Sociologie des territoires et des pauvretés PDF

Title Sociologie des territoires et des pauvretés
Course sociologie des territoires
Institution Université de Reims Champagne-Ardenne
Pages 24
File Size 543.2 KB
File Type PDF
Total Downloads 83
Total Views 170

Summary

Download Sociologie des territoires et des pauvretés PDF


Description

Sociologie des territoires et des pauvretés CM1 : 13/09/17 Master iss/ids Sur le bv liste/stages Partiel : 2 sujets pauvretés/territoires , sur chaque thème il y’auras 2 questions une seule à traiter pour chaque matière ( socio des territoires et socio des pauvretés)

Chapitre 1 : Sociologie des pauvretés On a tendance à réduire la dimension de la pauvreté à la question de la pauvreté monétaire, mais elle a pluridimensionnelles, ex : pauvreté relationnelle (isolement social) , pauvreté culturelle cette notion posant quelques soucis car si l’on parle de pauvreté culturelle , qui renvoie à la question de richesse culturelle. Quelles sont les normes de la pauvreté ? Qu’est ce qu’on va considérer comme la richesse ? Ceci est une première manière de décrire la diversité, mais elle pourrait aussi renvoyer à un autre élément de diversité , qui est la diversité des publics, qui peut concerner des publics très différents , avec les questions liées à la pauvreté des jeunes qui n’est pas la même pour les vieux pauvres. On peut parler de l’expression arrivée dans les années 2000 avec les « working poor » Le travail ne protégerai pas de la pauvreté. Cette diversité est donc une diversité publique , et une diversité de réponses, quelles sont les réponses notamment d’aides financières pour les personnes en situations de pauvreté , qui constituent donc une diversité de réponse , la société ne répond pas de manière homogène selon la classe sociale, l’âge , etc. On vas évoquer des notions proches de la pauvreté comme la précarité , exclusion , indigence… I. II. III. IV.

Sociologie de la précarité La pauvreté une réalité à définir La pauvreté une réalité à observer La pauvreté une réalité à penser

Sociologie de la précarité I. A. Une notion ancienne D’où vient cette notion, qu’elle sens peux ont lui donner, comment a elle émerger ? Au 13eme et 14eme siècle le terme précaire apparais, en même temps que la notion de misère et d’indigence (1336) , on vas se focaliser sur le terme précaire . A l’époque on distingue deux termes le précaire et la précaire, J.Favier définit la précaire comme l’acte de requête par lequel un vassal demander à son seigneur de lui faire un don suffisant pour assurer sa subsistance . Cette définition s’inscrit bien dans les rapports sociaux de l’époque, il y’a un lien de dépendance entre

le Seigneur et le vassal et un rapport de domination, il n’existait pas de réponse spécialiser comme un bureau de bienfaisance (aujourd’hui centre communal d’action sociale ) dans ce contexte là on a pas de réponse de nature religieuse. Dans cette définition , on souligne la référence à la subsistance (notion minimum vital , vital, de survie) et l’idée de don M.Mauss montre que pour lui le don au sens unique n’existe pas il considère que le don répond à une triple obligation : donner , recevoir , rendre, il considère que dans tout don il y’a bien une personne qui vas donner et une autre qui reçoit et implicitement il y’auras toujours une notion de dette ‘’ le rendre ‘’ le don nécessiterais toujours une contrepartie quelle que soit sa nature. (Mouvement de Mauss anti utilitariste en science sociale qui s’oppose au courant qui considère que tout acte renvoie au principe d’utilité). A partir de là ce pose la question qu’elle est la contrepartie attendue du seigneur de la part du vassale ? On pourrais répondre cette définition en terme d’état de besoin , personne qui ne peux pas assurer sa subsistance et c’est le besoin qui légitime l’acte de requête , la notion de besoin au moyens âge comme aujourd’hui reste l’élément fondateur dans la notion d’assistance , la précaire s’inscrit dans les dispositif d’assistance à l’époque l’état de besoin signifie que la personne est dans l’incapacité de répondre à ses besoins et selon l’organisation des sociétés il y’a différentes réponses et dispositif d’aides sociales. Le précaire c’est le bien concédé par le puissant à celui qui se place sous sa protection (J.Favier) l’aide qui est apporter par le seigneur n’est pas forcement monétaire , ca peut être un droit , une terre mise à disposition le bien peut prendre différente forme mais le fait que le seigneur l’accorde à la personne lui permet de sortir de sa situation de subsistance , il emploie le terme de bien concédé on peut sous-entendre une notion d’obligation le statut de seigneur doit assistance à ceux qui sont sous sa responsabilité , ici aussi il y’a une relation de dépendance. Différence entre les 2 termes : la précaire c’est le processus de demande et le précaire c’est l’aide qui vas être accorder c’est le résultat donner à la requête. On retient quatre points importants : 

 



La précarité s’inscrit dans une relation sociale non symétrique (seigneur-vassale/hommedivinité) mais obligatoire et naturel ( elle vas de sois elle est intégrée dans les coutumes de la société , on a pas de sentiment de honte à aller le demander) La précarité s’inscrit dans le droit et à la norme, elle est inhérente à cette société. La précarité construit une forme de dépendance dans le rapport à l’autre (au seigneur) et d’incertitude dans le rapport au temps (incertitude du devenir de la requête, si ma requête vas être accepter, si je vais l’obtenir) la précarité s’inscrit dans un rapport au temps court elle interdit une projection dans le temps. Dans ce contexte historiques la précarité est constitutive des conditions humaines (beaucoup de personne connaissent cette situation) et elle ne constitue pas vraiment pas un problème elle est inhérente à l’organisation sociale.

B. Une notion actualisée : Le rapport Wrésinski La notion de précarité redeviens depuis la fin des années 70 ( fin des trente glorieuse , choc pétrolier..) un terme courant du discours politique ; il y’a un changement par rapport à la pauvreté qui était relativement réduite avant cette période c’était une pauvreté héritée , pauvreté structurel , qu’on ne peut pas réduire. L’élément nouveau qui va être introduit fin

années 70 c’est que les personnes qui jusque-là n’étaient pas en situation de pauvreté vont être fragiliser par les transformations socio-économiques et cette fragilisation vas se traduire par la précarité on s’est mis à parler de nouvelle pauvreté c.-à-d.. des nouveaux pauvres qui avant n’étaient pas concernés. Le terme de précarisation qui est un signifie processus de précarisation vas apparaitre, il y’a eu la découverte du surendettement dans les années 80s. La notion d’exclusion elle est apparu vers les années 85, 86. La loi du 1er décembre 1998 introduis en France le RMI (devenu RSA en 2009). A partir des années 1972-1974 augmentation des divorces et diminution de mariage – fragilisation familial, c’est là que vas émerger la notion de famille mono—parentale et la prestation d’allocation parents isolées. C’est dans ce contexte que la notion de précarité vas fortement réapparaitre, les transformations ont affecté notre société et ont rendu la question de précarité plus visible . Le rapport Wrésinski a été publié le 11 février 1987 ‘’ Grandes pauvretés et précarité économique et sociale’’ Wrésinski est le fondateur de l’association ATDQM caritative et humanitaire qui avait pour but de venir en aide aux personnes en situation de grande pauvreté ( pauvreté héritée – structurel qui vivait dans les cités de transit) pour aider les plus pauvres à s’affranchir de leurs pauvreté . Il avait fait un rapport pour le CESE qui est une des institutions françaises appeler avant conseil économique et sociale devenu aujourd’hui conseil économique et sociale et environnemental). C’est une instance consultative qui n’as pas de pouvoir de décision mais qui est constituer de représentations des sociétés civiles. Ces CESE doivent donner des avis sur des thématiques de gouvernement ou d’eux-mêmes c’est leurs avis qui est à l’origine du RMI c’est une instance consultative, c’est plus un lieu d’influence que de décision. Ce rapport reste une référence aujourd’hui lorsqu’on parle de précarité la définition continue à faire référence dans la plupart des travaux actuellement. Définition de la précarité : (Du rapport page 25) «la précarité est l’absence d’une ou plusieurs des sécurités permettent aux personnes et familles d’assurer leurs responsabilités élémentaires et de jouir de leurs droits fondamentaux ... » cette définition a deux éléments clefs responsabilité élémentaire et droits fondamentaux qui renvoient à la question de sécurité et d’insécurité , l’idée c’est la présence de sécurités qui vas faire que la personne ou que les familles soient en précarité , on souligne aussi le ‘’une ou plusieurs’’ cette absence de sécurité peut toucher différents domaines de la vie ce qui risque d’autant plus de fragiliser les personnes « cette insécurité conduit le plus souvent à la grande pauvreté quand elle affecte plusieurs domaine de l’existence qu’elle tend à se prolonger dans le temps et devient persistante et qu’elle compromet gravement les chances de reconquérir ses droits et de réassumer ses responsabilités par sois même dans un avenir prévisible ... » on retient que la précarité est un état intermédiaire ( elle conduit à la grande pauvreté) c’est-à-dire que la précarité est une forme d’équilibre instable , on se demande si l’absence d’une ou plusieurs sécurité vas disparaitre et laisser apparaitre une stabilité ou si elle vas amener à une situation de grande pauvreté à un moment donnée la personne ou la famille vas être vulnérable et selon la manière dont on vas faire face à cette vulnérabilité on vas retrouver un équilibre ou dans d’autres situations la vulnérabilité vas s’étendre dans les domaines et dans le temps et à partir de là elle vas persister et amener à une grande pauvreté , d’exclusion , désaffiliation… Lorsqu’elle devient sans recours elle mène à l’exclusion plus le temps passe plus la situation deviens difficile à gérer, et les individus perdent la responsabilité. Il évoque le terme les différents domaines , principalement il y’a 5 domaines sensibles dans lesquelles la précarité peux s’exercer : domaine éducatif qui permet d’assurer les apprentissages fondamentaux , la capacité d’accompagner les enfants dans leurs apprentissages

fondamentaux sachant que dans les parcours de vie des personnes en situations de précarité on trouve souvent un rapport compliqué avec l’école (échec scolaire…) et les relations entre les parents et l’univers scolaire c’est la représentation sociale pour les enseignants de ses parents cà-d. l’absence des parents est souvent associé à un désintérêt des parents vis-à-vis de la scolarité de leurs enfants ce qui révèle de privilégier une forme d’interaction en évitant de tomber dans le discours de la faute et de la responsabilité individuelle , on parle de terme d’interaction pour dire qu’il faut une interaction parents-école pour que l’apprentissage se fasse qui dépend de la représentation que les parents ont de l’école , l’analyse de la précarité renvoie alors à l’analyse des processus sociaux notamment les rapports entre les enseignants et les étudiants en difficultés . Le deuxième domaine est celui de l’emploi et de la formation ou se pose aussi la question des interactions , le troisième domaine est celui de planché de ressource (revenu) de façon à ce que l’absence ou la présence de ressource peux fragiliser , le quatrième domaine est celui du droit à l’habitat , on évoque DALO et la loi du 5 Mars 2005 qui a instaurer le droit au logement et qui répond aux difficultés par rapport aux logement il y’a aussi la question de la santé et de l’accès aux soins qui n’est pas uniquement d’ordre financière mais qui révèlent aussi de l’interaction comme le refus de certain médecin d’accepter la CMU , le dernier domaine est celui de la promotion individuel et familiale c’est tout ce qui touche à la re insertion et le maintien de l’intégrité familiale , maintenir la famille dans son intégralité on évoque les formes de placement… CM 2 : 20/09/2017 C. Une notion redéfinie le précariat 1. De nouvelle forme de précarité On a différents travaux permettant d’illustrer : E.Maurin « les nouvelles précarité » ou il mets en évidence un certain nombre de tendance statistique sur le développement pour montrer comment ce sont fragiliser les relations d’emploi , cela recouvre en premier lieu la fragilisation des relations d’emploi qui se traduit notamment par le développement caractéristiques des années 2000 mais qui continue aujourd’hui qui se traduit par un développement massif des contrat à durée déterminée qui représentent plus des deux tiers des contrats d’embauche , il faut distinguer le flux d’entrée du stock de salariées si on prend l’ensemble des salariées on est pas dans les même chiffres ici on est que sur les flux d’entré c’està-dire les nouveaux recrus , de ce fait on pourrais se demander si le CDD n’est pas devenue une nouvelle norme d’entrée dans l’emploi qui avant pouvais se faire par le biais de CDI ( norme statistique du terme mais aussi norme sociale) . Ca se traduit aussi par un autre point qui traduit la fragilisation des relations salariales l’auteur dit que le risque annuelles de perte d’emploi a augmenté de 30% pendant 20 ans pour tous les métiers salariés , en soulignant que cette fragilisation touche tout le monde mais avec des degrés divers , on peut distinguer deux choses dans ces degrés la première c’est qu’en fonction des niveau de diplôme le degrés de fragilisation n’est pas le même ( personnes – diplômés + exposés aux risques) , les emplois qui sont les plus exposées sont ceux qui relèvent d’une relation de service et notamment les services directes aux particuliers ( emplois développer depuis une quinzaine d’années , intervention à domicile , ménage , garde d’enfants et ceux qui relèvent de la prise en charge de personne âgées et handicapés appeler les services d’emplois aux personnes ) qui sont généralement fragile parce qu’ils sont rarement à temps plein , et ils sont très tributaire des personnes ( il y’a très peu de garantie d’emploi on est en plein dans le champs de la précarité). Ces transformations du salariat et ce développement de fragilité du salarié renvoie au transformation économie tourner vers la production de service.

Au-delà de cet article et des statistiques il y’a l’article de Paul Bouffartigues son analyse porte plus sur une typologie « Dégradation du salariat et nouvelle forme de précariat » ou il mets en évidence des nouveaux types de fragilité , il parle de figure , la premier figure qu’il mets en évidence c’est la précarité professionnel par laquelle il entend « la précarité professionnel est un processus multi dimensionnel touchant à l’emploi , au travail et touchant aux droits sociaux et syndicaux… » sur la 1ere dimension « emploi de droits de faites » : car un CDD est un contrat précaire selon lui cela fait parties des formes particulières d’emploi ( CDD, intérim, apprentissage et contrat aidée ,temps partiel non choisi) selon l’INSEE . Dans cette notion de précarité professionnel il parle d’emploi mais aussi ce qui est relatif au travail il dit que c’est notamment « la détérioration » qui envoie au fait de la réduction d’autonomie, développement protocole dans certains secteurs o vas de plus en plus protocoliser certaine tache et les salariés vont avoir moins d’autonomie vu qu’ils doivent se repérer aux points du protocole qui vas impacter la motivation des employés. Le deuxième aspect est celui de la pression mise en direction des salariés pour atteindre les objectifs quantitatifs fixées (ex : les personnes des EPAD à 13 minutes de toilettes par personnes). Le troisième facteur est celui des droits sociaux et syndicaux c-à-d de voir comment les personnes employées dans le cadres de ces emplois ne bénéficient pas des mêmes droits sociaux que les autres salariées types comités d’entreprise et bénéfice secondaire, l’auteur considère que globalement la précarité professionnel et social concernerait un tiers des salariés. L’auteur souligne aussi l’émergence de nouvelle figure celle du travailleur précaire assisté qui émane du sociologue Serge Paugam qui a été le premier à utiliser cette expression en 2009 , il définit cette notion de travailleur précaire comme l’obligation fait à l’assisté de travailler pour percevoir ses prestations sociales sa fait référence aux travailleurs pauvres , (la personne vas travailler mais vas devoir avoir recours à l’assistance à cause de ses faibles revenus comme le RSA activité dédiées aux personnes qui travaillent déjà mis en place en 2008 ), il y a pour les personnes bénéficiant du RSA des obligations de rendre sous condition (bénévolat de 7h minimum par exemple) On vas donc associer travail avec assistance dans l’idée de réduire le recours à l’aide social. La notion de précariat est un néologisme qui a été créé en 2006 et qui est l’œuvre Robert Castel du texte ‘’ et maintenant le précariat ‘’ publiée dans le Monde le 29 avril 2006. Ce texte est consécutif à un ensemble de mouvement qui ont eu lieu à la même année à l’époque la cible c’était le contrat de premier embauche le CPE et le contrat d’apprentissage rendue possible à partir de l’âge de 14 ans, ce projet a fini par être retirée et le CPE n’as jamais vu le jour c’est suite à ça que Robert a introduit cette notion ‘’ et maintenant le précariat’’ La précarité serait alors une étape d’un contrat professionnel mais si elle était en train de devenir un état ? Un nombre de personne passent de stage en stage…’’ il essaye de dire que dans la conception des années 2000 la précarité était vu comme une étape c-à-d que dans un parcours professionnel l’entrée dans l’emploi serais par un CDD qui serais une étape qui déboucheras à une situation stable celle du CDI , c’est une situation temporaire mais il se demande si finalement elle finissait par devenir un état il s’interroge sur le fait que si ce qui était au départ une étape devient un état qui s’inscrit dans le temps pour devenir une situation durable et non temporaire , pour lui cette situation de précariat ne remplacerait pas le salariat mais serais une situation entre la précarité et le salariat. On s’interroge sur la question d’insertion et ce qu’elle recouvre. (CF :Castel « Au-delà du salariat ou en deçà de l’emploi ? l’institutionnalisation du précariat » remise en cause du modèle de la société salariale qui a constitué une nouvelle norme sociale celle d’appréhender l’emploi en France) .Pour lui à partir des débuts années 80 et fin 70 on vas assister à l’effritement du modèle de la société salariale c-à-d une remise en cause progressive des normes qui ont été érigé ultérieurement , l’institutionnalisation du précariat serais en fait

l’émergence visible du processus d’effritement , le modèle de la société salariale se traduit par des nouvelles formes de précarité qui elles vont affecter certaine partie de la population , on pourrais considérer la loi sur le RSA comme meilleur indicateur. Question partiel année d’avant : Après avoir montré comment s’est constituer la notion de précarité au fil du temps vous en donnerais la définition et des illustrations par des exemple contemporain (ex : point C A du cours) Qu’apportes la notion de précarité ? (On peut donner exemple réel de notre expérience..) II.

La pauvreté une réalité à définir :

Nous allons aborder la question complexe de comment définit-on la pauvreté ? C’est une question multiple c’est d’abord une question politique c-à-d que politiquement cela n’as pas le même impact) deuxièmement la France n’est pas la seule à être confronter à la pauvreté, il y’a donc une question internationale ( notamment européenne) avec le fond social européen : lutte contre la pauvreté. Selon comment on va se cantonner la pauvreté monétaire ou une pauvreté plus large. A. La pauvreté monétaire (Livre de A. Fusco « la pauvreté un concept multidimensionnelle » disponible à la BU – page 42) Pour définir la pauvreté monétaire on distingue trois choses différentes : la pauvreté absolue, la pauvreté relative, la pauvreté subjectif. 1- La pauvreté absolue Cette notion se rattache à un courant intellectuel de la fin du 19eme siècle : le vitalisme (Bichat) ‘’ la vie est l’ensemble des forces qui résistent à la mort’’ pour définir la pauvreté absolue on va définir d’abord le minimum vital c’est le montant de ressources qui vont être nécessaire pour ne pas être entrai...


Similar Free PDFs