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Cours de sociologie...

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Bibliographie et plan du cours d’Histoire de la sociologie de Mme V. Harouel-Bureloup, Maître de Conférences en Histoire du droit à l’Université de Paris VIII

Bibliographie R. Aron, Les étapes de la pensée sociologique, Paris, Gallimard, 1976. J. Gaudemet, Sociologie historique du droit, Paris, PUF, 2000. C. Giraud, Histoire de la sociologie, Paris, PUF, 2007. M. Lallement, Histoire des idées sociologiques, t.1 : Des origines à Weber, t.2 : De Parsons aux contemporains, Paris, A. Colin, 2007. H. Lévy-Bruhl, Sociologie du droit, Paris, PUF, 1990. H. Mendras, J. Etienne, Les grands auteurs de la sociologie, Tocqueville, Marx, Durkheim, Weber, Paris, Hatier, 1996. X. Molénat (coord.), La sociologie, histoire, idées, courants, Paris, Ed. Sciences humaines, 2009. P.-J. Simon, Histoire de la sociologie, Paris, PUF, 2008.

EXAMEN = 4 questions 5 points chacunes.

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Le Terme sociologie est un terme récent. Il a été créé par August COMTE en 1839. C’est une science universellement reconnue et enseigné. La sociologie est voisine de d’autres sciences comme l’économie et l’histoire. Il y a un lien entre l’économie et la sociologie. Dans la 2ème moitié du XXe siècle, l’économie et la sociologie sont 2 sciences distinctes dans la mesure où elles appréhendent l’être humain à un niveau différent. La sociologie est souvent perçue comme irrationnel : l’être humain ne suit pas toujours ses intérêts, il peut aller contre ses intérêts. Le regard vers le passé, la distinction entre économie et sociologie est bcp moins tranché il ne fait aucun doute que l’ouvrage d’Adam Smith : « Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations ». Cet ouvrage relève de l’économie et de la sociologie et il en est de même de l’œuvre de Marx et Pareto. Par ailleurs, l’évolution récente tend à abaisser les frontières entre les 2 disciplines en effet la sociologie moderne tend à rejeter une entre les comportements rationnels et irrationnel. Les 2 disciplines entretiennent des relations complexes faites de ressemblances et de différences, il est difficile de décider avec rigueur si une étude relève de l’histoire ou de la sociologie. L’historien F. Braudel ont dénier toute spé à la sociologie cependant il est possible de distinguer la sociologie de l’histoire au moyen de la philosophie de l’histoire à ses objectifs à ses méthodes La recherche sociologique commence par une question portant sur les raisons d’être d’un phénomène récent : A. Tocqueville pose la question pourquoi la révolution a aboutie à la reproduction de certain nombre de traits caractéristiques d’ancien régime ? Werner Sombart se demande au début du XXe siècle pourquoi il n’y a pas de socialisme aux Etats Unis ? Sur un phénomène macro social Le sociologue est plus qu’historien il a le droit d’isoler le fruit historique de tel phénomène macro social il essayera d’établir la raison d’être. Aspiration à la généralité qui peut prendre 3 formes distinctes : 1 : La recherche de lois générales mais ces lois ne sont pas générales mais applicable à des contextes particuliers 2 : La recherche de lois évolutives des énoncés indiquant un système à passer par une suite d’état déterminable à l’avance, on est conduit à relativiser 3 : La recherche des modèles structurelles : schémas généraux qui s’applique à des phénomènes particuliers. EX : Question de Werner : il existe une ascension sociale de type individuel. Définition de la sociologie par Raymond Aron : « La sociologie est l'étude qui se veut scientifique du social en tant que tel, soit au niveau élémentaire des relations interpersonnelles, soit au niveau macroscopique de vastes ensembles : classes, nations, civilisations ou pour reprendre l'expression courante : société globale. » 2

Une telle réflexion sur la vie sociale n’est pas née brusquement en 1839 ; la réflexion sur la vie sociale a été à travers l’histoire accomplis par des réflexion d’historiens, des philosophes, des juristes, des moralistes et des économistes. Il existe tout une histoire de la pensée sociologique jusqu’à l’invention du terme par A. Comte. Cette science commence avec Thucydide et Platon elle s’étend sur 2 millénaire Plan Première partie/ Approche historique de la pensée sociologique La permanence de la pensée sociologique de la pensée occidentale dans l’antiquité grec à nos jours. Le XIXe s marque l’étape importante de l’histoire de la socio avec la volonté de construire la science du social sur le modèle des sciences de la nature

Chapitre I : Histoire de la pensée sociologique jusqu’à la fin du XVIIIe siècle Section I/ L’Antiquité grecque et la genèse de la pensée sociologique §1/ La cité grecque, creuset de la pensée sociologique A partir de la fin du Ve siècle avant notre ère, la cité grecque est le lieu d’une activité intellectuel intense, l’activité est d’abord philosophique puis mathématique. Les premiers philosophes sont des maths comme Pythagore qui sera poursuivi par d’autres penseurs comme Socrate, Platon ou Aristote ils ont tous une activité dans la sociologie. Cette naissance de la sociologie dans la cite grecque au Ve siècle est la manifestation d’une pensée très vivante, très rationnel c’est la conséquence d’une prise de conscience par les penseurs grecs de la variété des régimes politique et sociologique des différentes cités. Cette prise de conscience est le résultat de la collaboration intervenu entre les principales cités en temps de guerre durant les guerres entre la Grèce et la perse (médique) et des batailles de Salamine et de Marathon gagné par les grecs contre les perses, ce qui a permis de sauver la Grèce de la conquête perse la collaboration entre les cités grecs qui bien souvent été les unes contre les autres a provoqué une remise en cause de l’idée traditionnelle selon laquelle la loi de chaque cité est le reflet d’une loi divine unique s’impose alors chez certain si la loi change selon les lieux c’est que les lieux de ces cités ne résulte pas d’une loi divine mis de conventions passés entre les hommes. La conclusion des sophistes (des recteurs philosophes grecs) vivant à Athènes : ont tenu un discours révolutionnaire et ont invité les individus à violer la loi. Ils remettent en cause les institutions, l’organisation sociale, l’esclavage le patriotisme cependant certain d’entre eux exalte la supériorité d’effort et déclare conforme à la nature le régime du sur homme Le choc de la critique des sophistes inaugure la réflexion en matière social et aura une incidence sur la naissance de la pensée sociologique. HERODOTE : est considéré comme le père de l’histoire, c’est aussi un grand voyageur, il a comparé pour la première fois, la civilisation grecque hellénique avec celle des peuples orientaux et africains. Il a visité l’Egypte, il a une analyse très sociologique de l’articulation entre les croyances, les mœurs, les institutions, et les coutumes ; il a montré qu’il existait un parallélisme entre la hiérarchie des dieux et celles des hommes ce qui constitue une justification par la religion de l’organisation social n’est que le prolongement direct d’un monde supérieur.

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Le lien entre ces 2 mondes est assuré par le Pharaon qui est lui-même Dieu de la même manière que le monde divin se trouve refléter dans le monde terrestre. L’émergence de la pensée sociologique est plus nette avec Thucydide Platon et Aristote §2/ Thucydide C’est un grand historien grec. Auteur de l’histoire de la guerre PELOPONESE (qui a duré 30 ans) qui va opposer les principales cités du monde grec et qui a provoqué la destruction des états grec comme les européennes ont connu en 1914, les états grecs se sont entre déchirés il y a eu perte humaine 40% de la pop. Œuvre d’historien : on fait de lui le père de l’histoire conçu comme une science. Il fait œuvre de sociologue il présente la théorie de l’impérialisme politique. Dynamique de la formation de l’empire athénien 247 états. Dans cette guerre Athènes montre sa force pour intimité l’ennemi et attire la sympathie des autres cités en quête de protection. C’est ainsi qu’Athènes se trouve en tête d’une alliance de cité : DELOS. L’empire forme une structure dynamique et c’est ces structures qui commandent la prise de décisions. Pr lui cette logique entraine son effondrement alors que le développement de la structure est devenu excessif. Sois sous les coups d’un adversaire qui aura peur devant sa menace d’une telle force soit par une rébellion massif des alliés fatigués d’être assujettis Périclès : père démocratie Athènes Ve s : lors déclaration de guerre du Péloponnèse avait expliqué que si Athènes se lançait dans la voie des conquêtes elle était perdue. Il lui fixait comme but de maintenir son Empire et de contenir Sparte (son gd ennemi) en l’affaiblissant lentement

§3/ Platon La guerre n’est pas seulement un conflit entre cité et état c’est aussi un conflit entre 2 idéologies rival démocratie et aristocratie (sparte) dans chaque villes les citoyens étaient divisés. Soucis de rendre impossible la naissance de conflit au sein d’une cité. Platon est obsédé par la recherche d’une organisation rationnel et stable de la cité de ce faite la sociologie politique de Platon sera normative il va cherche à poser des règles à décrire non pas ce qui est mais ce qui devait être. La démarche intellectuelle de Platon consiste à partir de principe abstrait qu’il appel les idées qui existe qlq part au ciel et les choses du monde sensibles qui n’ont d’existence par la participation avec ses essences éternelles qui sont les idées dont le but de la pensée de Platon la découverte de l’idée au moyen intellectuel par les discutions. On troue cette méthode dans les œuvres de Platon : la république et la loi

A/ La République Il expose sa conception de la cité parfaite, toutes les cités terrestres sont des copies 2 Aspects : analyse des fonctions sociales calqués sur celle de l’âme humaine et une théorie de l’évolution des régimes politique et sociaux A : une analyse des fonctions sociales calqués sur celle de l’âme humaine :

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La sociologie de Platon est fondée sur la psychologie, pour lui l’âme humaine est composée de 3 éléments : la raison, le cœur, le désir des choses matériels. En Conséquent, le bien de l’individu consiste dans la possession dans les 3 vertus correspondante la sagesse le courage et l’intempérance qui sont les principales vertus de l’homme juste. C’est al condition de l’équilibre de l’homme La soumission des instincts sensuel au cœur et du cœur à la raison, or le propre de Platon est de raisonner indifféremment sur l’individu et sur les sociétés pour obtenir les conditions d’une société parfaite et parfaitement juste et projette purement et simplement sur la société l’analyse qui vient de faire pour l’individu. La cité est composée des 3 éléments : l’âme humaine le désir matériel le cœur et la raison est ce qui permet d’éviter les conflits ou explosion social la société doit être parfaite et juste Chacune de ses fonctions sociales doivent être confiés à une place particulière qui en soit exclusivement chargés et qui s’y consacre de manière exclusive dont la fameuse diffusion de la cité :3 états subordonné les unes aux autres les artisans ; subordonnés aux gardiens ou guerriers subordonnés aux philosophes, rois ; Le fameux communismes des biens et des personnes imposés à la classe des gardiens Dans la cité idéale : Il n’y a pas de propriété privée de famille Eugénisme d’état prévu par Platon avec des unions brèves et décidé par le parlement en vue d’une reproduction quantitativement et qualitativement approprié ce qui implique le recours à l’avortement et à l’infanticide Quant aux enfants, ils seront séparés de leurs parents naturels afin qu’il ne puisse pas les reconnaitre et inversement. Chacun considère tous les individus de sa classe d’Age comme ses frères sœurs et ceux de la génération précédente sont considérés comme pères et mères. Les liens familiaux lient les généraux et non les individus : cela aboutit à une socialisation collectivisation des liens affectifs familiaux La raison d’être de cette anonymat est que les parents ne s’opposent pas à leur Rétrogradions dans la 3me classe. Plus généralement, communisme des personnes a le même objectif que communisme des B fait en sorte que les S de chacun sont mis au S de la cité pour éviter ttes les discordes au sein de la classe des gardiens qui exploiteraient les profiteurs et par conséquent tout risque de conflit au sein de la cité B : Typologie évolutive des régimes politique et sociaux Le régime de la cité idéale est appelé un régime aristocratique par Platon. Les autres sont des dégradations de plus en plus poussées de ce régime idéal. La 1ere dégradation résulte de négligence ou d’erreur dans la planification de l’eugénisme et dans les méthodes d’éducation la conséquence est que la classe des gardiens s’altère se dégrade par un esprit de guerrier et d’ambitions et peut prévaloir dans la cité la recherche émétique des honneurs. La 2eme dégradation c’est du à l’accumulation des honneurs qui provoque, l’homme est suscité par le soucis d’amasser de l’argent et les fortunes de qlqs uns se gonflent au détriment de celles des autres et l’accès au pvr est exclusivement commandé par la richesse les riches se réservent les places et les honneurs. C’est le régime de l’oligarchie (le régime de qlqs uns). Platon donne une analyse très sévère, dominés par le thème de la richesse et une analyse diff

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des autres auteurs grecs l’analyse de Platon ressemble à celle de Xénophon qd il parle de timocratie timos qui veut dire riche mais le gouvernement dirige l’oligarchie nouvelle chute Et la 3 ème dégradation : les riches vivent dans la mollesse. Ils perdent leurs énergies les gens du peuple sont supérieur à eux par leur force physique et leur valeur moral et il exile ou mette à mort ceux qui domine la cité, c’est alors l’établissement de l’égalité et notamment de l’égalité d’accès aux fonctions publics au moyen du tirage au sort 4ème dégradation est le moment où la liberté démocratique se confond avec la licence. Pour Platon ‘ démo= anarchie’ démo se perd par la vue qu’elle perd de la liberté qui conduit à l’anarchie démocratique. L’arrivée au pvr d’un ambitieux se présentant au peuple comme un sauveur c’est en réalité un tyran et on passe de la démocratie à la tyrannie le peuple s’en aperçoit trop tard Tyrannie = antithèse de l’aristocratie et le tyran l’antithèse du roi

Le seul moyen de se sauver est de faire appel à un philosophe ainsi au terme d’une révolution complète on retourne au point de départ un système de gouvernement par les sages. Le mécanisme de l’évolution des régimes obéit à une voie cyclique Cela doit être mis en parallèle avec la conception que les grecs se faisait en mm temps Pour les grecs : Le déroulement du temps est cyclique et non rectiligne. La vision correspond à la pensée Judéo chrétienne B/ Les Lois

Les Lois est un Ouvrage que Platon a écrit à la fin de sa vie. Il est inachevé Platon est un auteur, un philosophe désabusé, il ne croit plus aux espoirs qu’il espérait dans son autre œuvre il est conscient que la royauté du philosophe est improbable, il est conscient que la collaboration entre le roi et le peuple est illusoire. Il compte alors plus sur les lois pour mener à bien les reformes de la société politique et non sur le roi. Il va élaborer un projet de société ressentant un compromis entre sa cité idéale et les régimes préexistant il prévoit un système politique et social dans laquelle la classe des producteurs cesse d’appartenir à la cité : des étrangers ou des esclaves soumis à un vigoureux contrôle policier. Quant aux citoyens tous sont propriétaire est reçoivent chaque selon une stricte égalité reçoivent un lot identique avec une résidence urbaine et une portion de terre agricole. A cote de cela ils peuvent posséder un patrimoine mais le rapport maximal des fortunes demeure fermé La fortune du plus riche ne doit pas dépasser celle du plus pauvre. On trouve dans les lois, les règles implicites relatives au moyen de garantir l’équilibre économique et politique d’une cité ainsi Platon explique que pour l’installation matérielle de la cité ne doit pas être installés près de la mer ; car ils comportent des inconvénients : il estime que la situation portuaire est contraire à la politique : brassage des gens et des idées cela corrompt le climat psychologique et moral de la cité. De même pour éviter toute structure de l’équilibre économique et politique, Platon prévoit une stricte stabilité démographique, il fixe le nb de citoyen à 5040. Platon prévoit une règlementation de mariage et de l’âge de la procréation sous la surveillance des magistrats de la cité dans le mm esprit : règle limitant les inégalités de fortune dans un rapport de 1à 4pr prévenir les jalousies et les conflits ds la cité

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Importance du climat moral sur la stabilité économique et politique pour Platon : nécessite de la religion d’état respectés par tous, exclusion des poètes pour les facteurs d’innovation ou d’exploitation fermeture de la cité au monde extérieur. Les citoyens de -50 ans n’ont pas le droit de voyager = mauvaise habitude qui contaminerait l’esprit de la société Pour une cité : Le meilleur rempart est dans le cœur des citoyens

§4/ Aristote Disciples de Platon, précepteur de Alexandre le grand. Il a fondé une école rivale de l’académie le lycée. Marqué par sa rupture avec l’idéalisme de son maitre Platon. Ce rejet est expliqué par une Fresque : Platon et Aristote au centre et Platon a le doigt vers le ciel vers les cité et Aristote a les yeux dirigés vers la terre : il réhabilite l’expérience sensible.

Il faut expérimentés et inductive qui s’oppose aux méthodes éducatives de Platon

A/ La méthode scientifique d’Aristote Aristote est animé par la passion de la vérité pour lui la vérité est la conformité aux réelles le réel se présente à nous sous la forme d’une diversité incohérente. Aristote observe que la réalité n’est pas seulement une multitude d’entité réelles diverses. On distingue une forme générale de la cité et ainsi Aristote se rapproche de ce que Platon appelait les idées avec une diff capitale car pour Aristote l’idée n’est pas séparée de la chose de la réalité sensible les formes générales sont dans les choses et grâce à la mise en évidence de ces formes générales il devient possible de construire une pensée scientifique car la science n’est pas possible sur la seule réalité concrètes qui est très diverses. Elle est possible aux moyens du recours des formes générales. Il n’y a que de sciences générales d’où les 2 éléments de la méthode : observation et dialectique B) Observation : Aristote fonde sa doctrine sur l’observation du réel il ne s’est fais aucune idée sur un mode subjectif et rationnel. Avec ses élèves du lycée il a réalisé des études une enquête sur Rome, une présentation territoriale des différents états. Dans le domaine des sciences sociales : il faut la politique et la constitution d’Athènes Aristote ne travaille pas dans l’abstrait il s’appuie sur des enquêtes réelles et son œuvre repose sur l’analyse comparative et immense de donnée sociale et politique il est davantage qu’un précurseur = La socio d’Ari ne se contente pas d’une destruction mais d’une analyse du réel Il veut identifier les valeurs + ou – qui apparaissent dans les choses il ne se contente pas d’analyser la cité si elle est juste ou injuste Mêle le quantitatif et le qualitatif C’est ici qu’intervient l’autre élément C) Dialectique

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Constitue le moyen de découvrir les valeurs qui préside dans les choses ; c’est le moyen d’assurer que ce ne sont pas le fait de la subjectivité de l’observateur L’Art de la discussion Permettre de parvenir à une pensée scientifique il est impossible d’arrivée à une pensée scientifique en partant de la seule observation. Le moyen est de recueillir des moyens divers de ceux qui ont observés les choses : les spécialistes Aristote n’a pas le mm mépris que Platon pour l’opinion Cette opinion doit être exprimée et qu’elle émane de spécialisation et en raison de la complexité du réel chacun ne peut voir qu’un aspect de la réalité et c’est pourquoi la confrontation des opinions est utile pour aboutir à ce que Aristote appelle le juste...