Coface - Guide Risque pays - 2021-1 PDF

Title Coface - Guide Risque pays - 2021-1
Course grands enjeux géopolitiques
Institution SKEMA Business School
Pages 25
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Summary

This course was made by a teacher of Skema Business School in the 2020/2021 academic year. It contains the full course and tips given by the teacher "MEUNIER" géopolitique of SKEMA BUSINESS SCHOOL. You will find some examples in order to help you memorize the course and understand it in an easy way....


Description

2020

COFACE

GUIDE RISQUES PAYS & SECTORIELS

ANALYSE DES RISQUES ` ET PREVISIONS SUR 162 PAYS ET 13 SECTEURS

LES GRANDES TENDANCES DE L’ÉCONOMIE MONDIALE

Ce guide s’adresse aux: —Dirigeants d’entreprises qui ont à prendre des décisions d’exportation, de lancement de projets ou d’investissements dans les pays risqués. —Responsables des risques et dirigeants internationaux de banques, d’organismes financiers multilatéraux, et de compagnies d’assurance et de réassurance agissant à titre privé ou pour le compte d’Etats. —Responsables d’administrations concernées par le risque pays. —Consultants et avocats spécialisés dans les affaires internationales. —Chercheurs et universitaires concernés par le risque pays.

Ont participé à l’élaboration de ce guide : — La direction de la recherche économique du Groupe Coface: Aboubacar Abdoulaye Garba, Khalid Aït-Yahia, Evelyne Banh, Marcos Carias, Carlos Casanova, Aroni Chaudhuri, Martin Chopard, Matthew De Fontes Baptista, Bruno De Moura Fernandes, Dominique Fruchter, Clara Gascon, Seltem Iyıgun, Patricia Krause, Mélina London, Erwan Madelénat, Julien Marcilly, Ruben Nizard, Sarah N’Sondé, Grzegorz Sielewicz, et Christiane von Berg. — La direction de l’information du Groupe Coface

COFACE

GUIDE RISQUES PAYS & SECTORIELS 2020

ANALYSE DES RISQUES ET PRÉVISIONS SUR 162 PAYS ET 13 SECTEURS

Les opinions exprimées par les auteurs et les diverses contributions àceguide ne sauraient engager laresponsabilité de Coface.

S O M M AIR E

P. 02 AVANT-PROPOS Par Xavier Durand, Directeur général de Coface

P. 06

ÉVALUATIONS MONDIALES COFACE Des outils pour détecter, évaluer etsuivreles risques auxquels lesentreprises sont confrontées

P. 08

P. 04

CARTE DES ÉVALUATIONS PAYS Une vue géographique d’ensemble des évaluations pays Coface

Comment se repérer dans votre guide ? – FICHES SECTORIELLES

P. 10

Comment lire les 13 fiches sectorielles

– FICHES PAYS

Comment lire les 162 fiches pays

ÉVALUATIONS RISQUES PAYS Historique des évaluations risques pays des principales économies

P. 12

SOMMAIRE DES FICHES SECTORIELLES & PAYS

P. 42

P. 14 FICHES SECTORIELLES

Évaluation Coface des risques sectoriels

FICHES PAYS

Bilan économique et perspectives 2020 dans 162 pays

P. 250 GLOSSAIRE

1  COFACE

GUIDE RISQUES PAYS & SECTORIELS 2020

AVA NT-PROPOS

Le commerce mondial confronté aux changements politiques et environnementaux — Xavier Durand — Directeur général de Coface

Guerre commerciale sino-américaine, droits de douane, sanctions à l’encontre d’entreprises, quotas d’importations… l’utilisation d’expressions mettant en exergue la montée du protectionnisme commercial et ses conséquences sur le commerce international s’est multipliée l’année dernière. Elle reflète la réalité: le nombre total de mesures protectionnistes mises en œuvre dans le monde a dépassé 1000 en 2018 et 2019 d’après Global Trade Alert, soit environ 40% de plus que les trois années précédentes. Ceci dit, «seulement» 23% de l’ensemble de ces mesures protectionnistes prises entre le 1er janvier2017 et le 15novembre2019 ont été décidées par les États-Unis ou la Chine. Le protectionnisme n’est donc pas l’exclusivité des deux premières économies mondiales. La volonté de nombreux pays émergents de protéger bon nombre de leurs industries fragilisées par la concurrence internationale continuera de les rendre prudents en matière d’ouverture commerciale. Dans ce contexte, malgré la volonté d’autres pays de compenser les pertes commerciales en signant de nouveaux accords commerciaux, les volumes d’échanges internationaux de biens ont été moins élevés qu’un an auparavant en 2019, pour la première fois depuis dix ans. En 2020, les performances du commerce international dépendront encore largement de l’environnement politique: si l’apparition des premiers effets concrets sur les économies américaine et chinoise de la guerre commerciale plaide, à première vue, pour une détente graduelle, les actions du président américain, dans un contexte de campagne pour sa réélection, de croissance économique plus faible et de marché de l’emploi moins porteur, restent difficiles à prévoir. D’autant plus que les divergences stratégiques de fond avec la Chine resteront d’actualité: Hong Kong, Taïwan, mer de Chine du Sud, course à l’innovation dans plusieurs secteurs d’activité clés… Or cette année, il restera des marges de manœuvre aux États-Unis pour faire pression sur la Chine. Du côté des mesures tarifaires, il est toujours possible d’augmenter les droits de douane existants (D.Trump avait affirmé pendant la campagne présidentielle de 2016 qu’il établirait des droits de douanes sur les importations chinoises à hauteur de 45% !). Des mesures non-tarifaires sont également possibles (sanctions à l’encontre d’entreprises, interdictions d’importer certains produits en provenance de certains pays…). Quoi qu’il en soit, ces incertitudes persistantes devraient continuer de peser sur le moral des entreprises.

Mais la montée du protectionnisme commercial n’est pas la seule raison de cette inflexion récente du commerce international et de l’industrie. Un autre facteur non économique est à l’œuvre: la prise en compte des risques environnementaux. En effet, si la mise en œuvre de normes antipollution plus contraignantes est bienvenue pour réduire ces risques à moyen terme, elle favorise la montée du risque de crédit pour les entreprises ayant du mal à s’adapter à ces bouleversements à court terme. Les exemples récents des secteurs automobiles en Union européenne et en Chine sont significatifs. Cette année, les entreprises de cette même filière devraient être affectées aux États-Unis et en Inde. De même, les effets de l’instauration de normes anti-pollution plus strictes dans le secteur du transport maritime mondial seront aussi à observer.

2  COFACE

GUIDE RISQUES PAYS & SECTORIELS 2020

«Dans le monde émergent, l’endettement public etdes entreprises sera le principal point d’attention en 2020» — Xavier Durand Au rayon des bonnes nouvelles, les effets de contagion de l’industrie sur les activités de services restent peu visibles à ce stade en Europe et aux États-Unis. Dans leur histoire récente, les récessions industrielles n’ont d’ailleurs pas toujours coïncidé avec une récession pour l’économie dans son ensemble, loin de là. Dans ce contexte, la croissance économique ralentit mais ne s’effondre pas des deux côtés de l’Atlantique Nord, d’autant plus que beaucoup de banques centrales ont pris acte de ce ralentissement de la croissance et annoncé des mesures d’assouplissement monétaire. Et le nombre de défaillances d’entreprise augmente mais à un rythme faible et souvent à partir d’un bas niveau. Dans le monde émergent, l’endettement sera le principal point d’attention en 2020. Celui des États d’abord : la dette publique est augmentation dans toutes les régions, exception faite de l’Europe centrale et orientale. Pour l’Amérique latine, elle est supérieure à celle de la fin des années1990 marquées par des crises de dette récurrentes. En Afrique, elle est proche du niveau observé il y a une quinzaine d’années, période des annulations de créances par les bailleurs internationaux et bilatéraux. Pour les entreprises dans ces régions, cela signifie que les arriérés de paiement de l’État sont susceptibles d’augmenter cette année. Seule bonne nouvelle, la structure de la dette souveraine des pays émergents est généralement plus favorable qu’il y a vingt ans: 80% de celle-ci est désormais libellée en devise locale. Mais ce n’est pas le cas pour les entreprises: depuis 2007, la dette des entreprises des pays émergents libellée en devise étrangère a doublé pour dépasser 7 000milliards de dollars. C’est sept fois plus que la dette souveraine des émergents libellée en devise étrangère. Etbien entendu, dans certains pays, comme la Chine, l’endettement des entreprises est certes en devise locale, mais à un niveau très élevé. En Chine, justement, le ralentissement de la croissance et ses conséquences sur le risque de crédit des entreprises sont toujours d’actualité. Le premier prend d’ailleurs de nouvelles formes: il ne se traduit plus seulement par les difficultés des entreprises de secteurs d’activité contraints par des surcapacités de production et un endettement élevé (construction, métaux, notamment), la consommation des ménages montrant aussi des signes d’essoufflement. Par exemple, pour la première fois depuis vingt ans, le nombre de ventes d’automobiles a reculé en 2018 et 2019, signe de maturation du marché, que l’endettement des ménages augmente, mais aussi que les nouvelles

normes anti-pollution ont affecté les constructeurs. Des entreprises exportatrices pénalisées par les mesures protectionnistes américaines ont aussi vu leur situation financière se détériorer l’année dernière, par exemple dans le secteur électronique. Enfin, comme les années passées, la santé des banques de petite et moyenne taille, considérées comme les plus fragiles, sera à surveiller. Les effets du ralentissement chinois sur le reste du monde émergent devraient toujours focaliser l’attention cette année. Nombreux sont, en effet, les pays qui seraient pénalisés par un atterrissage plus brutal que prévu de la croissance en Chine, à travers un des possibles canaux de transmission : liens commerciaux directs, investissements et prêts de l’Empire du Milieu à l’étranger, cours mondiaux des matières premières ou même choc de confiance mondial sur les marchés financiers. Enfin, comme chaque année, les incertitudes politiques seront nombreuses dans le monde. En particulier, la tenue d’élections ou, comme on l’a vu en 2019, l’introduction d’une taxe ou le relèvement d’un tarif public peuvent être la goutte d’eau qui fait déborder le vase du risque politique, spécialement dans les zones où la frustration sociale est entretenue par la prégnance du chômage, les inégalités de revenu, la corruption ou encore le manque de libertés politiques. Ce sera notamment le cas de la Côte d’Ivoire, du Chili (référendum sur le changement de Constitution), de Hong Kong, de l’Égypte, de la Bolivie et bien sûr des États-Unis pour ne citer que les principaux, d’autant plus que figurent parmi eux certains où les tensions sociales ont déjà été fortes l’année dernière. Enfin, en Europe, le morcellement des scènes politiques résultant de la montée de partis non traditionnels rend les gouvernements toujours plus fragiles. Ainsi en Italie, la coalition au pouvoir parviendra-t-elle à exister jusqu’à la fin de l’année, alors que des élections anticipées (qui seraient probablement favorables aux partis anti-européens) sont inéluctables ? En Espagne, la formation d’une coalition de gouvernement va-t-elle enfin se concrétiser ? Les négociations commerciales entre le Royaume-Uni et l’Union européenne seront-elles fructueuses? La vingt-quatrième édition de ce guide tente de répondre à ces questions et évoque bien d’autres risques économiques, politiques, financiers, environnementaux ou encore sectoriels. Je souhaite à chacun une excellente lecture de cet ouvrage que Coface publie chaque année.

3  COFACE

GUIDE RISQUES PAYS & SECTORIELS 2020

Comment se repérer dans votre guide ? FICHES SECTORIELLES 1 Nom du secteur

3 L’analyse points forts / points faibles Vous appréhenderez rapidement les atouts et les faiblesses structurels d’un point de vue mondial pour le secteur considéré.

2 Évaluations du risque sectoriel régional Coface Elles indiquent le risque présenté par les entreprises du secteur dans les régions à travers le monde considérées par Coface lors des évaluations sectorielles trimestrielles.

5 Analyse approfondie du secteur Ce paragraphe présente une analyse Coface approfondie des tendances globales du secteur, incluant les perspectives en matière d’offre et de demande pour l’année à venir.

4 Synthèse de l’appréciation du risque Vous trouverez dans cette rubrique un résumé analytique des développements économiques et financiers ainsi que des principaux risques dans le secteur du point de vue des tendances globales ; qui est développé dans le paragraphe suivant.

6 Graphiques sur le secteur Les graphiques des fiches mettent en exergue un ou plusieurs aspects saillants des développements dans le secteur.

AGRO A L IMENTA IRE

F I C H ES S EC T O R I EL L ES

1

A G ROA LIM ENTA IRE

Évaluat ion du risque se ct orie l

2

3

AMÉRIQUE DU NORD

ÉL EVÉ

AMÉRIQUE LATINE

ÉL EVÉ

ASIE-PACIFIQUE

MO YEN

EUROPE CENTRALE ET DE L’EST

MO YEN

EUROPE DE L’OUEST

MO YEN

MOYEN-ORIENT & TURQUIE

MO YEN

• •

•Forte de mande de s pays é me rge nts (notamme nt la Chine e t l’Inde )

SYNTHÈSE DE L’APPRÉCIATION DU RISQUE

•Dé ve loppe me nt du marché bio dans le s é conomie s avancé e s

vulnérables auxaléas climatiques et aux risques biologiques. Coface s’attend à ce que les principaux facteurs de risques que le secteur a connus en 2019 se poursuivent cette année.

•Se cte ur trè s dé pe ndant de s alé as climatique s e t biologique s •Se cte ur au cœ ur de s te nsions prote ctionniste s •Volatilité de s cours de s matiè re s pre miè re s agricole s

Le secteur agroalimentaire mondial est l’un des secteurs au cœur des tensions protectionnistes,

4

Le s e ct e ur a groa lime nt a ire e s t à la f ois a u cœur de s t e ns ions prot e ct ionnis t e s e t un s e ct e ur clé da ns le s a ccords de libre -écha nge

La guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine accorde en effet une place très importante aux produits agricoles, notamment le soja; au travers des mesures de représailles de la Chine envers les États-Unis. Cela a contribué à alimenter une forte volatilité des cours des matières premières

Le marché du soja est particulièrement touché par les tensions com m erciales en cours entre les États-Unis et la Chine. Em piriquem ent, les acteurs chinois ont arrêté d’importer du soja en provenance des États-Unis, découragés par la mesure de la Chine d’appliquer aux États-Unis des droits de douane à l’importation en 2018: les importations chinoisesde soja américain ont chuté de 99% et 97% respectivement au 4e trimestre (T4) 2018 et en janvier2019 pour reprendre en février2019. Le président Donald Trump a annoncé en octobre2019que la Chine allait importer entre 40 et50milliards USD de bien agricolesau titre de l’avancé de ses négociations avec cette dernière; ce scénario semble improbable dans la mesure où ces montants sont bien plus élevés que les im portations chinoise s passé e s. En 2017, soit avant la guerre commerciale, la Chine a acheté 24milliards USD de biens agricoles américains.

agricoles, tout en exerçant des pressions à la baisse sur les cours du soja. Dans le même temps, les accords commerciaux de libre-échange octroient à ce secteur une place de premier rang, étant donné que, dans la majorité des cas, leurs dispositions incluent l’échange de produits agricoles. Cela a été le cas en 2019 pour un certain nombre d’accord tels que l’accord UE-Mercosur, l’accord commercial UE-Japon ou encore le CETA signé entre le Canada et l’Union européenne. Coface s’attend également à ce que les risques biologiques, inhérents au secteur et récemment exacerbés par l’épidémie de la peste porcine africaine (PPA) ainsi que les conséquences de l’expansion de la chenille légionnaire d’automne, exercent des pressions à la baisse surla production mondiale de produits agricoles cette année. La Peste Porcine Africaine (PPA) qui continue de sévir en Asie– notamment en Chine– et, dans une moindre mesure, en Europe a un impact sur le marché mondial du porc étant donné que la Chine est le premier consommateur et producteur mondial. Le marché biologique, principalement concentré dans l’Union européenne, auxÉtats-Unis et, dans une moindre mesure, en Chine, est en pleine expansion. La demande de produits biologiques dans

comme un critère de base de l’agriculture biologique. Par conséquent, elle devrait continuer sa croissance dans les prochaines années, malgré le ralentissement de l’économie mondiale attendu cette année. Longtemps considéré comme un marché de niche, le marché bio est devenu de plus en plus populaire, pour atteindre 90milliards d’e uros en 2017.

5

En plusde la PPA, l’expansion de lachenille légionnaire d’automne (FAW pour Fall Armyworm) constitue l’un desrisques biologiques majeurs pour le secteur agro-alimentaire mondial. La FAW estune chenille qui se nourrit principalement de maïs, mais aussi de riz, de sorgho et de coton, entre autres. Elle a été détectée pour la première fois en Afrique de l’Ouest début 2016. Fin 2018,elle s’était répandue dans la plupart des pays d’Afrique subsaharienne et en Asie. La FAW a aujourd’hui atteint plusieurs pays asiatiques, dont le Vietnam, le Myanmar, le Bangladesh, l’Indonésie,Taïwan et la Chine,et est susceptible de s’étendre àd’autres paysasiatiques. La Chine est le deuxième plus grand producteur mondial de maïs, la présence de la FAW pourrait donc conduire à des pressions inflationnistes sur les prix mondiaux du maïs.

PRIX DES MATIÈRES PREMIÈRES AGRICOLES (BASE 100 = JANVIER 2019)

La p roduction d e soja est prévue à la baisse La product ion de ma t ière s pour la saison 2 019/2 02 0 : le D é parte m e nt pre mière s a gricole s re s t e t rès améri cain de l ’agricul ture (US DA) prévoit une dépe nda nt e de s a léa s clima t ique s diminu tion de 5,8 % prin cipale ment causée par La production mondiale de blé devrait augmenter de 35m illions de tonneset atteindre 766m illions de tonnes pour la saison 2019/2020par rapport à la saison précédente. Cette augm entation significative est fortem ent liée à un effet de base, la récolte de la saison 2018/2019 ayant é té particuliè re m e nt m auvaise (- 4,2  % par rapport à la saison 2017/2018) notam m ent à cause de baisse de production chez certains des plus gros producteurs: la Russie, l’Union européenne etl’Australie en raison de conditions climatiques défavorables. Cette augmentation de la production globale de blé de vrait se répercuter à la baisse sur les prix.

régions concernées, dans le but d’encourager le commerce entre ces régions.Les produits agricoles constituent unélément clé desaccords commerciaux susmentionnés, en raison de l’importance de ces régions pour le marché agricole mondial.

Le Brésil et l’Argentine, respectivement les 1 er et 3 e plus gros producteurs mondiaux de soja ont bénéficié de la baisse desexportations américaine vers la Chine, cette dernière s’é tant tournée vers eux pour compenser la baisse des achats de soja américain. Le futur des marchésdu soja américain, brésilien et argentin va donc en partie dépendre de l’é volution des relations commerciales entre la

ces régions étant principalement motivée par les consommateurs par le souci de préserver leurs santés et par les préoccupations écologiques, étant donné que l’agriculture biologique limite ou n’utilise pas de pesticides. Le Parlement européen par exemple, défini l’absence de pesticide

ANALYSE APPROFONDIE DU SECTEUR

Chine etles États-Unis. Les tensions commerciales La PPA et la chenille légionnaire impactent également les situations financières d’aut omne s ont les ris ques des entreprises de négoce de matières premières biologiques qui vont cont inuer agricoles. En conséquence, Louis Dreyfus Group, Cargil et ADM (Archer Daniel Midlands), les trois de principalement impact er la plus grosses entreprises de ...


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