Littérature française S2 PDF

Title Littérature française S2
Author Estelle Prn
Course Littérature française 2
Institution Université Bordeaux-Montaigne
Pages 18
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Cours du second semestre, professeur : Mr Welfinger...


Description

Littérature française :

Référence UE sur BV : Prof : Arnaud Welfinger

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Introduction : La littérature et l’intime (les écritures de l’intime) → Genre étudié = l’autobiographie → Rousseau comme Sartre n’ont pas pratiqué que l’AB (lettres, dialogues fictifs, journaux) → Rousseau = fondateur de l’AB et des écritures de l’intime → Sartre = le + inventif dans ces choix de rédactions AB → 2 points communs = AB de 2 écrivains philosophes (ouvrage philosophique écrient bien avant leur AB) → AB largement déterminé et influencé par la pensée philosophique → Bon ex pour mettre en évidence que l’AB obéit à des choix formels (procédés) qui renvoient eux-mêmes à une certaine conception de la vie et de l’existence → « une technique romanesque renvoie toujours à la métaphysique du romancier » Sartre, p66, Situation I, folio classique → Choix formels renvoient à la philo de l’AB et de l’existence → Détermine leur choix d’écriture → Grands lecteurs (influence de leurs lectures sur leur existence) → récit de la manière dont l’auteur est devenu écrivain (rousseau écrivain malgré lui quasi forcé → Sartre inverse vocation) → Les livres fonctionnent comme des modèles (imite, parodie, récrie, pastiche…surtout les fictions qu’ils ont lu) font tout le temps référence → AB genre factuel (opposé à fictionnel)/ référenciel or fréquemment AB procède par imitation, réécriture (récit devient instable, fragilise le côté factuel) → Deux objets en conflits = le réel et le fictionnel → Contamination avec récit fictionnel quasi une loi de l’AB → Tension caractéristique de l’AB → Le plus intime d’un individu (mes mots des autres, utilisés par tous) → Désir de dire ce qui est intime propre à lui seul mais peut être formulé qu’a partir d’un matériau partagé par tous = la langue → Rêve de tout AB d’inventer une langue propre qui soit le plus adapté de dire leur singularité (idiolecte = langue parle que par une personne) = relève d’une utopie → Langue = malentendu, incompréhension → Tension dans tout projet de l’AB (donné aux autres une image de soi exacte et donc de se faire comprendre par les autres) → Transparence des cœurs et des consciences (Sartre = utopie = société avec maison en verre, Rousseau = utopie = sans classe) → Michel Leiris, écrivains de l’intime, langage tangage (ou ce que les mots me disent), forme de dictionnaire qui donne des définitions très personnels selon les associations, ex = académie = macadam pour les mites, rapport de sens avec les mots, appartient au surréalisme, donné un autre sens aux mots, créer une langue propre, définition qui n’ont de sens que pour moi, définir quelque chose de profond en lui (révélateur de sa singularité selon Freud)

→ « J’ai un dictionnaire à part moi », Montaigne, Les Essais, Chapitre 13, Livre III = dictionnaire bis créer par lui avec des conceptions propres/ mots de la langue ont une résonnance propre pour chaque individu → Désir d’une communication transparente – désir d’une langue propre/singularité → façon de chaque écrivain a imprimé sa marque personnel sur la langue (hypothèse = AB apparaît avec Rousseau en 1760 avec la notion moderne de style (« le style, c’est l’Homme même » Buffon) → La manière d’écriture de chaque individu est révélateur de son individualité/singularité → Style donnée biologique de l’individu/symptôme de l’individualité → Idée qu’on ne choisit pas son style (apparait vers 1760) → Style = classification des styles (bas, moyen, élevé) = stock de procédé commun à tous (jusqu’au du 18ème) → le concept devient individuel → À partir de Rousseau = appropriation de langue + usage propre Succès et persécutions 1755-1764 : → Peu écrit → 1761 = grand succès de Rousseau, roman intitulé Julie ou la nouvelle Héloïse → Plus grand succès de librairie du 18ème siècle (plus vendu) → Etonnant = rupture contradictoire avec ses œuvres (car Rousseau ennemi de l’art) → Roman sous forme épistolaire, Rousseau se fait passer pour un simple éditeur de lettres qu’il a trouvé (mais ne dupe pas) → Echange de lettres entre campagnards qui cherchent tous l’amitié sincère, la vie simple et retirée, la transparence du cœur, le héros Saint preux voyage à Londres et Paris en revient dégouter par la modernité et la corruption → Amour impossible entre Julie et Saint preux → 1962 : publication deux livres : Emile ou de l’éducation (livre philosophique sur l’éducation, la religion, la métaphysique… mais pas sous forme de traité car il y a un personnage : Emile avec son précepteur donc prend la forme d’une fiction, imagine protocole éducatif) + du contrat social (petit ouvrage de traité politique qui établit les fondements légitimes d’un état, éloge de la forme républicaine, l’état interdit l’ouvrage) → Technique de l’autobiographe renvoie à sa philosophie → Développement à part dans profession de foi du Vicaire savoyard (sage qu’il rencontre qui lui permet de prendre position contre les institutions religieuse mais pour la foi (vénérer dieu sans prêtre donc religion naturelle) → Autorité religieuse se retourne contre lui → Dégradation de ses relations amicales (Diderot, Voltaire (qui a compris qu’il était contre la modernité et les Lumières)) → Publication de pamphlets violents contre Rousseau (révèle qu’il a abandonné ses enfants à la naissance devant des églises car sans moyens) → Refuse de mettre ses écrits au service des puissances → Vit de ses copies de musique et des cours qu’il donne → Acculé de tout côté (institutions religieuses, autorités politiques, attaques des Lumières → Condamné à s’exiler en Ecosse chez Hume pour fuir (mais les Lumières le calomnie auprès de Hume) Confessions : → 1765 : commence à écrire les Confessions → Texte qui a pour but de le défendre contre toutes les attaques, se justifier → Lire p28, peur que son manuscrit soit brûlé par ses ennemis

→ Pour se défendre = écrit le récit de sa vie pour montrer qu’il est vraiment → Forme étrange pour le 18ème → Son identité est le produit d’une histoire = caractère pas naturel → Jeu de causes et effets pour définir l’individu tel qu’on le voit aujourd’hui → Authentifié son récit par écriture d’événements honteux → p28 « seul monument sûr de mon caractère » → Répond à des attaques par récit rétrospectif → Ouvre les confessions lors de la première édition (réf le préambule de Neuchâtel environ 15 pages) → Longue préface → Conscience de la nouveauté de son texte → Il y a problème dans les relations humaines (on connaît toujours mal les autres, on ne se connaît que soi) dès lors qu’on se connait soi-même se fait la règle de tout (on juge les autres à partir de nous que nous avons érigés et qu’on considère comme légitime et naturel) donc malentendu universel (pas les bons critères pour comprendre autrui, trouble général)/ Exemple : lui-même (car tous le monde se trompe sur lui) → Observateur de sa vie se trompe sur les motivations (actions remotivées) → Pour se juger soi-même il faut un critère de comparaison → But anthropologique → Motif d’intérêt général pour justifier un tel livre au 18ème → Son œuvre = science de l’Homme → Rendre compte de l’humanité → Référence à Plutarque, aux historiens, aux mémorialistes (romans ingénieux où l’auteur cherche plus à briller qu’à connaître la vérité) → Tentative de connaître autrui → Il faut distinguer l’acquis et l’innée (voir comment il s’est formé, quel enchainement émotionnel…) → A l’intérieur et sous la peau = le + important → ce qui est visible n’est pas capital → Ce qu’on voit d’un individu n’est qu’une petite partie de lui → différence entre acquis et nature = détermine le choix du récit rétrospectif → Pas de donnée intangible → Pour les différencier = récit rétrospectif mais qu’à partir du moment où on suppose que le caractère/l’identité se construit au fil de l’existence → Thèses philosophiques sur l’historicité des choses rend possible l’autobiographie → Pas de description → appuie sur l’histoire → Seul le sujet peut connaître, mes actions sont que des effets (causes non divulguées) → Texte factuel authentique qui suit Rousseau

Introduction Aux confessions :

→ Il les commence vers 50 ans → Ecrivain philosophe Rousseau avant les confessions : → Natif de Genève → 1740 = à Paris, Rousseau fait la connaissance des collaborateurs du cercle des encyclopédistes (un qui compte particulièrement Diderot) → Musicien, invente un nouveau moyen de notation, s’intéresse à la musique → Collaborateur de l’encyclopédie pour le domaine musical → 1749 = l’académie de Dijon organise un concours (questions posées = attendent des réponses sous forme d’essais → problème posé = le progrès des sciences et des arts a-t-il contribué à corrompre ou à épurer les mœurs ?, meilleur récompensé → Rousseau rend visite à Diderot à la prison de Vincennes → Grand marcheur et grand lecteur = apprend le concours → Présentation dramatisée du jour qui a changé sa vie (mythe de l’inspiration qui « tombe du ciel » subitement), place qu’il accorde aux sentiments (et non aux arguments) = valeur d’authentification/authenticité → L’Homme est né naturellement bon, les instituions le pervertie → Répond corrompre à la question du concours (le discours sur les sciences et les arts), contribue à rendre les gens mauvais → Antithèse de la pensée des lumières (valorisent le progrès des savoirs) → + l’Homme en sait + il s’éloigne de sa nature humaine (de + en + artificiel)/l’Homme se dénature → Arguments = + il y a de science, art, technique… l’Homme devient faignant, perte de l’autonomie des individus, perte des qualités morales → Les premiers romains et les grecs du temps d’Homère = vrai qualité morale grâce à leur vie « misérable » (modèle = premier temps de la république romaine) → Monde moderne = mal absolu (perverti l’Homme) → Il gagne le concours de Dijon avec cette thèse (grand succès), mais pas pris au sérieux → Défend cette thèse que par goût du paradoxe → Tout de suite l’objet d’un malentendu (sa thèse), image publique de Rousseau erroné, intentions incomprises → 1753 = académie de Dijon lance un nouveau concours = quel est l’origine de l’inégalité des conditions parmi les Hommes, et si elle était autorisée par la loi naturelle ? → Le discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les Hommes surnommé le second discours publié en 1755 (ouvrage plus long, plus travaillé...) = retrace histoire de l’humanité → Exposé de méthode en intro, et des difficultés, pour répondre il faut savoir ce qu’est l’Homme, l’inégalité a transformé l’homme et a fait de lui quelqu’un d’autre comparé à sa nature (dénaturation), réfléchir à ce qu’est la nature humaine pour répondre aux fondements → Suppose de l’Histoire, existence historique, le réel tel qu’on l’observe ce n’est pas une donnée brut, transformé par l’Histoire, fruit d’une très longue histoire, redonnée aux choses leur épaisseur historique pour les comprendre → L’Homme ce n’est quelque chose d’éternel tel qui l’est maintenant (résultat de procédé historique et culturel) → Culture inventée par les Hommes les transforme (change de mœurs, de société, de besoins…) → Fondateur des sciences de l’Homme (être historique et culturel = peut être l’objet d’un savoir)

→ Individu unique et irréductible = causes/le produit d’une histoire personnelle et sociale → AB = 2nd discours (même principe, cause et processus) → Démarche de généalogie → Pratique une réflexion philosophique, historique → AB = récit rétrospectif d’une personne → L’intime est le produit d’une histoire, d’une culture, d’une société → Récit de l’intime = AB → AB = texte innommable car n’existe quand publié → Faire faire un pas dans la connaissance des uns (but anthropologique + philosophique), savoir sur les Hommes à partir d’un Homme → Pas pour but l’intime mais l’universel → Fournir des éléments supplémentaires sur les Hommes → Discours à 1ère pers. s’articule avec un projet de savoir général sur l’être humain → Connaissance universelle de l’humanité → Pascal, Les pensées, « le moi est haïssable » (moi = désir) → Distinguer le naturel et l’acquisition culturel → l30p2, écrire la vie d’un homme n’est possible que par lui-même (révolution pensée) → Problème : (l30) vie intérieur n’est connue que par lui (accès aux sources) mais en l’écrivant il l’a modifie en faisant une apologie (ils ne disent rien en voulant dire une partie de la vérité) → Image de l’auteur modifié dès lors qu’il y a des silences → Ex : Montaigne : faux sincères qui veut montrer la vérité (insiste sur ses défauts mais défauts aimables = trop franc → accréditer son AB/il en parle pas de ses défauts odieux) → Projet des confessions exige une absolue sincérité → absolue exhaustivité (raconte absolument tout sur lui sans rien cacher y compris ses défauts odieux) → Confessions remplies de pages inutiles aux yeux des contemporains → AB pleins de précisions et détails non fonctionnels qui ne font pas avancés le récit → Mais selon Rousseau tout est déterminant même s’il ne sait pas pourquoi (délégation aux lecteurs du jugement de la pertinence) →Exhaustivité = règle pour ne pas se transformer soi-même car Rousseau a pu se tromper sur lui → Conséquence stylistique = presque roman réaliste = réalité abs au 17 ème / fait entrer dans la littérature paysage, lieux, tps… → Intérêt quand l’auteur n’est personne → Genre des mémoires met l’accent sur rôle politique et public donc légitime de raconter sa vie (ex mémoire du cardinal de Retz assistant de l’évêque de Paris pendant la Fronde (16481652)) → Quel titre à Rousseau pour écrire sa vie ? Il écrit l’état de son âme et non pas les événements en eux-mêmes (les âmes sont égales entre elles) → Donc légitime à raconter sa vie → Révolution littéraire et sociale (donc remplace la naissance par le mérite individuel et autorise n’importe qui à écrire l’histoire de son existence) → Rétablir la vérité Rousseau dont circule des images erronées → Décalage entre le nom et l’individu qui le porte → Transformer l’image que les gens ont de Rousseau → Dire tout surtout les choses horribles pour apporter du crédit à l’auteur et à son récit = effet de vérité → Inventer un langage nouveau comme mon projet → Il s’agit de son portrait et non d’un livre (ouvrage dans lequel on verrait l’âme de Rousseau)

→ Style (= l’homme même) = non uniforme, nouveau, change style quand il veut, spontané, mélange de tout les styles, se rapporte toujours à lui, signifie l’intime → Chaque genre a une existence = uniformité des styles (conventions + règles) →Au 18ème siècle : style défini selon un nbr précis = chaque écrivain choisi son style parmi ceux recenser

EDT §3.2 p32 jusqu’à « représenter l’action » p34 :

→ Tout premiers souvenirs de Rousseau → Souvenir de lecture de roman puis livre d’Histoire de l’Antiquité → Pas de souvenirs de sensations, de scènes familiales → Caractère surprenant des souvenirs → Définir quelqu’un d’unique (décrire cette singularité = confession → jeunesse de celle-ci) → Mais paradoxe = lire d’autres que lui alors qui dit vouloir lire en lui → au moment de parler de sa singularité il s’identifie à d’autres → Identité singulière mais premier souvenir = identification à autrui → Projet commence par expérience d’identification à autrui → Identité construit sur d’autre = abs d’identité (première expérience = projection sur pleins d’autres) → Autrui = personnage imaginaire et personnage célèbre → Au moment de raconter sa vie donc produire texte factuel mais au contraire écrit sur d’autres livres (faire oublier qu’il s’écrit et pas accès direct à la réalité = fabriqué à partir de lecture) Découpage du texte : → Prologue sur l’apprentissage précoce de la lecture sur Rousseau (l1 à l7) → 1ère partie = lecture des romans (l7 à l27) → 2ème partie = lecture d’ouvrages savants, factuels, historiques antiques (l28 à la fin) Commentaire : Prologue : « Je sentis avant de penser » = chronologie des apprentissages (sensations puis penser) → Ton général de la citation = pas de complément, abstrait, impersonnel → Prépare 2nde proposition = « c’est le sort commun de l’humanité » → Lien implicite entre les phrases → Rousseau comme individu est conforme à l’humanité → Généralise son propos = anthropologie → Passe de la singularité à l’universalité → Mais des phrases suivantes = nuances → il l’éprouve plus que les autres (superlatif « plus qu’un autre » permet de le distancer de l’humanité) → Se pose pas comme exceptionnel mais celui qui réalise le plus pleinement ce sort de l’humanité = unique car Homme par excellence → réalise plus pleinement/plus conforme → Autres pas aussi exemplaire → Visé anthropologique (s’articule par la conformité de Rousseau au sort de l’humanité/exemple) + Raconter sa vie d’individu → D’avantage argumentatif que narratif → Grâce à la lecture, commence à penser pleinement (donc avoir des souvenirs car jusqu’ici il ne faisait que sentir) → Démarche tâtonnante de qqln qui réfléchit mais en scène lacune de sa mémoire = parvient progressivement à l’affirmation de sa conscience de soi → Ecrit au présent = « je » narrant → travaille de mémoire de l’autobiographe = mise en scène de l’enquête rétrospective de l’auteur → Paradoxe = effet des lectures sur lui → elles lui permettent de dater sa conscience luimême = étonnant → je lis donc je suis → naissance de sa conscience de soi → or arrive avec

identification à autrui donc expérience altérité fait naître l’identité → mise en abyme des confessions elle-même = effet de ses lectures doit être l’effet des confessions sur autrui 1ère partie : → Composée de 2 sous parties L7 à l15 = passé, personnage de son récit, lecture des romans → Nette rupture avec PQParfait = rentré séquence narrative → Romans viennent de sa mère = fonctionnent comme substitue de sa mère (lecture de fiction compense la mort de sa mère) → L8 à l12 = longue phrase qui raconte en quoi consiste ses lectures en deux temps : « d’abord » / « bientôt » / « ce qu’il en advenu en faites » = dévié de son but → lecture des romans devenue une fin en soi donc plus pédagogique → Déjà discours évaluatifs = conséquences négatives → nuit blanche avec son père → Commentaire rapporté au discours de son père = choisi par Rousseau car retourne en enfance = peu propice à l’éducation → permet d’amener le second § très négatif sur la lecture de roman pour les enfants L16 à l27 = présent, évoque les effets de ces lectures sur lui, les évalues, Rousseau narrateur, valeur de ces expériences, conséquences → Dangereuse méthode → Pensée philo de Rousseau sur l’éduction trouvé ici sa justification (lui-même victime et je le prouve) → Lecture nocive pour enfants → Récit délivre prolepse (anticipation sur le futur de l’histoire) dans un but argumentatif → Facilité à lire et à me comprendre (se connaître) = conséquence positive → Intelligence unique sur les passions = unique pour un enfant (sensibilité prononcée) → Etre passionné car a lu des romans (proposition négative puis proposition positive = parallélisme de construction → caractère trop précoce = tous les sentiments déjà connus, sensibilité extrême mais n’altère pas sa raison (ne devient pas fou = réf à Don Quichotte) → Sa raison relève de quelque chose d’acquis = caractère de Rousseau pas naturel mais résultat d’une trempe (métaphore métallique) donc irréversible → Singularité → mis en évidence et rattaché à ses lectures → Métaphore l27 = lecture de roman pour Rousseau relève d’une maladie 2ème partie : 1ère sous partie : Récit des lectures l28 à l47 → Revient au passé avec une date → Parallélisme de construction = source des livres → lectures viennent du grand-père maternelle (lecture associé à la mère) → Détails des lectures alors qu’on ne connaît pas les romans qu’il a lu (l35 à 41 = énumération des titres d’œuvres sérieuses pas postérieur à 1690) → Littérature didactique, historique → Passage de la fiction pure à la littérature sérieuse → Seul au monde à avoir ressenti un tel goût pour ces livres → Plutarque devient son auteur favori → Ces livres le guérissent un peu des romans (mets sur un même plan des personnes réelles

et des personnages de fictions → lie comme un roman les livres plus sérieux) l47, 48 → Lecture romanesque de livres historiques 2nde sous partie : Commente ses lectures, les conséquences l47 à la fin → Prolepse une nouvelle fois → Plusieurs temporalité (enfance = cause, puis adulte relation de cause à effet) = généalogie du caractère de Rousseau et à sa pensée politique (...


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