Document de l\'historien PDF

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Summary

Appréhender les différentes sources historiques afin de mieux les manipuler et les comprendre pour la suite de ses études d'histoire...

Description

Document de l’historien. Premier cours : Pourquoi un cours sur les documents de l’historien ? I-

« L’histoire se fait avec des documents » (Langlois et Seignobos, Introduction aux études historiques)

A la fin du 19ème siècle on voit l’émergence de l’école méthodique. Selon eux rien ne supplée aux documents. Le document est au cœur de la démarche de l’historien. L’histoire n’est pas raconter et apprendre par cœur des faits mais surtout élaborer un raisonnement critique à partir de documents, qui sont les productions diverses des hommes et sociétés du passé, soumises au regard critique de l’historien. Document : Renseignement écrit ou objet servant de preuve ou d’information. Source : Origine d’une information, d’un renseignement. G. Duby (historien médiéviste), parle de matériaux : Ce qu’on rassemble d’idées et de faits, pour la construction d’un ouvrage. II- « Faire parler les choses muettes » (F.Lefebvre) : de la diversité des documents de l’historien. Avec l’école méthodique, la vision des documents est limitée, ils ne citent que des documents écrits. Or, avec l’école des annales de F.Lefebvre, on a une vision plus large des documents de l’historien. Combats pour l’histoire « l’histoire se fait avec des documents écrits sans doute. Quand il y en a. Mais elle peut se faire, elle doit se faire sans documents écrits s’il n’y en a point. » Il y a des nombreux documents mobilisables. a) « l’histoire sans écrits », la préhistoire. Archéologie : objets du sol et du sous-sol Paléontologie/anthropologie : Etude des traces et des corps humains. Au 19ème s il est décrété qu’il n’y a pas d’histoire avant l’invention de l’écriture. Aujourd’hui on mène quand même des recherches avec la datation des corps au carbone 14, la dendrochronologie (étude des lignes des arbres, du pollen…) b) L’antiquité Apparition des sources littéraires, sous formes de biographies, pièces de théâtre, politeia…Ces sources sont le plus souvent sur papyrus, le papier arrivant au 13 ème siècle de la Chine. Les sources numismatiques : pièces de monnaie, médailles, sceaux. Elles apportent des dates, complètent l’œuvre littéraire, renseignent sur les techniques utilisées par la société qui l’a frappée, sur l’économie monétaire, les courants commerciaux… Les sources épigraphiques : inscriptions sur les monuments, les maisons, les stèles, les bornes…le plus souvent gravées ou alors faites de lettres métalliques imprimées dans la pierre, avec des caractéristiques communes. En plus des céramiques, poteries…

c) Le Moyen Age Sources littéraires avec les manuscrits, les enluminures, les miniatures, les tapisseries… La paléographie est la science du déchiffrement de manuscrits. d) Les temps modernes Vers 1455 Gutenberg invente l’imprimerie, multiplications des livres, textes, développement de la bibliothèque… e) Epoque contemporaine Explosion de l’imprimerie, presse, archives, explosion de l’image, le cinéma, la photo… « L’archéologie industrielle », la statistique, les témoignages oraux et enregistrés, la radio et son explosion. Grande diversité de sources avec un accès aux archives facile et très divers.

A COMPLETER

2ème cours Dossier numéro 1 : L’ostracisme à Athènes au Vème siècle avant J-C. I-Définition du sujet Les éléments du dossier documentaire nous renseignent sur la notion d’ostracisme : Le texte de Plutarque (doc 1), l’ostracisé était banni pour 10 ans et conservait la propriété de ses biens et sa citoyenneté. C’est une procédure votée à l’Ecclésia, l’assemblée du peuple. Avant l’utilisation de l’ostracisme à Athènes on utilisait l’atinie. Cette procédure consistait à rayer de l’humanité la personne en question, soit par la mort soit par une fuite sans retour. Chaque année lors d’une période : «la 6eme prytanie » avait lieu l’ostracisme. Cette période peu agricole car en hiver, permettait aux citoyens paysans de se rendre en ville entre janvier et février puisqu’un déplacement en vile pour eux était la perte d’une journée de travail et donc ils se résignaient souvent à abandonner leurs droits politiques de citoyen. Ostrakon : tessons de poterie, étymologie coquille d’huitre (ostraka au pluriel) En 508 avant J-C Clisthène met en place l’isonomie : l’égalité de tous (les citoyens) devant la loi. Il faut être un homme né à Athènes, avoir au moins 18 ans, être né de parent citoyen, avoir fait son éphébie (service militaire), inscription dans une tribu et un dème. Athènes suite à l’isonomie va être organisée en tribus rassemblant des dèmes. Les citoyens ne portaient plus à l’assemblée leur nom de famille qui était marque de richesse et donc s’imposaient devant tous, et donc égalisaient les prises de parole. II-Présenter les documents -Document 1 et 2. Quoi ? C’est une biographie de Plutarque et une politeia (un traité politique qui décrit en l’occurrence les institutions d’Athènes) d’Aristote. Ce sont des documents littéraires sur papyrus. Qui ? Plutarque, entre 46 avant et 125 après, environ 600 ans après les faits, ce qui pose la question de la véracité des détails relatés et de la compréhension qu’il peut avoir des logiques politiques athéniennes. Il était moraliste et biographe. Aristote (élève de Platon) a créé le lycée, école philosophique, (384-322 avant) donc contemporain. Pourquoi ? Plutarque est un moraliste et porte donc un jugement de valeur et dresse un portrait des individus qu’il présente, on voit sa position par rapport aux faits qui se dégage des textes. Aristote a une perspective diachronique, a une observation sur l’évolution des faits sociaux dans le temps. A qui ? Pour les deux documents, ils s’adressent à un lectorat plutôt aisé et lettré ce qui limitait le nombre de lecteurs à cette époque puisque l’analphabétisme était fréquent. Où ? Le document a été écrit par des auteurs grecs venant tous deux de l’Attique, donc de l’aire géographique de l’objet d’étude. Quand ? Les deux sont postérieurs aux faits relatés, il faut donc les confronter aux sources puisque la fiabilité des faits est donc à remettre en cause (archéologie par exemple).

-Document 3 et 4 : Quoi ? Le doc 3 est un plan d’Athènes à l’époque classique à propos de la localisation des ostraka. Le document 4 concerne les ostraka (tessons de coquille), les mentions qui y sont écrites sont à étudier. Document épigraphique d’origine archéologique. Qui ? M. Lang, historien archéologue américain, donc non contemporain. Les ostraka sont de citoyens athéniens. A qui ? Le document s’adresse à un public un minimum informé sur la question athénienne. Les ostraka étaient destinés à l’Ecclésia et ses citoyens. Pourquoi ? Source secondaire, pour informer, renseigner, résume et analyse la situation de sources primaires. Le document renseigne sur l’Ecclésia, le fonctionnement de l’ostracisme, les ostracisés… Quand ? Le doc pas de date précise mais publication en 1990. Le doc 4 n’a pas de date non plus mais les noms mentionnés renvoient au Vème siècle avant. Où ? American school of classical studies, à Athènes. Ostraka trouvés à Athènes mais échantillon non représentatif. Après ces questions, on doit faire une analyse précise des documents. III-Définir le contexte Repérer le contexte à partir des éléments fournis par les documents, à partir des évènements mentionnés, à partir des noms. Dans le document 2 sont mentionnées la victoire de Marathon qui renvoie à la 1 ère guerre médique en 490 avant J-C. Et l’expédition de Xercès à la deuxième guerre médique 482-479 avant J-C. Les évènements mentionnés par Aristote dans le doc 2 situe donc les le contexte entre 490 avant et 479. Grandes expéditions perses les opposant aux athéniens. Et avec encore plus de précision dans le document 1 avec la mention de Hyperbolos, ostracisé en 418-417 et mort en 411 avant. La plupart des noms cités sont des Athéniens célèbres. Rivalité forte entre Alcibiade et Nicias qui sont ennemis mais qui s’allient pour l’ostracisme d’un troisième car ils étaient menacés. IV-Faire une analyse linéaire des documents Doc 1 -Premier paragraphe : Plutarque distingue 2 choses dans ce paragraphe. Il sépare les raisons judiciaires des raisons réelles. Aristide a été ostracisé car il aspirait à la tyrannie, c’est la raison juridique. Pourtant il le présente comme un juste, quelqu’un de bien. Il explique donc que son ostracisme est la jalousie du peuple et l’hostilité de Thémistocle à son égard qui a convaincu l’assemblée. Le texte est d’emblée en faveur d’Aristide et contre le peuple et Thémistocle.

-Deuxième paragraphe : Décision d’ostraciser Aristide et présentation du fonctionnement de ce processus. Il affiche son mépris envers le peuple et la démocratie alors qu’il prend position pour des grands hommes haut placé et puissants. -Troisième et quatrième paragraphe : Digression (développement d’un sujet un peu éloigné du sujet de base) à propos de l’ostracisme de Hyperbolos. Nicias : pro oligarchie face -Paragraphe 5 et 6 : Le déroulement de la procédure. On sait ou, comment, mais pas quand. Les modalités de vote. On ne sait pas où les exilés partent. Hébergés dans les cités voisines ? Les deux qui sont morts durant leur ostracisme, l’un a été retrouvé à Somos, un autre en territoire barbare. Dans le dernier paragraphe, on voit bien le mépris de Plutarque sur l’ignorance et la grossièreté paysanne et son adoration envers Aristide. Bilan : renseignement sur la procédure Le document 2 est une chronologie de l’ostracisme. Une liste d’ostracisés, leurs noms, les raisons, la durée variable des exils. Que les divergences politiques intérieures passaient après les problèmes politiques extérieurs. Le document 3 nous indique que les ostraka se trouvaient pour la plupart dans le quartier des céramiques pour la réutilisation et en dehors des murs peut-être une décharge ? D’autres sur l’Agora, lieu de la procédure, adéquation entre archéologie et sources littéraires. Le document 4 peut indiquer sur les matériaux utilisés, la forme, les gravures présentes, la graphie… On peut aussi étudier les noms inscrits sur les ostraka parfois suivis de messages de haine. Infos sur la manière de nommer qui et pourquoi, certain noms cités sont cependant inconnus. V-Proposer un plan L’ostracisme est-il un processus démocratique ?

3ème cours : Les gladiateurs du monde romain I-Définir le sujet Gladiateur vient de gladius (glaive) étaient des combattants d’amphithéâtres. Des prisonniers de guerres et condamnés mais rapidement apparition de la professionnalisation de par les sommes intéressantes à gagner. Ludi Gladiatorii (école de gladiateur) dans lesquelles s’entraînent les esclaves comme les pros. Les Etrusques font débuter les combats de gladiateur. Ils avaient pour coutume de faire des victimes expiatoires parmi les ennemis vaincus qu’ils organisaient en combats dans lesquels ils s’entretuaient pour honorer les « mânes » (divinités qui symbolisent les esprits des morts). Les premiers combats publics apparaissent à Rome en 246 avant J-C et se tenaient sur le forum jusqu’à la construction du premier amphithéâtre en 29 avant J-C sur le champ de Mars. Au départ essentiellement des condamnés à mort et prisonniers en tout cas des hommes non-libres. A ce moment, c’est un moyen pour l’aristocrate de séduire le peuple dans le cadre de la course aux magistratures. C’est au moment du passage à l’Empire avec le grand spectacle offert par César pour ses 21 ans (il est alors édile de Rome) appelé le Munus. Avec cet Empire les spectacles deviennent une prérogative impériale en l’an 60 à Rome (en dehors de Rome il faut une autorisation de l’Empereur). Le munus devient vite le spectacle favori du peuple et les Empereurs par ce biais offrent « du pain et des jeux ». C’est un spectacle très coûteux qui devient de plus en plus cher et de plus en plus massifs. Ces jeux seront supprimés au 5 e siècle et selon Paul Veyne pour des raisons de morale religieuse, pour d’autres par manque d’argent de l’Empire romain d’occident. II-Présentation des documents Document 1 et 2 Quoi ? Document littéraire sur les gladiateurs, Tusculanes est un traité de philosophie. 2 e doc poème satyrique sur la société romaine, une fiction outrancière mais utile pour c omprendre les mœurs de la société romaine. Qui ? Homme d’Etat, orateur et écrivain du 1 er siècle avant J-C. Il est un pérégrin et est le premier de sa famille à obtenir la citoyenneté. Deux édits permettent aux pérégrins à Rome d’obtenir la citoyenneté, Cicéron, orateur politique du…siècle. 2 e doc Juvénal poète satyrique apparemment fils d’affranchi Pourquoi ? L’opinion d’un aristocrate sur les gladiateurs. 2 e doc œuvre satyrique, portrait critique de ses contemporains. A qui ? Personnes lettrées donc public limité Quand ? 45 avant J-C donc pas de combats en amphi, avec essentiellement des criminels pour gladiateurs. 2e doc entre 90 et 127 Où ? Dans l’Empire romain. Document 2 et 3

Quoi ? Source épigraphique. Epitaphes permettant de connaître le nom, l’origine sociale…des gladiateurs. 4e doc annonce graphique manuelle pour un spectacle de gladiateur. Le nombre d’épitaphes n’est pas forcément représentatif il en faudrait plus, des plus anciennes, plus récentes, pour les étudier en séries, faire des statistiques, voir les évolutions… Qui ? 4e doc les organisateurs possèdent le tria nomina : le prénom le nom de la tribu et le surnom indiquant une citoyenneté. Le graveur était un professionnel, un edictum. 3 e doc pas de noms de graveurs mais des infos sur les commanditaires (proches, familles, compagnon d’armes…) Pourquoi ? Le sentiment d’éternité optimiste de l’empire romain. L’idée de marquer sa mort. 4 e doc Pour les proches et conserver des traces pour les générations futures. A qui ? Pour les proches mais surtout pour les dieux mânes. 4e doc les habitants de Pompéi. Quand ? 1er au 3ème siècle, plus de 20 000 inscriptions retrouvées dans ce siècle. 4e doc 54 à 68 du 8 au 12 avril. Où ? Diverses parties de l’Empire romain. 4 e doc Pompéi. Document 5 : source iconographique, mosaïque de tesselles (émaux de couleurs différentes). Datant vraisemblablement d 2e s. Commande privée. Représentation d’un combat de gladiateurs. III-Analyse linéaire Document 1 : Les gladiateurs appartiennent à leur maître. On apprend qu’au départ les gladiateurs étaient des criminels. Les spectacles étaient itinérants. Document 2 : On y apprend l’admiration pour les gladiateurs. Les gladiateurs suscitent le mépris et l’admiration. Qualifié de « barbares, coquins, criminels… » par Cicéron. On retrouve dans le doc 2 une description physique peu avantageuse du gladiateur. On retrouve pourtant des termes vantant leur courage, la peur de rien, leur beauté, leur jeunesse et l’engouement auprès de la gente féminine incarnation de la virilité. Il ne s’agit pas toujours de critiquer les gladiateurs pour Cicéron donc, et chez Juvénal il critique plutôt la société qui entoure les gladiateurs et notamment la femme. Doc 3 : On y voit les noms, leur espérance de vie, leur origine, leur carrière, leur entourage et leur vie sociale.

La mise à mort est systématique. Le cliché du pouce est faux c’est ‘arbitre qui décide si le gladiateur est gracié.

IV-Synthèse Ils nous renseignent sur la vie des gladiateurs, leur carrière, leur profession. Ces documents font réfléchir à l’image des gladiateurs dans la société de par leur position sociale ou leur courage.

Séance 4 : I-

Définir le sujet

Routes nombreuses et sûres avec des routes secondaires etc…La manière dont sont construites les routes ne sont pas toujours sures, les routes en pavés sur lesquels les voyageurs se déplacent à cheval, pour 1 ou 2 personne le voyage à deux roues, ou pour 4 personnes (plus lentes). A cheval on faisait à peu près 90 km par jour. Routes jalonnées de bornes militaires à peu près tous les miles romains. On peut faire étape de différentes manières avec des gites (mansiones, stabulum, hôtelleries ou caupones avec mauvaises réputations). Les voyageurs impériaux s’arrêtaient dans les parochi des hôtels officiels. Ou alors on s’arrêtait chez des amis, on s’attendait à un échange de bons procédés, sens de l’accueil. En mer, le voyage est peu sur, avec des romains qui sont plutôt des terriens. Ils ne prennent la mer qu’à contre cœur et avec des gros risques, en témoignent les nombreuses épaves antiques dans la méditerranée. Il n’y avait ni boussole, ni gouvernails. Avant de prendre la mer sacrifices aux dieux. Pourquoi voyager ? Voyages religieux, voyages officiels les ambassades entre monde grec, oriental et romain se multiplient sur le 3eme et 2eme siècle, des légats romains considérés comme des plénipotentiaires, les diplomates conciliaient la guerre la diplomatie et le tourisme culturel et religieux. Les voyages professionnels ne concernent qu’une petite partie des romains (commerçants, artisans, négociateurs…

Doc 1 Quoi ? De quoi ça parle ? Document littéraire à propos du périple de Paul Emile, Doc 2 Quoi ? De quoi ça parle ? Lettre de Cicéron à Tiron, son secrétaire. Qui ? Gouverneur de province envoyé par Rome dans la province romaine. Pourquoi ? Son secrétaire est tombé malade et est resté sur place, il l’informe de ses étapes et le conseille sur son futur voyage. Quand ? 26 novembre 50, l’Empire romain est très étendu et l’envoi de diplomates en province est nécessaire. A qui ? Tiron

Où ? A Brindes, port à l’extrême pointe sud de l’Italie. Doc 3 Doc 4 Quoi ? De quoi ça parle ? Source littéraire traité sur l’architecture, ici à propos des maison grecques Qui ? Vitruve, Architecte de la fin du 1 er siècle avant Pourquoi ? Pour présenter les maisons grecques aux architectes romains qui s’en inspireront. Quand ? Fin du 1er siècle avant J-C A qui ? Aux riches romains de son époque et leurs architectes. Où ? A Rome et en Grèce Doc 5 Doc 6 Quoi ? De quoi ça parle ? Des gobelets gravés avec des destinations de voyage. Qui ? Pourquoi ? En l’honneur d’Apollon ? Quand ? 1er siècle A qui ? A Apollon Où ? Au nord de l’Italie Question 3 : Flavius Joseph avait des amis prêtres qui ont été mystérieusement mis aux fers, il part les libérer. Le naufrage révèle les conditions de navigation difficiles de la Méditerranée et les qualités limitées des romains en navigation. Pour présenter les documents : On peut regrouper les sources par nature, regrouper par thème, par dates, source primaire/secondaire… Sur le réponses au question : pas de « je », on ne répond ni par oui ou par non, utilisation du présent historique, pas de paraphrase. Question 1 : Voyage politique, il se montre dans les grands centres politiques et religieux du pays dans lesquels il se conduit en vainqueur. Paul Emile est également la pour le voyagehistorique et la volonté de connaissance des lieux.

Question 2 : 3 grandes étapes, un voyage par cabotage puis la grande traversée entre la grèce et l’Italie et un grand voyage entre … et Rome. Les conditions de voyages sont difficiles même au moment de la bonne saison Question 3 : Réseaux d’ordre religieux, culturels, jouant un rôle important dans les voyages. Ce contact va lui faire profiter de ses réseaux d’influence.

Le Moyen Age Surtout des sources littéraires avec beaucoup de manuscrits étudiés avec la paléographie. Parmi ces manuscrits au MA on trouve de fables, des chroniques, des romans, témoignages…En vogue au MA : angiographie, la vie de saint. Mais aussi les sources législatives civiles (lois, traités, chartes, cartulaires…), plans cadastraux, règlements, statuts… à distinguer des sources législatives canoniques issues de la religion (décrets, concordats, conciles, décision synodales…), sources coutumières, traités scientifiques, professionnels… Sources iconographiques, miniatures, tapisseries, vitraux, céramiques, mosaïques… Sources monumentales, architectures, palais, églises, romane ou gothique, archéologie Etude des paysages, sols, pollens, varves… Sources numismatiques La peste vient du latin pestis (fléau). Elle est identifiée en 1894 par un médecin, Alexandre Yersin qui donnera son nom au microbe de la malade (bacille de Yersin). Il est transmis à l’homme par des puces de rat, souris…puis à l’homme. On étudie la grande peste de 1347 à 1351, qui était de deux sortes : la peste bubonique sous forme de pustules qui se nécrosent et se transforment en bubons avec des accès de fièvre, des délires…de laquelle quelques-uns arrivent en récha...