CM2 : l\'EPS, une discipline d\'enseignement organisée par un programme PDF

Title CM2 : l\'EPS, une discipline d\'enseignement organisée par un programme
Author Gaboriau Emma
Course Didactique de l'éducation physique et sportive
Institution Université Catholique de l'Ouest
Pages 11
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Summary

Ce document est le cours magistral 2 de didactique de l'eps du semestre 3 de L2 en STAPS à l'IFEPSA....


Description

CM2 : L’EPS, UNE DISCLIPINE D’ENSEIGNEMENT ORGANISEE PAR UN PROGRAMME « L’EPS dans le lycée du XXIe siècle est défini par les programmes mais surtout par le curriculum d’apprentissage proposé par les enseignants aux élèves ». (Eloi Roux, 2019) A lire : BO spécial 1 du 22/01/2019. + Eloi-Roux (2019). Nouveaux programmes des lycées généraux, technologiques et professionnels. Revue EPS 384, pp. 8-15.  L’EPS est la seule discipline programmée de la petite section à la terminale. « L’EPS est la seule discipline obligatoire tout au long du cursus scolaire de la maternelle au baccalauréat, toute voie, toute série. Elle s’adresse donc potentiellement aux 12,5 millions d’élèves : sportif ou non, garçons, filles, grands, petits, motivés ou non, issus de toute catégorie sociale, etc ». (Eloi-Roux,2019). Lycée d’enseignement général et technologique : - Enseignement commun : 2h, - Enseignement optionnel : 3h. Horaire hebdomadaire : - Cycle 1 : 30 à 45’min par jour. - Cycle 2 : 3h. - Cycle 3 : 3h/6ème : 4h. - Cycle 4 : 3h. - Lycée d’enseignement général et technologique : 2h.  Le programme d’EPS, une obligation et une ressource pour enseigner l’EPS. « Disposant d’une liberté pédagogique reconnue par la loi, ils exercent leur responsabilité dans le respect des programmes et des instructions du ministre de… Obligation de mettre en place des séances, de mettre en place le programme. C’est également une ressource. Savoir développer certaines compétences. Il a une liberté pédagogique ; il peut faire des choix sur certaines activités, tout en respectant les enjeux. Ils sont porteurs d’un savoir et d’une culture commune. Le programme va servir à : - Concevoir : les séances, les apprentissages d’une leçon. - Conduire : Les choix, les aménagements sont en lien avec les enjeux du programme. - Evaluer : ce qu’il a appris, ce qui est issu du programme et non pas les aptitudes. Ces programmes ont pour objectif de promouvoir la réflexion des élèves. I.

UNE FINALITE

A. La citoyenneté Connaissances institutionnelles : « L’Education Physique et Sportive vise à former, par la pratique physique, sportive, artistique, un citoyen épanoui, cultivé, capable de faire des choix éclairés pour s’engager de façon régulière et autonome dans un mode de vie ».

 La finalité est de former des citoyens par la pratique d’activités physiques et sportives. C’est par la pratique, l’action motrice que l’on devient citoyen. Connaissances didactiques : Delignières (2015). Quelle est la place de l’EPS dans l’éducation à la citoyenneté ? Valeurs citoyennes de la république apparaissent hors sol et désincarnées : passer d’une problématique d’information à une implication des élèves dans des actions, et projet les mettant en œuvre de manière authentique.

 Les activités en elles même ne sont pas favorise pas forcément certaines valeurs de la citoyenneté.  Il faut mettre en acte la citoyenneté, vivre le respect… Connaissances scientifiques : Janner-Raimondi et al. (2014) La citoyenneté définition selon 3 axes : - Egalité / diversité, - Collectif / individu, - Ordre / liberté. Conception citoyenne est de proposer des besoins supplémentaires pour ceux qui en ont le plus besoin. Pas les mêmes problématiques selon les types de lycées et leurs géographies. La solidarité et l’autonomie sont d’avantage mis en avant aujourd’hui. Les individus peuvent s’exprimer dans la société mais en respectant un cadre.  La conception contemporaine est conçue sur de l’équité, solaire, et autonome. Illustrations : l’autoarbitrage L’ultimat est le seul sport avec un autoarbitrage. Dans les autres sports pour former des citoyens l’autoarbitrage est un moyen. Cet autoarbitrage qui peut se faire sur 3 étapes : - Etape 1 : imposer des règles minimales pour jouer = marque sortie, contact, marcher, reprise de drible. - Etape 2 : règles sont élaborées au regard du plaisir et du bon déroulement du jeu = 5’’/ garde trop longtemps le ballon. - Etape 3 : délégation aux élèves de responsabilités = arbitrage. Ce qui permet certains leviers professionnels : - Limite le nombre de fautes à observer, - Rendre significative la responsabilité = le fairplay (ex : challenge fairplay). - Guider les élèves dans ce rôle = les aider, les guider à prendre des décisions. - Inciter les élèves à s’investir dans ce rôle.

Levier 1 Limite nombre fautes à observer

de

Levier 2 Levier 3 Rendre significative la Guider les élèves dans responsabilité (ex : ce rôle enlever des points pour un manque de respect)

Levier 4 Inciter les élèves à s’investir dans ce rôle

B. L’épanouissement Connaissances institutionnelles : « L’Education Physique et Sportive vise à former, par la pratique physique, artistique, un citoyen épanoui, cultivé, capable de faire des choix éclairés pour s’engager de façon régulière et autonome dans un mode de vie ».  Objectif du programme : développer l’épanouissement de l’élève pour favoriser il faut du plaisir et donc favoriser la réussite (ex : dernier terrain de bad). Connaissances scientifiques : Martin-Kruum et al. (2014) Emotions négatives ressenties augmentent du CM2 à la terminale. Association des émotions négatives au bienêtre.  On perçoit plus de peurs, de dégouts ; d’émotions négatives au fil de la scolarité. Connaissances didactiques : Lavie et Gagnaire (2014). Plaisir et processus éducatif en EPS. Favoriser une réussite quasi immédiate pour entretenir en permanence un espoir de réussite.

 Pour être épanoui, il faut favoriser le plaisir en EPS, pour cela il faut réaliser de la réussite. Proposer des contenus, des situations aux élèves qui permettent de s’épanouir et de réussir. Que tout le monde est la chance de gagner et de perdre. Illustration : Défi 12’’ inversé. En relais, en 4x50m. En 12 secondes ils doivent parvenir à la ligne d’arrivée, en partant de points de départs différents selon les vitesses de chacun. Les départs ne sont pas au même endroit, mais l’arrivée au même endroit pour tous.  Donc une possibilité pour tous de gagner quelques que soit nos compétences, nos ressources différentes.  On favorise donc la réussite de tous, et donc un épanouissement.

C. L’Autonomie Connaissances institutionnelles : « L’Education Physique et Sportive vise à former, par la pratique physique, artistique, un citoyen épanoui, cultivé, capable de faire des choix éclairés pour s’engager de façon régulière et autonome dans un mode de vie ».  Capable de prendre de décisions, des choix lucides, pertinents, des choix qui lui correspondent. Connaissances scientifiques : Escriva-Boulley, Tessier et sarrazin (2017). Le besoin d’autonomie représente le désir d’être à l’origine de ses comportements. La satisfaction de ces besoins favorise l’émergence d’une motivation autonome.  Être à l’initiative de ses comportements, on peut faciliter la compréhension.  S’il y a de l’autonomie on facilite la motivation.  Le fait d’avoir une bonne note n’est pas une motivation intrinsèque mais pas pour continuer l’EPS après le lycée. On favorise le choix. Connaissances didactiques : Lavie et Gagnaire (2014). Plaisir et processus éducatif en EPS. Instaurer une autonomie progressive et contrôlée. Illustration : match secret. Premier match normal. Puis l’adversaire détermine une zone bonus qui vaut plus de points sans que l’adversaire ne le sache (avec un juge qui connait la zone).  A la fin du match, il doit être capable de prendre des décisions (placements, déplacements, volant haut, bas…) pour déterminer le placement de sa zone bonus = des choix éclairés.  Les choix favorisent l’autonomie, la motivation, et donc l’investissement. II.

LES OBJECTIFS GENERAUX

A. Objectif 1 : « Développer sa motricité » Connaissances institutionnelles : « par son engagement dans des APSA diversifiées et approfondies, l’élève enrichit sa motricité. Il investit dans des apprentissages quels que soient son niveau d’expertise, sa condition physique et son degré d’inaptitude ou de handicap ».

 Apprendre des techniques, mais aussi développer leurs conditions physiques (être plus endurants, plus forts, plus rapides : ressources physiologiques).  Développer des techniques corporelles.  Enrichir sa motricité : essentiel car c’est une période propice à l’apprentissage moteur. Connaissances scientifiques : Cazorla, G. (2010) Développement biologiques et capacités physiologiques : - Transformation neuro hormonale. - Poussée de croissance pubertaire. - Développement musculaire et corporel. - La capacité aérobie. - Les capacités dites anaérobies. - L’évolution des capacités motrices.

Connaissances didactiques : Carnus (2018). Diactique, différenciation pédagogique et évaluation. - Identifier l’hétérogénéité. - Analyser celle-ci. - La traiter.  Il va falloir différencier les apprentissages.  Il faut identifier cette hétérogénéité, pour que tout le monde puisse développer sa motricité, sa condition physique.  Si l’on propose le même exercice pour tout le monde, la motricité ne sera pas développée pour tous les pratiquants. B. Objectif 2 : « savoir se préparer et s’entrainer ». Connaissances institutionnelles : « par son engagement dans les apprentissages, l’élève apprend à gérer sa pratique physique, seul et avec d’autres ».  Les pratiques physiques sont de + en + libre et de – en – institutionnels. Peu de gens sont encadrer pour leur pratique physique, comment gérer sa vie physique après l’école.  La reproduction des exercices ne sont pas bien réalisés, et certains programmes ne sont pas bons.  Il est nécessaire de gérer sa pratique physique seul et avec d’autres. Connaissances scientifiques : Gadais (2015). -

Stratégie de sensibilisation (on explique et on justifie). Stratégie de mise en action (les élèves réalisent le programme, on suit la programmation). Stratégie de développement de l’autonomie (il est à l’initiative).

 Il est nécessaire de dépasser la sensibilisation et la mise en action, pour mettre en place de l’autonomie. Connaissances didactiques : Delignière (2014). EPS et santé : nouvelles pratiques ou nouvelles conceptions ? « savoir gérer… son existence ». Illustration : savoir s’échauffer.  Déléguer l’échauffement aux élèves, surtout sur les attendus de fin de lycée. C. Objectif 3 : « exercer sa responsabilité individuelle au sein d’un collectif ». Connaissances institutionnelles : « par son engagement dans les APSA et dans différents rôles (adversaire, partenaire, observateur, arbitre, juge, conseil, aide, etc.), l’élève construit des comportements sociaux ».  Favorise la prise de décision au sein du collectif, d’une classe.  Responsable de soi dans un groupe, dans une communauté.  De l’entraide, on agit ensemble. Connaissances scientifiques : Janner-Raimondi et al. (2014) La citoyenneté définition selon 3 axes : - Egalité / diversité, - Collectif / individu, - Ordre / liberté.

Connaissances didactiques : Lantz et al. (2014). Eduquer à la responsabilité : vers une autorité démocratique. « le citoyen autonome et responsable n’est pas celui qui obéit aveuglement aux règles ou qui s’en affranchit, mais celui qui exerce sa liberté individuelle à l’intérieur d’un cadre commun ».

Illustration : la ronde italienne. Jeux en duo, mais 1vs1 et on échange au cours du jeu.  Ils ont une responsabilité vis-à-vis de leurs camarades. D. Objectif 4 : « construire durablement sa santé ». Connaissances institutionnelles : « en développant ses ressources physiologiques, motrices, cognitives, et psycho-sociales, il améliore son bien-être pour lui et pour les autres ». Connaissances scientifiques :  La sédentarité est en train d’exploser dans le monde chez les jeunes, et que l’activité physique diminue.  L’enjeu est très fort pour l’EPS. On cherche la pratique physique favorise la santé sur plein de registre.  Le temps passer devant les écrans augmentent, et de moins en moins de pratiquants dans les clubs sportifs. Connaissances didactiques : Leca (2018). L’éducation au cœur de l’intervention : - Bien-être physique. - Bien-être mental. - Bien-être social. Illustration : la parade en muscu, l’assurage le contre-assurage.  Sécurité active (c’est ce que met en place l’élève, il est responsable de la sécurité) & sécurité passive (c’est l’enseignent qui calibre sa sécurité).  On construit sa sécurité mentale, sociale.  Construire sa santé dans la leçon d’EPS mais la continuer tout au long de sa vie. E. Objectif 5 : « l’accès au patrimoine culturel ». Connaissances institutionnelles : « les diverses activités physiques sportives et artistiques vécues par les lycéens leur permettent d’accéder à un patrimoine culturel dans lequel l’élève peut se situer en tant que pratiquant mais aussi spectateur ou critique ».  Accéder au patrimoine culturel grâce à ses diverses pratiques sportives et physiques.  Il permet de se confronter, et vivre dans des patrimoines culturels différents. Connaissances scientifiques : Siedentop, 1994. Programme « sport éducation » qui remet en cause l’enseignement d’habilités sportives isolées de leur signification culturelle ».  L’enseignement doit s’inscrire dans l’essence culturel de l’activité.  La lecture de jeu est différente en coopération qu’en opposition. Connaissances didactiques :

Illustration : natation.  Le fond culturel : le mobile organisant le projet du pratiquant (aller le + vite possible sur une distance donnée ou la plus grande distance).  Le rapport à l’autre : la performance. Le but est d’être meilleur que les autres ; de l’opposition.  Les grands principes de la motricité propre à chaque activité. Ici dans la natation c’est la motricité topocinétique : respiration, propulsion, équilibre, information, gestion effort (Gal Petitfaux. 1997). Le rapport au corps, à l’autre et au temps, n’est pas le même en activités sportives qu’en activités artistiques, ou d’entretien et certains enjeux pour les élèves. On impose au lycée (en seconde) en EPS un processus de création artistique, car au lycée il n’y a pas d’enseignement artistiques comme il y avait au collège (priorité à la danse et art du cirque). III.

LES COMPETENCES A CONSTRUIRE

Connaissances institutionnelles : « Afin d’atteindre les objectifs du programme l’enseignement de l’EPS vise à la construction par le lycéen, de compétences qui articulent différentes dimensions : motrices, méthodologiques et sociales.  On vise la construction de compétences avec différentes dimensions : dimensions méthodologiques, sociales, et motrices. Connaissances scientifiques : Komar et Adé (2014). « Considérer la compétence comme un ensemble permettant de s’adapter et être efficace dans un environnement complexe que représente la richesse culturelle de l’APSA ».  Être capable de mobiliser certaines ressources pour accomplir différentes tâches. Les compétences sont un ensemble qui permet de s’adapter et d’être efficace dans un environnement stable.  La priorité est la motricité ; développer des techniques corporelles. Les compétences méthodologiques et sociales doivent être au service de la motricité. Connaissances didactiques : Leca (2018). L’éducation au cœur de l’intervention. « Les conduites motrices sont le centre de gravité de ce qui s’apprend en EPS. Cela ne signifie pas que les seules compétences visées soient des compétences motrices, cela signifie que toutes les compétences, même les plus méthodologiques ou les plus sociales se contruisent autour des axctions motrice ». Illustrations : en musculation. S’engager en sécurité dans un circuit d’ateliers mobilisant différentes parties du corps avec l’aide d’un coach, en fonction des effets ressentis.  Dimensions motrices : placement du dos, utilisation des membres.  Dimensions sociales : être coach, aider les autres.  Dimensions méthodologiques : en fonction des effets ressentis (adaptations en fonction des ressentis). Au lycée on cherche à acquérir des compétences avec certains dimensions. Ces dimensions méthodologiques et sociales sont au service des méthodologiques.

IV. -

5 CHAMPS D’APPRENTISSAGES CA 1 : réaliser une performance maximale mesurable à une échéance donnée. CA 2 : Adapter son déplacement à des environnements variés/ou incertains (escalade, CA 3 : réaliser une prestation corporelle destinée à être vue et appréciée (danse, gymnastique, acrosport, art du cirque). CA 4 : conduire et maîtriser un affrontement collectif ou interindividuel pour gagner (judo). CA 5 : Réaliser et orienter son activité physique pour développer ses ressources et s’entretenir.

Sur une année les élèves doivent réaliser les 5 champs d’apprentissages. Les différentes activités physique et sportives sont basé sur une liste nationale, puis des activités en plus pour propre à chaque académie, et une liste de l’établissement ; la liste des activités est donc cadrée. A. CA 1 : Réaliser une performance motrice maximale mesurable à une échéance donnée.  L’élève s’engage et se dépasse de manière délibérée pour aller plus vite plus haut, plus loin, de façon unique ou répétée. Dans la liste nationale : course (demi-fond, sprint, relais…), sauts (triple saut, saut en longueur, en hauteur…), lancers (disque, javelot, poids…) et natation de vitesse. Problème : Créer, conserver, transmettre de la vitesse par l’acquisition de principes d’efficacité motrice en mobilisant ses ressources au maximum et se mettre en projet en préparent et en régulant son activité pour produire une performance optimale à une échéance donnée.  Être très efficace.  L’élève doit être capable de se mettre en projet et de proposer des performances  Savoir se préparer. Eléments : - Mobiliser ses ressources au maximum, s’éprouver = créer, conserver transmettre de la vitesse. - … Activité établissement : biathlon athlétique. Enchainement de course et de tir (300m puis un lancer) en réalisant le meilleur temps avec une meilleure distance et un meilleur temps en 300m. Avec une boucle de pénalité pour le non-respect des consignes. Cette activité qui n’est pas dans la liste nationale mais uniquement dans la liste établissement. B. CA 2 : Adapter son déplacement à des environnements variés et/ou incertains.  « L’élève prévoit, s’engage et régule son déplacement à partir de l’analyse de l’environnement, pour partir et revenir, tout en préservant sa sécurité et celles des autres ». Liste nationale : escalade, course d’orientation, sauvetage aquatique, VTT. Problème :

-

Gérer l’incertitude, voire l’instabilité du milieu. Sélectionner les informations pertinentes et se projeter. Agir en toute sécurité pour soi ou pour les autres tout en contrôlant ses émotions.

Eléments : - Lire et prévoir, - Se déplacer en toute sécurité, - Adapter son déplacement. C. CA 3 : Réaliser une prestation corporelle destinée à être vue et appréciée.  L’élève s’exprime corporellement devant un public ou un jury. Deux modes de pratiques sont distinguées : l’un à partir de réalisations corporelles expressives conduisant à une chorégraphie ; l’autre à partir de formes corporelles codifiées conduisant à un enchainement ou une composition. Liste nationale : danse, art du cirque (à partir de réalisations corporelles expressives conduisant à une chorégraphie) et acrosport et gym (à partir de formes corporelles codifiées conduisant à un enchainement ou une composition). Problèmes : - Se donner à voir. - Accepter d’être vu et jugé par ses pairs et par enseignant. - Accepter, exprimer, partager une émotion. Faire ensemble. Eléments : - Composer, - Réaliser et montrer une prestation, - Observer et juger. D. CA 4 : Conduire et maitriser son affrontement collectif ou interindividuel pour gagner.  L’élève s’engage avec lucidité, dans un affrontement, seul ou en coopération, pour faire basculer le rapport de force en sa faveur. Liste nationale : badminton, tennis de table, boxe française, judo, basket-ball, foot, hand, rugby, volley-ball. Problème : rechercher seul ou à plusieurs, dans un rapport de force équilibré et adapté, le gain d’une rencontre en prenant des informations et des décisions pertinentes pour réaliser des actions efficaces tout en respectant ses adversaires, ses partenaires et l’arbitre. Eléments : - S’informer et choisir pour gagner le match. - Être efficace dans un rapport de force. - Se préparer pour...


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