1 Philosophie et management PDF

Title 1 Philosophie et management
Course grands enjeux philosophiques
Institution SKEMA Business School
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Summary

This course was given by SKEMA BUSINESS SCHOOL in September 2020.
It contains useful courses and tips given by the teacher "MUNIER" to learn easily and correctly the courses. This course is full of details...


Description

Séance 1 - PHILOSOPHIE ET MANAGEMENT - Ghislain Deslandes Préambule : L’enseignement de la gestion est lié à l’Europe et à ses initiatives. Toute forme d’organisation est enchâssée dans un projet de civilisation. L’économie n’est pas un domaine clos. Objectif : considérer que la culture n’est pas un luxe mais qu’elle permet de contextualiser le management dans l’ordre des valeurs. Critique qu’on fait aux écoles de commerce : concentration de disciplines techniques pour faire oublier la culture du manager et son ouverture au monde. Objectif du cours : maintenir la stimulation intellectuelle post-prépa sur des disciplines d’école de commerce. Appréhender les grandes disciplines de gestion par la littérature et la philosophie. Ghislain Deslandes, oeuvres : - Le management éthique - Essai sur les données philosophiques du management - Critique de la condition managériale Que sont les humanités et qu’est-ce que les humanités apportent au management ? Le fil de l’épée : « la véritable école du commandement est celle de la culture générale > permet de dissocier l’essentiel de l’accessoire » « au fond des victoires d’alexandre on retrouve tjrs alexandre » « c’est grace au troncon du glaive et à la pensée du…. » > cette capacité à distinguer accessoire de l’essentiel provient de la « pensée française » et des grands auteurs les humanités représentent un idéal d’excellence, de l’honnete homme, permet de s’élever, de décrypter, décoder le monde > humanités = ensemble des méthodes qui permettent d’interpréter le monde > sciences de l’interprétation > c’est ce qui fait la diffrence de l’europe en matière éducative comment ? pourquoi ? > remarque : la question du langage > « si vous avez un mot comme bon, quelle nécessité y a t il a avoir un mot comme « mauvais » (1984) (novlangue) > langue corporate pousse souvent à une réduction des termes utilisés > on va vers « l’analphabétisme post littéraire » > tentation forte de censurer certaines expressions chez General motors, et même chez Apple (bug, crash), jargon interne dans chaque entreprise au contraire, le langage est important et à force de réduire le champsémantique, on affaiblit nos capacités de penser et d’éprouver or c’est la seule manière pour un manager d’imaginer les mutations en cours > risque de l’appauvrissement de lal langue, selon Alain Denault, parle de « médiocratie » > langue corporate habillée de mots creux et donc une langue qui permet au plus médiocre d’entre nous d’accéder aux plus hautes fonctions > appauvrir c’est jouer le jeu du système dominant (le contraire d’innover) Qu’est-ce que l’humanisme ? > la non-spécialisation, le manque de spé > sur le modèle d’un médecin généraliste, on va fermer à développer des compétences transversales, susceptibles de poser des problemes complexe > ce qu’ambitionne de faire l’école 1 sur 9

> d’ailleurs arts libéraux = manque de spécialisation > donc avoir projet de formation humaniste en gestion c’est développer compétences transversales > Hannah Arendt explique que nous devons pour cela nous souvenir des romains (premier peuple à a voir pris la culture au sérieux) > une personne cultivée devrait être « qqqun qui sait choisir ses compagnons parmi les hommes, les choses, les pensés, dans le présent et dans l’avenir » > suppose capacité réflexive qui ne procède pas seulement que du calcul > capable de faire des choix, de s’engager > deux manières d’envisager l’enseignement de gestion: - former personnes compétentes - former individus honnêtes point de vue tranché, avi de Durkheim, thèse sur la division du travail social > explique que les arts libéraux et la culture pour elle meme n’a plus droti de cité dans notre civi > « cet état de détachement et d’indétermination a qqch d’anti-scoail > dilettante > nous refusons au dilettantisme toute valeur morale > nous voyons la perfection dans l’homme compétent » il s’agit de former à la méthode, faire poids mais aussi contre poids > un futur commercial doit être convaincu que monde = pas une accumulation de marchandise >>> cours qui a pour objectif de « maintenir en soi meme une dispute » (Montaigne) > monde du mangement s’est concentré sur les processus > tyrannie du processus > sans direction partagée > idée : accompagner le mouvement des managers qui s’interrogent sur le contenu de leurs actions OBJECTIFS - Penser le mangement sous l’angle de la culture - penser l’organisation au dela des seules logiques de retour sur investissement par de nouvelles approches éhtiques et esthéitque - améliorer votre tolérance à l’ambiguité, à la complexité, au non savoir et à l’illisible …. au non immédiatement mesurable > Tout n’est pas paramétrable ! (quantité de choses sont incalculables) Savoir vivre avec la possibilité de ne pas savoir > or on a enseigné pendant des générations à des managers qu’ils avaient la réponse à tout COURS : Séance 1 : Philosophie et management : Société de Philosophie des Sciences de Gestion (SPSG) > philosophie continentale (axe franco-allemand + Italie) > COLLEGE international de philosophie > publication rue Descartes > numéro « variation philosophique sur la question du management) >>> pour les révisions : interview avec Bernard Stigler > spécifité : s’intéresse à l’économie et au management > sources vidéos : https://xerficanal.com (1. Les cinq sens du management, comment socrate et xénophon…) S2 : Esthétiques et organisations > ergonomie, le beau geste dans l’organisation… (angle historique et philosophique) S3 : Economie politique et littérature > confronter, voir les rapports entre littérature et économie > comment on trouve dans la littérature éléments de réflexion sur la réalité économiques > va insister sur l’économie politique au XVIIIeme (liaisons dangereuses) + XIXeme : Bouvard et Pécuché + comment éco est présentée dans les Caves du Vatican d’André Gide > Pamphlet, Macron S4 : Rhétorique et pouvoir(s) > adaptation des moyens aux fins en matière d’expression et de communication, qui relève d’un lieu d’échange > De oratore, Ciceron + le renouveau de la rhétorique

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S5 : Phénoménologie du leadership > pur charisme ? puissance corporelle ? de la représentation ? capacité relationnelle ? concept vide ? ontologie négative ? (Blaise Pascal, Les Pensées, « les 3 discours sur la condition des grands ») > relation entre dominants et dominés S6 : La relation professionnelle dans le roman contemporain > la littérature contemporaine est l pour nous rappeler que les choses sont plus compliquées qu’on ne le pense : Michel Houellebecq (Extension du domaine de la lutte, Plateforme), Emmanuel Carrère (D’autres vies que la mienne), Maelys de Kaerangal (naissance d’un point, réparer les vivants) S7 : Signes et consommations (marketing) > la société des objets et des signes (Levi-Strauss) > la culture est uen sorte de systeme d’objets qui fonctionnent comme des signes les uns par rapport aux autres > la fonction des signes et des images dans les sociétés marketing > Baudrillard, Pour une économie politique du signe ; Louis Marin, Les pouvoirs de l’image S8 : Penser le devenir des techniques, confrontera Schumpeter et Simondon > Du mode d’existence des objets techniques > redécouverte au niveau mondial > discours contraires (biographie) > qu’estce que les objets disent de nous-mêmes S9 : Les usages « gestionnaires » chez Balzac, CÉSAR BIROTTEAU > spéculations, finances, management et marketing vus par Balzac > toutes les questions d’organisation et de compelxité collaborative > tjrs la même chose aujourd’hui > différence l’Etre/L’événement > conclusion : en management pas grand chose de nouveau > L’illustre Godissard, La maison Nucingen, Melmotte réconcilié, Le Père Goriot, LES EMPLOYÉS, + le marketing dans la mode au XIXeme siècle S10 : Ethiques et entreprises, l’éthique dans les organisations, Foucault, Ricoeur > l’éthique prise comme une discipline > confronter questions éthiques avec monde des entreprises > réinterroger les fondements de l’entreprise Evaluation : épreuve sur table de 2h > propose 3 sujets > en choisir un > résumé ce qu’on a compris du cours + faire preuve de réflexion personnelle, s’interroger sur ce que ca nous appris sur le management > compte rendu > lire textes, aller à la rencontre des professeurs, + regarder vidéos complémentaires sur certains sujets > faire oeuvre de réflexion personnelle pour les révisions : notes, résumés des slides, vidéos > se spécialiser sur 3/4 thèmes

PHILOSOPHIE ET MANAGEMENT Philo et management > irréconciliables ? Platon a parlé de tous les sujets, sauf le management > ne s’intéresse pas aux questions de management hiérarchie de la société pour lui : les sages les stratèges (élus, responsables politiques) les paysans les commerçants pour lesp ro du management la philo ralentirait le processus de management 3 sur 9

et pour bcp de managers la statistique et la logisitiques suffisent pour répondre aux questions de gestion d’un autre coté, faute aux philosophes puisque posture généralement admise : tentation du rejet pur et simple > acteurs de la vie éco réputés pour le management et les intellectuels réputés contre le management > même chez michel henry > le management et l’économie n’existe pas > « science inauthentique en dépit de l’abondnace de ses résultats pour autant que comme toute science elle se confie à la positicité des connaissances qu’elle produit sans s’interroger au préalalbe sur la possibilité même de cette production » > on se pose jamais la question de savoir : qu’est-ce que le maangement > questionnement radical qui n’apparait jamais > propore du management : il ne s’intéresse jamais sur son identité « la philosophie ne combat pas l’industrie, mais elle compren, et elle la rapporte… » (derrida, rapport bleu (citant cousin) auj, philosophes ont un role à joeur dans l’enseignement en gestion > dans la plupart des grandes revus académiques mondiales > grandes revues dirigées par des philosophes > impensable il y a quelques années > le management fait auj ce travail de compréension de son identité > réflexion sur son identité managériale > du coté desp raticiens du management, la meme chose > lecteurs managers de Philosophie magazine > ils s’intéressent le plus au sens qu’ils donnent à leur activité professionnelle > vraie demande de la part des mangers qui s’interrogent sur le bien fondé de leur activité, de plus en plus à l’écoute de la langue philosophique `> idée : réinscrire la philosophie comme une sorte d’additif > la mettre au centre meme du dispositif pour interroger en permance la gestion sur son devenir et sa méthode > le management ne s’interroge pas sur les propres conditions de possibilité de son existence Management : coordonner actions collectives d’un certain nombre de personnes > gestion : vision restrictive du management > management comptable, centré sur les couts > est-ce que manager, c’est seulement gérer > DÉFINITION > management : science de l’action collective > dans le sens de la performance et de l’efficacité (pb : qu’est-ce qui est performant et comment mesurer la performance) Définitions modernes du management : - « ensemble des techniques de direction, d’organisation et gestion de l’entreprise » Larousse - « le management, c’est vouloir manager au travers d’un système de management » Marvin Bower (68) > le management comme système d’auto-apprentissage de l’organisation par ellemême > principe de la courbe d’apprentissage > organisation qui apprend de ses propres échecs - « le management consiste à faire en sorte qu’une action collective soit efficace » Maurice Thévenet, 2014 > le management n’est ni une technique ni un système mais une pratique > le management est une praxéologie > l’étude d’un certain nombre de pratiques organisationnelles - francois dupuy : « le management est une discipline (plutot qu’une science), un art veulent faire croire les optimistes, encadrée par des insitutitoons qui en élaborent les méthodes et en conceptualisent les pratiques » Le management sleon quelques philosophes grecs > questionner le management de façon radicale, en remontant aux origines quelques recherches étymologiques - maneggiare (conduire) > manus (main) manager, c’est piloter une organisation >

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- le mesnagement est à la racine des mots qu’utiilisent aussi bien joachim du bellay dans les regrets (« j’étais fait pour la muse et on m’a fait ménager ») qu’olivier de serres dans son théâtre d’agriculture et mesnage des champs > plus qu’une technique, idée d’habileté - ainsi, lorsque la boétie s’emploie à traduire l’Economique de Xénophon il propose le titre : La Mesnagerie Xénophon contrairement à Platon s’intéresse au management > ce dont il est question dans ce texte > gestion des équipes collaboratives, intéressant aux résultats des ménagers, transport de marchandise, techniques de négociation commerciale > le management = la science première Première fois que le terme d’économie et utilisé dans la littérature continentale > pour les grecs, le management est la gestion des affaires privées, donc l’univers domestique > figure du ménager = celle du bon père de famille qui prend soin des siens et de son bien > idée chez Socrate : à plusieurs bien so’rganiser pour se libérer du travail > management = la condition du loisir > parce qu’on administre bien la spjhère du travail, laisse du temps Socrate dit qu’on peut élever le management au niveau scientifique, et « cette science nous l’avons déifnie comme celle qui conduit à accroitre une maison » > pour socrate ce qui distingue l’oikonomia du travail à plusieurs c’est qu’il s’agit de tirer partie d’une situation > de l’ordre d’une raison calculante, opportuniste > un bon manager = qqun qui produit, fabrique, vend maisons dans lesquelles agréable à vivre et peu chères > donc oikonomia = enrichir la maison, tirer partie du’ne situation Chez Aristote > traité d’Economie > 2 choses qui coexistent dans l’oikonomia : un art de l’accumulation, du commerce, de la finance = la chrématistique = art du commerce, art de faire de l’argent > pas de regard négatif > athènes doit se développer > mais il constate autre chose dans l’oikonomia qui serait non pas de l’ordre du profitable mais du bénéfique (pour soi) > selon lui, le fait de « mesnager » = occasion pour l’homme vertueux d’exercer une souveraineté sur lui-même, d’affiner sa capacité de jugement, de trouver bon assemblage entre la maitrise de soi et le gouvernementdes autres : idée que le bon ménager est celui capable de se soustraire de sa propre activité pour en rendre compte et pour lutter contre l’hubrys > rien n’était plus dangereuxpour l’individu en situation de pusisance d’oubleir ses limites et ne pas avouer ses faiblesses > donc chez Xenophon le management n’a pas de sens moral alors que chez Aristote le vrai principe d’économie = le principe de la perfection morale, principe d’exercer ses vertus, d’être un homme prudent, c’est celui qui se comportent en fronimos > vertu de jugement, d’exercer ses qualités d’analyse Aristote nous dit que la chrématistique ne peut produire des biens qui ne soient pas ordonnés vers une fin > la chrématistique est sans vertu, d’une certaine manière elle échappe à une forme d’excellence que doit viser toute activité, donc elle est coupée de l’ordre des faits, alors que le management doit tjrs s’interroger sur son objectif, sa finalité

« Le désir est l’essence même de l’homme », Spinoza > oppose conception platonicienne à la conception spinoziste > nous sommes des êtres de désir selon Spinoza > donc le manager = un professionnel du désir de l’autre, du client ou du salarié > question la plus importante : qu’est-ce que le désir ? > deux théories qui s’opposent frontalement > le terme oikonomia, on le retrouve dans les Evangiles et sous la plume de Saint Paul + Saint Augustin > mot d’une grande plasticité > utilisé dans des contextes très différents > dans les plus savantes traductions, le mot management est traduit dans des termes TRÈS différents > significations qui varient selon les sicèles < mot qui se réinvente > jusqu’au XVIIeme : mesnager = « prendre soin de qqch » > au XVIIIeme : planifier, contrôler > au début du XXeme avec Taylor, manager = démettre l’individu de toute responsabilité et mettre la machine en premier > idée : il 5 sur 9

faut maintenant mettre la machine en premier et l’homme doit prendre au travail une position secondaire > les salariés sont motivés par le gain, pas très travailleurs, pas fiables, absents alors que la machine est efficace, elle répond présente de façon uniforme. on en revient à la distinction entre l’oikonomia au sens de l’art d’accumuler (art gestionnaire) mis en parallèle avec l’exercice de soi, la tentative d’empire sur soi-même > du coup oikonomia = tirer partie d’une situation ou prendre en charge, c-a-d investir une zone de créativité, de faiblesse ? Deux façons de considérer le métier de manager : 1. la mesure = l’évaluation quantifitative : on peut mesurer le succès par la simple quantité de richesse accumulée 2. considérer la mesure dans son autre acception c-a-d prendre la mesure des choses c-a-d exercer un jugement, tempérance, prudence D’ailleurs beaucoup de notions sont centrales en management et centrales à la philosophie grecque > spontanément on définit le manager comme celui qui sait quand prendre les décisions > il sait saisir le kairos, le moment opportun, donc le management = l’art de la décision + le phronimos + hubris + pléonexie + la mètis : : le pouvoir du faible sur le fort, povoir de dissimulation, capacité à vaincre des forces plus fortes que la sienne propre + sophrosune (maitrise de soi) + epimelia heautou (le souci de soi) > cf. Le Banquet « as-tu le souci de toi meme ? » + acrasie (le fait d’agir contre son jugement, « la faiblesse de la volonté » > très courant en management) Seuil : UNE HISTOIRE DU MANAGEMENT ? (Le Texier, 2011) Dans notre monde actuel, transformé par des changements économiques et politiques considérables, le mot de maangement va être réinventé par les prochaines générations > on est sur d’une chose : le management devra être réinventé (cf. Laurent Alexandre, l’intelligence artificelle : la machine sera t elle capable de tout calculer > ce qu’il faudra faire : développer un coeffciient de compléemtnaraité avec l’intelligence artificielle > il faudra que le manger développe d’autres compétences, un savoir etre, un savoir faire, une capacité d’adaptation à autrui que l’IA ne peut pas couvrir) - « Nous considérerons

Le management : vers un conflit d’interprétation Ce que nous pensons dépend de l’entroit où l’on se situe dans le monde, dépend également de nos habitudes > la liberté provient, au moment où l’on en est cpaalbe, de voir nos propres systèmes de limite Le management a 5 sens différents : 1. Le management comme…technique (le larousse), interprétation dominante de la notion - la « tentation techniciste pb : comment appréhender la nouveauté ? (il n’y a pas de place pour le désir, l’effort, la solidarité, créacitivté recue ou dévployée, éléments pas inclus dans techniques) > donc plutot une ingiénerie managériale > managérialisme On demande simplement au manger d’utiliser des outils > donc juste une tecniques > donc individus remplaçables, interchangeables > individus déculturés et robotisés > or c’est ne voir qu’une partie du management Limites : - on s’intéresse aux fonctions plus qu’à la singularité des êtres humains - la gestion ne peut être parfaitement dépersonnalisée 2. Le management comme…science en france, on parle en effet de « science de gestion » Un champ de recherche impliquant plusieurs discplines

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pb double : on ne sait pas vraiment définir cette science > varie selon les disciplines (déf tjrs reliée à la discipline) : définition psychologique, anthropologique, de sciences politiques, économiste….autant de facettes du management > mais le mangement est pluridisciplinaire, et on a énormément de mal à dire ce qu’il en est proprement du management lui-même, au point que le management est comme sous l’influence d’autres disciplines que la sienne propre > souvent les auteurs en gestion sont le jouet d’un économiste défunt > incapable en management de créer notre propre arsenal conceptuel > Limites : déconnexion de la pratique quotidienne des managers Economisme vs humanités 3. le management comme…pratique contre la science, pas de management sans p...


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