Title | Sociologie - Notes de cours 1-10 |
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Course | Sociologie |
Institution | Université de Rennes-I |
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Cours entiers de sociologie...
Sociologie du travail Partiels : similaire au 1er. Question de cours sur 14 point et questions sur Aurélie Jeantet : « a votre service ; la relation de service comme rapport social ». (2003, n°45). Trouvable soit sur Jstor (sociologie du L) ou EPI. 4 thèmes : Lapproche interactionniste du L. Les générations et les conflits générationnels. La division sexuée du L. Les conditions de L dans le public et dans le privé.
Chapitre 1 : l’approche interactionniste du travail et des travailleurs. Ce quon appelle lapproche interactionniste est un mouvement particulier de la sociologie américaine, quon appelle lécole de Chicago. Parmi lécole de Chicago, il y a eu 3 écoles qui partageaient un certain nombre de principes communs mais ne se sont pas tous intéressé au L. Lécole interactionniste sest développé à partir des s puis sest réellement développé dans les 60s. Lécole de Chicago avant ne sintéressait pas forcément au L. Lécole interactionniste sest beaucoup plus intéressé au L. Quest ce qui caractérise cette approche interactionniste ? On accorde une grande importance au L de terrain, notamment par observation. Les sociologues interactionniste utilise majoritairement lobservation pour voire comment les individus se comportent, dans quelles situations ils se trouvent et comment ils organisent leurs action et perçoivent leur situation. Les plus radicaux pensent que les entretiens ne permettent pas davoir accès au réel car ce sont des actions reconstruites etc. On met laccent sur l’interaction : il y a 2 sens : o Un sens étroit/limité : interaction de face à face. Développé par Erving Goffman. )l sintéresse aux situations de coprésence physique : 2 individus ou plus sont physiquement en présence et donc sont en situation de réagir aux paroles/actions des autres. On est sans cesse en train de réagir. Ca peut aussi être « des interactions focalisées » ayant conscience dêtre en interaction ou une « interaction non focalisées » plus large/diffuse (ex : marcher dans la rue). o Dans un sens plus large : linteraction va signifier toutes les situations dinterdépendance et dinfluence mutuelle entre les individus même quand il ne voient pas ou ne sentendent pas. On est indirectement en interaction. Cette notion reflète leur niveau dinteraction et danalyse. Ce que vont observer les interactionnistes sont les interactions. Ils choisissent des situations de rencontre. Au niveau de lanalyse, cela veut dire que, pour eux, ce que font les 1
individus sexplique par le sens quil donne à leurs actions dans une situation dinteraction précise. Une opinion doit se replacer dans une situation. Cette situation permet dexpliquer le comportement. Everett (ughes est le nom à retenir, le nom important de lécole interactionniste. )l a occupé beaucup dautres emplois avant dêtre prof duniversité. )l écrit beaucoup de texte/livres sur le L de terrain.
I. La sociologie des métiers de Everett Hughes et ses prolongements. Il y a un contexte des années 30-40 pour comprendre Hughes. A cette époque, ce qui dominait était la sociologie « industrielle », avec lécole des Relations (umaines Mayo. Ces sociologues là travaillaient avec les industriels ou les syndicats dans un but dapplication, de transformation des choses. (ughes va affirmer quil sagit juste de comprendre les phénomènes et défend la nonintervention adoptant une posture de compréhension et de connaissance. Une des conséquences est que les métiers qui ne font pas la une des médias peuvent être intéressant à étudier femme de ménage, gardien dimmeuble etc.. (ughes ouvre donc le champ denquête. Sa thèse était sur les agents immobiliers. De plus, il affirme que ce qui intéresse le sociologue est de comprendre le comportement humain en collectivité. Sa grande idée est de dire quon part denquête de terrain localisé mais il ne faut pas rester enfermé, il faut monter en généralité et découvrir des processus permanents, réguliers que lon retrouve dans des contextes différents. Cela va entrainer 2 principes méthodologiques. A. 2 principes méthodologiques Il faut avoir une grande diversité de cas pour étudier, par comparaison, les problèmes fondamentaux du L. Cest un concept qui renvoi à quelque chose de précis. )l y a lidée quil faut diversifier les métiers étudiés et quil faut être capable de comparer des métiers extrêmement différents ouvrier/gardien/médecin/prêtre…. Ce nouveau principe fondateur casse lhabitude de la catégorisation des métiers. )l pense quil faut comparer des métiers différents pour dégager des problèmes fondamentaux du travail (problèmes communs que rencontrent les Leurs dans des espaces et des moments différents). Il existe des processus fondamentaux du L qui peuvent être abstraits et étudiés. Les exemples : o Le contrôle par les professionnels des clients : le terme de « clients » est générique et désigne tout ceux qui bénéficie dune relation de service/commercial. (ughes dit que dans énormément de métier, dès quil y a des client, les professionnels mettent en place une stratégie pour maintenir une distance avec les clients qui ont tendance à empiéter sur la vie privée des Leurs. Ex : gardien d’immeuble : appel le weekend etc. Ex : le médecin : malade anxieux qui appellent. Ex : assistance maternelles : gérer les parents retardataires. o La gestion des connaissances intimes que les professionnels peuvent être amener à appuyer dans lexercice de leur profession sur leur client. )l y a des métiers o‘ le recueil de données personnelles fait partie de lactivité quotidienne. )l peut y avoir des règles légales. Beaucoup dautres métiers peuvent avoir accès à des informations personnelles :
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Ex : facteur sait les abonnements, lettres… Ex : les coiffeurs : à travers les discussions. Des travailleurs peuvent inventer des stratégies similaires pour gérer ces informations. o La notion de « salle boulot ». o Le freinage. Le deuxième principe fondateur de (ughes est quil faut privilégié létude des cas modestes, des métiers modestes pour mettre à distance les rhétoriques professionnelles. Il a en tête le mouvement de « la sociologie des professions » qui se base sur des métiers prestigieux. Hughes dit que la sociologie doit commencer par étudier les métiers modestes du bas de léchelle. Cette préférence méthodologique est expliquer par le fait que les Leurs ont tendance à valoriser leur activité professionnelle en occultant certaines tâches ; cad que pour tous les Leurs, certaines activités valorisées vont être mise en avant. Ex : les professeurs d’université. Ex : les concierge et gardien d’immeuble : les concierges vont mettre en avant leur activité de réparation, l’entretiens du jardin. )ls mettent en avant les taches techniques ou sur les responsabilités qu’ils ont maintiens de la sécurité ou même le rôle d’écoute conflit, soucis perso etc.). Ils ne vont pas attirer l’attention sur les ordures ou le nettoyage des halls. Ca ne veut pas dire quils mentent, ca veut dire quil y a une façon de considérer comme peu significative certaines tâches ; les gens font toujours plus que ce quil disent/montrent. Un des problèmes est donc de dépasser cette tendance. Son deuxième constat est que ce sont particulièrement les professions prestigieuse qui vont réussir à masquer toutes les tâches quelle considère comme peu gratifiante. Les professions de statu élevées ont beaucoup de ressources pour mettre en avant des activités valorisées grâce à un discours très officiel sur ce quils font. )l y a des « rhétoriques professionnelles » qui vont présenter le métier dune certaine façon. Ex : médecin sauve des vie. Ex : avocat : défend les victime. Les métiers modestes nont pas cette rhétorique ; il est donc plus facile de comprendre la totalité des tâches effectuées, on a plus vite accès aux activités car il ny a pas ce « discours écran ». Comme les problèmes fondamentaux du L concerne tout le monde, il faut bien comprendre dans travail puis létudier dans les autres métiers. B. La notion de « drame social du travail » Cest un concept qui est crucial chez (ughes et qui résume un aspect important de son point de vue. La première chose à comprendre est que le « drame » ici, est entendu au sens théâtral. Le travail peut être aussi comprit comme une scène de théâtre parce quil y a différents acteurs qui ont un rôle à jouer et se donne la réplique. Une partie des rôles à jouer est prédéfinie (posture, position etc.). Il y a aussi lidée de lexistence de coulisses. )l peut y avoir des acteurs qui sont invisible mais qui font partie de la pièce. Ils vont entrer sur scène et interagir avec les autres acteurs. Si on retraduit ca en terme sociologique, cela veut dire que le L est un système dinteractions ou le produit complexe des relations entre différents groupes dindividus dont les actions sont des réponses aux actions des autres. Ce qui est important est quil
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élargit la notion dinteraction pour dire quil faut comprendre le système dinteraction dans lequel se place le Leur toute interactions quil peut avoir au cours de son L. Ex : pour étudier le L d’une institutrice, il ne faut pas qu’étudier sa relation avec les enfants mais aussi celles avec la directrice, les collègues, les parents, les syndicats… Cela veut dire que les limites du L ne sont jamais données davance. )l ne faut pas y avoir da priori. Ex : institutrice petit village, l’interaction majeur peut être la maire, par exemple. Il y a des changements possibles. Une même activité professionnelle peut être attachés à des actions différentes. De plus, au cœur du drame social du travail se trouve le « conflit de perspective ». Chaque Leur est en contact avec des clients et dautres catégories de Leurs. Hughes dit que chacune de ces catégories va avoir tendance à développer sa propre logique daction, va agir en fonction de ses propres intérêts/valeurs spécifique. Structurellement, dans ce système dinteractions, les individus qui vont se rencontrer nont pas les mêmes façons de penser. (ughes appelle cela « le conflit de perspective » ; il est inhérent à toute situation de L. Ex : ca peut être des conflits entre professionnels/travailleurs : enquête « Sauver la vie, donner la mort » d’Anne Paillet : elle enquête dans un service de réanimation néonatale. Les médecins, dans ces services, doivent décider, sur certains cas, si on poursuit la réanimation et on maintiens l’assistance respiratoire ou pas. Elle explique qu’il va y avoir logiques d’actions différentes entre la logique des médecins et des infermières (interviennent aussi dans la décision collégiale). Elle explique que la situation pousse à prendre un risque. Pour les médecins, le risque le plus grave est d’arrêter à tors la réanimation alors que peut être qu’il aurait pu vivre l’enjeu est de savoir quelles vont être les séquelles). Les médecins sont dans une logique de poursuite à tout prix. Pour les infermières, le pire est de poursuivre à tors, de continuer alors qu’au bout du compte on laisse les parents repartir avec un enfant complètement handicapé. Les pédiatres réanimateur ont créer cette spécialité (après WWII) pour sauver des enfants ; leur objectif 1er est de sauver le maximum de vies d’enfant. Ils sont dans un contexte de L où ils rencontrent très peu les parents. Les infermières humanisent les soins, on leur apprend que ce n’est pas qu’un acte technique ; elles vont être beaucoup plus sensibles à ce que disent les parents. Elles reçoivent les parents des années après et qui entendent les parents qui ont souffert. Pour elles, c’est beaucoup plus « coûteux » de défendre la continuité des soins aux parents. Depuis cette enquête, il y a de plus en plus d’écoute des parents. Ca renvoi à la question de la socialisation et de lidentité professionnelle. Ex : le conflit entre les professionnels et les clients : Howard Becker sur les musiciens de jazz il était pianiste. Becker explique que les musiciens de jazz sont très hostiles à l’égard de leur public, ils sont en désaccord car le public demande toujours de jouer les même morceaux, populaires et connus alors qu’ils pensent qu’ils ont un dons, ils ne veulent pas qu’on leur donne des injonctions. )ls sont dans un mépris pour la musique commerciale et se retrouve en situation de devoir faire des compromis pour plaire au public et continuer à pouvoir jouer. On est dans un situation de divergence. Ce conflit est très fréquent dans toutes les professions de service et va prendre des formes récurrentes.
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Derrière cette notion, le L peut être penser comme scène de L mais aussi le L comme un système dintéraction. Ce qui est essentiel ce sont les relations des individus et la façon dont ils perçoivent leur travail en lien avec les autre. Le conflit de perspective est inévitable. Ce type de conflit entre les professionnels et les clients a très été étudié par les interactionnistes car il y a une différence fondamentale et indépassable entre ceux qui demandent un service et la situation de ceux qui fournissent ce service. Dans ces situations dasymétrie, on peut trouver un certains nombre de problèmes fondamentaux du L. Le premier problème fondamental du L est le fait que la limite est difficile à tracer entre faire quelque chose pour quelquun en répondant à sa demande et faire quelque chose à quelquun en essayant de transformer son corportement et donc sa demande. Les itneractionnistes expliquent quil y a ce glissement. )l va essayer de la transformer. Ex : les enseignent veullent que les étudiant travaillent plus etc. Assistance sociale vont essayer d’orienter leur façon de se comporter. Les professionnels essayent aussi dintervenir plus ou moins violemment sur le comportement de leur clients. Parfois, ca va prendre des formes très insidieuse et douce. Pour étudier ces stratégies de trasnformation de client, des interactionnistes vont revenir sur le mode théâtrale pour voire comment les professionnel se mettent en scène pour changer le comportement de leur client. Ex : texte d’(enri Peretz interactionniste français connu dans la brochure p. -31 : le texte en question parle de son enquête dans le prêt-à-porter de luxe dans des quartiers parisiens. Il essaye de montrer que pour les vendeurs de ces boutiques, vendre un vêtement constitue un travail de conviction. Les vêtements originaux et chère doivent convenir au client ; il va appeler les vendeurs « des conseillers professionnels en identité vestimentaire ». Il observe toutes les stratégies par lesquelles les vendeurs vont convaincre les client que ca leur va bien même si ils doivent s’y habituer. On a une grande attention aux gestes, aux mimiques, aux paroles dites en situation (face-à-face client/vendeur) puisque les interactions dont il est question sont de face-à-face (Goffman) en coprésence physique. Peretz créer un typologie pour comprendre les stratégie adoptées par les vendeurs en fonction de leurs caractéristiques et de celles des clients. Ces vendeurs sont considérés comme des acteurs qui se mettent en scène. Les vendeuse se mettent explicitement en scène en jouant la mannequin (portant des vêtements des magasin et peuvent se changer pour essayer un vêtement). Leur propre corps est offerte au client pour la persuasion. De plus, pour que la stratégie marche, il faut que les vendeurs sachent bien identifier les personnes qu’ils ont en face d’eux, qu’ils puissent identifier le chemin qu’il reste a remplir pour que les client mettent tel ou tel vêtement. C’est un L de classification. Peretz identifie 2 types de vendeurs différents en fonction de leur caractéristiques : Les stratégies des vendeuses : mannequin vivante… Les stratégies des vendeurs : homosexuels souvent ou qui mettent en avant cette caractéristiques pour jouer avec dans la relation aux clientes. Il explique donc qu’ils vont pouvoir jouer sur leur identité masculine conseil sur la séduction) et homosexuel (séduction non aggressive car perçu comme homosexuel).
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Ils prennent le rôle du styliste en se permettant une familiarité (pousser le rideaux pendant l’essayage sans que ce soit génant). La typologie repose sur les caractéristiques particulières qui ont un rôle dans ce milieu. La seule limite à ce texte est qu’il n’y a que la focalisation sur la relation avec le client rien sur la relation avec la hiérarchie, avec les collègue). Tout un pan des interactions est oublié. Le deuxième conflit de perspective repose sur lopposition entre la routine et lurgence (ughes. Ce quil entend par là est le problème qui est posé par la traitement routinier de certaines situations qui sont vécus comme des crises par dautres personnes. (ughes explique quil y a un décalage structurel entre les Leurs qui vont être amenés à traiter des cas de façon très répétitive, quotidienne et des clients qui vont soumettre à des professionnels des situations qui sont, à leurs yeux, extrêmement graves et urgente. Ex : une mère seule n’a pas perçu sa prestation débarque à la CAF… pour l’agent d’acceuil c’est un cas parmi d’autre pas plus dramatique alors que pour la personne concernée, c’est difficile à vivre et grave. Lurgence du client correspond à la routine du professionnel. (ughes explique aussi que ce décalage est aussi extrêmement profitable au client car ca va garantir la compétence du professionnel, il a du régler des centaines de cas similaire et va donc être efficace et objectif. Ex : chirurgiens : il vaut mieux avoir un chirurgiens qui ne se laisse pas émouvoir, qui a déjà fait cela. Sa routine est la gage de sa compétence. L’habitude amène un savoir-faire qui va bénéficier au client. C. Prolongement : le contexte local du travail Le contexte local du L nest pas une notion qui est chez (ughes mais elle va être utilisée dans son prolongement pour faire ressortir des différences entre systèmes dinteractions. Dans lanalyse de (ughes, la méthodes comparatives est essentielles, on va regarder ce que tous ces différents métiers ont en commun. On va ensuite analyser ces point communs en problèmes fondamentales du L. )l va y avoir, après, une autre façon danalyser les situation de L qui va consister à raisonner sur un même métier et à regarder comment ce même métier sexerce différemment selon les contexte locaux du travail, selon les systèmes dintéractions dans lesquels les Leurs sont prit. Si ce qui compte cest le système dintéractions, ils changent dun lieu à lautre. La comparaison est utilisé pour dégager des différence intraprofessionnelles. On analyse un système dintéractions localisé dans un temps et un espace donnée. Un système dintéractions se développe sur un téritoire donné. Il y a plus que la dimension géographique. Ex : les huissiers. « Huissiers des villes, huissiers des champs » d’Alexandre MathieuFritz (en ligne) : il enquête sur les huissiers de justice (correspondent à une professions mandaté par la justice pour recouvrir les créances au prêt des débiteurs. Dès qu’il y a une obligation pécuniaire dans une décision de justice, il met en place des exécution forcé et notifie le concerné. Au moment de l’enquête, il y a huissiers et payé en fonction des 6
montant des sommes payés. Il fait son enquete par observation et entretiens et note une différence entre ceux en zone rurale et ceux en zone urbaine. Les huissiers de justice n’ont pas les mêmes pratiques, la même conception du L, la même condition de L. En zone rurale, l’habitat est dispercé et il y a donc moins de L qu’en ville. A la campagnes, les études (cabinets) sont petites et travaillent seul ou avec une autre personne. Du coup, l’huissier est amené à faire toutes les tâches lui-mêmes (signifier les décisions de justice, négocie le recouvrement à l’amiable, assurer les tâches de secrétariat). Ce qui apparaît est que les relations avec les débiteurs sont beaucoup plus proches à la campagne (tutoiement), ils se voient relativement souvent (petite commune) ; aux yeux des huissiers des villes, ce sont commes des artisans (peu de techniques, bricolage…. En ville, tout s’inverse, les études sont plus grandes -10 membres) avec un division du L de recouvrement. En gros, toutes les tâches routinières sont déléguées soit au clercs (signifier les décisions au débiteurs) soit aux secrétaires. Eux, ce spécialisent dans le moment le plus cohércitif du recouvrement : la saisie. Ils...