Sociologie politique cours complet PDF

Title Sociologie politique cours complet
Course Sociologie politique
Institution Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
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Totalité du cours de sociologie politique dispensé en licence 1 de droit...


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Sociologie politique, Cours de Mme Sandrine Levêque SOCIOLOGIE DE LA POLITIQUE

Manuels : Introduction à la sociologie politique Jean-Yves Dornagen et Daniel Nouchard, Bruxelles, 2007, De Boeck La construction du champ politique, Manuel de Philipe Moreau, Sociologie politique La revue françaises de science politique, Politcs : revue des sciences sociales du politique Introduction I.

Sciences politique et sociologie politique

Histoire des idées politiques : Tous ce qui touche à l’analyse de grands courants de pensée politique. Quels sont les penseurs et ceux de la différence ? Fascisme et modernité. La sociologie politique c’est l’idée de travailler à partir d’une méthode bien particulière sur l’objet politiquer. Les objets sont plus contemporains même si se développe la sociohistoire de la politique. La sociologie politique est une partie de la science politique. C’est une discipline académique, reconnaissance institutionnelle qui permet de dire que c’est une discipline académique. La science politique est reconnue comme une discipline universitaire et elle est reconnue par l’instance la plus importance : l’Etat. La science politique est une discipline jeune, qui s’institutionnalise dans les années 1950/1960. Maurice Duverger a été un des premiers directeurs du département de science politique de Paris 1. Il a œuvré pour séparer le droit constitutionnel de la science politique. L’agrégation de science politique date de 1972. La sociologie politique c’est l’idée de travailler à partir d’une méthode bien particulière sur l’objet politique. II.

Une sociologie appliquée au politique A. La notion de politique

Il n’y pas un seul sens du mot politique et c’est une notion très polysémique qui a plusieurs sens. Elle n’a pas vraiment de genre « la » ou « le » politique. Cette polysémie tient à deux dimensions du mot politique : ⇨ Les faits politiques n’existent pas naturellement. Il existe des objets qui sont par nature minérale ou végétale. Rien dans notre société n’est naturellement politique mais tous peut le devenir. Ex : Le football n’a rien de politique mais lorsque l’Iran rencontre les USA pour un match, cela devient politique. Lorsque la Palestine déclare vouloir adhérer à la Fifa, c’est un acte politique. Il peut conduire à l’amélioration des relations entre les Etats. En 1982, on dépénalise l’homosexualité,

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Sociologie politique, Cours de Mme Sandrine Levêque c’est une question qui devient politique. Le sida est aussi une question qui a été politisé. Cependant le cancer n’est pas un objet politique. ⇨ Les faits politiques sont contingents. Un fait social et la dimension politique du’ »n fait social peut varier dans l’espace et dans le temps. Un fait social n’est pas toujours éparpille politique. La politisation d’un fait social varie dans l’espace. Chaque aire culturelle n’a pas le même rapport de politique. Par exemple, la religion peut être un phénomène politique dans certains espaces et dans d’autres états non. Même si on assiste à la constitution de la religion comme un jeu politique dans les pays laïcs. Pendant longtemps, les affaires de mœurs n’ont pas été une question politique. La vie privée des hommes politiques n’était pas une question politique. C’est un mécanisme qui est progressive. On va assister à une politisation du corps des hommes politiques. Ce qui relève de la sphère privée a longtemps été exclu de la vie politique. Quand les députés de la III e république commencent à imaginer qu’on pourrait donner des allocations familiales, penser que l’état puisse s’immiscer dans la vie familiale, c’était quelque chose qui était absolument aberrant. Penser l’état puisse intervenir en matière de contraception ou d’avortement n’allait pas de soi. Au-delà des oppositions sur ces sujets, il était difficile de savoir si l’état pouvait intervenir sur quelque chose d’aussi intime que la contraception. L’une des questions de la science politique et de comprendre ces processus de politisation. Pour politiser un problème, il faut qu’il y ait certain groupe intéressé à la politisation de ce problème. Si la question du sida se politise, c’est qu’elle va être considérée comme la maladie d’un groupe particulier. C’est parce que ces groupes sont concernés qu’ils vont porter aussi la cause. Il faut que le groupe soit suffisamment de ressources pour porter sa cause. L’obésité n’est pas un problème transsclasse. C’est plus difficile pour lesclasses populaires de se mobiliser que pour les intellectuels ou les classes supérieures. C’est un mouvement porté par des intellectuels et des artistes : Sida. Il faut qu’il y ait une réponse de la politique. La question de la parité : quand le manifeste des 10 parlementaires qui réunit des femmes politiques de gauche et de droite, on a un signe de mobilisation. La politisation d‘un problème renvoie à des mécanismes complexes et multiples. Ce n’est jamais univoque, ça ne réussit pas toujours. Le politique vient de deux termes : polis et politea. Ce sont deux termes qui désignent les affaires de la cité. La cité est comprise comme une communauté regroupée sur un territoire donnée et gouverné par un ensemble de règles établies. On pourrait imaginer que la politique renvoie à tous ce qui concerne l’ensemble de sa société et dont la régulation est réglée par l’état. D’autres acteurs qui agissent à la marge de l’état, voir dans le cadre de l’état sont régulateurs des problèmes sociaux (syndicats, partis politique…). Une des fonctions des partis politiques est de transformer des demandes sociales en programme politique. Le parti communiste appelle à la révolution.Finalement, il y a de la politique hors de l’état comme une manifestation. Cela peut permettre des formes de régulation de la société. Les forums sociaux : manifestation alternative au brésil et qu’on l’on a qualifié mouvement inter mondialiste. Lesforums sociaux sont de la politique et des modes de

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Sociologie politique, Cours de Mme Sandrine Levêque régulation de la société. Cependant, le forum social refuse le discours politique, il n’y a pas de porte-parole. Considérer que la politique c’est l’état revient à dire qu’il n’y pas de politique dans les sociétés sans état. Les anthropologues ont montré qu’au contraire, il y avait du politique dans ces sociétés mais cette relation politique avec un chef, par exemple, existait à l’état diffus et qu’il n’y avait pas de monopole institutionnalisé de la politique. Le chef était un chef religieux, politique et guerrier. Il n’y avait pas de monopole de l’activité politique à l’intérieur de certaine tribu. C’est une définition trop réductrice Confondre politique et état, c’est ne pas être très précis car elle ne délimite pas le champ d’observation. Cela ne permet pas de définir la spécificité du politique. Si on s’en tient à la définition classique de ce qui relève de la politique ou non dans l’état, on pourrait, c’est aussi principe de la séparation de l’état, dire que ce que relève du judiciaire n’est pas politique. L’administration n’est pas politique, c’est un principe majeur de nos démocraties de séparer le politique des instances démocratiques et des instances judiciaires. Il y a des activités dans l’état qui ne sont pas politique. Tous dans l’état n’est pas politique, demême que le politique n’est pas que dans l’état. Sinon on risque de tomber dans une vision très institutionnelle, c'est-à-dire de se limiter à l’étude au droit constitutionnel. On a essayé de rattacher la politique à autre chose : c’est le pouvoir. ⇨ Est-ce que la politique c’est le pouvoir ? On peut finalement faire les mêmes reproches à cette définition car cela reviendrait à confondre l’état et la politique. Dans un premier temps, cela risque delimiter la politique à la lutte pour le pouvoir. La politique ce n’est pas simplement la lutte pour le pouvoir mais c’est aussi de la régulation sociale. Les actions politiques ordinaires et qui font partie des politiques publiques, c’est typiquement des politiques qui régulent le pouvoir. C’est une politique qui va prendre des mesures d’incitation le logement imposable… Il y a du politique ailleurs que dans le pouvoir. C’est une définition trop large car la notion de pouvoir est presque plus difficile à définir que la notion de politique. La notion de pouvoir est elle-même polysémique. Contrairement à ce que l’on pense communément, le pouvoir n’est pas une chose, n’est pas un objet que l’on détient. Le pouvoir s’exerce. Robert Dahl : A exerce un pouvoir sur B dans la mesure où il obtient de B une action Y que ce dernier n’aurait pas effectué autrement. Ce qui se détient, c’est la force, l’autorité, mais le pouvoir c’est une relation sociale singulière caractérisé par son asymétrie. Le pouvoir est la capacité d’imposer sa volonté à d’autres, c’est une notion bien plus large que la notion de politique. On en peut que constater qu’il existe des pouvoirs dans d’autres groupes sociaux que des groupes strictement politiques. Les parents exercent de l’autorité sur leurs enfants, pouvoir dans la religion, dans l’entreprise puis dans d’autres espaces sociaux. Dès lors, la politique et le pouvoir ne se confondent pas. ⇨ Quelle est la spécificité du pouvoir politique ?

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Sociologie politique, Cours de Mme Sandrine Levêque Elle est définie par Max Weber : « est politique, un groupe de domination dont les ordres sont exécutés dans un territoire donné, par une organisation administrative, qui dispose de la menace et du recours à la violence physique légitime. » On est au cœur de la définition du pouvoir politique, car le pouvoir politique contrairement au pouvoir des parents, du chef d’entreprise, du prêtre… s’exerce sur un ensemble d’individus de la même manière, à l’ensemble d’une population donnée et d’un territoire donné. Le pouvoir politique est une relation sociale globale qui s’étend à l’ensemble de la société. Le monopole de cette violence physique, c’est l’état qui le détient. Mais hors de l’état, il y a des organisations qui peuvent lui faire concurrence. On s’interroge beaucoup sur le rôle des mafias qui peuvent avoir un rôle de violence physique mais pas légitime. On constate que dans les démocraties occidentales, le pouvoir ne s’exerce pas forcément par la violence. Lorsqu’il y a de la violence, il y a échec de la coercition. Lorsqu’un chef d’état envoie la police tirer sur les manifestants, c’est parce que le pouvoir politique est remis en cause. La légitimité du pouvoir est remise en cause avec la violence physique. La violence physique illégitime intervient le plus souvent lorsque les autorités n’exercent plus leur pouvoir dans un territoire donné. Dans le cadre des démocraties occidentales, lorsqu’il y a une bavure policière et que la violence est du côté de l’Etat, c’est un signe d’échec de l’autorité de l’état sur les délinquants. La définition de Max Weber sur la violence physique est assez obsolète. Le pouvoir politique ne se fonde plus sur la violence mais sur le consentement des populations. L’un des phénomènes majeurs aujourd’hui dans les démocraties occidentales est que la relation de pouvoir en politique passe moins par la violence physique que par une violence symbolique. La violence symbolique est tous ce qui touche à la croyance d’une société, aux représentations collectives ou à ses valeurs. C’est une violence qui s’exerce au nom des croyances légitimes d’une société. C’est une violence qui s’ignore. Elle possède de l’autocontrainte  c’est une violence qui s’exerce sur nous même pour vivre en société. Intériorisation du pouvoir politique nous semble légitime, normale voir désirable. ⇨ Comment est-on passé de cette violence physique à cette violence symbolique ? On est dans une société de moins en moins violente : processus de civilisation.Le pouvoir politique est défini comme une capacité d’imposer sa volonté dans le cadre d’un territoire donné soit au moyen de la violence physique ou symbolique, ce qui permet d’englober des tas de choses qui touche à l’état qui a le monopole de la violence physique légitime mais aussi qui tient une grosse part de la violence symbolique. Un parti révolutionnaire par excellence a eu pour fonction d’acculturer les classes populaires. La politique c’est cette domination symbolique qu’exerce cette forme de violence comme les partis politiques. C’est de la domination douce car c’est de la domination intériorisé. Elle est le produit de la socialisation tourné vers la répression de la violence.

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Sociologie politique, Cours de Mme Sandrine Levêque B. L’analyse sociologique du politique On va procéder par élimination : essayer de voir comment on peut aborder une politique. Il y a beaucoup de manière d’aborder la question politique. Quel devrait être le meilleur gouvernement possible ? On pose un point de vue normatif sur la politique. La finalité est la vie heureuse dans la société, l’égalité. Il s’agit de la vision politique que défend Rousseau dans le Contrat social. C’est une analyse philosophique sur la politique qui est celle que l’on trouve dans les discours politiques. L’approche juridique se désintéresse de la question de l’éthique. Quand elle étudie la politique, elle adopte uneposture de positivisme juridique : décrire et comprendre le fonctionnement des institutions. L’analyse principale est l’analyse des textes juridiques. Aujourd’hui, le retour à uneinterprétation des textes. En droit, tous ce qui touche aux finalités sociales de la production du droit est évacué le plus souvent. On va s’intéresser à ce que signifie lestextes. C’est une posture d’exégèse des textes. Le point commun avec la sociologie : la sociologie va aussi décrire ce qui est mais elle va adopter un point de vue contradictoire. Le droit se concentre principalement sur les textes : tout ce qui est en dehors du droit n’est pas analysé par le droit. Pendant longtemps, les mouvements sociaux n’étaient pas étudiés par le droit. L’analyse juridique est utile et même très utile car elle permet de fixer le cadre d’un certain nombre d’objet qui intéresse la science politique. Ce sont deux démarches complémentaires, le droit décrit lesrègles de droit qui encadrent l’activité politique, alors que la sociologie politiques’intéresse aux règlestelles qu’elles sont décrites dans le texte de loi. Mais elle s’attache, premièrement, à comprendre les processus, à l’aide de la codification des règles. Le droit positif nait d’un rapport de force à un moment donné, tandis que la sociologie politique s’intéresse à la mise en œuvre de ce processus. La constitution garantie l’égal accès des hommes et des femmes aux postes politiques, on fait une loi et cela va changer les comportements politiques, le droit change des choses. L’idée est d’analyser les mécanismes sur un temps long car il faut prendre en compte le fait que lorsqu’il y a un évènement politique, les acteurs ne servent pas forcément les conséquences de leurs actes. S’intéresser à l’histoire, aux actes et à la conséquence des actes. Les processus historique sont produits par une multitude d’acteurs qui poursuivent des intérêts divergents et contradictoires. La manière dont on enseigne l’histoire même l’histoire politique, ce n’est pas l’histoire d’un seul homme. C’est plus une histoire socialeprofonde qui permet de comprendre la profondeur des évènements politiques et de le resituer dans leur contexte globale. La démarche historique est utile non pas en tant que démarche évènementiel mais en abordant l’histoire dans un mécanisme plus profonde. C’est histoire des acteurs ordinaires du politique, histoire au long terme. Cela s’accommode avec la démarche sociologique. La démarche sociologique dans son acceptation la plus simple est l’étude des phénomènes sociaux cad des phénomènes collectifs qui n’existent que parmi les hommes qui vivent dans la société. L’homme vit en société. La psychologie étudie les hommes en société aussi. Mais la psychologie et la sociologie sont différentescar la psychologie a pour objet d’étudier les déterminants individuels des actions individuels. Si un psychologue

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Sociologie politique, Cours de Mme Sandrine Levêque étudie le suicide, il va chercher dans la trajectoire de l’individu, dans les liens dans la société, de son comportement individuel. La sociologie a pour objet d’étudier les déterminants sociaux des actions sociales et peut s’intéresser à des actes très intime : le suicide et le choix du conjoint (analyse de la structure de la personnalité). Mais on peut dire que le suicide ou le choix du conjoint sont des phénomènes sociaux car on peut désormais s’intéresser aux déterminants sociaux du suicide durant un certain nombre d’année. Durkheim a essayé de montrer que le suicide était un phénomène social et qu’il correspondait à des mécanismes collectifs d’appartenance à la société. Il a pu montrer que les suicides baissaient en période d’activité sociale intense et montait en période de calme. Il se produise au moment où lesnormes sociales sont relâché et que les individus sont moins intégrés dans la société. Il ya des groupes dans lesquelles les suicides sont plus fréquents que dans d’autresgroupes qui sont moins intégrés socialement. Il ya des déterminants sociaux au suicide et le suicide est un phénomène social. Le choix du conjoint se fait en fonction du milieu social, on se marie avec quelqu’un qui nous ressemble socialement, les lieux de rencontre sont socialement déterminés. Dans les années 60, on rencontrait son conjoint dans les mariages, on avait aussi une endogamie social très forte. Les règles de la méthode sociologique, Durkheim : ce que nous savons de manière spontané sur un objet est le premier obstacle à la connaissance de cet objet. « Il ne faut pas être intelligent tout le temps ». En sciences sociales, c’est indispensable. Ce besoin vitale de nommer les choses, de les catégoriser, a des effets pervers sur la connaissance scientifique que l’on peut avoir des phénomènes sociaux. On va confondre les choses qui nous entourent et l’idée que l’on s’en fait même si celle-ci est fausse. Une enquête a été menée par Paul Lazarsfeld sur les soldats américains. A la base, il y a quatre évidences : ⇨ Les individus dotés d’un niveau d’instruction élevé présente plus de symptômes psychonévrotiques que ceux qui ont un faible niveau d’instruction. Les intellectuels se prennent la tête et sont plus sensible à l’arrêt du combat et donc plus déprimé. Une étude sur les soldats américains a été faite. ⇨ Pendant leur service militaire, les ruraux ont meilleur moral que les citadins. ⇨ Les soldats originaires du sud des USA supportent mieux le climat que ceux du nord des USA (soldats postés dans le pacifique). ⇨ Les soldats sont plus impatients d’être rapatrié pendant le combat. Or l'enquête quantitative menée par Lazarsfeld a montré des résultats totalement contraires. En effet, les soldats étaient plus impatients d'être rapatrié après le combat que pendant le plus impatient. Le climat du sud des Etats-Unis n'est pas le même que celui du pacifique. On peut trouver des évidences. L'idée est une seule évidence: bien évidemment il faut se méfier des évidences et des choses qui vont de soi. La démarche sociologique c'est d'abord et avant tout se méfier des évidences et donc déployer des dispositifs d'enquête qui permettent de vérifier des hypothèses et de mettre à jour toute une série de preuves. Le seul moyen d'aller contre ces évidences est de mettre en place un dispositif de vérification: protocole d'enquête qui vise à acculer les preuves de ce que l’on dit.

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Sociologie politique, Cours de Mme Sandrine Levêque ⇨ Est-ce que la religion a un effet sur le vote? On va mettre en place des entretiens, des questionnaires... le vote est un acte social qui dépend de nombreux déterminants sociaux. La sociologie remet en cause nos évidences. Le premier problème du sociologue politique est la familiarité avec son domaine de recherche. Contrairement à tous les autres scientifiques, le sociologue vit immerger dans la société qu'il est censé étudier. On risque de tomber dans deux travers : ⇨ Le manque d’objectivité : le sociologue de la famille travaille sur la famille, il a luimême une famille. Il a donc une représentation de ce que doit être la famille. Il doit se départir de ces représentations ⇨ Risque de l’ethnocentrisme. L’ethnocentrisme désigne l...


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