Sociologie DE LA Deviance PDF

Title Sociologie DE LA Deviance
Course sociologie de la déviance
Institution Université de Pau et des Pays de l'Adour
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SOCIOLOGIE DE LA DEVIANCE L1 – Kenza AFSAHI – Sociologue économiste, et spécialiste des drogues, thèse sur la production du Canabis au Maroc et Centre de criminologie pendant 2 ans à l’université de Montréal. INTRODUCTION : Objectif du cours très globalement, prendre des exemples tirés de théories sociologiques et d’études renvoyant à des problèmes d’actualité. La déviance n’est pas forcément des types de violence, d’incivilité, c’est un regard sur la société. Les chiffres sur le trafiques de drogue ne reflète pas réellement le milieu. Chez les criminologues et les sociologues, l’on travail sur des thématiques communes mais pas avec les mêmes démarches. Les criminologues travaillent plus avec le milieu carsérale tendis que les sociologues vont sur le terrain. La déviance, les normes, le contrôle social La déviance à été largement définie comme un comportement inné, ainsi un individu déviant socialement ne peut être qu’un individu anormal biologiquement. Un autre courant considère que la déviance est un comportement résultant d’un apprentissage c’est la théorie de l’éducation déviante de Edwin Sutherland. Les individus rentrent dans un apprentissage du comportement déviant, c’est un apprentissage du comportement déviant, c’est un comportement appris avec l’intention de devenir déviant. « La sociologie de la déviance constitue la facecachée, révélatrice et critique à la fois, de la sociologie » (Albert Ogien) - Exemples donnés par A.Ogien - Tuer son voisin - Renverser volontairement du chocolat fondu sur un moquette blanche - chahuter en classe - être homosexuel - s’adonner au commerce de stupéfiants - se moucher au milieu d’un concert de violon - gravité très variable -point commun : existence d’un sanction : permet d’identifier la déviance donc la norme sociale sous-jacente. « Ce que les sociologues doivent connaître avant tout est ce qui se passe derrière le visage des hommes, ce qui rend la vie de chacun morne ou palpitante » R. E. PARK (1864 – 1944) « La déviance se définit comme l’envers de la norme qu’elle transgresse (Mucchielli) S’il existe un comportement déviant, c’est qu’il existe un comportement normatif, accepté et partagé par la société. Ainsi une norme est un principe et un modèle de conduite propre à une société ou un groupe social donné. Les normes sociales sont apprises par les individus au fil du processus de socialisation. L’école, la police les institutions exerces un contrôle social. La prison est une institution, il y a juste des espaces et institution plus libre. La déviance est une notion qui est beaucoup plus vaste que le crime ou envisagé comme une conduite non-conformiste. (la criminologie n’existe pas vraiment en France) Il y a une peur de la création de la discipline de la criminologie en France (les sociologues s’y opposent, car il risque d’y avoir des abus : Alain Bower en est l’exemple)

Énormément de comportement déviant qui ne sont pas sanctionné par la loi, ex : les femmes le sont moins que les hommes pour des crimes égaux ; dans la rue, devant un juge. La déviance s’intéresse aussi à des situations qui échappe au cadre légale. Au maroc il est interdit de vendre de l’alcool au musulman, mais il n’est pas interdit au musulman d’en consommer. Au pays bas depuis 1976 il y a eut une autorisation de l’ouverture des coffee shop pour que les individus ait un lieu pour consommer. - La déviance peut s’appliquer tant au comportement individuel qu’aux activités du groupe ou collectif. Les différentes théories de la déviance 1. Les débuts : la distinction entre le crime et la déviances 2. Les théories causales 3. Les théories compréhensives 4. Les théories de l’action Pour faire de la théorie compréhensive il faut savoir faire des interprétation pour comprendre à travers le milieu mais aussi à travers les regards du déviant. Des terrains difficile d’accès - L’accès aux milieux déviants, l’observation et l’entretien de personnes en situation d’illégalité, l’objectivation de ces méthodologiques, théoriques, éthiques. Sujets à controverse : par exemple la question de la consommation de cannabis et sa légalisation ou non attisent les apparitions sur la scène publique. Le débat sur la légalisation du cannabis entre les pour et les contres depuis l’appelle du « 18 joint » 1971 ! Souvent la déviance, le fait de s’opposer à des lois fait bouger la loi et fait progresser les sociétés. Reportage sur la production de canabis au Maroc. Crime et déviances : La sociologie de la déviance elle est inspiré des recherches en psychiatrie, en biologie, en médecine et en criminologie. A partir du 18ème des auteurs ont chercher à expliqué des phénomènes criminels et tenté de trouver des raisons et des solutions pour baisser cette criminalité, il y a eut des médecin et des biologiste au départ qui relever des recherches de Darwin (influence Darwiniste). A travers des exemples : Eugénisme, Vénus Hottentote, psychiatrie coloniale, nous allons voir comment la différence, la déviance, les vulnérables sont considérées à cette période de l’histoire. L’on remarque que ça concerne toute les différences, tout ce qui n’est pas dans les normes habituelle. Comment le droit s’est emparé de la question de la criminalité ? Quelque grande tendance : Au droit pénale, la définition du crime est relativement simple en droit pénal : il y a crime lorsqu’un individu enfreint un article de loi en usage (Ogien, 1997) On parle de norme objective (Weber, 1986) Le système pénal s’occupe du traitement de la délinquance qu’il a pour objectif de réprimer.

Dans les sociétés traditionnelles : comment les individus peuvent enfreindre des lois divines ou ancestrales ? On explique ces dérèglements par les mythes, la religion, les croyances, cela la communauté, l’individu serait ensorceler ou aurait subis le mauvais œil. (Ex : homosexualité au Maroc / marabouts) L’homosexualité est expliqué dans certaine religion par la croyance (l’homosexuelle serait un individu occupé par un mauvais esprit) au Maroc, l’on essaye par la voi de rituel de réintégrer l’homosexuelle dans la société. Les croyances religieuses existe toujours. La sanction peut-être négative ou positive, c’est une façon de contrôler une personne, l’on signale le criminel aux yeux de la communauté et à fonction de dissuader ses membres de transgresser ses règles. Césare Béccaria, le traité des délits et des peines, 1764 - Juriste, philosophe, économiste, criminaliste… Il s’inspire de Rousseau et de Montesquieu (produit des lumière) Selon lui le droit la justice à pour fonction d’assurer les libertés individuelles. Il prend en compte les seuls délits qui mettent en danger la collectivité (exclut les conduites privées, délits d’opinion ou manquement à la religion) Il souhaite réformer l’appareil judiciaire (supprimer les châtiments exemplaires ou rédempteurs) On appelle cette approche, l’approche utilitariste de la peine L’approche utilitariste de la peine : les individus cherchent à obtenir le plus grand bonheur personnel : capacité de peser les avantages et les inconvénients des actes qu’ils commettent. La peine à une fonction de dissuasion Le criminel est un individu normal et rationnel Trois principes de rationalité fondent encore le droit pénal moderne : la certitude de la peine, la proportionnalité de la peine, impersonnalité des lois et universalité de la punition Sous-entend la liberté individuelle et l’égalité des citoyens face à la loi. Les limites de la conception utilitariste - Les faits contredisent les principes de l’utilitarisme : les criminels ne sont pas dissuadés par les sanctions auxquels ils s’exposent - Le principe de rationalité des individus est remis en question : pourquoi certains individus ne parviennent pas à faire le calcul d’utilité qui les dissuade d’enfreindre la loi ? - La science criminologique, naît au milieu du 19è:me siècles. S’est construite sur cette interrogation. Depuis deux tendances s’opposent : - ceux qui considèrent que les crimes sont la conséquence des conditions d’existence : - ceux qui veulent déterminer les causes individuelles (génétiques et défauts de personnalité) la nature criminelle. Adolphe Quételet, la statistique morale - Les phénomènes de criminalité et de délinquance sont souvent expliqués par l’industrialisation et l’urbanisation des Etats modernes (avec la révolution industrielle. - Primauté du contexte social dans le développement de la criminalité Création d’un compte général de l’administration et de la justice en 1827 en France et la naissance de la discipline « Statistique morale ». - La statistique morale s’intéresse à l’époque au mariage, au crime et au suicide (trois grandes tendances stables de l’époque) : cherche les déterminant qui poussent un nombre d’individus constant à s’engager dans le mariage, le crime et le suicide.

Parmis les scientifiques qui vont en faire usage : Adolphe Quételet (Astronome et statisticien belge) invente la notion d’Homme moyen (qui s’approche de la norme de la moyenne de la population) Il cherche les déterminant qui expliquent pourquoi la société produit du crime Selon lui, le législateur doit agir sur le système social pour diminuer les chiffres de la criminalités (aujourd’hui on parlerai de salaire chômage etc.) Le penchant au crime existe dans toute les couches de la société, les infraction dépendent des opportunités offertes par l’environnement Selon Quételet, la répression est la solution la moins pire en attendant l’amélioration de l’éducation et des conditions de vie des individus. Il ne se prononce pas sur ce que doit être le système pénal. La statistique morale ) l’époque à des limites car les variables sont beaucoup trop large, pas de typologie de la criminalité, des groupes sociaux etc. Ne produit pas d’explication de la criminalités cherche pas à savoir qui sont les individus criminels et pourquoi ils agissent ainsi, ce à quoi va répondre l’école italienne… L’école italienne ce sont des médecins des psychiatre et biologiste. Comment la biologie et la psychiatrie se sont emparées de la question de la déviance ? Lombroso, l’école italienne - Psychiatre, fondateur de l’anthropologie criminelle, avec son ouvrage L’Homme criminel (1876) - Figure de la criminologie européenne de la fin du XIX emes siècles bien que ses méthodes et ses résultats ont été largement critiqué. A l’époque il voulait révolutionner le droit pénal avec sa théorie d’anthropologie criminelle (approche médicale). Sa conclusion : pour lui le délinquant est un être d’une espèces particuli_re que l’on reconnaît à certains attributs physiques (forte mâchoire, arcades sourcilières proéminentes…) psychologiques (insensibilité à la douleur…) et sociaux (tatouages, argot…) qui le rapprochent du sauvage. Pour Lombroso les facteurs structurels, environnementaux biographiques sont absents Le criminel est davantage un malade sinon inoffensif, du moins innocent qu’un coupable Association de certains taits physiques et morphologiques de l’individu à la tendance criminogène dit rendre les politiques de prévention plus efficaces. Il essaye d’expliquer par le sens des menstruations, des règles, pourquoi les femmes serait plus criminel il fait un lien entre hérédité et sexualité. Selon lui la Bourgeoise est un des critères de normalité, les femmes du peuples de l’époque déjà on un indice d’anormalité. Suite prostituée-née chez Lombroso - La normalité de la femme se définit, chez Lombroso, avant tout par la maternité-pudeur-frigidité : la femme anormale / criminelle est repérable par son excès de sexualité. Les exceptions à la norme, c’est à dire la criminelle et la prostituée. Dans certaine société encore aujourd’hui il y a des préjugés, idées reçus sur la sexualité féminine. Plusieurs thèse concurrentes : celle du criminel-né atavique, épileptique et fou moral de Lombroso, celle du criminel dégénéré (V. Magna), celle du criminel comme type professionnel (G.Tard, P. Topinard) celle du criminel lié au « milieu social ».

Pour résumer A partir du 18ème siècles, les scientifiques ont affirmé u’une personne déviante était forcment une personne anormale biologiquement : « préjugé de l’anomalie individuelle », image de la personnalité criminelle Tendance de fond des sciences du 19ième siècles naturalistes, classificatrices et hiérarchisantes (trouver dans la population de « types » avec des caractéristiques communes) Les comportements déviants ont été considéré comme innés, inscrits dans les gènes. Cette façon d’appréhender les phénomènes de déviance à subsisté jusq’au Xxes sicles : explication qui atteint son apogée lors de l’entre-deux guerres avec l’eugénisme. L’eugénisme, c’est le fait de bien naître C’est aussi faire bien naître et empêcher de naître des individus qui ne correspondent pas aux normes du type humain normatif (race aryenne, hétérosexuel, etc. pour améliorer le patrimoine génétique de la population. Exemples : la stérilisation massive des déviants aux Etats-Unis, l’élimination des Romes, des Juifs, des handicapés, des déviants par les Nazis. Corée du Nord : Selon l’institut de l’unification national 2009 : stérilisation des nains, stérilisation des femmes de moins de 1,5 mètres. Il y a encore aujorud’hui ce type de chose, les lancé de nains, la loi des Indiens datant du 19ème les sciences contemporaines n’ont pas abandonné complètement cette piste : actuellement avec les recherches génétiques et neurologiques dans le champ de la criminologie montre la tentation d’expliquer le crime par des critères biologiques. - Sur le plan théorique le modèle explicatif du passage à l’acte n’a pas donné les résultats escomptés Sur le plan pratique la contribution est plus nette surtout dans le domaine de la médecine l »égale et de la police scientifique (analyste ostéologique et sanguine, empreintes digitales et génétique etc..) La Vénus Hottentote, o la déviance anatomique des individus - De son vrai nom : Sawtche (Sarah) Née en 1789 (année de la déclaration des droits de l’Homme) en Afrique du Sud, originaire du peuple Khoïkhoï (Khoïsan), les plus anciens habitants de la région sud de l’Afrique - En quoi Sawtche pouvait-elle être considérée comme déviante ? Elle était noire, orpheline, esclaves, prostituée de force Exibée par son maïtre comme une bête de foire pour son énorme postérieur, en Grand Bretagne et en France elle attisait la curiosité des scientifiques et des anthropologues. En Mars 1815, elle est examinée, observée et mesurée au muséum d’Histoire naturelle par Geoffroy Saint-Hilaire, professeur de zoologie. Il la compare aux singes et aux orangs-outangs bien qu’elle parle plusieurs langues En décembre 1815 elle meurt. Cuvier prend possession de son corps, pour la disséquer et conclut qu’elle est d’une race nègre inférieure. Jusqu’en 1974, un moulage de son corps et son squelette sont exposés au musée de l’Homme à Paris. A la demande de Nelson Mandela elle n’est pas restitué de suite à l’Afrique du Sud. En 1994, c’est la fin de l’apartheid, Nelson Mandela demande la restitution du corps, celle-ci sera refusée par la France sous la pression des scientifiques. En 2002 est votée une loi spéciale pour que le corps de la « Vénus Hottentote » retourne en Afrique du Sud pour y être inhumé selon les coutumes de son ethnie d’origine. C’est Durkheim qui pose les bases de la sociologie de la déviance, car les autres sciences humaines tel la psychologie, psychiatrie qui ne traiter que de critère psychologique et pathologique alors que

d’un point de vus sociologique l’on à besoin de crime pour qu’une société puisse évoluer dit Durkheim. Il questionne la distinction entre les faits sociaux « normaux » (organisation fonctionnelle, santé sociale) et « pathologiques » (désorganisation, une maladie sociale). Son but est de démontrer que la sociologie est utile en pratique. « Le crime est normal, parce qu’une société qui en serait exempte est tout à fait impossible ; telle est la première évidence paradoxale que fait surgir la réflexion sociologique . » E.Durkheim La crime est un fait social qui s’observe partout, dans toutes les sociétés (archaïques, traditionnelles, industrielles, etc) même s’il a une représentation, une valeur… différente selon les sociétés. La criminalité change de forme selon les sociétés mais aussi les époques. Certains crimes étaient punis, plus maintenant et l’inverse est vrai. Le crime est un fit social « normal », voir utile à la société (Durkheim) « facteur de la santé publique, une partie intégrante de toute société saine ». Selon Durkheim le crime est un facteur d’innovation et de changement social : le comportement à vocation « criminel » peut, à terme, à faire évoluer les normes sociales : ex. Les mamans célibataires « Le crime est donc nécessaire : il est lié aux conditions fondamentales de toute vie sociale, mais, par cela même, il est utile ; car ces conditions dont il est solidaire sont elles-mêmes indispensables à l’évolution normale de la morale et du droit. » Durkheim S’il n’y avait pas de criminalité, il n’y aurait pas de conflit, pas de changement des normes sociales. Dans un certain sens certain crime sont à l’avant garde de la loi, de nouvelle règle de nouvelle norme. Ex : mariage pour tous, homosexualité encore considéré comme un crime dans plein de pays. Pour qu’il y ait des changement, il faut que « les sentiments collectifs » soient dans un état de malléabilité nécessaire pour prendre une nouvelle forme. Exemple : dans le droit athénien Socrate était un criminel et sa condamnation injuste. Son crime était l’indépendance de sa pensée. Crime utile pour préparer une morale nouvelle dont les Athéniens avaient besoin parce que les traditions vécues jusque-là étaient désormais en contradction avec leurs conditions d’existence. - Le cas de Socrate n’est pas isolé et se reproduit périodiquement dans l’histoire. « la liberté de penser dont nous jouissons actuellement n’aurait jamais pu être proclamée si les règles qui la prohibaient n’avaient été violées avant d’être solennellement abrogées. » Durkheim Voir le film « le Destin de youssef chahine » Les crimes de Socrate comme bien d’autre ont été utile nous sommes en démocratie en France par exemple. Exemple de crime : vente de préservatif, avortement etc.

« En fait le crime permet aux petites déviances, dont l’excentricité, la créativité, l’originalité, la découverte, la curiosité, etc. d’exister. Sans le crime la dénonciation morale s’étendrait automatiquement vers le bas aux actes moins graves (exemple du monastère). Le crime empêche la société d’être réfractaire au changement en général. Autrement dit, nous devons toujours avoir une cible pour notre désapprobation morale – nous devons être scandalisées par quelque chose, probablement parce que ceci renforce notre identité personnelle. » E. Durkheim Selon Durkheim contrairement aux idées biologiste, psychiatre etc, l’individu criminel n’apparaît plus comme un être insociable, malade etc, mais comme un agent comme un autre A l’époque de Durkheim l’on s’intéresser beaucoup sur le droit pénale la sanction etc. Elle permet de crée du lien entre les gens (la sanction) sa forge l’identité sociale parce que le groupe social de la société va défendre des valeurs communes. « Si le crime n’a rien de morbide, la peine ne saurait avoir pour objet de le guérir et sa vraie fonction doit être cherchée ailleurs » Durkheim Durkheim entend par là qu’il faut chercher des solutions ailleurs sur ce qui permet d’apporter à une société ce résultat. C’est valable pour les crimes non morbide, essayons de voir si certain crime ne sont pas valables ou bénéfiques. La méthode statistique chez Durkheim Avant Durkheim à une approche critique des chiffre, il voit au-delà de ce que les chiffres signifie. Prise en cmpte de variable psychologiques et socioéconomique. Durkheim prend l’exemple du crime, que tout le mode croit pathologique, une « maladie sociale » et le mesure selon ce standard. À partir de l’exemple du crime Durkheim va se rendre compte que c’est un phénomène social et non pathologique. Durkheim va donc appréhender le crime à partir du taux de criminalité et il va trouver et chercher une limite avec un taux qu’il va considérer normal. D’un point de vu sociologique c’est lorsque le crime dépasse un certain taux qu’il peut-être considérer comme un phénomène pathologique. Si le taux est très faible c’est par progrès apparent contemporain solidaire. L’office national du film du canada : Les justes en streaming Transgr...


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