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Ihecs - BAC2 - Psychologie
Je ne suis pas certain de l'année académique...

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GILLART Ysaline

PSYCHOLOGIE DE LA COMMUNICATION Schmitz INTRODUCTION A LA PSYCHOLOGIE 1. 2. 3. 4.

Qu'est-ce que la psychologie ? La pensée de critique et créative Les différents psychologues Les différentes orientations en psychologie

La recherche scientifique en psychologie 1. La recherche scientifique en psychologie 2. La démarche scientifique 3. Les méthodes de recherche en psychologie • • •

La recherche descriptive La recherche corrélationnelle La recherche expérimentale

4. Termes importants LA PERSPECTIVE PSYCHODYNAMIQUE 1. Approche dynamique de la psychologie 2. La psychanalyse freudienne a) Structure de la personnalité • • • •

CA MOI SURMOI Perspective psychodynamique

b) Conscient – Préconscient – Inconscient c) L’angoisse d) Développement de la personnalité • • • • •

Stade ORAL Stade ANAL Stade PHALLIQUE (ou OEdipien) Période de LATENCE Stade GÉNITAL

e) La cure verbale 3. Apports et limites de l’approche psychodynamique

LA PERSPECTIVE BEHAVIORISTE 1. L'apprentissage par conditionnement a) Le conditionnement répondant (Pavlovien) b) Le conditionnement Opérant (Skinnérien) 2. L’apprentissage social et cognitif a) L’apprentissage par observation (Vicriant) b) L’influence des croyances c) Les croyances en l’efficacité personnelle 3. Apports et limites de la psychanalyse behavioriste

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LA PERSPECTIVE HUMANISTE 1. Principes de base de l’humanisme • Son objet d’étude • Ses méthodes • Son but • Ses grandes idées 2. Abraham Maslow La théorie des besoins Les types des besoins La motivation La satisfaction des besoins et le bonheur Individu autoactualisé ou en voie d’autoactualisation 3. Carl Rogers a) La structure de la personnalité L’organisme Le soi Le soi idéal Dynamique entre les 3 pôles b) Le développement des besoins fondamentaux c) La thérapie centrée sur la personne 4. Apports et limites de la psychologie humaniste

LA PERSPECTIVE (NEURO)COGNITIVE 1. L’esprit et la matie re cerebrale  a) Notions de base : le système nerveux b) Composition du système nerveux  Système nerveux périphérique (snp)  SNS : le système nerveux somatique  SNA : le système nerveux autonome  Système nerveux central (snc)  Encéphale  Moelle épinière c) Techniques de Neuroimagerie  Neuroimagerie structurelle  Enregistrements neurophysiologiques  Neuroimagerie fonctionnelle d) Apports et limites de la neuroscience cognitive 2. Sentir et percevoir a) Localisation et identification dans le traitement visuel b) Perception pour l’identification vs. Perception pour l’action c) Modèle intégratif de l’identification visuelle 1. Esquisse primaire (PERCEPTION) 2. Représentation 2D ½ (PERCEPTION) 3. Représentation 3D (PERCEPTION) 4. Représentation structurale (RECONNAISSANCE) 5. Représentation sémantique (IDENTIFICATION)  Concepts du modèle de Marr et de Humphreys & Riddoch d) Déficits de l’identification visuelle  L’agnosie aperceptive  L’angoisse associative  Deficits perceptifs

GILLART Ysaline 3. Faire attention et s’émouvoir a) Cerveau et attention 1. Modèles de l’attention 2. Neuropsychologie de l’attention  Intensité • Alerte et vitesse de traitement • Attention soutenue • Vigilance  Sélectivité • Attention sélective (ou focale) • Attention divisée b) Émotions 1. Définition 2. Catégoriser les émotions a) Les émotions de base b) Les émotions complexes c) Les dimensions de l'émotion 3. Génération d’une émotion : théorie  La théorie de James-Lange  La voie haute et la voie basse de Ledoux 4. Systèmes neuraux (amygdale) 5. Émotions et apprentissage 4. Se souvenir et parler a) Déficits en mémoire : l’amnésie 1. Déficit global 2. Apprentissage, souvenir et mémoires 3. Système mnésique  Mémoire sensorielle (encodage)  Mémoire à court terme  Mémoire de travail  Mémoire à long terme a) Mémoire déclarative (explicite) • La mémoire épisodique (Où ? Quand ? Qui ?) • La mémoire sémantique (Quoi ?) b) Mémoire non-déclarative/procédurale (implicite) • Mémoire procédurale • Système de représentation perceptive • Conditionnement classique • Apprentissage non-associatif Déficits en mémoire : l’amnésie b) Le langage Psycholinguistique 1. Système d’analyse auditive 2. Lexique phonologique d’entrée 3. Accès à la sémantique 4. Systeme semantique 5. Systeme d’analyse visuelle 6. Lexique orthographique d’entrée 7. Accès à la sémantique 8. Lexique phonologique de sortie 9. Buffer phonologique (mémoire tampon) 10. Accès direct de l’analyse acoustique au buffer phonologique 11. Accès direct du lexique orthographique d’entrée au lexique phonologique de sortie 12. Lexique orthographique de sortie 13. Buffer graphémique

GILLART Ysaline 14. Accès direct du lexique phonologique d’entrée au lexique orthographique de sortie 15. Voie de conversion graphème-phonème 16. Voie de conversion phonème-graphème Neuroscience cognitive du langage 5. Penser, raisonner et prendre une décision a) La pensée : contenu vs processus b) La pensée : aspects verbaux c) Fonctions exécutives : définition et modèles Le modèle de Norman & Shallice (1980,1986) Le modèle de Diamond (2013) d) La pensée en développement : Jean Piaget 1. Les stades de l’intelligence selon Piaget Stade I : sensori-moteur (0 à 2 ans) Stade II : préparation aux opérations concrètes (2 ans à 6-7 ans) Stade III : opérations logiques concrètes (6-7 ans à 12-16 ans) Stade IV : opératoire formel (12-16 ans et adulte) 2. Piaget revisité : rationnel partout, tout le temps ? e) Biais cognitifs, biais de raisonnement f) Biais cognitifs & inhibition g) Autocontrôle : le cortex préfrontal ventrolatéral h) Émotions, décisions et cortex préfrontal • Phineas Gage • L’hypothèse des marqueurs somatiques i) Fonctions exécutives & intelligences SE�ANCE DE QUESTIONS/RE�PONSES

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PSYCHOLOGIE DE LA COMMUNICATION Schmitz INTRODUCTION A LA PSYCHOLOGIE 5. Qu'est-ce que la psychologie ? La psychologie est une étude scientifique des comportements et des processus mentaux influencés par : - Les caractéristiques de l’environnement - L’état physique et mental du sujet

6. La pensée de critique et créative : Pensée critique : pensée caractérisée par la capacité et la volonté de s’interroger sur la valeur de toute affirmation et de porter des jugements objectifs en s’appuyant sur des arguments fondés, ainsi que par la capacité de rejeter toute affirmation non étayée par des faits. La pensée critique est scientifique car il y a toute une méthodologie derrière. On se pose des questions, on fait des recherches pour élaborer une théorie et on répond à nos questions. La pensée critique favorise la capacité d’être créatif et constructif : proposer diverses explications des événements, réfléchir aux implications des résultats de recherches et appliquer les nouvelles connaissances à un éventail de problèmes sociaux et personnels. Apprendre à penser de façon critique exige d’abord de respecter les règles de la logique, mais ensuite de se conformer à plusieurs autres principes. Voici 8 principes : 2. Poser des questions et réfléchir : se poser des questions et remettre les choses en question mène à la détermination d’un problème. Généralement on se pose des questions assez neutres pour laisser place à plus de possibilités dans la réponse. 3. Définir le problème : on détermine ce qui est en cause en termes claires et concrets. 4. Examiner les faits : accepter une conclusion non fondée sur des faits n’est pas une pensée critique. La pensée critique s’appuie sur des données empiriques, ce sont des données recueillies au moyen d’observations rigoureuses, d’expériences ou de mesure. 5. Analyser les présuppositions et les croyances : on analyse pour comprendre ce qui a influencé les affirmations et conclusions auxquelles son fait face (stéréotypes, distorsion de la réalité ?). 6. Éviter les raisonnements basés sur les émotions : les émotions sont liées aux sentiments, aux croyances. Elles ne sont cependant pas partagées par tout le monde. Pour atteindre la vérité il faut examiner de façon rationnelle des faits pertinents. 7. Éviter de simplifier a l’extrême : la pensée critique ne s’arrête pas aux évidences, aux généralisations, aux stéréotypes et aux anecdotes, il lui faut davantage de faits. 8. Formuler d’autres interprétations : un esprit critique énonce des hypothèses constituant des explications plausibles de situations, de comportement ou d ‘évènements. Il vise à trouver l’explication susceptible d’intégrer le plus grand nombre de données possibles et de comporter le moins de suppositions possible. L’esprit ne rejette pas trop rapidement certaines explications, il propose un certain nombre d’interprétations des faits avant de choisir celle qui lui paraît plausible. 9. Tolérer l’incertitude : une des leçon de la vie est l’incertitude. Nos conclusions sont parfois provisoires par manque de données, ou solides mais finissent pat être remise en question à cause de nouvelles données. L’esprit critique accepte l‘incertitude et n’a pas peut de dire « je ne sais pas », « je ne suis pas certain ».

7. Les différents psychologues Les activités professionnelles en psychologie se divisent en deux catégories : Les chercheurs et enseignants (psychologie expérimentale) Ce sont surtout des chercheurs en psychologie. Ils étudient différentes problématiques et appliquent les résultats dans divers milieux et enseignent.

GILLART Ysaline En plus de l’enseignement, ils effectuent des travaux de recherches. Ceux si s’orientent selon deux axes : - Recherche fondamentale : accroitre les connaissances relatives à un problème donné. Ils font leurs recherches dans des universités, des centres de recherches, des FNRS - Recherche appliquée : résoudre des problèmes individuels ou sociaux en s’appuyant sur les connaissances fondamentales. Les cliniciens (psychologie clinique) Ce sont surtout des psychologues cliniciens et des psychologues conseils. Le psychologue clinicien fournissent un service psychologique et intervienne dans le domaine de la santé , ils cherche à comprendre et améliorer la sante physique et mentale des individus. Ils évaluent et traitent les troubles et les déficiences d’ordre comportementale, physique ou émotionnelle. Ils sont formés pour les troubles profonds ou les légers mal-être. Ils travaillent dans des centres hospitaliers, établissements psychiatriques, cliniques spécialisées, centres locaux, écoles et cabinets prives. Le titre de psychologue clinicien est reglemente Le titre de psychologue est agree par la Commission des Psychologues (n° d’agrement).  A ne pas confondre avec : Les psychanalystes Psychanalyste est un titre non protege par la loi, c’est une pratique non regie  par des normes strictes.  Voir le cours sur la perspective psychodynamique Les psychiatres Ce sont des médecins spécialises en psychiatrie, c’est-à-dire dans les troubles mentaux et affectifs. Ce sont les psychiatres qui traites les personnes atteintes de troubles mentaux graves en particulier ceux qui sont directement lié à des dysfonctionnements biologiques. Ils sont parfois formés a la psychanalyse. Cette pratique est protégée par la loi Les psychotherapeutes  La psychotherapie  est definie  comme une forme de traitement des soins de sante mentale et non comme une profession des soins de sante spec ifique necessitant un agrement. Elle ne peut etre exercee que par des personnes qui ont deja un titre professionnel et qui remplissent une serie  de conditions. Il faut être detenteur  d’une formation de 70 ECTS et d’un agrement. Les psychométriciens La psychométrie est une approche paramedicale  globalisante (Bachelier). Elle inclut les sciences de la motricite, psychologie, psychanalyse, anthropologie.

8. Les différentes orientations en psychologie Les psychologues chercheurs : ils ne travaillent pas dans un domaine particulier, ce titre désigne leur approche expérimentale. Les neuropsychologues (vs. logopèdes / orthophonistes) : ils étudient l’influence des différentes structures du système nerveux sur le comportement, notamment sur le cerveau. Les psychophysiologistes : ils étudient l’influence sur le comportement de diverses composantes corporelles, comment le corps réagi à certains situations (ex : taux de glucose élevé)  Les neuropsychologues et les psychophysiologistes se spécialisent dans l’étude biologiques qui sous-tendent le comportement.

des composantes

GILLART Ysaline Les psychologues du développement : ils étudient les changements physiques, affectifs, cognitifs et sociaux qui surviennent à tous les stades du développement, de la naissance à la mort. Les psychologues cliniciens et le psychologue-conseil : Le psychologue clinicien évalue les personnes avec des troubles comportementaux et affectifs qui entravent sérieusement leur fonctionnement et leur bien-être. Il évalue l’état du client et décide du traitement. Le psychologue conseil a un travail semblable mais dans des cas moins graves. Les psychologues en milieu scolaire (orthopédagogue) : il y a deux branches dans la psychologie du monde scolaire : le psychologue scolaire est un peu comme le psychologue-conseil. Il s’adresse aux élève, professeurs et parents d’élèves dans le cas de difficultés temporaires reliés à l’environnement scolaire. Le psychopédagogue lui, se penche sur l’ensemble du processus éducationnel dans le but d’améliorer les apprentissages. Les psychologues industriels et organisationnels (DRH) : ils étudient l’environnement de travail sous tous ses aspects, comme la prise de décision ou la structure organisationnelle et proposent des interventions pour augmenter la productivité et diminuer l’absentéisme. Les psychologues de la personnalite : ils cherchent à déterminer les facteurs qui influent sur la constance et les changements de comportement humain au fil du temps.  : Ils se spécialisent dans la mise au point, l’administration et l’analyse de test psychologiques Les psychometriciens dans le but d’évaluer la personnalité, l’intelligence (QI) et de nombreux types de comportements (orientation professionnelle, ... ). Ils travaillent aussi dans l’élaboration de nouvelles techniques d’analyse statistiques. Les psychologues sociaux : ils étudient comment la présence des autres influe sur nos pensées, nos émotions, nos attitudes, notre comportement. Il s’intéresse à tout type de comportement sociaux comme les préjuger, l’attirance

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La recherche scientifique en psychologie 5. La recherche scientifique en psychologie Recherche scientifique : c’est l’art de se poser des questions avec méthode. La méthode est la suivante : 1. Le scepticisme : c’est la remise en question, le doute de toute conclusion récente ou ancienne, On veut une preuve de ce qui est avancé des données par des données empiriques. C’est une manière de revoir nos conceptions de tous les jours. Il faut rester ouvert d’esprit concernant les idées et les faits nouveaux. 2. La précision : on se pose une question sur un problème théorique ou pratique - Formulation d’une hypothèse L’hypothèse est un énoncé qui vise à prédire un ensemble de phénomènes. Une hypothèse scientifique précise les relations entre deux ou plusieurs variables et doit être soumise au processus de vérification empirique. Au départ cette hypothèse est assez générale, ensuite on la reformule avec des termes précis, les plus précis possible. L’hypothèse doit être réfutable. Le cadre théorique est un système de suppositions et de principes organisés, visant à expliquer certains phénomènes et leurs interrelations. Ce cadre est important. Il permet d’orienter la réflexion sur le phénomène étudié et de faire des prédictions et d’en vérifier l’exactitude à l’aide de méthodes scientifiques. 3. La validation empirique : validation d’une hypothèse ne peut être accordée que si elle est prouvée par des faits, par des données empiriques - Ex. : l’autisme et l’inconscient maternel (on aime son enfant mais inconsciemment on le rejette : étude basée sur 3 cas)  ca a fait des ravages auprès des mères. 4. Une dimension publique: Les démarches scientifiques doivent êtres publique, c’est-à-dire accessible à la communauté scientifique. Lors de la publication d’une recherche, le chercheur doit préciser la source de ses idées, la façon dont il les a vérifiées et les résultats qu’il a obtenus. Il doit fournir sur tous ces aspects de l’information claire et détaillée pour permettre à ses collègues de reprendre ou de reproduire ses études et d’en analyser les résultats. Tout article, avant d’être publiée doit être validée par la communauté scientifique qui est comme un jury.

6. La démarche scientifique Avant tout, il doit formuler clairement le problème de sa recherche. Un problème de recherche est une question pour laquelle il n’existe pas actuellement de réponse claire, satisfaisante et définitive. Expérience de Stanley Milgram : Cette expérience consistait à voir jusqu’où une personne est capable d’aller quand on lui ordonne de faire une action qui fait du mal à autrui. Durant cette expérience, un testeur venait tester quelqu’un sur la mémorisation de mots. Dès que la personne se trompait, on lui infligeait une décharge électrique. En réalité, ce n’était pas la personne « testée » qui l’était mais le testeur. Milligramme voulait voir jusqu’où les gens, sous ordre d’autrui était capable d’aller. Cette expérience a été faite dans le contexte post Nazisme. Et à montrer que sous une figure d’autorité les gens pouvaient faire des choses horrible. Les étapes de la recherche : 1. Le contexte théorique du problème de recherche : Il faut formuler un problème de recherche et une hypothèse ou une question de recherche. Le chercheur doit : lire les travaux essentiels sur sa recherche, rédiger la problématique et la définition des principaux concepts, la présentation des résultats et la formulation d’une question ou d’une hypothèse.  Scepticisme et précision Milgram : lire sur le concept d’obéissance, d’autorité et de contrôle social.

GILLART Ysaline 2. La méthode : Il faut déterminer la méthode en fonction de la nature du problème ( voir 3. méthode des recherches en psychologie). Il faut aussi déterminer les outils de mesure et procéder à la collecte des données.  Confrontation hypothèse-faits (vérification empirique), élaborer un outil de mesure pour des variables déterminées précisément. Milgram : reproduire en laboratoire un situation de soumission à l’autorité 3. L’analyse des données Il faut analyser et évaluer les données recueillies. Il faut donc faire un analyse statique des données.  Précision et rigueur Milgram : faire ressortir que la majorité des sujets ont administrés un décharge électrique jusqu'à la fin. 4. L’interprétation des résultats : C’est l’interprétation et publication des résultats. Il faut vérifier si l’hypothèse est confirmée ou infirmée et publier un article ou un livre pour présenter les résultats.  Précision et dimension publique Milgram : conclure que certaines personnes acceptent de poser un geste grave quand l’autorité est grande.

7. Les méthodes de recherche en psychologie • La recherche descriptive (+ et -) C’est un type de recherche qui permet d’observer et de décrire les comportements, mais qui n’en fournit pas une explication causale. - L’observation systématique du comportement : C’est une méthode selon laquelle le chercheur observe et enregistre méticuleusement et systématiquement le comportement, sans intervenir pour que le sujet observé agisse de manière totalement habituelle. La situation peut s’observer dans la réalité, mais on ne provoque pas les évènements, on est donc pas dans une relation de causalité, ou en laboratoire (environnement recréé de toute pièce). L’observation en laboratoire permet au chercher du maitriser d’avantage la situation, il peut utiliser un équipement perfectionné, .. . Dans un contexte d’un laboratoire aménager, une réactivité des sujets peut être observée. Il s’agit d’une réaction provoquée par le contexte de l’observation. Le chercheur s’arrange alors pour que le sujet ai le moins conscience possible d’être observé. Cette méthode a pour but de prédire le comportement d’une personne. - L’étude de cas : Méthode qui consiste à décrire de façon détaillée une pers...