Dynamique des pratiques culturelles PDF

Title Dynamique des pratiques culturelles
Course Sociologie Des Politiques Culturelles
Institution Université d'Angers
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Cours de Master 1 Culture, développement culturel des territoires; dynamique des pratiques culturelles. Cours de Marie Sonette...


Description

Dynamique des pratiques culturelles 09/11 Introduction – Qu'est ce que la culture ? Qu'est ce que l'art ? Avoir connaissance des échelles de valeurs Le terme de culture a toujours été polysémique en France et dans le monde. La definition la plus neutre ne correspond pas forcement à celle donné par le ministère. Le sujet conserve de grande disputes. 3 grandes definitions du terme « culture » : – Créations artistiques (patrimoines, peintures, danse, musique, cinéma ect.) – Connaissances – Coutumes/manières de vivre d'un groupe ou d'une nation 1. La culture comme mode ou style de vie (definition anthropologique) : ce qui lie une société entre elle, les coutumes, manière de vivre (gastronomie, enterrement, mariage) partagé par l'ensemble de la société. Dans ce sens la, la culture s'oppose à la nature, ce qui est construit et non donné. L'idée c'est de lier le fondement du lien social, ce qui lie les individus d'une même société, ce qui rend la vie ensemble possible. C'est une definition très large repris par l'anthropologie ainsi que les cultural studies (Uk). 2. Connaissance/savoir : « culture générale » 3. « corpus d'oeuvres valorisées » Ce qui regroupe les œuvres d'arts et disciplines artistiques. Cette definition est majoritairement française notamment au niveau étatique (ministère de la culture et de la communication). L'exception culturelle française qui suppose qu'on aurait une production artistique large grace à un nombre important d'interventions< ; La culture est tout ce qui touche aux œuvres d'arts, leur conception, leur connaissance, leur pratiques, découverte ect. Qu'est ce que l'art ? La question artistique véhicule de nombreux debats sur ce qui doit etre considéré comme de l'art ou non. On retrouve tout un maillage d'un individu qui vont déterminer ce qui est de l'art : arttiste, publics, professionnel de l'art, insitutions (musées, salle nationale). Distinction art et artisanat (non destiné au même circuit) On retrouve une vision pragmatique : on adopte les categorie tel qu'elles nous sont données par les acteurs. Ce n'est pas à moi de décider si c'est de l'art mais je peux observer ce qui est confirmé, labellisé (definition plutot sociologique) La question du beau : Qu'est ce que le beau ? Le beau c'est une construction social, ce n'est pas universelle A travers les ages, le beau évolue et

extremement vite. (mode, histoire de l'art, image de la femme) evolution principalement lié au contexte. la construction sociale du goût est très importante pour la construction individuelle. Elle determine ce que l'on considère comme beau ou moche. On ne peut pas en tant que professionnel avoir un argument d'autorité car la construction sociale reste individuelle. Il ne faut pas chercher à imposer sa propre vision de l'art. Ce qui forme le goût : La frequentation des equipements culturels (théatre, musées, salles de cinéma et concerts) L'usage des médias audiovisuels ( télévision, internet, radio Les pratiques artistiques amateurs Definition donné par le ministrère de la culture et de la communication : Une pratique culturelle est une activité accomplie dans le temps libre, sans visée utilitaire ou finalité productive, offrant des possibilités d'expression et d'épanouisement personnel »

I- Enquêter sur les pratiques culturelles A- Quels sont les acteurs qui enquêtent sur les pratiques culturelles ? Qui fait quoi/En quelle quantité/ Comment /Pourquoi. En france, on a de nombreux institue d'enquete 1) la statistique publique a) L'INSEE ( institut national de la statistique et des etudes economique) Enquetes variés et nombreuses dont les pratiques culturelles. En fonction des dépenses puis en fonction du temps passé. – Une perspective economique : pratiques = dépenses 1e problème : toutes les pratiques culturelles ne sont pas payante 2e problème : on ne peut pas verifier que les choses acheté, on été acheté dans un but culturel – une perspective anthropologique Etude sur les temps libre : début après guerre (30 glorieuses) ; comment les gens utilisent leur nouveau temps libre libéré du travail ? (emploi du temps en 2010). b) Le ministère de la Culture et de la Communication A partir des année 60 le ministère prend la relève sur l'INSEE pour rendre des statistique sur les français. Le but est evidemment politique puisqu'il s'agit à chercher de bien occuper le temps libre des français. Même logique ; le temps de loisir c'est libéré. Les année 60 correspond à André Malraux 1959 creation du ministère des affaires culturels avec comme objectif de democratiser la culture, la rendre accessible au plus grand monde. L’intérêt des enquête c'est de faire des constats. Politiquement il faut intervenir et appuyer des politiques de la culture. On peut donc après les évaluer pour voir si ces politiques fonctionnent. On aboutit à deux politiques : de décentraliser (theatre nationaux sur l'ensemble du territoire de manière que tout le monde ai accès à la culture), creations de maisons de la culture. En 1968, est crée le Service des Etudes et Recherche SER, au sein même du ministère il y a un service dédié aux enquetes. En 1986 il devient le DEP departement d'etude et prospective puis en 2002 le DEPS département d'étude, de prospectives et de statistiques. Des enquetes très celebres sont menées : 1966 : Pierre Bourdieu et Alain Darbel => « l'amour de l'art : les musées d'art comtemportain et leurs publics » enquete menée sous la direction du ministère de la culture. → quelles sont les propriétés sociales de ceux qui frequente les musées et celles de ceux qui les

frequentent pas. Il se trouvent que ceux qui les frequentent sont plus bourgeois. Les barrières d'entrée aux classes populaires sont symboliques. Ce n'est pas une question de gratuité mais de symbole, on a pas été élevé en se disant que ces lieux sont fait pour nous. Les codes ne sont pas connu, le comportements adéquats non plus (possible peur). 1971 : Raymonde Moulin sur le public de l'art contemporain 1995 : nathalie Heinich sur les réactions négatives à l'art contemporain 1999 : Pierre Michel Menger sur les intermittents du spectacle. Depuis les années 70, l'enquete que l'on appelle PCF pratiques culturelles des français. = cherche à interroger les français sur leur pratiques culturelles. (methode de sondages sur echantillon representatif sur 5000 personnes,questionnaire fermé d'1h) déclaration de pratiques ce qui peut impliquer des fautes (honte, sous evaluation des pratiques illegitimes). Les variables prises en compte sont l'origine sociale, le genre, le lieu d'habitation, la csp, le revenu, le niveau de diplôme et l'age problème 1 : qu'est ce qu'une pratique culturelle ? /Artisanat et pratique sportive exclu de la sphere de l'art problème 2 : evolution et instabilité des catégories → cette enquete est le principale barometre des pratiques culturelles en france. Meme si il est utile de ne pas se contenter de ces resultats. Entre 1973 et 2008 : – evolution à la hausse : montée de l'audiovisuel : equipement des menages a changé : culture de l'écran, boom musical – evolution à la baisse : la lecture de livre (mais augmentation de la vente de livre et frequentation des bibliotheque) ce qui baisse c'est la lecture regulière des grand lecteur (20 livres /an) Concurrence dans l'espace temps de l'audiovisuel en partie puis le nombre de sortie qui augmente et l'activité associative. Moins de lecture désintéréssé, le livre perd de sa valeur symbolique – peu d'évolution/faible hausse : le spectacle vivant Olivier Donnat : personne responsable pour le ministère de la culture de l'enquete pratique culturelles des français. 1994 : « les français face à la culture » il va definir 7 univers culturels : – L'univers de l'exclusion absolue : personne à l'écart du boom musical, qui se lise pas et ne vont pas voir de spectacle vivant. Ne frequente aucun equipement culturel. Ces personnes ont un cumul de handicap (agriculteurs, employé non diplomé agé qui vivent en milieu rural) 15% – Univers du dénuement : meconnaissance du monde des arts, dont la frequentation des lieux culturels reste exeptionnelle,ecoute peu de musique à l'exception de la variété et lisent 1 livre par an. La seule distraction populaire sont les fetes populaires 31% – culture juvénile (15/20 ans) : ce qui est determinant à cet age c'est ce que les autres font. Fonctionne autour de la musique et se mefie de la culture classique – l'univers du carrefour de la moyenne : les pratique culturelles d'organisent autour de l'audiovisuel, pratique du cinema, de la television, de la musique 23% – l'univers de la culture cultivée classique : visite de patrimoine, lise les grands auteurs, qu i ont une mefiance vis à vis de la TV, des diplomé de plus de 45 ans + – univers de la culture cultivée moderne : sortie nocturne jazz, rock. Cinema, regarde la television, jeune diplomé urbain 23% – l'univers des branchés : cumule les deux dernier types de culture, éclectique, font jouer les differentes sources d'informations surtout le bouche à oreille. Usagers les plus assidu aux

equipement culturels. Parisiens aisé, age intermédiaire, diplomé 8% → photographie, representation, on se rend compte des différences de pratiques culturelles. Le probleme c'est que les choses sont figées. Les moyennes sont caricaturales. C'est le sociologue qui décide des critères. Le nom des univers est aussi très connoté et souvent pejoratif. Olivier donnat cherche à montrer que l'on peut pratiquer des activité tres diversifié. 2) Les professionnels de la culture eux meme vont produire des chiffres, dans une logique marchande mais aussi d'amelioration de services. a) le secteurs marchands, les industries culturelles travaille dans des termes de marketing pour chercher qui sont leurs consommateurs cible et ainsi pouvoir mieux vendre les produits qu'ils ont à vendre. Médiamétrie : produit l'audimat (3700 foyers équipé d'un audimetre ) identifier les publics plutot que les connaître. GFK : (boite de sondage) produit des chiffres de sorties de caisses (ce qui a vraiment été acheté) b) les services publics Loi tasca 2002 : impose aux services publics de se soucier de leur publics pour avoir le label « musée national », il faut consacrer une part de son budget à des enquetes de publics. Comment fidéliser son public. Ils font publier un appel d'offre. Ex : 2013 creation d'outils de mediation culturelle au Louvres : analyse du comportement des visiteurs. 3- les chercheurs universitaires Font de la recherche sous contrats ou de la recherche autonome B) Comment enquête-t-on ? 1- Les approches quantitatives Questionnaires puis analyse statistique – effet de seuil lors de l'interpretation de l'enquete : qui va decider le chiffre important, on est deja dans l'interpretation – effets de legitimité lors de la declaration des pratiques → les chiffres sont des indicateurs (indices et indications qui fournissent des tendances ) 2 – les approches qualitatives Observation, entretiens semi-directifs C Transformer les pratiques culturelles : politiques de democratisation de la culture Vs Politique de democratie culturelle Selon son milieu d'origine ou milieu sociale on va plus ou moins frequenter les lieux de la culture legitime. Certain ministre de la culture ont cherché à mettre en place des politiques publiques de la culture pour favoriser l'accessibilité aux pratiques culturelles. 1- André Malraux : nommé ministre des affaire culturelles sous De Gaulle en 1959, met en place une politique de democratisation de la culture. Le decret de creation du MAC est edité le 24 juillet 1959 ; rendre accessibles les œuvres capitales de l'humanité et d'abord de la france, au plus grand nombre possible de français. 1Er ministere de la culture. Legitimiste : on explique les grandes œuvres de l'humanité ,position verticale une politique qui refuse la mediation culturelle, pour le choc esthetique. Augmentation de l'offre

(theatre, maison de la culture) 2- Jack Lang : 1981 sous François Mitterand : met en place une politique de democratie culturelle. On compare son decret du 10 mai 1982 qui est de dire que le ministere doit permettre à tous les français de cultiver leur capacité d'inventer et de créer d'exprimer librement leur talents et de recevoir l'information artistique de leur choix de preserver le patrimoine culturel national ou des divers groupes sociaux pour le benefice de la collectivité tout entiere 16/11 II- les théorie de la domination et de la reproduction : Des fondamentaux pour la sociologie La culture est un object particulier ce qui fait de la sociologie de la culture quelque chose de spécifique. On peut cependant avoir des reponses sur les inégalités sociales, les stratifications sociales, ou encore sur l'organisation globale du monde. On va principalement parler d'un sociologue : → Pierre Bourdieux Pierre bourdieux fonde ses principales recherches sur l'etudes des pratiques culturelles : (rapport de domination entre les classes etc) à partir de l'observation de ces pratiques culturelles. La socialisation : le fait de vivre en société, construction individuelle, un individu est socialisé parce qu'il nait à un endroit précis, il va à l'école ect. Ce processus fait l'individu. Le parcours particulier que l'on a en société fait de nous un individu unique. Notre construction sociale influence notre sensibilité artistique, nos gouts en matière culturelle. La sociologie de la culture va comprendre que les barrières qui donnent acces aux pratiques culturelles sont symboliques et non matérielles. Ce qui empeche certaine catégorie de personnes de rentrer dans un musée, ce n'est pas le prix mais le fait que l'on pense que cette pratique n'est pas faite pour nous. Dans nos sociétés, nos pratiques culturelles participent à notre identification sociale, en fonction de ce que l'on pratique on peut passer plus ou moins pour une bonne personne ou à l'inverse une personne de mauvais goût. Nos pratiques culturelles nous identifie publiquement. Les groupes sociaux se differencient par leurs pratiques, mais ce qui questionne, c'est la hierarchie dans ces pratiques. Cette hierarchie s'appelle, « la legitimité culturelle », pourquoi est ce que aller au musée c'est mieux que de regarder « marié au premier regard » On retrouve la « culture savante » d'un cote, autrement appelé « culture legitime » ou « culture de l'élite ». Et en bas on retrouve « la culture populaire » « la culture de masse » qui sont plutot illegitime « l'un des principaux acquis de la sociologie de la culture réside dans la mise en évidence des obstacles avant tout symbolique (socialisation, habitus) et non matériels (distance spatiale, barrière tarifaire), pour expliquer les taux différentiels de fréquentation des équipements culturels » Laurent Fleury, sociologie de la culture et des pratique culturelles,p 27 A) les précurseurs 1- 1899 : La theorie de la classe de loisir de Thorstein Velben Cherche à montrer une classe sociale « la classe de loisir » : des individus à l'abri du besoin matériel et qui n'a pas besoin de travailler beaucoup (rentiers). Ils ont le temps de gaspiller du temps → avoir des loisirs. Une consommation ostentatoire, une dépense vestimentaire pour établir une supériorité sur les autres groupes sociaux. A une epoque ou loisir et temps libre sont des luxe, le simple fait d'en avoir constitue un signe extérieur de richesse. → 1er etude qui cherche à theoriser les pratiques culturelles dans l'identification sociale 2- 1925 : Etude de la bourgeoisie française d'Edmond Globot

« la barrière et le niveau : etude sociologique sur la bourgeoisie française moderne » ce qu'il explique : on reconnaît que quelqu'un est riche à ses pratiques de vie et à ses gouts qu'il met en avant. Ces manières d'êtres ce sont des barrières qui signale la frontière entre les classes sociales . Ces barrières sont très efficaces car même si l'on fait fortune on sera très vite signaler comme quelqu'un qui tente d'imiter des bourgeois. On ne peut pas faire oublier que l'on a pas été socialiser dans le même milieu. → Hexis corporel : les règles qui regissent le comportement physique des individus. : ex : titanic scène B) la distinction (1979) : Un ouvrage fondamental de Pierre Bourdieu Cet ouvrage « La distinction : Critique sociale du jugement » s'appuie sur 17 ans d'enquetes et de reflexions, qu'il a déjà mené (1965 : un art moyen : Essai sur les usages sociaux de la photo, pour le compte de kodak et pathé) ( l'amour de l'art : Les musées d'arts européens et leurs publics, 1966 pour le ministère de la culture). Il va decrire la société française, les differences entre les classes sociales 1- De la hierarchie sociale à la hierarchie culturelle : Une théorie de la légitimité culturelle a- La hierarchie sociale : qu'est ce qu'une classe sociale ? Les classes sociales sont defini par les professions mais aussi les niveau de revenu. Pierre bourdieux défini 3 classes sociales : ( a replacer dans le contexte des années 60) – Populaire – Moyenne (employé de service, instituteur) – Supérieure Bourdieux s'insipire de Karl Marx pour ses études, notamment pour sa variable fondamentale de la definition des classes sociales le rapport au travail, chez Marx on trouve : – la classe ouvrière (working class) – la classe dirigeante la classe ouvrière c'est ceux qui n'ont que leur force de travail à vendre La classe sdirigeante détient les moyens de production Les classes sociales ont des pratiques culturelles très différentes. Les pratiques culturelles sont differentes selon le niveau d'instruction et l'origine sociale. Le niveau d'instruction est encore plus déterminant pour comprendre les pratiques sociales. Ce qui lui fait dire dans « l'amour de l'art » : « l'accès aux œuvres est le privilège de la classe cultivée » Il n'y a pas que la frequence de visites des musées qui change mais aussi la manière dont on mène la visite (22min pour la classe populaire, 35 min pour la classe moyenne et 47 min pour la classe supérieure) b- La hierarchie culturelle : les échelles de légitimité des pratiques culturelles les pratiques culturelles ne sont pas neutres. Elles classent et sont sur une échelle de legitimité. Max Weber (mort en 1920) la legitimité c'est l'autorité symbolique acquise par certaines pratiques. Bourdieux va parler des pratiques sportives dans : Questions de sociologie : Comment être sportif ?: Golf/tennis/équitation Cyclisme/football/pétanque Les premiers auraient des profils de distinction avec des pratiques légitimes Theorie de la legitimité culturelle : il existe une hierarchie culturelle cad un classement des pratiques au plus légitime au plus illégitime. Cette plus ou moins grande legitimité des pratiques et

domaines culturelles est conféré par la valeur que les classes sociales et en particulier la bourgeoisie leur accorde. Cette valeur peut changer d'une ville à une autre, d'un pays à un autre etc ce sont donc les classes dominantes qui vont disposer du pouvoir principale de definir les œuvres et les pratiques culturelles legitimes. Il peut y avoir de grand changement : ex de la petanque qui est devenu tendance à certain endroit, se démocratise. La hierarchie des pratiques culturelles trouve donc son fondement dans la hirarchie sociale « A la hierarchie socialement reconnu des arts correspond la hierarchie sociale des consommateurs » Bourdieu Pour lui il y a une correspondance entre la hierarchie sociale et la hierarchie culurelle. Par exemple, il appelle son ouvrage sur la photographie « la photographie ; un art moyen » c- Musique jazz et musique rapp : deux exemples de processus de legitimation d'une pratique musicale Comment une pratique passe du populaire au légitime ? Pratiques qui se developent au seins d'espace populaire (lieux, personnes), mais en se developpant dans d'autre espace de la société, deviennent des pratiques respectacle voir legitime dans la theorie bourdieusienne la legitimite d'une pratiques culturelles provient de la legitimité sociale de ce qui la pratique jean-louis Fabiani 1986 « sociologie de l'art » « carrière improvisées : theorie et pratiques de la musique de jazz en france » – le processus qui fait que le jazz est passé d'un art maudit à un art legitime en france. Il y a difference instance de legitimation qui interviennent – critiques issus de milieux universitaires qui permettent que le jazz passe du statut de musique noire à un statut d'art moyen : ils vont y voir un rapport esthétique, c'est un...


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