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Title TSOC1000 Une problématique sociale
Author Karine Gauthier
Course Introduction au travail social
Institution Université de Moncton
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Une problématique sociale : violence conjugale

Université de Moncton

Travail remis dans le cadre du cours TSOC1000– Introduction au travail social Le 16 novembre 2015

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Une problématique sociale : violence conjugale Le monde dans lequel on vit est loin d’être un monde idéal. Plusieurs problèmes sociaux existent actuellement et ceux-ci sont parfois difficiles à surmonter ainsi qu’à résoudre. La violence conjugale est un de ces problèmes sociaux. Ce type de violence touche malheureusement un assez gros nombre de personnes. Pour comprendre ce type de violence, une définition de l’enjeu est présenté et le deuxième propos inclut les personnes victimes de ce type de violence. Ensuite, une explication de ce comportement ainsi que les effets que la violence conjugale peut avoir sur les personnes victimes et sur leur entourage seront présentés. Pour terminer, quelques pistes de solution seront indiquées. Définition La perception de la violence conjugale a beaucoup changé au cours des dernières décennies. Récemment, Lortie et D’Élia (2011) définissent la violence conjugale comme étant un ensemble de comportements inacceptables et malsains qui sont, pour la plupart, considérés criminels. C’est donc une conduite montrant de la domination et du pouvoir envers son ou sa partenaire de couple plutôt qu’un comportement provenant d’une perte de contrôle. Cette forme de violence peut être vécue dans une relation maritale, extraconjugale ou amoureuse et ceci, à tous les âges. De plus, la violence conjugale ne se manifeste pas seulement sur le plan physique et verbal. La violence psychologique, les agressions sexuelles et les actes de dominations économiques font aussi partie de ce type de violence. Violence physique

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Selon Cornilleau (2012) la violence physique dégage des comportements comme frapper, gifler, bousculer, donner des coups de pied, étrangler, bruler, etc. En gros, c’est l’ensemble de comportements qui atteint le corps de la victime. Un grand nombre des comportements criminels liés à la violence conjugale fait partie de cette catégorie de violence. Violence verbale D’après Cornilleau (2012), la violence verbale comprend l’humiliation et terroriser l’autre par intimidation, hurlements, menaces, des ordres ou des interdictions. Cette forme de violence est comprise dans toutes les formes sous lesquels la violence psychologique se manifestes. Elle mise sur l’intimidation de la victime tout en créant une tension qui la maintient dans l’insécurité et la peur. Violence psychologique Cornilleau (2012) explique tout d’abord que la violence psychologique est la forme de violence la plus difficile à définir, car c’est la moins apparente. Celle-ci vise à atteindre l’intégrité de l’autre. Ce type de violence se manifeste par des critiques constantes, l’humiliation, des menaces, ayant pour but de diminuer le sentiment d’identité, de dignité ou de valeur personnelle de l’autre. Agressions sexuelles La violence sexuelle dans le contexte conjugal consiste à un acte de sexualité forcé envers son partenaire. L’individu en question se fait généralement forcer à effectuer un acte sexuel particulier par la contrainte ou la menace. Il peut aussi être forcé à participer à des jeux sexuels, à regarder de la pornographie ou même à se prostituer. La

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violence sexuelle est souvent associée aux autres types de violence conjugale, mais généralement à la violence physique (Cornilleau, 2012). Actes de domination économique Les actes de contrôle économique sont effectués dans le but de rendre le ou la partenaire dépendante du conjoint. C’est un acte qui consiste à refuser que l’autre travaille, lui faire arrêter ses études, faire que son salaire n’aille pas dans son compte, mais dans celui du conjoint et lui interdire de dépenser en ne lui donnant aucun accès à l’argent, cette définition, selon Cornilleau (2012). Les personnes victimes Il est évident qu’en générale ce sont les femmes qui sont victimes de violence conjugale. Il est tout de même possible qu’un homme soit victime de ce type de violence. Par contre, cette violence est mal représentée par les statistiques, car les hommes parlent encore mois que les femmes, ils le déclarent donc peu ce qui fait en sorte que les articles et recherches concernant les hommes victimes sont peu nombreux (Galaud, 2010). De plus, la victimisation ne se limite pas qu’au partenaire, les enfants faisant partie de la famille en question peuvent aussi être victimes, ce qui en est souvent le cas. D’ailleurs, selon Limorges (2014) la violence au sein d’un couple peut survenir peu importe la classe sociale appartenu par les personnes, peu importe l’âge, le statu économique et la culture dans laquelle les individus ont grandi. Personne n’est à l’abri de la violence conjugale. Par contre, il est certain qu’une personne défavorisée ou battue dans son enfance aura moins de ressources pour se défendre qu’une personne ayant une personnalité bien construite, ce qui rend ainsi cet individu plus a risque d’être victime violence conjugale. Les facteurs contributifs à la situation

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Premièrement en observant les facteurs de risque chez les victimes, il est évident qu’une personne défavorisée ou battue dans son enfance aura moins de ressources pour se défendre qu’une personne ayant une personnalité bien construite, ce qui rend ainsi cet individu plus a risque d’être victime violence conjugale. En gros on peut dire que les facteurs de risques comprennent l’isolement de la personne ainsi qu’un faible niveau d’éducation de celle-ci. D’ailleurs, les causes des la violence conjugale sont complexes. Selon Rouff et Benloulou (2003), les causes proviennent de l’éducation des individus, des préjugés envers les femmes ainsi que des « privilèges » accordés aux hommes dans la société. Ainsi, d’après Rouff et Benloulou, la violence conjugale est le résultat des inégalités entre les hommes et les femmes. D’un autre coté, pour pouvoir mieux comprendre le comportement des agresseur, quelques auteurs mentionne que ceux-ci auraient eu une relation problématique avec leurs parents durant leur enfance menant à un déficit psychosocial et parfois quelques problèmes psychologiques. Comme le mentionne Audet (2002), les conjoints violents envers leurs femmes ont plusieurs problèmes psychologiques. Un des principaux problèmes est celui de leur inaptitude à gérer le stress et les frustrations. Plusieurs hommes deviennent impulsifs en raison de leur manque d’éducation reçue par leurs parents lors de leur enfance. Souvent, dans cette situation, les parents ont élevé leurs enfants de façon irresponsable. Les parents n’ont donc pas fait adéquatement leur devoir de « bons parents » en n’imposant aucune règle ni limite ce qui mène au problème d’apprentissage certaines valeurs importantes chez les enfants en question, soit la patience et le respect. Ce qui fait en sorte que ces enfants, maintenant devenus adultes, éprouvent de la difficulté à tolérer les frustrations et qu’en raison de cette difficulté, ils ne

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savent pas comment gérer des conflits. De plus, Audet affirme qu’en raison de leurs privations affectives qu’ils ont connues lors de l’enfance, ils vivent énormément de frustrations. De plus, pour mieux comprendre les forme d’attachements (relation parentsenfants) chez des auteurs de violence conjugale, Carraud et coll. (2008) ont effectué une étude montrant les types d’attachement les plus fréquant chez ces personnes. Leur étude montre qu’il y a un lien entre l’attachement insécure, soit « craintif », « préoccupé » ou « détaché » et la violence conjugale. Dans leur étude, seulement 5,3% des hommes violents ont une forme d’attachement « sécure », dont la plupart d’entre eux ne comportent qu’un seul épisode de violence mineur envers leur partenaire. De plus, aucun homme non violent ne présente un attachement « craintif ». Les personnes possédant le type d’attachement « craintif » présentent, selon leur étude, un score d’anxiété d’abandon très élevé. Un individu qui est anxieux en raison de la peur de l’abandonnement peut trouver que la distance émotive de son partenaire provoque chez lui de l’anxiété ce qui l’apporte à réagir de façon violente pour protester contre la distance qui existe dans la relation. Il tente donc de dominer sa victime en pensant qu’elle a l’intention de l’abandonner et utilise la violence comme un moyen de la retenir. Aussi, s’il interprète le moindre signe comme étant un signe de rejet ou d’abandon, l’agresseur risque ainsi de passer à l’acte. Pour l’individu ayant un attachement « détaché », celui-ci évite d’être touché et de toucher les autres. Donc, il perçoit la proximité de sa partenaire comme étant une menace, il veut la repousser en utilisant des gestes agressifs. Ces gestes sont souvent effectués de manière impulsive et non réfléchie. Ces gens faisant partie du type d’attachement « détaché » perçoivent les autres comme n’étant pas fiables et menaçants,

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ils ont même le sentiment de ne pas pouvoir faire confiance à eux-mêmes. Ce qui, évidemment, favorise la colère extrême lors de conflits. Les effets sur la victime et sur ses enfants Effets sur la victime Pour comprendre les effets de la situation, soit la violence conjugale, sur la personne victime, plusieurs auteurs font référence au « cycle de la violence conjugale ». Ce cycle explique les étapes de la situation ainsi que la raison pour laquelle les personnes victimes supporte la situation à long terme. Les partenaires violents sont généralement très manipulateurs et savent comment répéter des gestes violents sans que la victime puisse sortir de la relation conjugale. Le cycle explique ainsi comment la victime peut être prisonnière de la situation. Lenore Walker (1984) fut le premier à comprendre et à expliquer ce cycle de la violence dans une relation conjugale. Le cycle est composé de trois phases principales : la montée de la tension, l’explosion de la violence et le retour au calme. Ensuite, son modèle fut ajusté pour que le cycle contienne quatre phases pour permettre de comprendre les émotions de l’agresseur et celles de sa victime (Audet, 2002). Prud’homme (2011) décrit les quatre phases du cycle de la violence conjugale de la manière suivante. La première phase, la phase de tension, est caractérisée par des silences lourds, de l’intimidation et des regards menaçants de la part de l’agresseur. La victime vit dans la peur, car elle met beaucoup d’énergie à essayer de diminuer la tension. La deuxième phase, celle de l’agression, est la phase de la crise. Celle-ci peut comprendre des agressions verbales, physiques, psychologiques, sexuelles ou économiques. La victime se sent humiliée et détruite. Dans la troisième phase, la phase de justification,

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l’agresseur trouve des explications et des excuses pour lesquelles il a utilisé la violence lorsqu’il était en colère. La victime se sent ainsi responsable et veut aider son agresseur à changer et se dit qu’elle doit aider son partenaire en s’ajustant à lui. La quatrième phase, celle de la réconciliation, est la dernière étape du cycle et c’est celle où l’agresseur essaye très fort de se faire pardonner. Il peut demander de l’aide, parler de possibilité de suivre des thérapies et peut aller même jusqu’à parler de suicide. La victime pense ainsi qu’elle va retrouver la personne qu’elle aime en voyant ses efforts de changement, elle lui donne une chance. Par contre, après la dernière phase du cycle, la tension s’accumule à nouveau. Ce cycle permet à l’agresseur d’avoir un certain contrôle sur sa victime sans que celle-ci le laisse. De plus, ce cycle de violence conjugale fait en sorte que la victime s’ajuste aux besoins de son partenaire au fur et à mesure que celui-ci se répète. Elle en vient à se sentir incompétente dans sa relation de couple et responsable de l’humeur de son agresseur. Elle pense ne pas pouvoir contrôler sa propre vie et avoir besoin de son partenaire. De cette manière, il est impossible pour elle de quitter celui qui a le contrôle de cette situation en raison de l’impuissance qu’il lui est appris (Prud’homme, 2011). Effets sur les enfants Vasselier-Novelli et Heim (2006) décrivent plusieurs effets négatifs présents chez un enfant grandissant dans un milieu de violence conjugale. Souvent, les parents (plus l’agresseur que la victime) traitent l’enfant comme un objet, car ceux-ci agissent comme s’il n’était pas là. Ainsi, en étant le spectateur de ce type de scène à plusieurs reprises, l’enfant « oublie » que les sons de détresses de sa mère qu’il entent sont des bruits correspondant à une souffrance exprimer par un être humain et ce concentre plutôt à la

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dernière étape du processus, soit la fin du conflit, qui le libèrera de sa propre souffrance. Cet effet est un effet classique d’enfant exposé à répétition a ce type de situation. En grandissant, l’enfant aura donc tendance à répéter les gestes dont il a été témoin tout son enfance, car pour lui c’est normal. Cela se manifeste aussi surtout quand le parent victime peut avoir tendance à s’appuyer sur l’enfant pour en faire son confident tout en négligeant son rôle de parent. Ce qui place ainsi l’enfant dans un conflit de loyauté entre ses propres parents. Ensuite, l’enfant peut entrer dans le jeu, car la victime lui a donner un sens aux interactions qu’elle et l’agresseur partagent. L’enfant ne veut donc plus être spectateur, mais acteur. En apprenant l’utilisation d’actes de violences comme outil pour régler des conflits, des gestes violents commencent à se manifester non seulement à la maison, mais envers ses camarades. Dans des cas les plus dramatiques, cette situation peut entrainer le parricide (meurtre du père). Tout cela signifie donc que l’enfant témoin de violence conjugale peut aussi en faire partie ce qui mène à des troubles psychologiques, des troubles du comportement, de la conduite ainsi que des troubles psychosomatiques, comme le manque de soins dû au fait que les parents ne jouent pas adéquatement leur rôle de bons parents. Ainsi, comme mentionné précédemment, l’enfant peut reproduire les actes de violence comme outil pour résoudre des conflits non seulement actuellement, mais a aussi de grandes chances de reproduire ces actes violents plus tard dans sa vie de couple. Solution à la situation Il est évident qu’il reste encore des démarches à faire pour que ce problème diminue même si plusieurs organismes sont déjà mis en place pour aider les victimes prisonnières de cette situation difficile et dangereuse. Comme solution à la situation, il est

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important de miser sur la prévention afin de s’attaquer aux causes et aux facteurs associés aux phénomène pour pouvoir en diminuer l’ampleur. Il est clair qu’il existe encore des stéréotypes. Pour cela, plus d’animation et de discussion du niveau préscolaire au niveau post secondaire auprès des filles et des garçons devraient être faits. La promotion d’émissions de télévision et la favorisation de publicité a caractère éducatif ne comportant pas de violence, sexisme ou racisme auprès des jeunes devrait aussi être fait davantage. Cela montre donc aux enfants ainsi qu’aux jeunes que les hommes et les femmes sont à égalité et fait en sorte que ces jeunes auront des bonnes bases de comportements et de pratiques sociales. C’est ainsi l’ensembles des acteurs sociaux qui joue un rôle dans la prévention. Il faut donc sensibiliser le public en général. Malgré les efforts de prévention fait par plusieurs organismes et professionnel, comme les travailleurs sociaux, il y a tout de même plusieurs cas de violence conjugale. Dans ces cas, la priorité des professionnels intervenants à ce type de situation est la protection des victimes, souvent les femmes et leurs enfants. Pour ce faire plusieurs refuges sont à la disposition des victimes. Ces refuges offrent généralement des séances d’aide et de soutient. De plus, dans plusieurs centres de refuge, des travailleurs sociaux sont là pour donner aux enfants des activités à faire avec leur mère. Ils sont donc présents afin d’essayer d’améliorer la relation entre la mère et l’enfant qui est souvent « brisée » en raison des conflits conjugaux. De plus, plusieurs réseaux associatifs et féministes ainsi que des centres de victimologie proposant des lieux d’écoute et de conseils existent pour aider les victimes à faire face à la situation (Rouff et Benloulou, 2003). Aussi, il est certain que pour pouvoir diminuer les cas de violence conjugale, il est essentiel de donner le plus d’occasions possible aux agresseurs de suivre des thérapies

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individuelles ou de groupes. Cela serait une très bonne solution pour ne pas que ceux-ci récidivent, ils auraient donc appris de leurs erreurs et grâce à la thérapie, ceux-ci comprendraient le « pourquoi » de leurs gestes. Donc, si les agresseurs savent comment identifier les facteurs de risques et les facteurs qui ont contribué à leurs actes de violence, ils seront moins porter à les refaire. Les psychologues ont donc aussi un rôle important dans ces situations. Il reste que l’un des plus gros problèmes venant de ce type de situation est que les femmes ont de la difficulté à dénoncer leur partenaire. Il faut donc les encourager en informant davantage la population pour que le plus d’individus possible puissent reconnaitre les signes et savoir comment agir lorsque cette situation se présente. De plus, la réduction des mythes en informant mieux les gens dès un bas âge, comme faire plus de présentations dans les écoles concernant la violence conjugale, servira à faire diminuer les inconnus ainsi que les stigmas face aux victimes de violence conjugale, ce qui pourra enfin réduire le taux de femmes victimes qui ne dénonce pas leur agresseur. Conclusion En conclusion, la violence conjugale est un problème important qui affecte beaucoup de gens. Cette violence peut se définir par un ensemble de comportements malsains qui peuvent être considérés comme des actes criminels fait envers une personne. Ce type de situation mène à plusieurs problèmes, soit chez la victime ou chez les enfants témoins de cette situation. Ces problèmes sont généralement d’origine psychologique et affecte grandement l’affect et le comportement de la personne étant victime ou témoin de violence conjugale. Il est évident que la manière que les parents élèvent leurs enfants à une grosse influence sur l’agressivité de celui-ci plus tard dans sa vie. Cela montre effectivement que la mère est une personne essentielle au développement de l’enfant.

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Ainsi, on ne peut aider les enfants exposés à la violence conjugale sans soutenir la mère dans ce type de situation, voire la violence conjugale Évidemment, il faut sensibilité davantage le public en général vis à vis ce problème sérieux. Personne ne mérite être victime ou témoin de violence conjugale.

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Références Audet, J. (2002). Violence conjugale : comment des intervenants dans une communauté algonquine la conçoivent, l'expliquent et envisagent l'intervention auprès des conjoints

violents (Dissertation doctorale, Université du Québec en Abitibi-

Témiscamingue). Carraud, L., Jaffé, P. D., & Sillitti-Dokic, F. (2008). Attachement amoureux, agressivité émotionnelle et instrumentale chez des auteurs de violence conjugale. Pratiques psychologiques, 14(4), 481-490. Cornilleau, A. (2012). Le médecin face aux violences conjugales: évolution des pratiques en 10 ans (Dissertation doctorale). Galaud, F. (2010). Les homes aussi sont victims de violence conjugale. Récupéré de Le Figaro :

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2010/08/26/01016-

20100826ARTFIG00447-les hommes-aussi-sont-victimes-de-violence-conjugale.php Gelles, R. J., & Straus, M. A. (1979). Determinants of violence in the family: Toward a theoretical integration. Contemporary theories about the family, 549-581 Limorges, K. (2014). La violence qui touche toutes les classes sociales. Récupéré de Journal la

Revue : http://www.larevue.qc.ca/actualites_violence-qui-touche-toutes-

classes-sociales

n31114.php

Lortie, P.-L., & D’Élia, M. (2011). Portrait de la criminalité de violence conjugale...


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