6.Développement affectif PDF

Title 6.Développement affectif
Course Psychologie du développement
Institution Université Claude-Bernard-Lyon-I
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Développement affectif Intro : psychanalyse freudienne. A- Freud père de la psychanalyse… Concepts-paradigmes • Répression instincts / civilisation (Nietzsche) • abréaction (Nietzsche) • refoulement • pulsions sexuelles • origine sexuelle des névroses • dénie et clivage du moi En 1914 Freud écrira que la psychanalyse née avec le rejet de l’hypnose et avec l’adoption de la théorie de la libre association. Halmos (2009) Grandir : psychanalyste Freud : médecin viennois, neurophysiologie Il va étudier en 1889 chez Charcot réputer dans l’hypnose et l’hystérie, il rencontre alors P.Janet Méthode : officiellement le patient se racontant, libre association Officieusement :auto-introspection .. ? Un angle d’attaque particulier : l’origine sexuelle des névroses Concepts et définitions :  Vie psychique  Conflit  Pulsion : ce qui nous pousse à agir, ce manifeste sous forme de tension o Pulsion du moi - pulsions sexuelles o Pulsions de vie – pulsion de mort  Objet : relation/support de l’investissement pulsionnel  Inconscient : pulsion, ensemble des désirs non formulés, qui structure toute notre vie psychique. La toute puissance on retrouve le principe de plaisir, qui se heurte au principe de réalité  éléments modifiés. o Latent : inconscient capable de venir conscient, potentiellement possible, on le nomme le préconscient o Refoulé  Rêve : moment de relâchement de cette période d’inconscient. Relâchement du refoulé. Manifestation  Déni : concept important, apparait en cas de conflit, entre la revendication pulsionnel (désir de la pulsion..) et la réalité. Conflit qui est générateur d’angoisse (la personne se heurte à la réalité) l’individu refuse cette réalité (trop blessante, trop contraignante) il tente à la reconstruire pour la rendre plus acceptable et valorisante  Œdipe : piéangulaire du développement de l’enfant. L’essentiel de la vie psychique de l’individu Freud postulera que la liquidation du complexe d’Oedipe, est le même pour le garçon comme pour la fille. L’élément serait la peur de perdre le pénis, Freud mettra un certains nombre d’années à montré ce point là.  Narcissisme : fondement de la conscience en soit, qui correspond à l’image valorisé que l’individu à de lui (base de l’estime de soit, image de soi-même). Freud distinguera le narcissisme primaire qui est sain et qui correspond au fonctionnement du bébé, qui investirait sa propre personne, du narcissisme secondaire qui désigne l’investissement libidinale de soit, qui se fait au détriment de l’autre.

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Libido : désigne l’énergie sexuelle de la pulsion sexuelle telle que définit dans la première topique freudienne. Freud fera la distinction entre la libido du moi et la libido de l’objet. Les topiques : désignent les positions théoriques de Freud, cadre conceptuel. Freud propose une compréhension de phénomène psychique, qui s’appuie sur une structuration du psychisme en plusieurs instances. o 1ère topique : organisation du rapport entre le conscient l’inconscient et le préconscient.  théorie de la libido.  La satisfaction : désir jugé acceptable, passé la censure qui existe entre le préconscient et le conscient. Une fois devenu conscient, ces désirs se trouvent réalisés donc l’attention s’apaise. Sublimation et refoulement : concerne les désirs socialement incompatible du fait de la censure (lié a la morale a la loi…). La sublimation correspond à la transformation du désir ou de la pulsion sous une forme acceptable. Le refoulement correspond désir renvoyé à l’inconscient. Elément de base de toutes les psychopathologies.  Pulsion du moi –pulsions sexuelles : développement perso vs développement de l’espèce. o 2ème topique : autre type d’organisation structuré autour de l’opposition, principe de réalité/ de plaisir, notion clé.  Pulsion de vie – pulsion de mort :  Principe de plaisir/ de réalité : homme aspire à être heureux, l’homme cherche le plaisir/ et a éviter le déplaisir. L’enfant vit dans le principe de plaisir et doit intégrer celui de réalité.  Ça : au début de la vie l’enfant n’est qu’un « ça ». Expression de ses désirs instinctuels.  Moi : instance qui se construit dans la confrontation entre le « ça » et la réalité. Sa solidité dépend de la capacité de l’individu à accepter la frustration, ce que nous impose la réalité. Son rôle est de gérer les échanges entre le « ça » et la réalité.  Surmoi : se fonderait sur l’intégration du complexe d’Oedipe, l’enfant intégrerait les interdit universels. « Le gendarme » qui représente la loi, s’oppose directement au « ça ». A l’origine des conflits intérieurs. Conscient de cet interdit.  Idéal du moi  Moi idéal Mécanisme de défense : vise à protéger le moi en atténuant les conflits internes. Il permet que les pulsions soient satisfaites, tout en maintenant une certaines stabilité psychique. Stade de développement : o Oral o Anal o Phallique : découverte de la différence des sexes. Apparition de l’angoisse de castration, l’envie de pénis chez la fille, o Latence : entre 6/11 ans. Libido disparait.

LIMITES   

Epistémologiques : refus de la psychanalyse comme terme de science car la psychanalyse , dans ses concepts, ne permet pas le réfutation. Généralisation : d’un modèle. Thérapeutique

CONSTRUCTION DE SOI : RELATION AUX AUTRES D’un point de vue physiologique, somatique de développement de l’enfant peut être normal mais son développement personnelle affectif peut être bloqué par des raisons qui tiennent de ce que l’enfant éprouve, vit, expérimente dans ses relations aux autres (parents). Certaines acquisitions psychomotrices voir cognitives, peuvent être altérée pour des raisons qui n’ont rien à voir avec la physiologie ou l’hérédité mais avec des difficultés affectives liées au rapport à l’autre.

Le développement affectif est construit par une succession de renoncements à des sources de plaisir, imposées par ses envies. Renoncement d’autant plus difficile qu’il doit l’intérioriser.

CASTRATION = FRUSTRATION -

Momentanée Echange plutôt que renoncement. Il faut échanger un plaisir qui n’est plus de son âge à un plaisir correspondant à son développement Limite définitive car en toute logique elle marque pour l’enfant la fin absolue d’un mode de satisfaction ; elle l’oblige à avancer enfin…normalement (déplacement et régression)

NAISSANCE : CASTRATION OMBILICALE -

sensation nouvelle : la peau devient un objet de manipulation ; olfaction 1er lien avec la mère

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milieu aérien où l’oxygène arrive de manière plus active, c’est lui qui respire pour vivre exister tout seul, du passif il devient actif. Cette force, énergie, l’enfant va pouvoir la puiser auprès de ses parents, dans leurs attentions à son égard, dans les désirs de ses parents qu’il perçoit. + Aptitude à l’accueillir, il est sensible aux émotion

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castration imaginaire chez le parent puisque maintenant l’enfant est là donc les parents sont confrontés à l’enfant réel. Ce passage du rêve à la réalité implique une double perte puisque quittant le registre du rêve, ils abandonnent en même temps la maîtrise absolue qu’ils avaient su ce rêve. Face à la naissance de l’enfant beaucoup de parents rapporte à la fois un sentiment de désillusion et également de culpabilité (en s’accusant de ne pas avoir su aimer d’emblé l’enfant). Dépend aussi des sentiments narcissiques, de fierté que ses parents retirent de sa naissance.

CASTRATION ORALE : SEVRAGE (ENVIRON 6 MOIS) -

changement d’alimentation : passage d’un élément tété à un non tété ; double renoncement (lait + sein ou biberon)

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changement de situation : o état d’indifférenciation : avec le monde, a l’illusion de ne faire qu’un avec ce qui l’entoure. Protection pour ne pas que l’enfant ne fasse pas trop tôt la différence avec l’autre. Pour lui le sein est une extension de lui même o illusion cannibalique : l’enfant s’imagine dévorant le sein de sa mère, cela est pour lui source de plaisir

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Sevrage : o met fin à cette illusion, l’enfant peut continuer à aimer la maman mais doit renoncer à la tété, ce que doit aussi faire sa mère o

contraint la mère à se défaire une 2ème fois de son enfant. Renoncement du corps à corps

réussit si : Mère suffisamment bonne  l’enfant n’éprouve pas un abandon (il faut que les repères sensorielles soient remplacés par d’autres sources de satisfaction)  sevrage progressif qui suppose la mise en place d’un certain nombre de conditions  relation basée sur la parole  l’enfant se voit alors comme quelqu’un qui a de l’importance pour sa mère ; émergence du sentiment d’être quelqu’un unique et singulier o

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Echec : mère pas suffisamment bonne :  sevrage représente qu’une violence/privation de plus et ne permet pas le passage d’un mode de satisfaction à un autre  n’a pas été à l’écoute de l’enfant  n’a pas répondu à ses besoins  enfants vit dans une frustration permanente  vit dans un univers violent  mère qui ne trouve pas le même plaisir qu’elle trouvait dans la parole que dans le corps à corps :  recherche le contacte en permanence  déplaît à l’enfant  le maintien dans la dépendance à la maman

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réaction circulaire primaire : bébé cherche à combler ce manque qui peut être source d’angoisse, se réfugie en trouvant sur lui une sensation (succion du pouce) pour compenser, pour pouvoir supporter cette séparation qui lui est imposée

Bénéfices : -

passage d’un plaisir à un autre plaisir o transfert de la bouche à la main :  plaisir prit par la bouche va être transféré à la main, l’enfant qui ne peut plus prendre de plaisir par la bouche découvre qu’il peut en prendre grâce à la main et à l’action qu’il peut avoir sur les objets. Mère rôle important à jouer en présentant à l’enfant les objets (au repas, à travers les jeux), en les nommant. Bébé manipule les objets, les prendre, les jeter… En faisant cela il fait faire à la main ce que jusque là son appareil digestif faisait

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construction de soi : o

la main devient de plus habile, elle se différencie de plus en plus de la bouche ; l’enfant prend conscience de cette différence entre sensations dans le lieu de la bouche et le lieu de la main

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langage devient sous bassement d’un lien symbolique entre l’enfant et sa mère qui lui permet de construire un début de vie intérieure, d’exister sans sa mère puisqu’elle est en permanence en lui à travers ses mots :



la bouche devient source d’un autre type de plaisir que celui procuré par la succion, lié à vocalisation puisque en parlant avec lui la mère lui fait entendre des sons qu’il va essayer de reproduire afin de retrouver la sensation que ces sons ont produit chez lui la 1ère fois

Castration orale est symboligène : par de la bouche et y retourne en passant par les mains, permettant l’enfant de découvrir son intégrité, sa singularité, son individualité.

CASTRATION ANALE Période comprise entre 18 mois et 3/4 ans. Voit se réaliser 2 progrès majeurs dans le développement de l’enfant : -

l’accès à l’autonomie physique : développement des qualité motrices, capacités de l’enfant à réaliser seul un certain nombre d’actes de la vie quotidienne

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l’intégration de l’interdit des agissements nuisibles ; l’interdit de se faire plaisir au détriment de l’autre (autant humain, animal, objet)

Autonomie dans la vie quotidienne : double enjeu : -

permet d’accroître séparation avec la mère permet la compréhension/ intériorisation de la loi, des interdits qui fondent les relations sociales.

Pourquoi l’anal ? Terme de Freud. Dolto un petit peu freudienne, donc reprend son terme. L’anal est pour l’enfant la 1ère motricité relationnelle, dans la logique de l’enfant à cet âge lorsque l’on prend quelle que chose, c’est que ce quelle que chose est source de plaisir. Pour lui la fonction excrémentielle est source de plaisir, il s’image que si la mère est si attentive à ses excréments c’est qu’il doivent être source de plaisir pour elle aussi. L’excrétion relève pour l’enfant non seulement de la motricité active, mais l’inscrit dans une dynamique relationnelle d’échange avec la mère.

1er enjeu : l’autonomie Acquisition du déplacement : -

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commence avant 18 mois (12 mois) marqué de petites victoires motrices sources de plaisir qui accompagne l’acquisition d’un capacité nouvelle de l’enfant : o celle de contrôler son corps et l’action que son corps a sur les choses. Après le transfert de la bouche à la main s’opère un transfère du plaisir de la main vers les pieds.

Acquisition de capacités dans les actes de la vie quotidienne :

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apprend à se débrouiller seul :

renoncer à l’assistance des parents des parents : accepter que l’enfant n’ai plus totalement besoin d’eux, renoncer à cette part d’emprise qu’ils avaient encore sur l’enfant  rôle des parents primordial o tout faire pour que l’enfant puisse avancer seul  il ne faut pas que se soit un prétexte à rester en contact avec l’enfant, ce qui limiterait la possibilité de l’enfant de se séparer o il faut que les parents sécurisent l’espace :  de manière concrète (physiquement : barrières), faire en sorte que l’enfant puisse s’approprier l’espace  de manière symbolique : se fonde sur la parole, sur le lien qui vient d’émerger de la phase précédente  assurance de ne pas être seul, que les parents ne sont pas loin  expliquer l’espace à l’enfant : ce qui est dangereux et ce qui ne l’est pas  nommer les objets o sinon espace mystérieux, menaçant, angoissant, générateur de phobie qui l’empêche de s’élancer vers l’extérieur = maintien dans les filets de sa mères o explication de l’espace :  doit s’étendre aux situations que vit l’enfant, aux relations : ce qu’on à le droit de faire ou pas  porter sur son corps propre : pour qu’il puisse donner du sens à ce qu’il ressent : digestion, respiration… ; les autres aussi le ressentent, il est normal ; elles s’expliquent physiologiquement o o

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accompagner l’enfant sur la voie de l’adresse : créer une espace sécurisant : sécurité psychologique : mettre en place une sécurité narcissique pour ne pas qu’il ai d’atteinte à son estime  expliquer :  ce n’est pas grave, l’échec permet d’apprendre : au début difficile pour tout le monde  le monde n’est pas magique, il est acteur de ce qui lui arrive  consoler  aider avec la même patience, chaleur, tendresse que lorsque l’enfant réclamait l’aide de l’adulte  lui permettre de se projeter dans l’avenir et que lui aussi un jour il y arrivera o

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autonomie effective entre 24 et 28 mois

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pour les parents : impression d’être de bons parents

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accès précoce à l’autonomie important o

cela contribue au développement de l’intelligence :  dite pratique  s’accompagne d’un ensemble de connaissances qu’il va devoirs mettre en pratique

suppose une réflexion sur les choses ; capacité à extraire de un information pertinente et à s’adapter contribue à l’édification de son assise narcissique :  réconfort, explication, penser ses blessures narcissiques  l’enfant comprend qu’il n’est pas un objet à la disposition des adultes, qu’il est un être à part entière 

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suppose pour la mère une castration égale à celle de l’enfant : o

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elle doit renoncer aux plaisirs que lui procuraient l’entretien de l’enfant pour un autre plaisir celui de le voir se développer seul, dans les progrès que réalise l’enfant au quotidien, être fier de ce que l’enfant réalise difficile car l’enfant cherche à faire croire qu’il a besoin de ses parents, facile de tomber dans le piège

2ème enjeu : l’accès à la loi

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Lié au développement moteur

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Attente adulte : maîtrise de soi o o o

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Autonomie Comment l’adulte peut-il demander à l’enfant d’utiliser ses mains si ce sont les mains de la maman qui font tout Ce n’est que parce qu’il se sent exister qu’il prend conscience de son altérité, qu’il peut se concevoir comme différent d’autrui, ne plus confondre ses émotions, ses sentiments avec ceux de l’autre L’enfant qui n’est pas autonome est dans une position de passivité, de fait lorsque vont survenir les interdits, il sera dans cette même position de passivité par rapport à l’énoncé des règles Il faut alors d’abord respecter l’enfant : pour qu’il apprenne le respect de l’intégrité physique d’autrui il faut respecter son intégrité physique ; pour la propriété, il faut que lui même ai un territoire à lui et le respecter (ne pas jeter un jouet sans lui le demander, sinon on fait passer à l’enfant que c’est la raison du plus fort qui prévaut)

Rôle des parents : o o o

o o

Enoncer l’interdit : on ne peut sanctionner un enfant qui ne connaît pas l’interdit. Tant que cela n’a pas été énoncé, l’enfant n’est pas en tort. Interdire sans brimer : Il faut lui dire que l’interdit n’est pas une brimade, ce à quoi il est soumis, l’adulte y est aussi soumis Sanctionner la transgression : du moment que l’interdit est connu, il n’y a pas de petits délit, l’adulte doit intervenir, sinon l’enfant apprend à rationnaliser, minimiser. Ainsi on signifie à l’enfant qu’on à relever le délit et qu’il ne doit pas le refaire, il faut le réprimander au moins, cela le touche dans son estime. On peut moduler la situation en fonction du contexte, et mettre en place une échelle de sanctions. Sanctionner ce n’est pas humilier Expliquer la sanction : rappeler la règle transgressée, celle connue, en quoi elle est importante Ne pas réduire l’enfant à son acte : c’est vrai il a volé mais ce n’est pas un voleur, sinon tout ce qu’il a fait a côté de bien est réduit à un acte ponctuel

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Caractère instrumental de la transgression : o

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dans un certain nombre de cas, elle est au service de quelle que chose qui la dépasse, l’enfant transgresse pour une autre raison que de frapper, peut être pour se rassurer, en recherchant la punition, il s’assure que le monde n’est pas une jungle, que la loi existe, qu’elle est présente et qu’elle le protégera de ce que peuvent lui faire les autres. Lorsque les parents punissent, ils montrent qu’ils font attention à lui, c’est un gage de l’affection que l’adulte a pour lui. A l’adolescence les problèmes de violences apparaissent souvent dans des familles hyper compréhensives, qui ne réagissent pas. Pour faire l’apprentissage des règles : de la même manière qu’il a eu besoin de manipuler les objets pour se les appropriés, il va jouer avec les règles pour ce les approprier. Face à un enfant qui multiplie les transgressions il faut chercher le pourquoi, ce qui se cache derrière. Cela passe par écouter l’enfant. En général derrière des transgressions à répétition il y a souvent une souffrance qu’il ne s’agit pas de nier en se bornant à sanctionner. Il faut laisser l’enfant s’exprimer, c’est lui apprendre à passer d’un mode fonctionnement basé sur l’agir à un mode basé sur la parole. Dans un monde civilisé on règle les conflits par la parole et non pas avec les poings.

Autonomie motrice et accès à la loi permettent à l’enfant de faire un pas de plus sur le chemin de la séparation et de l’individualisation. La castration anale marque une étape supplémentaire dans la prise de conscience de soi qui est néanmoins précaire dans la mesure où il n’a pas acquis totalement une perception claire des limites de son corps tant que celles-ci sont données par la maman. Cela se fera à travers un autre processus qui prend naissance avant la castration anale et qui se terminera après, caractérisée par stade du miroir.

STADE DU MIROIR Terme de Wallon, le décrit entre 6 mois et 1 an, en décrivant notamment le comportement de l’enfant face à sa propre image. Ce sera Lacan qui inscrira ce terme dans la psycholog...


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