Risque des marchés internationaux PDF

Title Risque des marchés internationaux
Course Licence Administration et Echanges Internationaux parcours Commerce international
Institution Université Paris-Est Créteil Val de Marne
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[email protected] Examen en partiel fin semestre : ¾ exercices (qu’on a vu en cours) et ¼ questions de cours. Opérations de CI + longues que opérations traditionnelles. Elles font intervenir des agents + éloignés géographiquement et culturellement. DONC opérations + risquées. CHAPITRE 1 : Catalogue des risques à Même si risques l’international est une source d’opportunités et une source de croissance. CHAPITRE 2 : Risque de crédit CHAPITRE 3 : Risque de change à Aussi bien à l’import qu’à l’export.

CHAPITRE 1 : RISQUES NES DES OPERATIONS DE CI Notre entreprise a donc une dimension internationale. - Elle a voulu développer son activité à exportations directes Nouveau débouché - Si elle monte en puissance on va pouvoir faire une implantation (ex : réseau de distribution) - Elle pourrait s’implanter pour produire L’entreprise peut donc aller à l’étranger avec différentes motivations et formes. 1.1 Les risques liés à l’international (différents pays donc) v v v v v

Risque politique Risque économique (problèmes liés aux couts de p°) Risque juridique Risque technologique (activités industrielles) Risque de change

à Classification de ces risques est l’origine du risque. Classification des risques : - origine - objet du risque / montant a) Risque politique Quels types de problèmes ? Ø Atteinte à la propriété (le + grave) o spoliation (= vol) o nationalisation Ø Atteinte au contrôle o ingérence (nomination de personnes non choisies par le patron) Ø Entrave à l’activité (bâtons dans les roues) o Taxe 1

Ø Embargo La définition de ce type de risque peut différer selon la personne qui la donne. b) Risque économique Ce risque a différentes interprétations selon les agents - Banquier : pour lui c’est lié à risque pays donc proche du risque politique - Assureur : pour lui c’est lié aux couts de p° ou aux structures économiques du pays (vendeur de ciment mais les routes de ce pays sont catastrophiques donc peut pas vendre) Le risque économique est très peu couvert. c) Risque juridique Il provient du problème entre le cadre légal d’un pays étranger et celui de mon pays. De quel cadre légal vais-je dépendre ? à Problème de compétence. Si c’est celui de l’étranger protège-t-il vraiment ? Le cadre théorique est-il réellement mis en pratique ? Et comment est-il appliqué ? Si contrat international à intervention du droit des contrats internationaux. Si implanté et qu’on a des employés à intervention du droit social et faire attention aux problèmes de législation. Autres droits qu’on peut rencontrer : Droit fiscal à taxes à payer. Droit commercial Droit économique Droit de la propriété intellectuelle Les domaines du droit concerné sont très divers cela dépend de la situation de l’entreprise. Y-a-t-il un cadre supranational ? Ex: si pas content avec France on peut aller se plaindre à l’Europe. CCL: Il faut donc une connaissance importante du pays d’accueil. Il est donc important de résoudre ces problèmes avant, Un risque à évaluer avant de monter l’évaluation. d) Risque technologique On parle d’une entreprise ayant une activité industrielle. Souvent on a 1 ou 2 standards qui s’imposent. Le risque technologique est le risque de miser sur le mauvais standard à investissement non rentable. Association entre des concurrents pour imposer un même standard afin de se protéger de ce risque. e) Risque de change Traiter en profondeur dans chapitre 3. 2

1.2 Chronologie des risques Etape 1 : ça commence souvent par une prospection afin de trouver des débouchés. Les risques qu’on a ici sont : - risque de dépenses sans vente - risque d’échec commercial de la prospection Risque de prospection a une couverture possible. Etape 2 : on décide de s’implanter. - Cela a un cout à rentabilité ? - Risque propriété à l’étranger - Stock : cout et financement Etape 3 : Présentation d’offre o Engagement de l’entreprise à Pb de variation de cout de production à Pb de devise o Cas d’une réponse à un appel d’offres : souvent on est obligé de fournir une garantie. Ex : garantie d’exécution des travaux si on est choisi. Risque d’appel abusif de garantie. Etape 4 : on a reçu des commandes o Risque variation Cout de p° (lié aux matières 1ères)à risque écoq Protection possible : clause de révision des prix. à Reporte le risque sur le client. à Pb d’acceptation à Pb légalité dans le pays. o Interruption du marché : il n’y aura « jamais » la vente. à Pb de facilité contractuelle. Client privé ou public ? Cela Nous permet de voir la possibilité de recours. Etape 5 : Emballage/ expédition o Risque détérioration de marchandises pendant le transport. à La responsabilité du transporteur est très limitée. à donc INCOTERM va décider du transfert du risque. o Réception provisoire Entre la réception provisoire et la réception définitive le vendeur demeure responsable. à Responsabilité civile. Bien d’équipement à travaux à l’étranger. C’est le genre d’affaire où le vendeur va demander une garantie ou une caution. Etape 6 : paiement Souvent voire toujours à crédit. à Risque de paiement + Le délai augmente + le risque augmente. + Le besoin financier augmente + le crédit augmente. Même si client content on est perdant sur tableau risque et tableau financier. CCL : négocier avec attention à Client privé ou public ? Sur le fond une entreprise publique ne peut pas faire faillite pas d’insolvabilité. Mais c’est un risque politique si non paiement. Entreprise privée peut faire faillite à risque commercial à pas même protection. 3

CCL : beaucoup de risques En Contrepartie on a des opportunités à Il faut y aller mais avec précaution. 1.3 Risque de prospection C’est le risque d’échec commercial de la prospection. à Couverture par assurance, par la Coface. Après la période de prospection c’est la qu’on voit si on a trouvé des clients ou non. Si non à échec. Pour prendre une assurance prospection avant de commencer celle-ci, on paie la prime. 2 périodes : - la période de prospection : on reçoit une indemnité quoiqu’il se passe. - La période d’amortissement : l’entreprise verse un % du CA généré. La somme des amortissements est plafonnée, cette somme doit être ≤ à l’indemnité reçue. Succès : - indemnité = amortissement - payé la prime et « rien » reçue Echec : - 0 amortissements - indemnité reçue contre échec. à Assurance nécessairement déficitaire à non commercial à action par la Coface pour le compte de l’Etat français afin de dvlper le commerce et X°. Au départ on paie une prime : 3% du budget garanti. - possibilité d’obtenir une avance sur indemnité à la signature du contrat d’assuranceà ½ de l’indemnité prévisionnelle (car fondé sur le budget prévu). Si on demande une avance la prime augmente. - Indemnité : 65% x budget total. Pour l’avance je dois faire = ½ x (65% x budget total ou montant garanti par l’assureur si problème)- 4 500 qui correspond aux frais de dossier de l’assurance soit la prime, qui dans l’exercice est 5% du budget total = 24 750 €. - Amortissement durée/ taux fixé dans le contrat.

10/02/2016 : Correction exercice EPREL Budget 90 000€ - 1 exercice de garantie Amortissement 12 mois – 2 exercices. Avance sur indemnité Prime 5% du budget soit 5% x 90 000= 4 500 €. Après la prospection, l’entreprise a 67 000 € à dépenses réelles CAA1= 200 000€ CAA2 = 400 000 € 90 000 est l’indemnité total que je vais percevoir si y a problème mais comme je paye une prime qui est de 5% de 90 000 donc 4 500 j’aurai 85 500 en indemnité total si problème. 4

A la signature je peux recevoir le 1er versement mais conditions : voir cours au-dessus. Question 1 : Quand est perçu le 1er versement ? Quel est son montant ? L’assuré a choisi une avance sur indemnité donc avec cette partie il reçoit 50% de l’indemnité théorique et en début de prospection à la signature. L’indemnité théorique est égal à = la quotité garantie x montant garanti = 65% x 90 000€. Avance = ½ x (65% x 90 000€)- 4 500 = 24 750 €. Il a bien fait de prendre l’avance sinon il aurait eu que la prime, à la fin. Question 2 : Calculer l’Indemnité totale et l’encore due

Cas n°1 : CA prospection = 0 Cas n°1: je n’ai eu aucun revenu pendant la prospection donc on va calculer l’indemnité sans l’amortissement à laquelle j’ai droit. Indemnité totale : 65%= QG x min (budget, dépenses réelles : on prend le + petit montant des 2) soit (90 000, 67 000 donc on prend 67K) = 65% x 67K = 43 500 € Indemnité due : indemnité totale – montant reçu= 43 500 €- (½ x 65% x 90K) = 43 500 – 29 250 = 14 250 €.

Cas n°2 : CA prospection = 70 000€ Cas n°2 : avec en CA = 70K € pendant la prospection je peux donc déjà gérer. Amortissement p : 7% x 70K = 4, 9K Indemnité totale : QG x min (budget amortissement, OU dépenses réelles – amortissement: le + petit montant des 2) = 65 % x (67 K – 4,9 K)= 40 365 € Indemnité encore due : 40 365 – 29 250= 11 115€ Indemnité + faible car elle a reçu des revenus.

Question 3 : calculer les Amortissements : Les amortissements théoriques sont de A1 : 7% x 200K = 14K A2 : 7% x 400K = 28 K Somme amortissements doit être < indemnité reçue Cas n°1 : Indemnité totale : 43 500K Amortissement annuité 1 : 14K Amortissement annuité 2 : 42 K (A1 + A2) Je reste inferieur au plafond donc pas de soucis.

Cas n °2 indemnité totale : 40 365 K à 42K > Indemnité totale= 40 365 afin d’éviter de payer + on diminue le l’amortissement plafonné. à amortissement plafonné= 40 365 – 14K = 26 365 € à total de ce que j’ai reçue- ce que j’ai déjà payé= amortissement plafonné.

Assurance Prospection : à Financement à avance qui correspond à ½ x QG x min (budget, dépenses réelles : on prend le + petit montant des 2) à Risque de prospection 5

Question 4 : peut-on financer le reste ? Oui avec le parrainage bancaire. = Assurance prospection + parrainage bancaire En les associant on est en mesure de répondre à notre besoin càd financer intégralement notre prospection donc jusqu’à 100% c’est possible. Qu’est ce qui peut faire dire oui au banquier pour faire ça ? Sachant que Ça peut être risqué pour lui et sachant que l’assurance prospection rembourse 65%. Relation commerciale : oui ou non pour le banquier et il est libre de fixer son prix. Risque indemnité : bénéfice indemnité est transféré au banquier D’un point de vue chronologique du risque pour le banquier : L'entreprise est remboursée à 65% par l’indemnité donc le banquier à seulement 35% a aidé l’entreprise si le remboursement va jusqu’à 100%. A3 p : Prospection premier pas à Limité aux petites entreprises. à -------- Aux petits budgets (pas avoir un gros CA export) à Nombre limité

6

CHAPITRE 2 : LA GESTION DU RISQUE DE NON PAIEMENT/ RISQUE DE CREDIT / RISQUE CLIENT Exemple : une entreprise a un CA de 4 millions, elle fait une marge de 10% et elle est confrontée à un impayé de 50 000€. Càd que l’entreprise peut compenser sa perte : quel CA doit-elle générer afin de compenser sa perte ? 50 000€= 10% x CA ? : Donc CA nécessaire = 500 000€. 20% des entreprises en difficulté disent car elles subissent des problèmes de règlement. I. -

Composantes Risque de crédit qui touche notre portefeuille client/ CA. Méthode en entonnoir du général au particulier. Répartition du CA : quels risques je supporte sur mon portefeuille client ? : o soit le CA est concentré : § càd nb important de clients ou d’argent. § Càd répartition géographique § Càd répartition Sectorielle § Càd produits différents de l’entreprise § But : ouvrir les possibilités pas de les fermer. o soit atomistique. o Augmentation de la concentration = augmentation du risque à C’est l’effet de la diversification : C’est en s’exposant à différentes sources de risque qu’on diminue le risque.

A) Concentration (Si on parle d’un CA concentré en matière d’argent) -

20/80 : 20% des références et 80% des ventes càd 20% du client 80% du CA Secteur :

B) Qualité du client à Public : risque de retard donc couts financiers. + Risque politique Ou à Privé : risque de faillite à donc + risqué que le public. Couple : pays – client C) Echéance Si on veut faire plaisir aux clients on leur propose : règlement virement Swift à 180 jours. Car on lui offre un crédit de 6 mois. Le règlement Swift est à l’initiative de l’acheteur, le vendeur n’a aucune sécurité et en plus on a un crédit de 6 mois : les conséquences pour nous est un risque politique, non neutre. Nous on est pas content car : - risque dû aux 6 mois de crédit : + le crédit est long + on risque. - donc couts financiers Augmentation échéance = augmentation du montant. 7

2csq évidentes : - augmentation risque - augmentation couts financiers CCL : il faut donc négocier avec le client afin de trouver un compromis. v Méthodologie d’analyse du risque client à Y-a-t-il un problème ? Des manifestations du risque client retard ou impayé ? à Délai du règlement ? On va donc avoir des tableaux de bords afin de faire une synthèse : c’est intéressant pcq ça fait ressortir les éléments importants mais c’est risqué d’en faire une sachant qu’on élimine des infos afin de faire ressortir les autres donc à perte d’infos. On va s’interroger sur des règlements de 30 jours fin de moi (M) et crédit max : 2 mois Que l’entreprise accorde. Donc le client a le droit d’attendre 30 jours, et en plus il peut attendre la fin du mois. Toutes les factures du mois sont reportées par « décade » (période de 10 jours). Le CA est de 100 000 euros. F1 / / / / /

M+ 1 d3

d1

M +2 d2

d3

d1

M+3 d2

Fn Σ CA = 100 k 9K 31 K 10 K 9K 8K 10 K Tout ce qui est avant le double trait est réglé à l’heure et après réglé en retard. Gros trait= règlement théorique.

d3

5K

Toutes les ventes du mois M, auraient du être réglées au plus tard sur le double trait, donc 9 000 sur 100 000. Horreur : 9% du CA est réglé à temps seulement, 31 000 sont réglés à la décade suivante et ont entre 1 et 10 jours de retard. En moyenne, (1+10) / 2 = 5.5 jours de retard. Méthode : il faut que les délais soient raisonnables, ici en additionnant les deux nous sommes à 40% de règlement et c’est beaucoup mieux déjà que 9% mais ce n’est pas le top non plus. On a tout de même un problème ! En effet la somme des règlements enregistrée est de 80 000 euros et cela pose quelques constatations. Il y a 18 000 euros non réglés, 3 mois après facturation, s’agit-il d’un retard ou d’un défaut ? Le risque augmente énormément ! CCL : On a visiblement un problème car on a que 40% qui sont dans des délais raisonnables. Σ des règlements enregistrés (dernière ligne tableau): 82 000 €. Sur le fonds ça veut dire Pb donc : qu’on a 18 000€ non réglé et 3 mois après facturation à retard encore plus 8

long que les autres ? Défaut ? On ne sait pas. Mais du coup le risque vient d’augmenter d’un coup. !!!!! Il existe 2 financements de retard : - escompte (6,5%): créance qu’on présente au banquier pour obtenir une avance. - découvert (8,5%) Ce sont donc bien des factures échues non réglées, donc en termes d’escomptes cela semble difficile. Ici reste alors le découvert avec un taux de 8.5%. Donc coût du retard mensuel : 8.5% *(montant * durée en fonction de l’année) : 8.5 % (31 000 * 5.5 jours/365 jours + 10 000 * 15.5 /365 + 9 000 * 25.5/365 +18 000 * 65.5/365). !!!! Il ne faut pas oublier les 18 K non réglé. Coût du retard annuel : 12 fois le coût mensuel. Il est bien lié au fait que l’on a pris les factures d’un mois dans le tableau. Exercice n°2 assurance prospection.

Cours 17/02/2016 On a donc vu le délai d’encaissement au cours précédemment. On a donc 1 problème. à Pourquoi est ce que le délai d’encaissement est supérieur au délai normal ? Sur le fonds, il va y avoir combien d’élément ? Le 1er est le délai consenti (=on vend un délai au client, délai normal). 2ème élément on a le délai subi (ne fait pas parti de la norme). Délai consenti : On commence avec une vente donc avec les conditions générales de vente (CGV) puis après on peut avoir des conditions particulières (ex : le fait qu’on ait négocier avec le vendeur une livraison gratuite) Délai subi : c’est celui qu’on ne veut pas avoir. D’abord le délai subi peut être à l’initiative du client (ex : non respect des jalons techniques) ou peut être à l’initiative du vendeur (ex : vendeur n’a pas envoyé les factures à la bonne adresse donc le règlement prendra plus de temps). Pourquoi on a ces délais ? Où se logent les différences ? Dans une entreprise il faut faire la distinction entre différents types de clients : filiale, importateur, distributeur, etc.

a) Délai de CGV

Filiale Ventes à 60 jours

Importateurs Ventes à 60 jours

Distributeurs Ventes à 30 jours

Autres Ventes à 30 jours

9

b) Délai conditions particulières (moyen accordé selon le fichier client)

Ventes à 60 jours

Ventes à 90 jours

Ventes à 33 jours

Ventes à 30 jours

c) Délai accordé selon la facture à délai subi à l’initiative du vendeur d) Délai total observé

Ventes à 64 jours

Ventes à 99 jours

Ventes à 36 jours

Ventes à 33 jours

Ventes à 69 jours

Ventes à 110 jours

Ventes à 60 jours

Ventes à 40 jours

Délai à l’initiative du client d) et c)

69 – 64 =5

110 – 99= 11

60-36 = 24

40-33 =7

Délai à l’initiative du vendeur : c) –b)

4

9

3

3

30

3

0

Délai dû aux conditions 0 particulières : b) – a)

Pour les filiales au départ on part de 60 de délai normal on voit un délai observé de 69 on a 9 jours de délai en plus : 5 jours client met à nous payé, 4 jours pour nous a lui envoyer. Délai total observé reste le délai total mais la somme des 3 dernières lignes est le retard C’est le retard qu’on aura en plus ???? à compléter a partir du tableau. On a ici un problème de règlement : - cela peut être un Pb du client - cela peut être un Pb du vendeur. • • •

1ère chose à faire est mieux organiser facturation/ envoi/suivi. (Par rapport à la ligne en orange) 2ème chose à faire : pourquoi les vendeurs accordent 30 jours systématiquement aux importateurs ? (Par rapport à la case en bleu) 3ème chose à faire : on va embêter les clients qui mettent le + longtemps à régler/ qui présente un retard significatif. (Cases en rouge)

v Diagnostic multicritère (du portefeuille client) Multicritère car : 1er critère : niveau risque du client 2ème critère : encourus unitaires Risque

Très faible

[0 ; 10[

Nb Client concernés

12

[10 ; 20[ 28

[20 ; 50 23

[50 ; 100 [ 11

TOTAL en milliers 74

10

Faible

Moyen

Fort

Encours total Nb Client concernés Encours total Nb Client concernés Encours total Nb Client concernés Encours total

84

420

920

880

2 304

60

86

44

10

200

360

1118

1320

700

3 498

45

65

24

16

150

225

715

600

1060

2 600

5

15

10

6

36

25

225

400

360

1 010 460 9 412

à Pourquoi est ce pertinent d’utiliser l’encours unitaire ? + L’encours unitaire est élevé + si y a un défaut il va être important. Donc + l’encours unitaire augmente, le risque augmente. à Où je trouve le niveau risque du client ? 1ère source : l’assureur crédit. C’est son travail d’évaluer la qualité des clients. 2ème : la Banque de France à elle produit des scores sur les entreprises françaises qui ont pour rôle de prévoir les possibilités de défaillance. 3ème : on peut aussi aller voir une société d’information financière/ commerciale ex : Reuters...


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