entre des variables, pour déterminer la force et la direction de la relation. o L’échantillon doit être le plus représentatif et le plus grand. o 3 types  Descriptif corrélationnel : explorer des relations entre plusieurs variables dans une situation sans clarification de la raison sous-jacente de la relation.  Corrélationnel prédictif : prédire la valeur d’une variable fondée sur les valeurs observées d’autres variables. Les variables sont choisies en fonction de l’influence qu’elles peuvent avoir les unes sur les autres.  Corrélationnel confirmatif : consiste à vérifier la validité d’un modèle, examine le réseau de relations formé des variables proposées par une théorie ou un modèle. o 3 types de variables :  Hexogène : modifient la valeur des variables endogènes.  Endogènes : variable dont la modification est expliquée dans le modèle théorique par les valeurs hexogènes.  Résiduelles : résultat des variables non mesurées et non incluses.  Visée temporelle : o Examen de la séquence et des modes de changements de la croissance ou des tendance dans le temps o Deux types : Longitudinale ou transversale o Cherche à comprendre le lien entre un facteur de risque et une maladie. En santé. o Déduire des relations causales sans recourir aux méthodes expérimentales o 3 types :

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Cohorte prospective : implique un groupe de personnes exposées à des facteurs de risque Cohorte rétrospective : groupe de personnes avec des effets observables Cas-témoins : observation rétrospective avec deux groupes, un atteint de la maladie et l’autre indemne.

Autres : o Méthodologique :  Recherche conçue pour élaborer ou raffiner les instruments servant à mesure les variables. Établir la validité des instruments de mesure des valeurs. o Analyse secondaire :  Type d’étude utilisant des données recueillies par un chercheur et réanalysées par une autre chercheur afin de vérifier les hypothèses ou d’explorer de nouvelles relations. Distinguer les devis d’études transversales et longitudinales;  Longitudinale : examen simultané d’une ou de plusieurs cohortes à un moment donné. Permet de rapporter la fréquence d’un évènement, les facteurs de risque.  Transversale : examen simultané d’une ou de plusieurs cohortes à différents moments. Permet d’évaluer des changements, établir des relations ou des différences. Définir les caractéristiques des devis expérimentaux;  Randomisation ou répartition aléatoire des participants  Le chercheur manipule la VI et observe l’influence de celle-ci sur d’autres variables.  Présence d’un groupe de contrôle.  Les signes : o R : a été réparti au hasard. o X : présence d’un intervention o O : présence d’un test, d’une observation. Distinguer les devis expérimentaux et quasi-expérimentaux;  Dans la devis de recherche expérimentaux, le chercheur manipule la VI, il y a répartition au hasard (donc tout le monde a une chance égale) et il y a un groupe contrôle.  Dans le devis de recherche quasi-expérimentale, on ne rencontre pas toutes les caractéristiques, c’est plus faible et il y a moins de contrôle sur les obstacles à la validité. Représenter schématiquement les devis expérimentaux et quasi-expérimentaux à l’aide de symboles 

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Séance 8 : échantillonnage et mesure 1.

Distinguer les concepts liés à l’échantillonnage  Population : ensemble des éléments à propos desquels on souhaite obtenir de l’information  Population cible : population que le chercheur veut étudier et pour laquelle il désire faire des généralisations  Population accessible : portion de la population cible que l’on peut atteindre.  Échantillon : sous-groupe d’une population choisie pour participer à une étude.  Échantillonnage : processus au cours duquel on sélectionne un groupe de personne ou une portion de la population pour représenter la population cible.  Critère d’inclusion : correspond aux caractéristiques essentielles des éléments faisant partie de la population cible et accessible.  Critère d’exclusion : correspond aux caractéristiques des éléments qui ne peuvent faire partie de la population.  Représentativité : vise à assurer que l’échantillon étudié constitue un portrait valide et fidèle de la population

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o Dans quelle mesure l’échantillon représente la caractéristique d’intérêt de la population? Biais d’échantillonnage : différence entre les valeurs observées relativement à une caractéristique de l’échantillon et les valeurs obtenues pour cette caractéristique dans la population.

Distinguer les méthodes d’échantillonnage probabilistes des méthodes non probabilistes Probabiliste - Aléatoire simple - Aléatoire systématique - Aléatoire stratifiée - En grappe

Types Informations 3.

- Réduit le risque d’erreur

Distinguer les différents types d’échantillonnage  Probabilistes o Leur but étant de vérifier des hypothèses o La population est hétérogène. Aléatoire simple

Non probabiliste - Accidentel - Par quotas - Intentionnel - Par réseaux - Faible potentiel de représentativité et ne permet pas d’évaluer l’erreur.

Aléatoire systématique

- Requiert une liste des participants - L’instrument de mesure est l’ordinateur - On tire les nombres au hasard jusqu’à ce qu’on ait atteint le nombre de participants désiré.

- Établir la proportion qui sera échantillonnée - Tirer un nombre de départ au hasard à partir de la liste - Choisir les éléments dans la liste en respectant l’intervalle d’échantillonnage jusqu'à l’obtention du nombre souhaité.

Aléatoire stratifiée

En grappes

- Diviser la population en deux ou plusieurs strates - Tirage au hasard de groupes de sujets hétérogènes de sorte - Tirer un échantillon au hasard dans chaque strate que chaque grappe soit représentative de la population. - Sélection peut respecter la proportion des strates dans la - Les grappes peuvent être des régions, des organsiation,s des population. écoles, etc.

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Non probabilistes o Leur but étant d’explorer des relations. o La population est homogène. Accidentel

Par quotas

- Choix des individus en fonction de leur présence dans un - Même que pour l’échantillonnage stratifiée mais les éléments lieu déterminé sont choisis aléatoirement. - Premier arrivé premier choisi. - Choix de sous-groupes proportionnellement égaux aux sujets - Jusqu’au nombre désiré. en se fondant sur des caractéristiques déterminées. Intentionnel

Par réseau

- Recherche d’un caractéristique bien précise - Demander à des individus déjà recrutés d’identifier d’autres - Éléments choisis doivent représenter le phénomène à personnes répondant aux mêmes critères qu’eux afin qu’ils l’étude et aider à la comprendre. participent à l’étude - Souvent utilisé en recherche qualitative - Utilisé dans certaines approches qualitatives - Souvent par le biais d’une annonce. - Quand les individus sont difficiles à recruter 4.

Identifier les facteurs déterminant la taille d’un échantillon  Plus le nombre de variable st élevé, plus la taille doit être grande.  Descriptive quantitative ou qualitative : petit nombre

 Descriptif corrélationnel : grand nombre  Corrélationnel prédictif : nombre suffisamment grand  Causal : nombre moins grand  Si c’est homogène, c’est un plus petit nombre, si c’est hétérogène, c’est un plus grand nombre 5. Définir le processus d’opérationnalisation des concepts  Passer du concept à la variable. Le phénomène devient maintenant observable. a. Définition conceptuelle b. Détermination des dimensions o Le chercheur doit déterminer ce que signifie le rendement, il choisit de l’observer à partir de deux caractéristiques : qualité et rapidité. c. Sélection des indicateurs empiriques o Grâce aux dimensions, le chercheur nomme des indicateurs. Pa exemple, pour la rapidité on veut savoir combien de chaises seront assemblées à l’heure. 6. Distinguer les types d’erreur de mesure  Les erreurs c’est l’écart ente la mesure réelle et la mesure obtenue.  Les types : o Aléatoires : attribué à des facteurs extérieurs. (Exemple : conditions d’administration.) o Systématiques : causé par des facteurs permanents. (Exemple : chaque fois qu’une mesure est prise, les femmes répondent plus faiblement aux questionnaire que les hommes.) 7. Distinguer les échelles de mesure Échelle nominale Échelle ordinale - Aucune valeur quantitative - Nombres ayant une valeur nominale uniquement pour classer des objets dans une catégorie donnée. Valeurs discrètes. - Ne reflète que des différences qualitatives entre les catégories. - Les catégories doivent être exhaustives et s’exclure mutuellement. - Statistiques descriptives

- Nombres assignés à des éléments selon leur valeur relative pour représenter un rang ou un ordre de grandeur. - Les catégories doivent être exhaustives et s’exclure mutuellement. - Statistiques descriptives

Échelle à intervalles

Échelle à proportions

- Absence d’une quantité. Opérations mathématiques - Zéro absolu possibles - Toutes les opérations mathématiques sont possibles - Les chiffres prennent une valeur numérique et sont - Nombres séparés par des intervalles égaux. séparés par des intervalles égaux. - Les valeurs continues n’équivalent pas à des données absolues. 8.

Distinguer les types de fidélité et de validité  La fidélité c’est la précision et la constance des mesures obtenues à l’aide d’un instrument de mesure. Trois critères : o Stabilité temporelle : Les résultats sont semblables, effectués dans les mêmes conditions auprès des mêmes individus. Degré de concordance entre deux mesures prélevées à deux moments différents. Test-retest. o Équivalence : Deux manières : 1) deux versions équivalentes d’un même instrument de mesure. 2) comparaison des résultats de deux observations ou plus. o Cohérence interne : degré de concordance entre les énoncés d’une instrument de mesure. Degré d’homogénéité.  La validité c’est lorsque l’instrument de mesure mesure ce qu’il est censé mesurer. Les types d’approches : o Validité du contenu : réfère au caractère représentatif des énoncés utilisés dans un instrument pour mesurer le concept.

Validité du construit : capacité d’un instrument de mesurer un concept abstrait défini dans son contexte théorique (par groupes, par vérifications d’analyses, analyse factorielle ou convergence/divergence. o Validité liée au critère : corrélation entre un instrument et un autre  Concomitante : même temps, même individus, deux mesures  Prédictive : capacité à prévoir une situation future. 9. Décrire la procédure de la validité transculturelle  Technique de traduction o Traduire les énoncés en français. o Retraduire les énoncés dans la langue d’origine o Comparer et corriger les deux versions jusqu’à ce qu’elles soient jugées pleinement satisfaisantes. o

Séance 9 : Méthodes de collecte de données en QUANTITATIF Choisir la méthode appropriée de collecte des données  Le chercheur doit choisir la méthode qui convient le mieux au but de l’étude, à ses questions de recherche ou à ses hypothèses.  Le choix de méthode appropriée dépend du niveau de recherche et du type de phénomène à l’étude. o 1er niveau de connaissance : recherche exploratoire/descriptive et études descriptives quantitatives o 2ème niveau de connaissance : étude descriptive corrélationnelles o 3ème niveau de connaissance : étude causales.  Le choix de la méthode appropriée dépend aussi des instruments disponibles o Il doit être en accord avec les définitions conceptuelles, être valide et fiable 2. Distinguer les instruments de mesure en recherche quantitative  Observation structurée o Observer et décrire des comportements particuliers ou des évènements à l’aide de formes standardisées dans lesquelles le chercheur inscrit ce qui doit être observé, en combien de temps et la façon dont les données sont enregistrées. o Pré-requis : le chercheur doit connaitre les manifestations que peuvent prendre un comportement. o Exigence : solide entrainement des observateurs (% d’accord = 80%) o Système d’observation :  Définir l’objet d’observation (quels sont les comportements, auprès de qui?)  Élaborer un système d’observation (comment les comportements sont enregistrés et codés par grille d’observation) o Critères pour le choix des unités d’observation :  Mutuellement exclusives  Concrètes, représentatif et clairement défini.  Est en lien direct avec les objectifs de l’étude.  Se manifeste souvent  Entrevue dirigée o Interaction verbale au cours de laquelle l’intervieweur contrôle le contenu et le déroulement des échanges ainsi que l’analyse et l’interprétation des mesures. o Entrevue dirigée se présentant sous la forme d’un questionnaire  L’intervieweur pose les questions et inscrit lui-même les réponses. o Les intervieweur doivent recevoir une formation et adopter une attitude de neutralité lors des entrevues.  Échelles o Forme d’autoévaluation constituée de plusieurs éléments liés entre eux et destinés à mesurer un concept ou une caractéristique personnelle. o L’échelle représente un continuum.  Likert :  Échelle d’attitude constituée d’une série d’énoncés déclaratifs pour lesquels le répondant exprime son degré d’accord ou de désaccord.  Mesure habituellement des attitudes ou des traits psychologiques ou une fréquence.  Score : calculé selon l’addition de la valeur à chaque énoncés.

1.

 Différence par un choix forcé de réponse. Différentielle sémantique  2 pôles, c’est une évaluation de la signification qu’accorde un sujet à une attitude.  Seulement deux extrémités sont désignées. Variation entre les réponses négatives et positives.  Mesures physiologiques o Technique utilisée pour mesurer des variables physiologiques (pulsion, pression artérielle, douleur) o Moins susceptible d’être utilisée en ethnographie. 3. Expliquer les étapes du processus d’opérationnalisation des concepts  Étape 1 : définition conceptuelle o Transmet la signification du concept. o Qui caractérise la relation entre un individu et une cible. o Qui a des conséquences sur la décision de rester membre ou non.  Étape 2 : Détermination des dimensions o Trois dimensions différentes :  Affective : attachement émotionnel, identification et engagement envers une cible donnée.  Normative : sentiment d’obligation envers cette cible.  De continuité : conscience des coûts assoc...