Sociologie de la modernité PDF

Title Sociologie de la modernité
Course Sociologie de la modernité
Institution Université de Bordeaux
Pages 29
File Size 634.5 KB
File Type PDF
Total Downloads 40
Total Views 154

Summary

L3 Sociologie...


Description

INTRODUCTION : La sociologie dans l’histoire et non l’histoire de la sociologie. La sociologie est toujours en train de se faire depuis qu’elle existe. Les « père fondateurs de la sociologie » n’est pas une notion exact, la lecture de ces classiques n’est pas la même qu’à l’époque. La sociologie peut bientôt disparaître car les sociologue ne sont pas en adéquation avec l’évolution du monde. Ce n’est pas une matière surplombante qui ne sert pas à regarder la société, c’est une discipline inquiète qui voudrait bien vouloir décrire une réalité qui change tout le temps. Le problème auquel les sociologues sont confronté c’est le changement perpétuel, et un monde interdépendant. Ce qui change aussi, c’est que cet interdépendance est à l’échelle national maintenant nous ne pouvons plus limiter cet analyse à la notion de société. La notion de société ne sert plus à rien. On va faire une sociologie qui n’analyse pas la société. Or la sociologie s’est construite dans la matrice de l’état nation. La société est un drame. Alain Touraine : « La sociologie ne se développe qu’en rompant avec l’acceptation naïve des faits sociaux en découvrant derrière les apparences de l’ordre institués la chaleur des combats, la fragilités des compromis, le changement des orientations culturelles, les drames et les désirs qui travaillent la société ». Cette inquiétude est lié a la notion de modernité, la sociologie c’est la théorisation de ce qu’on appel la modernité. Trois sens possible à modernité : -> Une invention qui se définissent comme moderne et qui définissent les autres comme vieux. On va introduire des changements ou gérés des transformations et on va modernisé par quelque chose qui est définit par contraste moderne. A toutes les époques, dans toutes les cultures ont trouves des formes de cultures, modernes, des revendications de sois comme moderne. A chaque fois qu’on observe des ruptures politiques, on défend l’idée de changement ça peut se défendre du point de vue du moderne. -> Parmi l’ensemble des transformations revendiqué a ce titre, modernité occidentale dont le cours va faire le récit qui commence a se constitué a partir du XVe siècle. C’est cette modernité qui est l’objet de notre sociologie. Elle est la matrice de formation du monde contemporain et que cette modernité elle a eu une science qui s’est définit comme étant la science de cette modernité qu’est la sociologie, qui est la théorie de la modernité occidentale. -> Elle a des effets transformateur puissant des sociétés européennes et de la totalité des sociétés dans le monde. On a jamais vu des formes de modernité locale qui change a se point le reste de l’humanité. La matrice du contemporain occidentale mais aussi la matrice du contemporain mondiale. L’instrument de cette modernisation est le rapport racial et colonial qui a fait les puissances européens des dominants du monde. 1

Cette modernité occidentale est révolutionnaire. Elle a une capacité transformatrice du reste du monde extrêmement puissante et elle a transformé les société contemporaine et les formes de culture dans le monde. Sa particularité c’est qu’elle consiste en une opération de dissociation de l’unité du monde. Les sociétés européennes jusqu’au 15e siècle étaient divisés politiquement etc mais il y a avait une unité qui était de dire que ces gens la vivait dans un univers religieux, cosmologique. Ce qui donnait sa signification a la réalité était la religion catholique en Europe. Tout était expliqué par la bible = cosmologique. La modernité c’est LA RUPTURE de cette UNITE. A travers un processus de dissociation, parmi les opérateur de cet dissociation, économie se dissocie de la religieux, politique, des princes de connaissances avec la constitution d’une science autonome par rapport au discours religieux (fondamental). A partir du 15e-16e sièclee, il va y avoir une moindre emprise du discours religieux, car c’est une question de nécessité car les bateaux ne peuvent pas flotter sans la science et uniquement avec la bible. Cette autonomie de la science est un élément dissociait de la modernité occidentale, ce qui a permis a l’occident de monter en puissance. La dissociation avec le discours c’est fait aussi concernant la question du politique, on ne pouvait pas devenir souverain sans avoir une légitimation par l’église. Ce qu’on va observer a partir du 15e siècle c’est que la science politique va se dissocié de la religion. (Machiavel = premier a le dire) Introduction de la rationalité instrumentale = moins définit par les valeurs que par l’efficacité. La dissociation de la science économique, a partir du moment ou ce qui explique l’économie c’est pas la religion mais la notion d’intérêt, (rationalisation instrumental) c’est la science du calcul des intérêts c’est qui est tout a fait nouveau, elle n’avait aucune autonomie. L’invention de l’anthropologie, c’est une invention qui est venue de la nécessité de comprendre comment il est possible qu’il existe des formes d’humanité a ce point différentes des occidentaux. C’est surtout la découverte des Amériques. Est né d’une nécessité colonial impériale, on a besoin de connaitre les tribus pour pouvoir les comprendre, pouvoir faire le marché aux esclaves ou répondre le christianisme. La science des noms modernes c’est l’anthropologie. La modernité c’est la dissociation, elle est révolutionnaire, elle a des effets transformateurs, en tant qu’elle est révolutionnaire elle est ambivalente, un motif extrêmement puissante d’inquiétude. Comment ne pas amener au chaos, cette modernité est porteuse d’ondes positives car c’est le progrès, avec l’autonomies des disciplines et plus la religions, le monde va changer.

2

L’apparition de la sociologie est le produit d’une inquiétude vis a vis de la dissociation du monde. SI tout est désintégré alors tout fout le camps. Alors on peut faire l’hypothese que ce qui se configure c’est la forme de cohésion social, rationnalisme. C’est la science qui va être capable de derrière la modernité (18, guerre civil, révolution industrielle, lutte des classes, l’apogé de l’empire colonial, monde ultra violent ultra inégalitaire) c’est la science de ce qu’on va appeler la société. La société c’est la forme et l’organisation, cohésion social typique des sociétés modernes incarné par les sociétés européennes (les plus avancées). La modernité, la sociologie, la société, tout ça orienté par la notion de progrès. A partir des années 60, ce liens va se défaire, au point que maintenant on doit tout recommence. ->Tout d’abord crise de la société. Durkheim nous raconte que la société permet l’intégration des individus cependant mouvement étudiant, mouvement féministe, mouvement noir, au fond cette société n’était pas si intégré que les classiques nous le disaient. La société n’a jamais été cet forme d’harmonie mais des systèmes contradictoire. L’idée de société rentre en crise car loin de se reproduire ils se transforme en permanence. ->Crise de la modernité, lié a la crise du progrès, début des événements qui ont des effets destructeurs sur les populations, environnement. L’idée de progrès est de plus en plus moyen, et l’on ne parlait pas encore changement climatique. Le progrès c’est bien mais a quel prix. On parle des dégâts du progrès. Cette modernité entre en crise car elle se prétendait universelle mais enfaite elle est remise en cause défendant le point de vue sur le monde des sociétés occidentale, remise en cause des occidentaux la vérité du monde. L’un des pivots de changement est en 1979, la révolution iranienne qui est devenue une révolution islamiste et qui met en place un gouvernement. Trois pays n’ont pas été colonisé, le japon, l’iran et la Turquie (au prix du génocide Arméniens et obligation de se plié aux doxa Européenne). -> Crise de la sociologie, car elle pensait trouvé la notion de société et expliquant le monde et on se rend compte que c’est faux, les mécanismes de reproductions social sont parfois obscures et les individus ne sont pas si déterminés socialement etc, on ne peut plus déployer une sociologie de la reproduction de l’ordre social. La question des sociologues est « dans quel monde vivons nous ». Un monde de total disposition et total interdépendance est le monde dans lequel nous vivons. On peut affirmer en tant que sociologue le moment historique qui est le notre est une inquiétude comparable est celle qui pouvait exister a la fin du 18e siècle, on ne comprend plus la logique d’actions, le liens entre les uns les autres d’passés par des forces qui nous empêches de déployer un raisonnement que ces interdépendances sont construites. ON fait 3

le constat que les outils de sociologie nous aide plus, on ne vit plus dans un monde intégré comme le supposé la sociologie classique. On va essayer de construire deux réponses : -> Repenser la modernité -> Repenser la sociologie Modernité crise profonde au cours du 20e siècle au point que son existence à été remise en cause. ->1er critique par les modernes et en particulier ceux qui ont théoriser le contraire du progrès. La modernité révolutionnaire ne va pas faire le progrès mais vers la fin du monde, elle porte en elle même les ressorts de la destructions de l’humanité. ->Critique anti-moderne et donc anti-occidental, nous devons être contre la modernité car occidental et nous devons opposer d’autres formes de modernité qui ne s’enracine pas dans l’occident. -> Critique post-moderne, modernité = standardisation et donc la conséquence aujourd’hui et que chacun développe son rapport au monde, science, religions etc. Liberté de cet imposition modernisatrice. DANS TOUS LES CAS IL N’Y A PAS DE SOCIOLOGIE POSSIBLE. Le seul moyen de continuer a faire de la sociologie est de changer de modernité. L’idée c’est pas de défendre la modernité ni d’en sortir mais c’est de la définir autrement, comme il ne nous est plus possible de définir la modernité comme progrès ou universalité qui s’imposerai l’idée c’est de distinguer deux moments de la modernités : -> 1er modernité, pense sincèrement qu’elle est universelle, impose au monde. -> 2 modernité caractérisé par sa double réflexivité. C’est la conséquence de la première modernité, elle se rend compte que la définition du contemporain est la conséquence des effets, logiques de la modernité elle même. Modernisation modernisé définit par la re intégration a l’échelle mondial des connexion interdépendance. Tout est enchevêtré. On va comparer 4 éléments -> Question temporalité dans la premier et second modernité. -> Tradition/ Temps :

Passé, présent (sans compromettre l’équilibre du monde) futur

(commandé par le passé, retour du Messi qui rétablira la civilisation originel, possibilité de retrouver l’âge d’or) -> Modernité 1 Temps : Trajectoire de progrès, ------Présent (permet l’accomplissement du progrès futur)--->>> futur, avenir. 4

Rupture du passé, mobilisation du présent pour un futur, c’est quasi religieux mais très efficace. Espace : ethnocentrique, occidentale, intérieur (notre espace a partir duquel nous agissons) et extérieur (tout le reste, a conquérir, on peut déporter des choses gênantes de l’intérieur) -> Modernité 2 Temps : Passé --->> Présent (conséquence du passé)-> l’avenir se précipite sur le présent (conséquence de se que nous ne faisons pas au présent), no futur. (nous ne savons pas l’ampleur de la catastrophe). Espace : elle n’a plus d’extérieur ou balancer nos saloperie, nos actions auront forcement des effets en retour. Déplacement premier et deuxième modernité : Aujourd’hui ce qu’on observe c’est que la socialisation est éclatée etc..On ne peut plus définir les individus comme on les définissait auparavant. La notion d’acteur prend une autre signification. Le travail d’intégration des institutions dans la première modernité, et maintenant passé par les individus eux même. Cohésion social, on fait l’hypothèse qu’il y en a et que c’est ça qui explique les conduites. En seconde modernité ce n’est plus du tout le cas, on dit que si il existe de la cohésion sociale, c’est miraculeux. Il faut décrire comment les gens arrivent a vivre ensemble. Si on conserve l’idée de modernité il faut la repenser. Si on veut continuer a faire de la sociologie alors qu’on a changé de modernité, alors il faut que les outils de la sociologie se transforment. Ce qui veut dire que l’inquiétude qui était a l’origine de la formation de la sociologie (comment penser le monde de manière ordonné alors qu’il semble désordonné) maintenant la question se pose à nouveaux. La première chose a laquelle il faut penser, la sociologie ne peut plus être définit comme la science de la société, parce que c’ était ce qu’avait inventer les premiers sociologue, ce n’est plus ce qu’on observe. Donc si la société définit classiquement disparait on ne peut plus dire que la sociologie travail sur la société. Deuxième chose, avec tout ce qu’on a raconté sur l’ensemble des crises, mondialisations, risques, interdépendance, il y a une deuxième limite intrinsèque a la sociologie classique est que jusqu’a présent quand on disait la société notre niveau d’échelle de raisonnement était la société alors que c’est désormais mondial, des logiques mondiales. Cela suppose que l’on soit capable d’articuler des raisonnements du particulier au global. Dernière limite du raisonnement sociologique classique, ce raisonnement sociologique était Eurocentrique, Occidentalocentrique, c-a-d que la réalité du monde était définit par des européens, occidentaux, sans se rendre compte qu’ils décrivaient le monde de leur point de vue. 5

Si on tire les conclusion de ça, si ce qui fondait le fonctionnement de la société disparait, une discipline qui s’est fondé sur cet objet ne va t’elle pas disparaitre en même temps que son objet. Si alors l’objet de la sociologie ça n’est plus la société, quel est la sociologie ? L’objet de la sociologie ce n’est plus la société mais les rapports sociaux. Un rapport social = l’ensemble des relations entre les acteurs qui construisent qui institue et qui transforme la réalité du monde. Que ce qu’on entend par relation entre les acteurs, on rappel que les êtres humains ne sont pas autres chose que des êtres sociaux, ils sont interdépendant des uns aux autres. La capacité d’adaptation a leur environnement c’est la capacité qu’ils ont à interpréter et à agir sur cet environnement. Que ce que la réalité ? C’est la relation entre les acteurs. Il n’y a de réalité que socialement construite. Il existe des modes d’existences qui n’existe qu’a travers les relations des humains entre eux. Tant que les microbes n’ont pas été découvert par les travaux de Pasteur, les microbes n’existaient pas du point de vue de la réalité des humains. A partir du moment sont reconnu comme existant alors rétrospectivement on peut dire qu’il existait de tout temps. Et qui donne sens a la réalité qu’ils vivent. Le premier travail des sociologue est de décrire la manière dont les acteurs définissent la réalité du monde dans lequel ils vivent. La réalité que nous décrivons n’est pas une donnée, elle est obtenu de la relation entre les acteurs. Institue.La notion d’institution, a ne pas confondre avec ce que l’on appel l’institution. L’institution = institué le réel comme étant effectif. Quand une loi dit que ceci est légal ou non, elle institue une réalité construite autour de valeur moral, sociale. Transforme. La réalité institué se présente a nous de manière robuste. En réalité elle sont vulnérables, a des actions, des événements... Ce qui explique que nous vivons dans des mondes différents et qui évolue. Les rapports sociaux ont une historicité, ils construisent, institue, transforme mais sont transformé. Les choses ne viennent pas de nul part. Pourquoi les choses sont comme elles sont ? Une des réponses c’est l’histoire, produit d’une trajectoire historique, aucun déterminisme mais si elles sont comme ca c’est qu’elles sont inscrite dans une trajectoire historique. I) La modernité occidentale est révolutionnaire La notion de sociétés une réponse a l’inquiétude. Cette inquiétude apparait avec la modernité. La difficulté que nous avons a discuter de modernité c’est que le clivage et hiérarchie établit entre modernité et tradition. La modernité s’est inventé avec la tradition et a fait basculer du coté de la tradition. La modernité est un récit de rupture avec le passé. Le récit qu’on tient est un récit europpéen et de hiérarchie les blanc européens et le reste du monde. La sociologie classique on ne retrouve pas le rapport colonial alors que fin 19e siècle les sociologues sont des unviversitaire qui vivent dans des métropole ou le rapport coloniale 6

fait la richesse. La sociologie est culturellement, socialement, géographiquement lié. La sociologie participe a la hiérarchie entre les civilisation entre les races, les époques. Il faut toujours garder ça en tête. Fin 19e siècle, cette modernité est révolutionnaire toujours par rapport a quelque chose, c’est a dire a cet opposition fondamentale construite par le récit de la modernité entre tradition et modernité. Avant l’éruption de la modernité occidental toutes les formes d’institutions occidentales étaient traditionnelles. La modernité c’est construite en Europe est devenu moderne a partir du 16e siècle. Le monde de la tradition est fondé sur un principe d’unité et le garant de cet unité c’est la religion quel que soit cette religion (concerne toutes les sociétés dans le monde). Dans ce type de récit il n’y a pas d’autonomie de la nature. Il n’y a pas de frontière absolu entre les vivants et les morts, les êtres réels et les âmes. y’a pas d’autonomie en dehors de la religion de ce que les modernes appel la science la politique, tout est lu par les religieux. Un monde cosmologique : rapport a l’alimentation : nous on a un rapport de deuxième modernité en pensant aux conséquences sur notre planète. Quand c’était la première modernité c’etait une définition comme corps de travail, la culture populaire de la viande rouge synonyme de masculinité etc. Dans le monde cosmologique le rapport a la nature était définit par la religion qui prenait en charge la signification des aliments. Interdit dans les trois religions du livre : déterminé pour les juifs de ce que l’ancien testament raconte, dans l’éclésiaste il va y avoir ce que vous pouvez manger ou non par exemple : Dieu dit qu’on peut manger tout les poissons qui ont des écailles et sinon impossible, boeuf moutons, cerf etc interdit de manger ni chameau ni lapin ni porc. Dieu dit que tous les animaux qui appartiennent a une catégorie typique ils sont pur et tous ceux qui appartiennent a une catégorie atypique on ne peut pas les manger. catégorie typique = tous les ruminants ont des sabots fourchus... Chrétien : ce qui intéresse dit c’est pas ce que vous manger mais comment vous manger, ce que dieu condamne c’est comment, si vous devenez esclaves des plaisirs de la chaire, de la bouche vous quittez l’amour maternel de dieu et que vous vous comporter comme quelqu’un qui refuse l’humanité donné par dieu. Islam = double héritier du christianisme et judaïsme et païenne, nous c’est comme les chrétien pas d’interdit alimentaire fondamental, pourtant interdiction du porc, une épreuve faite aux musulmans a pour principe de pas chercher a comprendre; rapport non interrogatif. Tout ça pour illustré la rationalité cosmologique. En France, c’est un seul pays au monde ou l’on a pas des références religieuses, la France déchristianisé. Tout ce qui est atypique est impure, la pureté est comprise comme une conformité aux règles du classement. Au fond il constitue l’ordre symbolique du monde. C’est cet ordre qui fait tenir le monde, si vous le tromper vous risque « d’avoir le ciel qui vous tombe sur la tête ». C’est la raison pour laquelle le passé est si important, si on déséquilibre le monde alors c’est le chaos.

7

L’intérêt de cohésion social placé par la rationalisation cosmologique. Dans le monde traditionnel, les gens ne s’appartiennent pas, ils appartiennent au groupe social de leur naissance, c’est la naissance qui détermine tout. Tout les individus dépendent de leur groupe. La notion de « solidarité » décrit dans « Les formes élémentaires de la religion » = forme d’inter-dépendance = DURKHEIM. qui pour mieux décrire les formes de solidarité moderne va décrire les solidarité traditionnel. Différence entre solidarité mécanique et o...


Similar Free PDFs