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Résumé des textes ...

Description

Bloc 1-A

Résumé du texte d’Amar – Scène de la vie quotidienne dans une urgence

Il y a, à ce jour, peu de connaissances de la population des organismes communautaires pour aider les gens ayant des troubles de santé mentale. C’est pourquoi ces gens se retrouvent souvent confrontés devant la porte de l’urgence hospitalière, qui n’est pas principalement la place la plus adaptée pour répondre aux réels besoins de ces gens en détresse. Il manque de connaissances de la part des professionnels de la santé également dans le contexte hospitalier par rapport à ces ressources et même peu d’aide est offerte du gouvernement pour donner de la visibilité à ces organismes. Jacques aurait pu obtenir de l’aide plus adaptée à son problème actuel en voyant une personne ressource comme support dans un de ces organismes, qu’en pleine crise dans une urgence bondée de gens le jugeant dans sa situation de vie incomprise. Ce manque de visibilité amène autrement des coûts à l’état du fait d’avoir déployer des patrouilleurs et des ambulanciers pour cette intervention, bien que par ailleurs c’est par protocole que cette intervention a eu lieu d’être. Pour ma part, je trouve effectivement qu’il y a un manque de ressources à cet endroit. Si ce genre de ressources avaient une plsu grande visibilité, il y aurait certainement moins « d’erreurs » de ce genre qui se produisaient, car les gens sauraient où appeler en cas de besoins. Cette approche serait plus adaptée aux besoins des gens, mais encore désengorgeraient le système de santé, ce qui diminueraient aussi les couts que toutes ces interventions exigent.

Résumé du texte de Roy - Tous les chemins ne mènent pas è la santé communautaire

La vision que celui-ci avait des « autochtones » à travers leurs noms et leurs chiffres, n’avait vraiment rien à voir avec ce qu’était leur vraie réalité. De par leurs histoires et leur culture s’est bâtie toute une vie d’histoire culturelle qu’on ne peut réellement comprendre sans avoir vu. L’auteur se souciait de savoir ce qu’il pensait être la santé

communautaire qui n’était en fait tout sauf ce qu’il s’était imaginé. Plein d’injustice sociale et de stigmatisation dans cette région éloignée du Québec se trouvait pourtant une tonne de richesse décrivait-il dans son témoignage. Les innus qu’il a rencontré ont définitivement fait changer sa vision de la santé communautaire et celle qu’il avait également par rapport aux autochtones ainsi qu’aux régions éloignées. Pour ma part, je trouve que l’expression « santé communautaire » est difficile à décrire et à expliquer. Souvent ou trop souvent associée à des définitions comme la santé publique. J’aime la partie que l’auteur fait mention de comment il n’avait jamais vraiment su avant ce que c’était avant d’arriver dans cette région et d’enfin comprendre leur réalité. Je trouve beau de voir que la pensée change et que les intentions deviennent meilleures. Il y a encore à ce jour beaucoup trop d’injustices sociales et de stigmatisation fait par rapport aux Innus. C’est avec le temps et le travail acharné qu’on arrivera peut-être à normaliser leur situation de vie et à mieux comprendre leur réalité.

Bloc 1-B

Résumé du texte de Plourde – La santé communautaire à la lumière du modèle de la clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles + Entrevue avec Anne Plourde (42 min)

Deux modèles de prestation étaient en vigueur dans les années 1970 soit la clinique communautaire de Pointe-St-Charles et les CLSC. Initiative citoyenne vs bureaucratique et gouvernementale. Ce qui les distingue sont quatre caractéristiques toutes liées entre elles. La démystification de la médecine où l’on critique grandement la médecine libérale ce qui se traduit par une incapacité de répondre aux besoins des gens les plus défavorisés et une pénurie de servies dans les quartiers les plus défavorisés. Elle met aussi les médecins au pied du mur en affirmant que les médecins étaient privilégiés et du côté dominant à cet époque. Ils veulent que les soins arrêtent de tourner autour des médecins et que ceux-ci deviennent un élément dans l’équipe de soins. Ensuite, il y a la déprofessionnalisation de la médecine qui implique une certaine réorganisation hiérarchique du travail. Ils cherchent, à ce moment, à redonner aux patients afin de valoriser leurs compétences ainsi que leurs savoirs en ce qui concernent leur santé.

Chaque personne a du pouvoir sur sa santé. Puisque les problèmes de santé sont des problèmes sociaux et politiques, il faut agir sur ces causes pour guérir les maladies. Par la suite, il y a la démocratisation de la médecine qui se traduit par donner le pouvoir aux citoyens. Enfin, la démédicalisation des problèmes sociaux afin de politiser la maladie. Ils insistent sur ce point au fait que la maladie prend ses racines auprès des conditions de vie et de l’injustice du système social où celui-ci est fondé sur la domination et l’exploitation des habitants. Pour ma part, je trouve que ces quatre caractéristiques expliquent et définissent de manière concise l’ensemble de la problématique en des termes simples et des explications précises. Dans son entrevue, Anne Plourde décrit très précisément chaque point en donnant des exemples afin de bien illustrer chaque caractéristiques de la problématique. Elle explique également clairement les deux raisons pour lesquelles les CLSC ne sont pas devenus ce qu’ils étaient supposés devenir au départ à cause du refus d’adhérence des médecins ainsi que la perte en faveur des québécois ce que je trouve facilitant pour aider à mieux comprendre ces propos.

Résumé du texte de Roy – Mes chemins de traverse en santé communautaire Roy évoque sa pensée de la santé communautaire influencée par celle de plusieurs auteurs, à travers ce texte. Au travers de ses lectures, il prit conscience que les inégalités sociales n’étaient pas bien loin des inégalités de la santé, puisque les gens définissaient, à ce moment, la santé comme l’accessibilité aux médecins. Il parle également de la transformation socioculturelle de la maladie et de la santé au fil des années. Suite à la réforme, il y a une nouvelle conception de la maladie qui prend désormais en compte les interactions avec l’environnement et les milieux sociaux. C’est alors que les intervenants pourront travailler sur ceux-ci et puis en faire également de la prévention. Mobiliser les gens les plus pauvres afin de redonner un certain pouvoir d’agir et d’obtenir réponses à leurs questions. Il raconte ensuite sa rencontre avec la santé communautaire et comment celle-ci a été par la suite influencée par un mouvement féministe. Pour ma part, j’aime ce texte et comment l’auteur arrive à jumeler son histoire à l’information essentielle qu’on veut retrouver. C’est d’ailleurs intéressant de voir comment son parcours de vie et de travail l’a influencé à développer sa vision de la santé

communautaire et de voir les auteurs qui ont grandement marqué son passage au fil du temps....