Sociologie des médias - Notes de cours 1 PDF

Title Sociologie des médias - Notes de cours 1
Course Sociologie de la Communication et des médias
Institution Université Catholique de l'Ouest
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Sociologie de la communication et des médias : Chapitre 1 : Les effets directs des médias Introduction : Première leçons : Tout le monde peut donner son avis ou un jugement sur les médias. Le domaine de la communication est perçu comme évident. On pense qu’on peut comprendre en peu de temps. Nous devons décrypter les différents messages des médias, en allant au delà des premiers messages reçus, de l’évidence. Dans ce cours on apprend à regarder autrement un phénomène de communication. Il y a un rapport au pouvoir dans la communication.

Plan : I.

Explication du syllabus 1. 2. 3. 4. 5. 6.

II.

Objectifs Contenus Calendrier Bibliographie Evaluation Méthodologie

Introduction à la sociologie de la communication et des médias

Critère d’évaluation : Contrôle continu Note 1 (40%) : évaluation continue du travail collectif durant les CM (assiduité, dossier). Note 2 (CC2) (60%) : un écrit sur table de deux heures, date à communiquer ultérieurement par la Faculté des Humanités. Cet examen final permet de réviser l’ensemble des connaissances acquises tout au long de l’enseignement 2è session (de rattrapage) : un écrit de 2 heures

Consigne pour le dossier collectif : 1 - Composition de groupe : un groupe composé uniquement de 3 étudiants. Dernier délai de la composition de groupe : 2è séance de CM. Sanction pour tout retard (moins 30% de la note du dossier) 2 - Travail collectif avec participation de chaque membre : merci de signaler rapidement une nonparticipation d'un membre de votre groupe 3 - Rendu du dossier : selon deux modalités Chacun de 3 chapitres est à rendre au fur et à mesure du déroulement du cours Le dossier complet du groupe est à rendre à la fin du semestre 2 (date à communiquer ultérieurement)

2.1 Difficulté d’une réflexion sur la communication Nous sommes habités par des préjugés. Nous pensons naïvement que c’est évident de comprendre les phénomènes de communication qui sont des plus banales et trivial. On fait la différence entre la culture savante et ... : Les américains ont un rapport beaucoup plus positif au médias comparé aux Européens (ils en ont peur) : Regards lourd de présupposés et de préjugés sur les mondes de la communication. Illusion d’une supposée facilité à analyser des objets les plus banals courants…. La communication = la chose du monde là mieux partagée ? L’illégitimité culturelle, politique et économique des grands médias. Les formes extrêmes - De la critique - De l’apologie ( genre littéraire visant à argumenter en défense contre les attaques visant une personne ou une doctrine) La tension raison / technique au cœur de la question de la communication. Le discrédit historique frappant les médias  des jugements spontanée négatifs L’illégitimité culturelle, politique et économique des grands médias : Idéologie les médias sont des moyens de manipulation : Ce que l’homme n’est pas capable de faire, les machines le feront pour lui. Les médias subissent un discrédit par l’histoire, les deux guerres mondiales ont été très lié aux technologies de communication. Les médias ne sont pas légitimés. La source de ce phénomène : la hiérarchisation de nos sociétés et la distinction entre produits culturels au XIXème siècle. Création des bourgeois. La culture : définie comme exigence de rareté et de distance intellectuelle, mise à l’écart du commun au profit des happy few. Certaines formes jugées intrinsèquement supérieur : livre, art … La télé transforme tout en divertissement Une peur politique du nombre, de la massification : assujettissement, endoctrinement des individus par les outils de numérique. La peur de l’industrie et de la technique : un mercantilisme des médias fabriquant à la chaine des ersatz de culture et de pensée  caractère moutonnier, vulgaire irresponsable des masses 1° Formes extrêmes de la critique : Une forme de prêtrise intellectuelle (lettré) spécialisée dans la condamnation régulière des médias. L’Etat s’arroge un droit de regard, une maitrise des rands outils de communication dans un souci « éducatif » ou « public » La philosophie des lumières : se détacher de la religion, et de la raison des autres (idée d’obscure)  condamné le moyen âge. La religion est créée par l’homme pour faire oublier le côté pénible de la vie. Au lieu de critiquer la religion on critique les médias avec le même type de raisonnement qu’avant pour critiquer la religion.

Le nihilisme : tout est vide, elle est très présente à certains moments de l’histoire. Doctrine ou attitude, fondée sur la négation de toutes valeurs, croyances ou réalités substantielles. Souvent associé au pessimisme ou au scepticisme radical, le nihilisme nie ou émet des doutes, quant aux causalités, intentionnalités et normativités de l'existence. Cette notion est applicable à différents domaines : politique, littéraire, religieux et philosophique. 2° Formes extrêmes de l’apologie : Autres obstacle : discours excessifs apologétique de la communication Populisme culturel : vanter supposés qualité participatives et festives La pensée de Mac Luhan (dans les années 50 il a faut une prophétie) : -

Le monde grâce au média deviendrai un village  idée de globalisation idée utopiste sur l’audiovisuel et ses compétences = prophétisme communicationnel.

- Il pensait que la puissance et l’efficacité des médias aiderai à l’intercompréhension. C’est une utopie, ce n’est pas parce que nous connaissons que pour autant nous comprenons. L’utopie (mot forgé par l'écrivain anglais Thomas More, du grec οὐ-τόπος « en aucun lieu ») est une représentation d'une société idéale sans défaut contrairement à la réalité. Les rêves de Norbert Wiener, père fondateur de la cybernétique, chargée d’améliorer l’humanité en la dotant de « cerveaux électroniques », éliminant l’erreur et la barbarie par la parfaite transmission de l’information. En fondant la cybernétique, Wiener introduit en science la notion de feedback(rétroaction). Il exposa ses théories sur la cybernétique dans son livre Cybernétiques or Control and Communication in the Animal and the Machine1, parution qui bouscula durablement jusqu'au scandale, le monde des idées, traversant la pensée scientifique et philosophique de la deuxième moitié du XXe siècle, dont il est à ce titre, un des grands penseurs. La technique ne ressoudera jamais le problème humain. Puisque l’homme ne peut pas le faire, la technique le fera. La haine se trouve dans le cœur ou la main de l’homme. Promesse d’un monde transparent, fondé sur l’interactivité, délivré de l’intercompréhension par une meilleure technique. Pensée de l’éloge des médias. 3° La tension raison / technique au cœur de la question de la communication Imagination portant sur medias = un imaginaire de la modernité technique et social. La tension entre la raison et la technique est inévitable. Internet soit investi d’un pouvoir émancipateur, soit d’une puissance d’aliénation. Enracinée dans une oppositions profonde dégagée par la philosophie de l’antiquité grecque - Raison : vue comme saisie immédiate du vrai, levée des illusions. Toute médiation est maléfique, dénaturante. - Technique : vue comme médiation extérieure, efficacité mais déviation, imagination 4° Le discours sociologique : Adopter un regard des sciences sociales sur les médias : rejeter l’idéalise et la sophistique.

Le social ne se réduit pas à la technique. Une technique n’impose pas une seule forme d’usage. Une technique sera utilisée celons ce qu’on est socialement. La raison ne réside pas entre nous mais entre nous. Processus où des vérités communes sont peu à peu établies. Les médias qui relient les hommes forment des cultures et participent de culture tout en favorisant, en sapant ou en stabilisant des pouvoir. Religion  relié des hommes autour d’idéologie. Le mouvement des gilets jaunes est un contre pouvoir  relies des hommes autour de même envie. Construire un cadre d’interprétation des phénomènes observés et accepter de le soumettre aux épreuves de l’examen empirique. Refuser de donner des réponses simplissimes à des questions complexes : - Les contenues violents des médias engendrent-ils la violence ? référence au lien de causalité.

-

Les médias manipulent-ils l’opinion ? Internet détruit-il la lecture ? Le numérique est-il le sésame pour un monde meilleur ? le numérique  utopie de croire que ça peut créer un monde parfait

Eviter de tomber dans les travers de la dénonciation … 2.2 La communication : un objet à trois dimensions 1° le niveau naturel ou fonctionnel : Il y a des mécanisme de communication qui sont fondamentaux  modèle Shannon 2°Le niveau social ou culturel (culturel) : Expression des identités et des différents, de la délimitation des groupes et de leurs relations  to 3° le niveau de la créativité (politique) : La communication = une activité normative, éthique, politique, comme une relation dynamique entre pouvoir, culture et choix démocratique.

2.3 Cinq étapes dans la réflexion sur la communication 1° étapes – la fin du XIe siècle et l’essor manque » d’une science sociale de la communication En Europe : Une analyse complexe des médias dans les écrits de pères fondateurs européens de la sociologie : Marx, Tocqueville, Weber Une pensée tributaire d’un pessimisme à l’égard de la modernité  obstacle Le processus de sécularisation, le passage à un univers industrialisé et le basculement vers la démocratie  un sentiment d’angoisse extrêmes puissant Les médias sont des outils qui permettent tout ça :

- les concepts de désenchantement (Weber), La modernité selon Weber c’est le culte de la rationalité au détriment du sens. - les concepts d’aliénation (Marx), devenir étranger à sois même. - Les concept d’anomie (Durkheim) : peu propices à l’étude des médias de masse, l’urbanisation jette les gens dans l’anonymat, le fruit amer de cette perte de cohésion entre les individus. Être livré à soit même dans le monde moderne. En Amérique : Par comparaison, les auteurs américains (Peice, Dewey, Park, Mead) proposent des visions moins anxieuses du nouveau phénomène communicationnel. Des modèles plus complets de la relation d’échange et des protocoles empiriques pour l’étudier Créer une atmosphère intellectuelle plus proche ……….

2° L’obsession des objets : le temps des angoisses et des effets Les penseurs deviennent obsédés par les objets, la technique. Contexte des 2 guerres mondiales : les objets vont devenir la cible des critiques Les discours sur les effets supposés des médias de masse sur les comportements individuels : Behaviorisme : Historiquement, le béhaviorisme est apparu au début du 20e siècle, en réaction aux approches dites « mentalistes » faisant de la psychologie une branche de la philosophie. Aux ÉtatsUnis, le concept de conscience était de plus en plus remis en cause. « Panique morales » : dénoncer l’influence néfaste des médias sur les populations : la violence, le mauvais gout, la révolte, la soumission. Nouvelle théorie marquées par l’obsession des objets : Réduction de la communication humaine aux phénomènes biologiques et physiques et idéalisations des supports techniques de l’échange (la cybernétique, le Mac Luhanisme

3° le passage à une science sociale des médias et de leur public : le jeu production-réception Naissance des sciences sociales de la communication  Europe, 1960-80. Il repose sur une relativisation des objets au profit d’une valorisation des logiques d’action : les médias ne sont que des éléments du grand ensemble social et non les déterminants externes de cet ensemble. Les médias sont médiés par les groupes et les individus. La communication n’est pas tant un donné ni un flux de données qu’un rapport permanent de sens et de pouvoir.

4° le concept d’espace public : penser la communication par la démocratie : Analyser la dynamique entre deux éléments, perpétuellement sous pression l’un de l’autre 5° le retour aux objets ou l’impossible régression : Fin XX et début XXIe siècle : retour aux questionnements sur les objets. Forme visible et banale d’une cascade d’utopies ou de contre-utopies technicistes. La technique, vue comme un construit intégrant les processus sociaux qui rendent possible son existence et son efficacité ; La séparation de l’objet technique des processus sociaux  une méconnaissance de la réalité des objets : une idéalisations de leurs bienfaits ou une idéalisation de leur perversité.

Plan :   

Contexte Théorie des effets directs / effets forts des médias Regard critique

Petit traité de la propagande à l’usage de ceux qui la subissent, Etienne F. Augé, 2008. 1.1 : contexte En Europe et, en partie, aux états unis : un regard sociologique de plus en plus négatif à l’égard des médias. Pendant près d’un siècle, depuis la diffusion des idées révolutionnaires américaines (1776) et française (1789) : un rapport optimiste au média papier : La presse idéale démocratique et l’idéologie de progrès économique, technique, scientifique, liberté d’opinion, liberté de la presse. Fin XIX siècle, confiance effondrée, l’industrie devenue synonyme de vaste et inquiétante mutation sociale. Médias = objet de manipulation et de dégout Certaines visions du social mises en place avec la publication des ouvrages marquants : - La psychologie des foules - La révolte des masse - Public opinion  Dénoncer la montée d’une figure dangereuse d’opinion collective, la masse ou la foule, irrationnelle et hystérique Idée de LeBon : - L’irresponsabilité - La « contagion » - La suggestibilité Walter Lippmann : Il critique la conception naïve du citoyen omni compétent, informé et rationnel. Critique une conception naïve de la démocratie : croire que les citoyens s’informent, réfléchissent rationnellement aux enjeux et en arrivent à former des opinions politiques. Usages des médias de masse lors des guerres mondiales, recours de régime totalitaires aux médias de masse.  Question de la propagande médiatique : un soupçon récurrent de manipulation envers les médias de masse  Ces phénomènes ont alimenté la thèse des effets forts, directs des médias. 1.2 origines de la peur des effets des médias Dès l’antiquités, la république de Platon : Socrate expulse les poètes de la cité parce que leurs histoires susceptibles d’abuser les plus jeunes. Cette condamnation épouse des formes différentes dans le temps.

Au XIX siècle, les roman-feuilleton mettant en scène la vengeance de héros persécutés par de vils bourgeois étaient accusé de faire le lit du socialisme. L’entre deux-guerres, la radio censée décerveler les femmes qui écoutaient leurs feuilletons. La radio créditée d’une influence énorme à la suite de la prise de pouvoir nazie en Allemagne. Développement des médias pour jeunes, musique rock et bande dessinée dans les années 1950  l’accroissement de la délinquance juvénile La télévision, occupant depuis les années 1960 : supposée véhiculer la violence sociale et individuelle Aujourd’hui, internet et jeux en ligne = préoccupations concernant la santé (dépendance numérique, violence … 1.3 le contexte épistémologique Influence de la psychologie début XXe siècle, habitée par le rêve de rejoindre les sciences naturelles dans une vision purement mécaniste de l’homme. Un socle épistémologue commun : - L’étude des foules par LeBon - Le behaviorisme (le comportementalisme)  le comportement doit être analysable et contrôlable Le principal théoricien du behaviorisme : John B.Watson : psychologie expérimentale et objective en réaction à la psychologie de l’introspection Le comportement = une réponse à l’environnement Le conditionnement des comportements : modèle stimulus – réponse Adaptée et simplifiée, la thèse behavioriste du conditionnement des comportements sers de base aux analyses de la propagande née durant l’entre deux-guerres. 2 théoriciens : - Serge tchakhotine en Europe : dénonce la propagande des régimes dictatoriaux - Harold Lasswell aux Etats-Unis : s’intéresse aux possibilités de contrôler l’informations dans les régimes démocratiques 2. Théories des effets directs / effets forts des médias 2.1 le serge tchakhotine : le viol des foules L’association répétée de slogans et de symboles simples à des affects primaires : conditionner les masses manipuler les comportements des foules, guider les engagements politiques de citoyens. Homme guidé par 4 pulsions fondamentales (besoins) : - le combat, - l’alimentation, - la sexualité et - la procréation Principe ou art de la propagande : diriger ces pulsions non plus vers les objets concrets qui y sont naturellement attachés (l’adversaires, le repas, le partenaire sexuel, l’enfant), mais vers des objets de substitution imaginaires et symboliques Ces objets de substitution sont incarnés à travers des stimulis - visuels (le logo, le drapeau, l’affiche), - sonores (hymnes, chants, musiques),

- verbaux (slogans, mots d’ordre). Si ces symboles sont dument et efficacement choisis : - Leur simplicité et leur impact sur la perception - en évitant l’argumentation mais privilégiant la répétition et l’incarnation  Ils finissent par déclencher un réflexe d’obéissance  Ils peuvent influencer à volonté l’inconscient collectif et domestiquer les foules il retrouve l’idée de la suggestibilité des foules chez Lebon : une forme d’hypnose collective  transformer les publics en véritables robots politiques Influence de la propagande n’est pas uniforme : le degré de résistance aux techniques de manipulation dépend essentiellement du niveau d’éducation Vision terrifiante des techniques de conditionnement et de manipulation politiques : le récepteur = une victime passive et aliénée. But militant de tchakhonie : non seulement dénoncer l’utilisation de la propagande par le nazisme, mais appliquer des recettes similaires pour une contre-propagande politique efficace. 2.2 Harold Laswell – seringue hypodermique injecter une idée une valeur dans la peau du public. Il est dans l’idée de promouvoir des idées positives sur la propagande. Harold Dwight Lasswell est un chercheur américain, pionnier de l'étude de la communication de masse et de la science politique. Sociologie de la communication des années 1930 -1950 un programme de recherche formulé de manière interrogative : - Son fameux des 5 W - « Who say What to Whom in Which channel with What effect »  Études des émetteurs, des contenues, des audiences, des médias des effets Analyses de Lasswell se placent dans le cadre des sociétés démocratiques et adoptent résolument une démarche pragmatique, instrumentale. Le postulat de Lasswell = les démocraties elles aussi doivent en passer par la propagande Une propagande= u moyen de gérer de gérer rationnellement les opinions des citoyens. Déterminer quelle est la meilleure stratégie à adopter par un pouvoir politique légitime qui voudrait tirer parti de l’influence des médias sur la population  Réfléchir aux modalités d’un contrôle gouvernemental sur les outils de communication modernes tels que le télégraphe, le téléphone, le cinéma, la radio 3. Harold Lasswell : seringue hypodermique Son but = proposer aux états démocratiques moderne les instruments nécessaires pour guider les masses en utilisant de façon optimale et responsable les relais d’information, de diffusion et de communication.

Fondement de cette ambition : conférer aux médias une influence direct et puissante sur des audiences passives. La force de cette idée rendue par la métaphore de la seringue ou de l’aiguille hypodermique Mobile merci. Mais Oui c’est un Première théorie : 100 ans plus tard nous pensons tjrs que les médias exercent des effets très fort et direct sur les individus. Ces effets passent par le filtre de l’éducation de l’environnement intermédiaire. Cette théorie c’est avéré partielle. A cause de la 2 GM, on a élaboré cette théorie, pour en quelque sorte décharger la responsabilité humaine sur des boucs émissaires. Deuxième théorie : effet idéologique des mass média ^ L’école de francfort On est encore dans l’obsession : l’idée c’est que oui cette outil génère des effets pervers et maléfique. Les sociologues ont été obsédés par les effets idéologiques.

Chapitre 2 : Idéologie : c’est un courant de penser. Est-ce que toute les croyances sont négatives ? selon Marx c’est un rapport au monde imposé par les ...


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