L’organisation des villes PDF

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1er semestre prise de notes cm...

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L’organisation des villes Les villes drainent une part importante la croissance démographique du monde, et des territoires autours. On avait appelé ce phénomène, l’exode rural. Les villes sont l’enjeux des développements de nos jours et des temps qui viennent. À l’intérieur des villes, on va avoir une différenciation spatiale, on va avoir spécialisation d’un certain nombre d’espace pour des usages différents : Zones d’emplois, d’habitations, de formations, de services et de loisirs. Avant le XX ème siècle, toutes ces activités pouvaient cohabité dans un espace très faible, toute à côté voire même dans un même bâtiment. Mais puis, il y a eu une politique de fonctionnalisation des espaces : tel ou tel morceau de l’espace devait être réservé à tel ou tel usage. Division de l’espace en fonction des activités vers 19201930. Dans les pays développer ou émergent notamment en Chine, on a une forme d’occupation de l’espace qui correspond à cette logique de division de l’espace. L’urbanisation par division s’est fortement manifesté après les années 50. On va spécifié l’urbanisation des espaces en interdiction des activités et autorisant d’autres, exemple dans la zone de l’université, interdiction de construire des industries. Ce tri dans l’espace avait des effets pervers. Les milieux sociaux pauvres ont tendances à ce regrouper, pareil pour les personnes riches. Des tendance de quartier mono-colore au niveau sociale (richesse, ethnique, culturelle). Si je suis pauvre : soit je vais en logement sociaux, en périphérie ou en bidonville (ex : camp de roms). Phénomène de gentrification ou d’embourgeoisement ( élévation du niveau moyen des revenus dans un quartier, cette élévation peut avoir deux logiques différents. Soit les même personnes dû quartier qui s’enrichissent, et la deuxième logique est le remplacement des quartiers pauvres par des quartiers riches. Et les populations pauvres vont vers les périphéries) induit par l’autorité publique ou parfois incontrôlé. Les logements sociaux ralentie le phénomène de gentrification, mais les logements sociaux permettent de corriger ces logiques. Notion de Henri Lefebvre: « le droit à la ville », tout le monde doit profiter de façon égales des services de la ville : le droit de se loger dans des conditions décentes, le réseau, l’eau, l’électricité, les services marchands (banques, marchés), les services non marchands (santé et formation) et indemnités environnementale. Dans le monde, 1/3 de la population mal logé. Augmentation du mal logement en Afrique Subsaharienne tandis qu’une petite (très petite) baisse en Chine. ( Bidonvilles de Mumbai qui est très importante avec à côté une ville qui émerge). Carte en France de qui paie l’impôt sur le revenu. On remarque une dynamique, dans les grande ville on a des personnes aisées qui paie l’impôt sur le revenu tandis qu’en zone rurale on en a pas ou peu qui la paie. Carte de Paris : phénomène de différenciation des territoires, des zones avec peu d’emploi et beaucoup de logement, et zones avec beaucoup d’emploi pour pour beaucoup de logement. Il y a aussi l’effet de gentrification

- En géographie on étudie la forme, les processus de ces espaces et de ce qu’il y a dedans. Un des aspect est la temporalité de l’utilisation de l’espace. Rythme journalier de l’utilisation de la voiture. On a des rythmes d’utilisation de besoins différents. Des rythmes journaliers, hebdomadaire, par année et le dernier rythme, celui de la vie où l’on recherche par exemple le lieu d’habitation pour la retraite, pour l’arriver d’enfant....