Sociologie de l\'Art - Notes de cours semestre 1 PDF

Title Sociologie de l\'Art - Notes de cours semestre 1
Author Dopierala Léa
Course Sociologie de l'Art
Institution Université de Reims Champagne-Ardenne
Pages 14
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Summary

Professeure: Mme Barthelemy
Université de REIMS...


Description

Sociologie de l’Art L’art considéré comme système social: processus qui caractérisent les marchés de l’art, ses publics, politiques, travailleurs et esthétique artistique vus comme des réalités sociales On ne parle pas de l’esthétique de l’art mais comment des individus qui forent un société créé et produisent une oeuvre, une créa artistique La socio a pour particularité de s’intéresser aux relations sociales entre individus, aux interactions, aux échanges entre groupes sociaux 3 générations/ orientations chronologiques ou intellectuelles 1/ l’esthétique sociologique : début du 20e siècle, relations entre l’art et la société (Marx): prolétaires/bourgeois; aliénation, l’art est inégalitaire et structuré par la lutte des classes. Art: fabriqué par des rapports de force et de pouvoirs entre dominant et dominés, bourgeois/prolétaires 2/ l’histoire sociale de l’art : années 1950, s’intéresse aux contextes économique, culturels et institutionnels de l’art. Production des oeuvres dans leur dim institutionnelle; réception des oeuvres; travaux du mécénat, producteurs… 3/ la sociologie d’enquête : l’art est une société a part entière et qui s’intéresse a toutes les dimensions artistiques (acteurs, échange avec l’environnement , structuration interne…) Programme Qu’est ce que la sociologie de l’art? Sociologie des publics Sociologie de la reception L’esthétique des oeuvres La figure de l’artiste en travailleur Les professionnels de la culture Conclusion et ouverture Auteurs Howard Becker: «!les mondes de l’art!» 2006 Bourdieu «!la distinction!» ed de minuit, 1979 Bourdieu «les règles de l’art!» ed seuil, 1992 Vincent Dubois «!la Politique culturelle, genèse d’une cat d’interventions publiques!», Belin, 1999 Nathalie Heinich «!sociologie de l’art!», la découverte, 2001 Pierre-Michel Menger «!les intermittents du spectacle, sociologie d’une exception!» ed EHESS, 2005 Sondages, … Motivations professionnelles : individualisme méthodologique / Obligations : Holisme

I. Quelques fondamentaux

Analyse de la société, et ce qui fait société sont les interactions entre groupes d’individus donc des qu’il y a échange, confrontation, une sociologie est possible car les individus sont mis en relation les uns avec les autres La sociologie est la science des régularités. Elle a pour objectif de dégager des tendances générales et pour cela le sociologue s’appuie sur des enquêtes quantitatives: sondages, stats, questionnaires… ou qualitatives: pour montrer ce qui est commun a des individus. S’intéresse a ce qui est récurrent dans la société. Les théories développées par des sociologues ne sont pas déconnecté de la réalité du moment mais une théorie se développe en fonction du contexte social et historique de l’époque. La violence est un mouvement qui met en lien les auteurs de violences et les victimes et c’est ce lien qui intéresse les sociologues. Psychologie: analyse le fonctionnement psychique de l’individu (vécu, passé, inconscient) Sociologie: analyse les relations qu’entretient l’individu agressif avec son environnement (ne dépend pas seulement de la personnalité mais d’autres facteurs: difficultés, ressources, contraintes …) Holisme / Individualisme méthodologique.

Le Holisme Marx, 1818 -1883 Emile Durkhein, 1858 - 1917 c’est une posture sociologique qui considère que l’ins est déterminé par des pressions soc qui pèsent sur lui. Marx s’intéressent aux structures éco et soc pour comprendre le fonctionnement des soc. Pour lui le comp des individu est déterminé par la place qu’ils occupent dans l’espace éco, c'est à dire par leur place dans la hiérarchie sociale. On ne peut échapper a sa condition soc. Ils auront une place dominante si bourgeois ou dominé si prolétaire. Donc la hiérarchie soc et la lutte des classes influent sur les individus. Emile Durkhein, un des fondateurs de la sociologie, pensée déterministe. L’individu est conditionné par des manières d’agir et de penser qui lui sont extérieur, qui s’imposent a lui; et qui sont doués d’un pouvoir de coercition; de sanction en cas de non respect des règles . Ce ne sont pas les individus qui structurent la réalité sociale mais la société qui influence et explique la manière d’être et de penser des individus. Il a étudié le suicide qui est un acte a priori individuel en montrant qu’en fait il est le résultats de pressions collectives et extérieurs qui contraignent l’individu jusqu’a passer à l’acte.

Individualisme méthodologique Max Weber, 1864 - 1920 Il s’oppose aux idées d’Emile Durkheim en avançant que les phénomènes sociaux sont les résultats de croyance et choix individuels Comprendre le sens que les individus donnent a leurs actions. Les individus sont donc rationnels. Les individus ne sont pas déterminés.

Holisme : ID principale: Les phénomènes sociaux sont des relatifs extérieurs aux individus qui conditionnent leurs actions, s’imposent a eux et les contraignent souvent à leu insu. Obj: Expliquer les phénomènes sociaux a partir de logique collective qui dépasse l’individu. Vision de l’individu: les individus sont des êtres passifs qui subissent les règles et sont enfermés dans des déterminismes qui leur impose d’agir Principaux auteurs: Marx ; Emile Durkhein.

Individualisme méthodologique: ID principale: Les phénomènes sociaux sont les résultats de croyances; d’actions et de comportements individuels Obj: Expliquer les phénomènes sociaux a partir de logique d’actions des individus Vision de l’individu: l’individu a une marche de liberté, il fait des choix et élabore des stratégies. Principaux auteurs: Weber; Boudon; Crozier

Bourdieu: entre les 2. Il y a un Habitus (manières de parler, se comporter dans un milieu social); difficile d’en sortir mais école

Pierre Bourdieu 1930-2002 Volonté de dépasser l’opposition entre holisme et Individualisme méthodologique. Il attribue un poids important aux déterminismes sociaux et en même temps il considère que l’individu a une marge de liberté. Il nomme donc sa pensé le «!structuralisme constructiviste!» Habitus: les façons de parler, se comporter, d’agir et de penser, les gouts et les habitudes qui paraissent naturelles sont en réalité le fruit d’une série d’imprégnations liées a l’enfance, à l’éducation et a l’origine sociale. Il existe des habitus de classe; qui déterminent inconsciemment la façon dont chacun jour son rôle dans la société. Les individus issus d’une famille aisée (éco et culturel) auront plus de chance que les autres d’accéder à une position sociale favorisée. L’habitus est inconscient et intériorisé. Cet habitus se structure autour de «!capitaux!»: • Le capital économique • Le capital social (capacité à jouer de ses relations/réseaux/influences) • Le capital culturel (diplômes/savoirs/savoirs-faire) Les personnes qui occupent une place dominante dans la société sont celles qui sont les mieux dotées en capitaux. Ce système est un système de domination qui favorise les inégalités sociales qui sont souvent invisibles mais se reproduisent de génération en génération sans que les classes dominées en aient conscience Le vote: résultat d’appartenance sociale ou d’héritage familial // choix strictement individuel

II. Les question développées par la sociologie de l’art 1. Habitus de l’artiste: La reconnaissance du public défini l’artiste A changé, on est passé d’un stade ou l’artiste était considéré comme artisan a un stade ou il devient artiste indépendant ou financé par des autorités publiques. Il y a donc une nette opposition ou il y a d’un coté un mode régulé par l’argent que l’artiste est appelé a percer et de l’autre des valeurs fondamentales d’excentricité, de transgression et de marginalité . Il y a une valeur qui perdure au delà des siècles, celle de l’artiste bohème. On trouve donc en sociologie de l’art deux images opposées de l’artiste: celle de l’artiste bourgeois et celle de l’artiste avant-gardiste. C’est au milieu du 19e s que l’imagez de l’artiste bohème a commencé a évoluer, car a cette période il commence à devenir important de faire de son art un activité professionnelle qui rapporte de l’argent. C’est a cette période également que les artistes souhaitent se détacher d’une vie trop précaire et revendique alors une sorte de professionnalisme c’est a partir de ce moment la que se développe des carrières artistiques en lien avec les institutions culturelle qui régulent de plus en plus le monde artistique, notamment par l’allocation de subventions Obtenir une subvention: Les DRAC : Se constituer en compagnie, constituer un dossier (éléments artistiques, budgétaire, administratifs, financiers, , être choisi, rendre des comptes pour justifier du financement alloué et espérer obtenir un financement l’année suivante Système de financement : 2 effets: • démocratisation culturelle (ouvre a l’égalité des chances) • Inégalités (toutes les compagnies n’ont pas les mêmes moyens pour répondre aux demandes) Création d’un marché du travail artistique à deux vitesses: les artistes qui parviennent à percer le cercle des organismes de financements publics qui sont devenu un système gage de sécurité et de crédibilité et les artistes qui par choix ou résignation optent pour une carrière a la marge de cette économie publique, c'est à dire en ne vivant pas réellement de leur art. On assiste a une bipolarisation des parcours de professionnalisation : • jeunes artistes qui choisissent l’art par vocation qui traverse les siècles • génération qui souhaite percer l’écosystème du théâtre administré et intégrer les codes qui structurent le théâtre démocratisé Dans cette dualité des parcours professionnels, il existe une forte différence entre les hommes et les femmes. Le monde artistique est un monde profondément inégalitaire comme en témoigne le monde du spectacle vivant; parce que 85% des scènes nationales sont dirigées par des hommes. On appelle cela le plafond de verre; plus difficile accès aux femmes aux postes a responsabilité. Pour les artistes débutant il existe aussi une grosse différence entre hommes et femmes. Les hommes ont plus de facilité à se dire artiste et a multiplier les activités pour parvenir a obtenir le statue d’intermittent alors que les femmes ont souvent un rapport plus modeste a l’activité artistique et un rapport engagé. 2. Les biens culturels comme produit collectif Une partie de la sociologie de la culture s’est dressé contre la représentation romantique de l’artiste comme créateur individuel, en montrant qu’une oeuvre est avant tout une organisation collective. C’est le cas de la sociologie américaine comme celle de Howard Becker qui développe la notion des «!mondes de l’art! ». Becker insiste sur le caractère collectif de la production des oeuvres et invite a restituer l’ensemble des interactions qui ont rendu l’oeuvre possible; il invite donc a mettre l’attention

sur toutes les pratiques concrètes et à désacraliser l’artiste qui n’est somme toute qu’un acteur parmi d’autres. Certes, il y a l’inspiration du peintre mais il y a la vente des pinceaux, de la peinture, l’accrochage des tableaux , le choix des salles sans qui il n’y aurait pas d’expo de peinture. Arthur Danto utilise aussi la notion de monde de l’art pour montrer qu’un objet n’est une oeuvre d’art que grâce a une interprétation qui la constitue en oeuvre. Selon ces sociologues la production cultuelle ne se relusse pas a la production matérielle d’objets, elle consiste tout autant dans la production de la valeur de ces objets. Le tout n’est pas d’écrire un livre ou de peintre un tableau, encore faut il qu’il soit publié ou exposé et reconnu dans son statue d’œuvre. Cela nous amène à avancer que les processus de la diffusion par les éditeurs, galeries, institutions et les processus de reconnaissance par la critique, les médias, le public sont parti prenante de la production culturelle. Il ne suffit donc pas de se dire artiste pour être reconnu en tant que tel mais l’oeuvre nécessite l’intervention d’êtres agents que son seul créateur (agents, jurys, festivals prestigieux qui sont des instances de consécration du champs culturel) C’est notamment grâce a ces processus de consécration que l’urinoir de Marcel Duchamp est devenu oeuvre d’art en transformant le statut de cet objet.

Les tendances contemporaines de la sociologie de l’art Il y a quatre thématique qui structurent la sociologie de l’art contemporaine. • La question de la réception des oeuvres; ou de l’appropriation socialement différenciée des biens culturels. Cette question interroge tout le travail critique de jugement et d’interprétation, qui construit le sens l’une oeuvre, en analysant les effets des publics sur des oeuvres; tout autant que les effets des oeuvres sur les publics. • La circulation internationale des oeuvres (cas des études qui l’on appelle sociologie de la traduction au croisement d’une analyse des logiques territoriales, des champs littéraires; et des processus d’internationalisation. • Les travaux sur les politiques culturelles: Vincent Dubois; éclairent les conditions sociales de la créa a travers la notion de démocratisation culturelle en montrant ce qu’une oeuvre doit à l’intervention des pouvoir publics. • On trouve de plus en plus de travaux qui proposent une analyse socioéconomique des professions artistiques et culturelles. elle s’est initialement porté sur les intermittents du spectacle; et s’est élargie aux différentes catégories de médiateurs culturels (bibliothécaires; conservateurs de musées ou animateurs culturels. Cette sociologie s’est surtout intéressé a l’emploi dans le secteur artistique considéré comme atypique d’un point de vue du rapport au travail et des conditions d’emploi. (cf Pierre-Michel Menger)

Théorie sociologie des publics La notion de public émerge en France avec 2 penseurs : Gabriel Tarde et Gustave Lebon Qui met en parallèle cette notion avec la notion de foule. Une distinction s’opère; a la différence de la foule; le public n’est pas forcement réuni ni physiquement ni idéologiquement. La foule a un inconscient collectif.

Cette distinction fait de la foule une entité mouvante dotée d’un inconscient collectif dans laquelle les individus fusionnent les uns avec les autres de manière involontaire tandis que le public qualifie une collectivité d’interaction portée par l’esprit critique, la division des opinions et l’expression supérieure de la raison. Pour Gabriel Tarde le public se caractérise par la simultanéité des convictions. La sociologie des publiques se développe avec pour objectif de définir ces logiques sociales ce qui compose ces interactions Au milieu du 20e s c’est au ciné que commence a s’observer le phénomène de constitution des publics avec le développement des cultures de masse. Émerge alors un courant: l’école de Francfort dont les principaux représentants sont Theodor Adorno et Walter Benjamin avec l’idée d’une critique forte des industries culturelles, des médias et des consommations de masse. Au milieu des années 50 le ciné est vu comme un produit de culture de masse; et on remarque alors 3 positions politiques et idéologiques a l’égard du ciné : 1; partager avec certaines élites intellectuelles et culturelles un profond mépris pour la chose cinématographique conçue comme une nourriture vulgaire destinée aux classes populaires avides de fictions 2; le ciné est un instrument de manipulation et d’asservissement d’un peuple auquel on vent du rêve a bon marché; qui entretient une confusion entre le monde réel et le monde représenté 3; voit dans le ciné l’un des objets artistiques les plus aboutis pour faire oeuvre de démocratisation de la culture Pour dépasser cela, : le courant cultural Studies impose aux sociologues d’aller sur le terrain enquêter Au départ de ce courant sont menées des études qui montrent que les classes dominées n’adhèrent pas totalement aux prods de l’industrie culturelle . Le public constitué par les classes pop est finalement rarement dupe des fictions cinématographiques ou romanesque contrairement a ce qu’a longtemps avancé la classe sup intellectuelle. Avec cette notion d’adhésion réservée a l’égard des oeuvres, des sociologues comme J-C Passeron montrent que la sociologie des publics et de la culture est bien une sociologie de la réception des oeuvres et qu’une lecture en terme de classe sociale ne suffie pas a rendre compte de la complexité d’un public. En effet, selon lui meme les classes pop peuvent faire preuve d’esprit critique et cet esprit n’est pas seulement détenu par les classes dominantes. Cette ouverture a la sociologie de la réception d’une oeuvre ouvre la voie a des analyses de plus en plus fréquentes des discours de spectateurs sur ces pratiques et c’est ainsi qu’entre 1964 et 1966 un acteur important de la sociologie de l’époque (centre de sociologie européenne) conduit une série d’enquêtes sur les publics des musées français avec pour objectif de définir les principales caractéristiques des visiteurs des musées et d’en établir un portrait fidèle a la réalité. C’est ainsi que l’ouvrage de Bourdieu «! l’amour de l’art. Les musées d’art européen et leur publics! » restitue les résultats de ces enquêtes et qui devient la premiere enquête d’envergure sur les publics de la culture. Il faut attendre les années 2000 pour que les travaux se focalisent sur d’autres lieux complexes de la démocratisation culturelle (travaux sur les festivals ; pièces de théâtre ; expos ; et même la culture dans des lieux d’incarcération pour montrer qu’elle peut être un espace de libération quand on est privé de liberté. Sont également étudiées les pratiques culturelles des publics de series télévisées; l’art contemporain ou l’opéra. Si on s’intéresse a la sociologie contemporaine ; il faut mentionner les travaux d’une sociologue imho qui a fait de la sociologie des publics les fers de lance de ses travaux de recherche (D. Pasquier) qui a publié «!publics et hiérarchies culturelles; quelques questions sur les sociabilités silencieuses); 2009.

D. Pasquier que travailler le question des publics présente un grand intérêt sociologique «! voire un oeuvre artistique, c’est toujours voir avec! » : voir un communauté a distance; et une expérience singulière chez sois peut se transformer en événement collectif: dimension performative du public pour designer le fait qu’un public s’éprouve comme public par rapportant certaines personnes qui l’aident a se définir C’est ainsi que D. Pasquier a rédigé une étude sur la série Helene et le garçons et a montré que le jeune public ce cette série se définissait par rapport a une communauté imaginée en se définissant par rapport aux êtres fans de la série et en recherchant sa propre singularité Ce ces travaux émerge une idée forte: la sociologie de l’art ne peut pas se passer d’une analyse des interactions car regarder c’est toujours regarder avec. Selon D. Pasquier la sociologie de la culture entreprise par pierre Bourdieu présente une grande lacune : la question des interactions. Bourdieu s’est intéressé a la culture du point de vue des classes sociales en montrant comment la classe dominante pouvait imposer ses choix aux autres classes sans s’intéresser au système d’interaction entre les acteurs de la culture; hors selon D. Pasquier on ne peut pas comprendre les phénomènes culturels sans s’intéresser aux phénomènes de sociabilité La culture se constitue principalement a travers les interactions qui représentent une mode d’appropriation des individus. Travailler sur les médias conduit a s’intéresser directement aux interactions parce que les publics des médias se manifestent de différentes manières (habits comme les stars qu’ils admirent …) ce qui est repérable également sur le support télévisé. C’est en revanche plus compliqué de travailler sur les interactions quand on s’intéresse a des pratiques «!nobles! » comme la lecture de livres; la visite de musées ou la fréquentation de théâtres ou la sociabilité est beaucoup moins manifeste et beaucoup plus silencieuse Pourtant les sociabilités au théâtre n’ont pas toujours été des sociabilités silencieuses Etude de D. Pasquier qui a publié une revue en 2007; «! faire public au théâtre aujourd’hui! » ; on s’intéresse a la manière dont on fait public. Cet article est créé par enquête par entretien auprès de 80 spectateurs et s’intéresse aux relation spectateurs/comédiens et spectateurs/spectateurs faire public: fruit d’un ensemble de compromis entre...


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