Acrosport-MT-2 - Notes de cours 1 PDF

Title Acrosport-MT-2 - Notes de cours 1
Course Education Physique et Sportive
Institution Université de Franche-Comté
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L'essentiel de la technologie et de la pédagogie en acrosport ...


Description

Acrosport | Fiche Prépa ENS

ACROSPORT 1.Définition « La gymnastique acrobatique est une discipline sportive collective de production d’enchaînements, comprenant des éléments acrobatiques de groupes (statiques et dynamiques) et individuels (éléments gymniques), liés entre eux par une chorégraphie, et destiné à être vu et jugé. » E.MAURICEAU, V.SIMON, C.CHARLIER, M.AVISSE, C.LAGRANGE, “De l’acrosport à la gymnastique acrobatique”, Edition EPS “De l’école aux associations”, 2010. Attention : pratique fédérale = gymnastique acrobatique, pratique scolaire = acrosport !  L'acrosport est une activité acrobatique, esthétique et de coopération dans laquelle on cherche le spectaculaire et l'harmonieux. L’acrosport : mutualisation des seuls moyens humains au service de l’exploit  L'acrosport peut être défini comme une discipline acrobatique et collective de production de formes corporelles codifiées dans la perspective de créer et réaliser un enchainement afin d'être vu, apprécié et/ou évalué.  L’acrosport est défini comme une activité esthétique et non artistique : En acrosport il y a des règles du jeu, un temps imparti, un ensemble de joueur, des manières de faire obligatoires, car il y a compétition. Le champ artistique est réduit. Une activité artistique doit permettre de développer sa créativité alors que le sport impose la compétition et donc des règles qui biaisent le champ de création, ce n’est pas une activité artistique mais une activité esthétique.  Il s’agit bien évidement de maîtriser son corps en mouvement dans une espace à trois dimensions (maîtriser ses appuis, dissocier ses ceintures, placer son bassin, réguler sa posture), mais ceci n’a de sens qu’en coordonnant ses actions à celles de ses partenaires. En perdant les informations de la pression des pieds au sol, la posture se désorganise ; s’impose alors la nécessité de construire de nouveaux repères et de maitriser le rapport poids du corps/pesanteur. A cette richesse motrice s’ajoute une dominante relationnelle capitale. L’acrosport dans les activités gymniques : Activité collective donc en plus le côté affectif/relationnel, accepter le contact avec les autres, assumer sa place au sein d’un groupe, faire des compromis, accepter les avis différents, s’imposer. Acquisition d’une motricité collective gymnique de pilotage de son corps dans l’espace à plusieurs : porter, soulever, tenir, lancer, se faire porter, se faire soulever, se faire lancer, s’équilibrer sur l’autre, créer des contre-poids. Communiquer, se comprendre, dialoguer pour parvenir à finaliser un projet commun.

2. Historique -

Années 50’s : apparition de la gymnastique acrobatique

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1984 : Fédération française de trampoline et de sports acrobatiques inscrit l’acrosport dans ses programmes

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1988 : Intégration au programme UNSS

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1997 : L’acrosport est évoqué dans « Documents d’accompagnement des programmes de sixième, cinquième et quatrième, 1997 » comme partie intégrante des activités gymniques

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1999 : Fédération internationale de gymnastique est chargée de promouvoir l’acrosport

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2002 : Intégration de l’acrosport au baccalauréat

1 juin 2018

Mathilde Thouret,

Acrosport | Fiche Prépa ENS

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2004 : « gymnastique acrobatique » plutôt que « acrosport » à part dans le scolaire où l’appellation est restée ainsi

Amoros, Manuel d’EP gymnique et morale, 1830 : « La gymnastique s’arrête où le funanbulisme commence et celui-ci commence quand l’utilité d’un exercice cesse. »  Différence entre l’acrobate des cirques et le gymnaste d’acrosport.

3.Logique interne La logique interne de l’activité est constituée de 4 dimensions (que nous retrouvons dans chaque activité gymnique) : - la composition : impose la présentation d’éléments variés. On parle d’exigences de composition, de familles d’éléments ou d’actions. - la difficulté : Dans chaque famille d’action, les éléments sont rangés par ordre de difficulté. Plus les éléments présentés sont difficiles, plus la note de base sera élevée. - l’exécution : Elle correspond à la réalisation correcte des éléments dans l’enchainement. Elle répond à des exigences esthétiques liées à la maîtrise parfaite des éléments et à une certaine idée du « beau » gymnique. - la valeur esthétique (artistique) : Note attribuée par les juges en fonction de critères plus ou moins objectifs mais codifiés.

A. Le cadre de composition Ce sont les catégories, le nombre et les types de figures qu’on doit mettre dans l’enchainement La composition englobe de manière générale : -

La durée de l’exercice Nombre de gymnastes Nombre de figures statiques Nombres de figures dynamiques Nombre d’éléments gymniques individuel Nombre de liaisons chorégraphiques. Temps de pratique

Il y a 3 types de figures statiques : -

Les montées : Départ d’une position sans valeur vers une position statique plus haute à laquelle est attribué une valeur Les éléments de maintien : pyramides Les changements de position : Mouvement destinés à relier une position statique de valeur à la suivante.

Il y a 4 sous familles de figures dynamiques : -

Les dynamiques : éléments départ du sol et retour au sol Les rattrapés départ au sol. Les rattrapés de partenaire à partenaire Les sorties : élément départ du partenaire et retour au sol.

Les éléments gymniques individuels (de liaison):

2 juin 2018

Mathilde Thouret,

Acrosport | Fiche Prépa ENS Ils doivent opérer pour une transition acrobatique et artistique entre les éléments collectifs. Pour être pris en compte les éléments individuels doivent être réalisés en même temps ou en immédiate succession. Il peuvent être différents mais doivent appartenir à la même famille d’éléments : -

Acrobatie (roues, rondades, sauts de mains….)

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Forme ou maintien/équilibre (placement du dos, équerre, Y…)

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Souplesse (souplesse avant, grand écart, écrasement facial…)

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Chorégraphie

B. La difficulté Pour éviter la multiplication des tableaux indigestes nous proposons d’enseigner les principes qui permettent de complexifier ou de simplifier les figures.

Figures statiques et éléments de maintien

Figures dynamiques et acrobaties individuelles

Etendue de la surface d’appuis et nombre d’appuis

Quantité de rotation

Hauteur de réalisation

Forme de corps (groupée / carpée / tendue)

Renversement

Hauteur de réalisation

La note de difficulté : on a un nombre de figures à réaliser, toutes ces figures sont classées dans un tableau de difficulté. Plus la figure est jugée complexe à réaliser, plus le nombre de point qui lui est attribué est haut.

C. L’exécution La manière dont la figure est réalisée, on gagne ou on perd des points en fonction des fautes et des exigences. 5 critères permettent de juger de la qualité de l’exécution :  Amplitude  Formes de corps  Rotations  Éléments non terminés et chutes

 Instabilités Hauteur de la phase aérienne

Il y a 2 catégories de fautes qui portent atteinte à l’intégrité de l’exécution :

Fautes techniques Critères techniques qui permettent de valider ou invalider la figure  Liées à la réalisation et au critère de réussite

Fautes de tenue Critères esthétiques qui permettent de hiérarchiser les meilleures prestations.  Liées aux formes de corps, pointe de pied tendus, précision, contrôle des réceptions

3 juin 2018

Mathilde Thouret,

Acrosport | Fiche Prépa ENS La qualité d’exécution dépend également de la qualité d’enchainement c’est à dire de liaison entre les différentes figures individuelles et collectives. Il peut-être soi : Saccadé / fluide / varié en énergie Remarque : Le travail d’appréciation de l’exécution réalisé dans la pratique de référence est trop exhaustif pour qu’il soit transposable dans le cadre de l’EPS. Il n’aurait de sens ni pour l’enseignant ni pour l’élève.

D. Valeur artistique « C’est la capacité à transcender toutes les exigences de ce sport pour toucher l’audience et les juges » (Code international de gym acro FIG, 2010) Petite part de liberté de la part des athlètes dans le cadre très normé de la discipline. Déductions appliquées pour les aspects artistiques suivant : - Interprétation musicale (émotion, expression, alchimie entre les partenaires) - Chorégraphie (pas effectués afin de couvrir l’ensemble du praticable) : synchronisation entre athlètes par exemple - Masse et maturité : différences de gabarit, harmonie d’un point de vue physique entre les athlètes - Choix des éléments : harmonie dans la composition des figures, originalité et créativité - Musicalité et expression - Relation entre partenaires Paradoxal de codifier à ce point l’ « artistique », qui n’en est plus vraiment du fait de l’impossibilité de créer, bousculer les codes. Activité esthétique oui, artistique pas vraiment.

4. Spécificités fédérales Dans la pratique fédérale (gymnastique acrobatique), 11 juges composent le jury : 4 pour la valeur artistique, 4 pour l’exécution, 2 pour la difficulté et un juge-arbitre responsable du jury. En fédéral, il existe les duos (hommes, femmes ou mixtes), les trios (femmes) et les quatuors (hommes). Pour les trios et quatuors on parle de groupe : groupe féminin (trio) et groupe masculin (quatuor) Quelle que soit la formation : surface de 12x12m et 2’30’’ de prestation sur une musique. Chaque prestation (appelée exercice) est composée de 6 à 8 éléments. En compétition, les formations présentent : - un exercice statique (6 à 8 éléments statiques qu’on nomme « balance » = pyramide) - un exercice dynamique (6 à 8 éléments dynamiques qu’on nomme « tempo » - un exercice combiné (3 - 4 éléments statiques et 3 - 4 éléments dynamiques). Entre chaque exercice se trouvent des éléments de liaison individuels. Tenue très codifiée : justaucorps pour les femmes, léotard pour les hommes. La tenue doit être identique ou complémentaire pour les duos mixtes. Trois rôles définis : - Le porteur (bottom man/woman) : toujours en contact avec le praticable

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Le demi-porteur ou porteur complémentaire : aide à l’établissement du voltigeur au cours des éléments statiques mais sans être en contact avec le praticable

4 juin 2018

Mathilde Thouret,

Acrosport | Fiche Prépa ENS

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Le voltigeur (tom man/woman) peut bénéficier d’une aide propulsive des porteurs

Les éléments statiques :  Les pyramides (3 sec)  Les supports ou les appuis  Les principes d’assemblage : pour éviter les déséquilibres au fondement de la pyramide :  Placer le poids du corps sur la jambe porteuse avant de quitter le sol avec l’autre jambe  Placer et conserver la projection de son centre de gravité à l’intérieur d’un polygone défini par les appuis des porteurs (sauf en cas d’équilibre par compensation ou pas contrepoids)  Les prises : voici les principales :  Mains jointes comme pr une poignée de main  Idem mais le majeur et l’index se placent de chaque côté du poignet  Doigts joints et repliés en crochet  Mains saisissant les poignets ou avant-bras (pour les contrepoids)  Mains- épaules/triceps  Prise pied dans main  Prise carré en attrapant poignet gauche avec main droite et poignet du partenaire avec main libre  Le maintien : les charnières anatomiques sont vérouillées  Le démontage : niveau par niveau en sens inverse du montage – descendre sur le coté ou sur le devant mais la descente vers l’arrière ne permet pas le contrôle – signal utile pr agir Les éléments dynamiques : proposer au voltigeur un effet trampoline, une propulsion  Les sauts et la rotation :  Autour de l’axe longitudinal  Autour de l’axe transversal  Autour de l’axe sagittal  Combinés autour de plusieurs axes  La propulsion  Les rattrapés : action du porteur sur le voltigeur sans que ce dernier ne touche le sol :  de partenaire à partenaire  du sol au partenaire  du partenaire au sol  du sol au sol avec une aide brève du partenair

5 juin 2018

Mathilde Thouret,

Acrosport | Fiche Prépa ENS  du sol au sol à partir du partenaire.  L’aide à la réception :  Eliminer tout résidu de rotation  Amortir le contact avec le tapis  Conserver un équilibre stable après la réception

5.Formes de pratique scolaire – La didactique Respecter la PSR => se serait respecter l’activité gymnique collective S’éloigner de la PSR => se serait produire une forme théâtralisée, axé principalement sur la musique. Le dossier EPS 26, (« ce qu’on ne peut ignorer », UFR Nice, 2005) déclare que « la musique est première dans cette discipline », et considère l’acrosport comme une activité artistique plus que gymnique. Pbm de sens, d’identité de la discipline si chaque enseignant fait à sa sauce (costume, thème, histoire…). Acrosport ou art du cirque ? Il y aurait moins d’ambiguïté si l’on parlait de gymnastique acrobatique. A l’inverse, « de l’acrosport à la gymnastique acrobatique » (Mauriceau, Simon, Charlier, Avisse, Lagrange, 2010) souligne que « la logique interne de l’activité laisse la part belle à l’acrobatie » La gymnastique acrobatique, activité collective artistique et acrobatique, exprimée comme support de l’EPS, offre de nombreux atouts. La gymnastique acrobatique permet une entrée dans les activités artistiques moins connotées sexuellement que la danse et autorise le travail en mixité. Recommande même. Elle valorise les différences méthodologiques. Sans matériel spécifique mise à part un sol souple/tapis. Elle autorise la prise de risque dans la sécurité et constitue par nature une éducation à l’aide et à la parade.

A.Problèmes fondamentaux Le problème fondamental est de réussir à créer un enchainement en augmentant la difficulté des figures pour gagner plus de point mais pour que ces dernières restent réalisables avec ses compétences motrices. Gestion du couple prise de risque / sécurité Gestion du triple rapport difficulté/qualité de réalisation/fluidité

B. Enjeux de formation Moteur Acquérir les connaissances, capacités et attitudes permettant à l’élève de piloter son corps dans toutes les dimensions de l’espace seul ou en groupe. Renforcer la tonicité musculaire, la souplesse articulaire ainsi que la force, l’explosivité, la puissance. Coordination, dissociation, équilibre. Mais également établir une communication externer et interne grâce à son corps. Interne : au sein du groupe, pour se coordonner avec les partenaires. Externe : pour les spectateurs et le juge, susciter de l’émotion, de l’intérêt… Plus ces apprentissages sont faits tôt plus ils sont ancrés.

Méthodologique Accéder aux connaissances, capacités et attitudes liées aux méthodes de travail permettant de pratiquer en sécurité. Accéder à l’utilisation des outils d’observation permettant de faciliter l’apprentissage. Être capable d’inventer, expérimenter. S’organiser collectivement et individuellement. Mémoriser un enchainement. Avoir en tête la volonté de susciter l’intérêt des spectateurs.

6 juin 2018

Mathilde Thouret,

Acrosport | Fiche Prépa ENS

Sociaux-affectifs Acquérir les attitudes permettant de construire un projet en groupe, de conseiller un partenaire dans sa pratique à partir de l’appréciation de sa prestation. Acquérir des attitudes permettant d’adopter des rôles : - « acrobate », porteur, voltigeur, pareur, - « interprète » il ose être et accepte le regard des autres pour réaliser une prestation. - « Metteur en scène » il expérimente, choisit, combine et organise le temps, l'espace pour traduire une intention, il organise la composition de la prestation : variété, complexité, originalité des figures, éléments gymniques et chorégraphiques, formes de regroupement, choix musical. - « Spectateur, appréciateur, évaluateur » : il identifie les critères techniques, esthétiques, artistiques et sécuritaires, il apprécie en référence aux critères établis, il repère les effets, décrit les moments forts. S’engager dans une activité déstinée à être vue. Accepter le contact de l’autre, l’entrée dans l’espace intime parfois.

Cognitifs et informationnels - Acquérir les connaissances, capacités et attitudes permettant à l’élève de prendre conscience de l’image de son corps dans l’espace. - Etre capable de répéter, mémoriser un enchainement gymnique. - Acquérir des repères sur soi, sur les autres et sur l’espace. - Prendre des informations visuelles, proprioceptives et les combiner pour se repérer dans l’espace, gérer son équilibre (statique et dynamique) ainsi que celui des autres. - Prendre des informations tactiles, visuelles et proprioceptives sur les partenaires. - Prendre en compte les capteurs articulaires et l’oreille interne qui apportent des infos plus qualitatives sur l’équilibre et les accélérations

C. Déterminants de la performance Qualités gymniques - Tourner - Se renverser - S’équilibrer - Sauter et se réceptionner

Biomécanique Force, explosivité, détente, coordination, dissociation, souplesse, équilibre, gainage

Bioénergétique 2’30’’ avec succession d’éléments statiques (isométriques 3’’) + dynamiques (seuls et en groupe) sans pauses => anaérobie lactique principalement

Cognitif et bio-informationnel Mémorisation Repères dans l’espace et prise d’info visuelle et proprioceptive

Affectif et social Capacité à prendre des risques maitrisés, à répéter

7 juin 2018

Mathilde Thouret,

Acrosport | Fiche Prépa ENS

Relation entre partenaires Nécessite une vraie complicité, échanges, compréhension par le regard, prise d’info sur l’autre

D.Conduites typiques / ressources et remédiations / objectifs

Débutant (« chacun pour soi ») Aucune pratique gymnique

Sur le plan biomécanique En statique - Réalisation de pyramides par tâtonnement, avec une motricité habituelle. - Equilibre incertain => pas de tenue des pyramides - Appuis aléatoires et leviers inadaptés => oblige à forcer musculairement - Montées et descentes brusques et désordonnées, pas d’attente de la descente de la part du porteur, descente brusque (en sautant par ex) de la part du voltigeur. - Corps totalement relâché ou totalement crispé => variations multiples et incontrôlées - Postures déformées, différentes de celles exigées/voulues - Renversement difficile car perte de repères ce qui amène à une volonté de se redresser. En dynamique - Actions précipitées, le voltigeur déséquilibre le porteur en « passant » sur lui dans les éléments accompagnés

Sur le plan cognitif et informationnel Les pyramides - La communication entre partenaire concerne uniquement le choix des pyramides - Plusieurs essais sont nécessaires avant de trouver une façon organisée de monter et descendre - Chacun fonctionne avec ses propres repères visuels : les regards sont souvent dirigés vers le sol ou vers les autres - Les partenaires utilisent leurs segments de façon secondaire, la position de ceux-ci variant à chaque passage : le porteur place ses mains/pieds de façon incertaine sur le voltigeur (erreur de placement) - La notion d’immobilité est accessoire pour les élèves La sécurité - Groupes trop près les uns des autres, trop près des murs, du bord du praticable => pas de conscience des risques que cela entraine. La musique Pas de prise en compte de la musique. Elle peut être une contrainte pour le groupe.

Sur le plan social et affectif - Recherche de positions redressées et près du sol, avec le moins d’appuis possible sur les partenaires => peur de faire mal, se faire mal, paraître lourd pour le partenaire - Hésitations à toucher l’autre, du mal à accepter le contact - Hésitations à se déséquilibrer vers l’arrière dans les situations de contrepoids, les élèves privilégient des postures avec des appuis stables dans lesquels ils se sen...


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