Risque & Sécurité PDF

Title Risque & Sécurité
Course Préparation au CAPEPS
Institution Université de Montpellier
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Risque & Sécurité...


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Thème 5 : Risque et Sécurité

I - Introduction Citation de JP Sartre « tout le monde est libre, responsable, sans excuse » L’école se doit de former un futur citoyen qui est avant tout un individu responsable, capable d’assumer ses choix et devenir autonome. - Cette responsabilité passe par une  évaluation objective des risques (j’évalue les risque avant d’agir) pour agir en tout sécurité. = but se dépasser pour progresser dans la vie. 

Le thème de sécurité : fait appel à la notion de prise de risque car on est dans une société qui prône le risque zéro notamment en matière d’éducation. - Dans le cadre scolaire  l’EPS (mettre en tout lettre au début du devoir) apparaît être une discipline éduquer à la sécurité en raison de son sport culturel -les APSA  mettent en jeu le corps dans des situations variées et exposent l’é à risque perçu non négligeable même si le risque réel est neutre.  L’enseignant ne doit pas mettre ses élèves en danger, le risque réel doit être le plus neutre possible. 

Paradoxe : (on questionne) exemple pour un devoir -il semble évident que l’Ea organise sa séance avec un risque zéro pour ne faire courir aucun danger aux é, mais l’éducation à la sécurité, ne peut elle pas faire l’économie d’une certaine prise de risque ?  si on éduque à la sécu à un moment donnée il faudra confronté l’é a une prise de risque -la sécu n’a telle pas une dimension subjective qui peut être un frein aux appgs ?  si l’enfant pense que tout est un risque, il ne voudra plus rien apprendre et ne peut s’engager) Résumé : il s’agirait d’éduquer l’é à faire la part entre risque REEL et risque SUBJECTIF pour optimiser son investissement et pouvoir progresser. Pb : nous nous proposons donc de montrer que l’EPS constitue un moyen provilégiée d’éduquer la prisque pour accéder à un comportement sécuritairaire, indispensable au processus d’acquisition motrice ?  si on recherche les progrès il va falloir que l’é accepte de prendre un risque subjectif, dans tout appge il y a un risque subjectif. Pour un é avoir surmonter un obstacle = avoir pris un risque Pb : doit toujours appraître les mots clé du thème Annonce du plan : plan de cours c’est pas un plan pour un devoir

II - Analyse du thème 2.1 Définition SECURITE Déf générale une situation sécuritaire : « situation dans laquelle le sujet est exposé a aucun danger physique, moral, et aucun risque d’agression ». Dossier EPS N°46 1999 sécurité : « protection de l’intégrité physique et psychologique de l’individu » (bien car par prend en compte l’aspect psychologique) BO du 19 Avril 2017 « Exigences de la sécurité dans les APPN (activité physique de pleine nature) dans le second degré » sécurité : « absence de risque inacceptable pouvant objectivement mettre en cause l’intégrité physique des é » On peut mettre les 2 déf dans un devoir  1 pour une idée et l’autre pour la 2ième partie PRISE DE RISQUE Lamotte « Lexique de l’Et de l’EPS » 2005 « on parle de presque de risque si l’action à entreprendre présente un certain degré d’incertitude quant à sa réalisation ou ses conséquences » incertitude mot clé a analyser : part de ce qui est aléatoire 2.2 Dimension neuro biologique Bruno Sicart Sport et Vie N°98 « Les dangers d’un monde sans risque » « chaque individu possède une propension + ou - importante à la prise de risque » - il dit que tout le monde à cette notion de prise de risque  aller vers un comportement aléatoire, instable. Tout le monde l’a mais de façon différence + ou – élevée (possible lien avec sujet téliques et paratéliques) -« les comportements sont toujours dictés par la perception des risques »  met en évidence la dimension subjective : certains perçoivent toujours des risques, et d’autres moins et vont + s’engager. -la tendance à prendre des risques : + grande dans la première partie de la vie et baisse après 45 ans (valable pour les 2 sexes). Mais, cette tendance est plus faible chez les F que les H  Cf résume de A et B Peace Moodle testostérone tend les garçons a + prendre de risque. -Sicart explique : que la production cérébrale de dopamine est influencé par les hormones sexuelles : la testostérone  cela explique la part + risqué chez les Hommes.

Le paradoxe chez l’Homme est qu’il a une recherche d’incertitude pour parvenir à la sécurité. Martinet en 1984 cite le chercheur G. Wilde Wilde - les individus cherchent à maintenir un niveau non nul de risque subjectif. -> L’Homme a besoin d’inconfort, d’émotions positives comme négatives, de recueillir des informations incertaines pour évoluer. 2.3 L’importance de ce concept dans le domaine social Cf Sport et Vie n°98 « Les dangers d’un monde sans risque » Bruno Sicart (spécialiste de la physio dans les milieu extrêmes) 2.3.1 Tolérance zéro « nous devons prendre de risques pour exister » et aller au-delà de cette « obsession sécuritaire des société occidentales » Sicart - Sicart : *pour les personnes le risque = danger = paradoxe ! *Notion de risque est trop perçue négativement. *Alors que le risque est bon pour évoluer…le risque fait partie de notre existence. 2.3.2 Attirance des jeunes vers les activités à risque Sicart : *si les jeunes sont attirés par les activités à risques car on prône (=recommander) trop dans notre société la répression (=le renvoi) des activités à risques. Ils essayent de trouver des failles. Novembre 2003 Sondage Sicart révèle que : parmi les garçons entre 15 et 25 ans  79% d’entres eux, avouent être attiré particulièrement aux sports à risques. *selon lui, il y a des métiers qui font fantasmer les jeunes (surtout les garçons) sont les activités à risques : pompiers, pilote d’avion… Hypothèse de Sicart : -les principaux dangers auxquels ont été confrontés nos ancêtres : la guerre, l’épidémie, famine etc.. Face à des dangers réels qui menaçaient des populations. Aujourd’hui ces dangers la d’après Sicart sont relativement écartés  du coup les individus ont tendance à prendre trop de risque inconsidérés. C’est ce qui expliquerai la pratique présente de sport extrêmes qui n’existait pas avant  il s’agirait d’un besoin physiologique.

2.4 L’importance de ce double concept dans le domaine scolaire 2.4.1 Contenus à faire acquérir par rapport au risque physique On peut travailler sur la prise de risque mais pas que en EPS :  1er contenu : la sécurité routière : l’attestation de sécurité routière NIV 1 et le NIV 2. Cette ASSR c’est quelque part une façon d’engager les é sur la problématique du risque. -Robert Merand  fait un parallèle entre la circulation routière et la circulation du terrain ce sont les mêmes compétences cognitives : les prises d’infos etc…  2ième contenu : les contenus posturaux adéquates au niveau du bassin et du dos éviter de se faire mal. Typiquement en EPS  possible de faire une fin de séance ou début de séance à faire du pilate par exemple.  On regrette que le champ 5 au lycée n’apparaisse pas dès le collèges….  3ième contenu : l’ergo motricité. L’EPS en lycée pro pourrait sensibiliser les é vers l’ergo motricité càd l’adaptation optimale de la motricité et de la posture au travail Ex : comment se déplacer en portant une charge lourde, comment on se place en élévation etc…  4ième contenu : (sors du cadre de l’EPS) : la sécurité dans les TP de physique, SVT : quels liquides mélanges, savoir installer, savoir prendre son temps pour réfléchir. EPS : se familiariser avec le matériel, l’installer, le ranger, les pareurs etc… Ce sont des = contenus sécuritaires 2.4.2 Par rapport au risque psychologique 

Créer un climat de confiance cf Pieron en 1992 « Pédagogie des APS et du sport »

Cf Climat de classe moodle (tableau) TARGET Pieron : -dans une classe il faut absolument créer un climat positif de confiance sinon… baisse de confiance des é et baisse de l’estime de soi et les é ne se sentiront pas en sécurité affective ! -inciter les é à se produire ou produire devant les autres, à s’exposer. S’ils se sentent en sécurité affective ils oseront se montrer devant les autres. « apprendre c’est prendre le risque de réussir ou de se tromper » Lamotte (citation possible de ressortir dans chaque thème)  mais... pour ce thème…on peut rajouter que l’é prendra le risque de réussir ou de se tromper que si il se sent en sécurité affective « tout appge, par la déstabilisation qu’il implique est en soi une prise de risque » Develay 1998 « Donner du sens à l’école »

 si l’é pert ses sens il y a perte d’échec 2.4.3 Par rapport aux habitudes de vie qui peuvent nuire à la santé de l’élève Quand on parle de risque  il faut parler de santé… Exemple : l’alimentation  sensibiliser nos jeunes à l’importance de prendre un bon petit déjeuner ! Faure du sport à jeune… L’importance des fruits et légumes, du bio Sensibiliser nos élèves à l’hydratation : on sait que les pb de fatigue, de migraine, de concentration.. très souvent c’est du à un manque d’hydratation. Vestimentaire : bonnes chaussures, sensibiliser les é à être bien chaussé. III - L’EPS, un métier à risques ? A propos de la sécurité et la responsabilité des enseignants 3.1 La responsabilité civile et pénale Dossier EPS 51 « Responsabilité de l’Ea » 2000 Responsabilité civile : obligation de réparer des dommages causés à autrui par soi même par une personne qui dépend de soi. Depuis 1937 l’Etat se substitue à l’Ea + prend en charge l’indemnisation de la victime mais.. peut engager une action contre l’Ea si la faute est grave. Responsabilité pénale : obligation de supporter un châtiment prévu pour l’infraction commise qd on enfreint la loi 3.2 Accidentologie dans les APSA et en EPS Derlon dossier EPS 46 1999 « risques et sécurité » - chaque année 0,5% des é se blessent en EPS : il faut donc relativiser … Peu d’accident mais toujours être réaliste, et prendre en compte la sécurité ! -l’EPS est responsable de 21% des accidents dans les écoles, 62% dans les collèges, et 59% dans les lycées par rapport aux accidents sur l’école (sur 100 accident 62 viennent collèges..) -les APSA les plus exposés sont : le VB, le FB, le HB … gym : mois d’accident qu’en sport co mais accident + grave (hospitalisation) mais « ce ne sont pas les APS qui sont dangereuses mais la façon dont elles sont traitées » 3.3 Les textes (preuves institutionnelles) Circulaire du 13 Juillet 2004 sur la sécurité - l’EPS 1ere cause d’accidents en milieu scolaire

- les facteurs potentiels des accidents les + graves sont : l’environnement, le matériel, la nature des exercices (consignes données…) : l’Ea est le 1er impliqué à tous ces facteurs. - la sécurité est pas seulement liée aux APSA, elle est « une vigilance » de tous les instants  le prof doit être tout le temps vigilant, regarder.. (ex : bagarre) - en début d’année on doit consacrer un temps suffisant pour aborder la sécurité avec les é et fixer des règles. - il s’agit « d’assurer la sécurité des élèves » mais aussi de les « éduquer à la sécurité » car c’est une valeur éducative !!! Les équipements sportifs, l’environnement habituel des pratiques -Avant le cours, le prof d’EPS doit vérifier la bonne utilisation du matériel et des équipements. Circulaire du 1994 -s’assurer que tous les buts amovibles de hand et foot et que les panneaux de basket sont bien fixent. Les vestiaires -L’Ea doit être vigilent (qu’il y est pas de bagarre ou autre), il doit se laisser le droit de rentrer si jamais il y a urgence, et il doit booster les élèves aussi. Accidents scolaires BO n°43 du 19 novembre 2009 -L’enseignant doit remplir un rapport d’accident dans les 48h avec témoins. Sécurité et organisation pédagogique -les accidents proviennent souvent de la mise en place pédagogique qui n’est pas assez adapté au nivaux des élèves. Consignes pas assez claires aussi peut être… : consignes de sécurité et de bon déroulement primordiales ! Activités du champ 4 : le combat notamment, faire attention aux poids, aux sexes (filles/garçons) IV - L’éducation à la sécurité en EPS Distinction préalable entre sécurité active et passive Cf. Vedel « Escalade : traitement didactique de la sécurité » Rev EPS (1990) Ce n’est pas de lui que vient la différence active et passive mais il reprend plusieurs auteurs.

sécurité passive : ensemble des dispositifs gérés par l’Ea -> l’Ea prend en charge l’installation du matériel, des ateliers etc… (ex : repère que les tapis sont trop écartés, qu’on peut monter les haies etc…) sécurité active : c’est la gestion par l’é de la sécurité de sa propre pratique (ex : course de haies si on la fais tomber la remettre en place mais attention au prochain précisez qu’il ne parte que au coup de sifflet et qu’il n’arrive pas à fond… / pareur en gym pour faire l’ATR) L’Ea doit quand même toujours vérifier derrière. 4.1 Les directives institutionnelles BO du 26 novembre 2015 Parmi les 5 domaines, le 3ièm domaine : « comprendre, respecter et faire respecter et règlements » est le domaine ou il s’exprime le + la sécurité. Il s’agit d’assurer sa sécurité et celle d’autrui dans des situations variées. 4.2 La difficulté de la tâche des Ea pour éduquer à la sécurité Cette difficulté vient des 4.2.1 Représentations 

décalage Ea - élèves - parents :

Il y a un décalage de représentations en fonction des différents protagonistes : é, Ea et parents. Castanino en 2000 -les é sont fortement demandeurs d’activités dites risqués (ex sport de glisse, le VTT…). Elèves sont sur : une logique d’expérimentation, de la nouveauté, de la surprise, ils ont envie de sport qui véhicule des émotions, des sensations. Ces expérimentations impliquent des risques : affectifs et physiques. -les adultes (parents et Ea) sont sur une logique de transmission de codes, de prévention. Ils préfèrent que leur enfant et élèves pratiquent des activités codifiés, dans un milieu sûr. -le « sécurisant »  véhicule ce qui est normée, codifiée, à faible incertitude avec maîtrise du risque objectif. A l’inverse, « l’insécurisant »  c’est tout ce qui met en jeu les émotions et les risques subjectifs.



évolution des représentations / risque tout au long de la scolarité

- en début de scolarité : le risque est lié à la transgression des consignes ayant un rapport avec la sécurité. (ex : fait de ne pas écouter les consignes). Ce risque est associé aux actions non maîtrisés et aux règles qui sont mal connues (pour les é et aussi les Ea). L’Ea doit toujours répéter  prévoir l’imprévisible. -en fin de scolarité : le risque est perçu comme une valeur qui permet d’acquérir son identité, d’aller vers l’avant. (fin de Castanino) 4.2.2 Le fonctionnement psychologique du sujet en situation de prise de risque (gros morceau du cours) « Risque préférentiel, risque perçu et prise de risque » Didier Delignières cite Famose 1993 a) L’évaluation du risque : définition Le risque objectif (ou réel) = proche de zéro *c’est le risque réel ; c’est une variable quantitative qui caractérise un comportement. Exemple : si celui qui veut m’envoyer le ballon est près de moi et qu’il vise ma tête  mon comportement va être de l’éviter ou de me protéger. OU en escalade si je monte sans m’assurer = risque objectif est très élevée car danger de mort. Le risque objectif se rapproche de zéro dans une séance. L’Ea ne mettre jamais ces élèves en danger ! *Ce risque objectif ou réel dépend : - du pb posé par la situation -des ressources du sujet (=si les ressources du sujet sont + importantes que… le pb posé par la situation alors -> le risque objectif ou réel est faible / à l’inverse les ressources du sujet sont faibles par rapport au pb posé par la situation alors..le risque réel est important)

 Exemple : duel tireur/gardien en Handball : le PB a la choix entre 2 angles de tirs différents et le gardien n’est pas prévenu, il a face à lui 2 tireurs : contrainte élevé car 2 angles de tirs + le PB tir avec le bras cassé et trajectoire rapide et l’élève gardien à un temps de réaction élevée… le risque réel pour le gardien est élevée… Car il a pas de ressources face au pb de la situation. Pour baisser le risque réel : faire tirer le PB avec sa mauvaise main, ou mettre qu’un seul angle de tir (bien d’aller plus loin dans l’exemple, réflexion c’est ca qu’on attend à l’exam de nous parfois) Si jamais le gardien se prend un ballon mal placé a cause trop de contraintes c’est de l faute de l’Ea.

Le risque subjectif : (danger que ce représente l’élève dans sa tête) Le risque perçu - c’est la perception de la probabilité d’appariation d’un accident. -C’est une évaluation personnelle de la dangerosité d’une situation ici et maintenant. -C’est une variable décisive du comportement  si je perçois un danger = je fais plus rien, je me fige.

Le risque préférentiel - c’est une utilité subjective, c’est un « calcul coût-bénéfice que l’ va faire » - l’é se dit  est ce que ça vaut le coût que je prenne ce risque la ? Niveau de risque acceptable ou non par rapport aux enjeux de la situation. - Delignières appelle ça aussi un niveau optimal de risque subjectif.

Le risque perçu dépend : - Ce calcul coût*bénéfice dépend de : a) des habiletés (c’est que ce qui est acquis), de la perception de soi (entre ses réelles capacités et la perception qu’on a des capacités) et des ressources (il y a une part de l’innée de l’é) b) b) du caractère nouveau ou connu de l’activité

 Exemple : exemple de duel tireur/ gardien : tout d’un coup l’Ea change les 2 tireurs, il y a un caractère nouveau qui peut faire baisser le sentiment de compétence et donc ça fait un risque perçu qui monte pour le gardien. Rôle de l’Ea  dire à l’é c’est pas parce que c’est nouveau que tu es incapable, tu la fais précédemment. Escalade  si on change d’assureur (autre exemple) = caractère nouveau.

a) de la personnalité du sujet : é a besoin de reconnaissance sociale, certains non et ne prennent aucun risque (Cf. Sujet téliques, paratéliques). D’autres veulent chercher du plaisir, l’envie de progresser. b) l’utilité de l’activité intrinsèque (difficulté) et notamment l’utilité extrinsèque (enjeux sociaux) : est ce que ça vaut le coût aux yeux des autres que je m’investisse dans cette tâche ?

Le risque préférentiel est + important chez les jeunes que les personnes âgées et chez les garçons que chez les filles. + l’élève perçoit un risque nul + il va y aller. Si le risque préférentiel est supérieur au risque perçu l’élève va y aller, il va vouloir se mettre en avant et le comportement sera dangereux, voir risqué... Si le risque perçu est supérieur au risque préférentiel l’élève ne vas pas y aller. 



Le risque préférentiel et perçu sont des processus intuitifs et infra conscients (Wilde) ; Delignières parle de « représentations intuitives »  les é ne pourront pas nous l’expliquer, c’est l’intuition.



Wilde cité par Martinet en 95 dans le Rev de l’EPS « le risque en toute sécurité » : l’é a rien installer, tout est déjà installer quand il arrive en EPS donc risque perçu est

faible donc… le risque préférentiel va être élevée (si j’arrive en gym et que tout est installé, je me dis je vais pouvoir aller faire des saltos etc…)  trop de sécurité peut engendrer l’é vers une risque préférentiel non maîtrisé par l’élève… Exemple polycop : en Rugby Risque perçu : la vitesse de déplacement = fait partie de la nouveauté / et la corpulence des 2 joueurs donc l’é peut percevoir un déséquilibre dans le rapport de force (on percoit quelqu’un de nouveau et qui va arriver vite et qui met en doute mes capacités… L’Ea sait très bien qu’il n’aura pas d’accident) Risque préférentiel : je veux montrer que je sais plaquer (personnalité, enjeu social)  MAIS… j’ai peur de la percussion.. donc est ce que vaut vraiment le coût ? (l’é fait le calcul coût bénéfice et en fonction de ça soit l’é se fige et ne fais rien soit l’é peut avoir un comportement risqué). ->Tout dépend de comment la situation est perçu par l’élève et de ce qu’il veut faire lui (comportement hyper sûr ou contraire il prend le risque). Exemple : en gymnastique artistique Classe de 6ième (cycle 3) en gym artistique, 3ième séance. Sur une poutre de 1m : marcher, battement, sortie saut extension. Risque réel faible car on a vérifié la fixation de la poutre etc… Différencier risque percu et préférentiel à partir de son comportement (Jul...


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