La socialisation - Cours complet PDF

Title La socialisation - Cours complet
Course Psychologie cognitive
Institution Université Catholique de Lille
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Cours complet...


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La socialisation Introduction : Comment les relations sociales sont structurés ? Pour les comprendre il y a un concept, celui de la socialisation. La socialisation est ce qui rend possible les relations sociales, ce qui rend apte à la vie sociale, c'est l’étude de la manière dont la société forme et transforme les individus. La socialisation est la capacité de rendre l'individu apte à échanger à l’intérieur de ce groupe ie partager un ensemble de valeurs et le processus qui explique pourquoi chaque individu est différent, pourquoi chaque individu est singulier. Elle produit du commun et de la singularité. -Muriel Darmon étudie Robinson Crusoe et sa socialisationBernard Lahire dit : « la socialisation est le processus durant laquelle le monde sociale ou une partie du monde social ( le travail, la famille...) façonne partiellement ou globalement, ponctuellement ou systématiquement de manière diffuse ou consciemment organisé des individus vivant en son sein » Cela soulève 3 problèmes : – Comment la socialisation se déroule-t-elle concrètement, comment ce façonnage se déroule-t-il ? – Qui socialise qui, qui façonne qui ? – Quels sont les effets de la socialisation, quels types de trace elle laisse sur les individus ? Que produit la socialisation dans la société dans son ensemble ? On étudie les traces de la socialisation au niveau de l'individu et de la société dans son ensemble.

CHAPITRE 1 : LA SOCIOLOGIE ET SES METHODES I/ Faire de la sociologie : les enjeux scientifiques de l'analyse de la société La sociologie est une science qui étudie les relations entre les individus, les institutions et les mécanismes de fonctionnement d'une société. Pour être une science, elle doit avoir une méthode qui la différencie des autres sciences et du journalisme. Pour enquêter, on implique la personne, on ne peut pas contrôler la situation, il y a toujours un doute. Un sociologue doit être objectif, il ne peut pas être guidé par ses propres opinions. Comment garantir l'objectivité ? Ils respectent une démarche intellectuelle très rigoureuse et systématique, c'est le même que pour la plupart des sciences qui existent ( ref : G. Bacherlard repris par Pierre Bourdieu et JC. Passeron « le métier de sociologue » 1968 dans lequel il donne des recommandations pour être le plus objectif possible). Quand on fait une recherche on doit respecter 3 étapes : – La rupture avec les pré-notions, oublier ce qu'on sait déjà, nos préjugés, c'est ce qui fonde la sociologie. Weber dit qu'il faut faire preuve de « neutralité axiologique » tandis que Bourdieu dit qu'il faut faire attention au sens commun (bon sens) et qu'il faut réfléchir au motivation du sujet → travail d'objectivation. – Il faut définir le thème de l’enquête ie tracer un périmètre de fait dans la société pour analyser. Il faut problématiser le sujet par exemple « En quoi le fait d'appartenir à un groupe nous conduit à agir dans ce sens la ou dans un autre ? ». Derrière toute problématique il y a une hypothèse. – Déterminer la méthodologie : comment receuillir des materiaux

SUJET DE L'ENQUETE : PEUT-ON DIRE QUE LES PRATIQUES VESTIMENTAIRES ( S'HABILLER, ACHETER, OFFRIR, JETER, SE RENSEIGNER, JUGER) SE DISTRIBUENT AU HASARD DANS L'ESPACE SOCIALE, EST-CE QUE LES PRATIQUES VESTIMENTAIRES VARIENT EN FOCNTION D'UN ENSEMBLE DE CRITERES QUE L'ON CONSIDERE COMME

IMPORTANT ? II/ Méthode qualitative et quantitative : des objectifs variés Les questionnaires, archives, entretien et observation sont des méthodes d’enquête, elles se partagent entre 2 grandes méthodes : qualitative ou quantitative. 1. Les méthodes quantitatives Elles utilisent des données récoltées avec un questionnaire, elles utilisent la statistique. Ces méthodes permettent de faire une description de population selon une certaine caractéristique, on veut décrire de manière objective ie qui correspond à la réalité. Avec la statistique en sociologie on a besoin d'indicateurs, on dit qu'on construit des indicateurs, un indice fiable de la pratique qu'on veut étudier. Exemple d'indicateurs : PCS. Risque des méthodes quantitatives (pourquoi sont-elles peu objectifs ?) : – elles sont pas fiables à 100%, une personne pourrait répondre différemment en fonction de son environnement et de l’enquêteur – on dégage des tendances caricaturales qui cachent une certaine réalité 2. Les techniques d’enquête qualitative Les méthodes qualitatives ont des degrés de standardisation de l’enquête différent des méthodes quantitatives, en effet on laisse les personnes répondre librement, de plus, l’échantillon est beaucoup plus petit. La technique la plus utilisée est celle de l’entretien ,il dure entre 1h à 3h, c'est un échange entre 2 personnes comme une interview, il est enregistré et porte soit sur la vie entière d'une personne soit par un critère de sa vie. Il recueille 2 types de matériaux : – des récits de pratique → les personnes racontent ce qu'ils font comme actions dans leur vie, on veut faire raconter en détails les choses en faisant des relances (approfondir la chose) – le rapport au pratique → recueillir des points de vus L'observation est une pratique qui correspond au fait de voir comment les individus agissent, elle peut se faire de plusieurs manières. Il y a l'observation participante (on agit pendant l'observation) et non participante (on observe de loin). Il y a l'observation à découvert ie les personnes savent qu'ils sont observés et à couvert (incognito). La montée en généralité → quelle est la capacité d’un sociologue à partir d’un corpus petit de monter en généralité, des produire des discours général au delà des personne qu’il a rencontré. Quel crédit apporter à un propos qui repose sur quelques entretiens et observations. Monographie (enquête qui s’inscrit dans une enquête spécifique, Ex : rapport de la pratique de la gymnastique, est ce que ce qu’on va voir dans ce club est identique dans les autres?). Les méthodes qualitatives n’ont absolument aucune prétention à la représentativité, il faut accepter la singularité des personnes rencontrées, afin de produire des explications fines et détaillées. Ne pas dire des choses qui concernent tout le monde mais expliquer des cas avec le détail avec des questions. Comment titrer des conclusions sociologiques générales à partir d’un entretien restreint ? → Quand on est sociologue qualitatif, on doit être très prudent dans la manière dont on rapporte nos découvertes, manière dont on écrit. Il faut être humble « on peut faire l’hypothèse que… ». On n’affirme rien, on formule toujours des hypothèses. → A la fin on est capable de dire des choses générales. Nous on fait de l’induction. On multiplie, répète, entretien avec une personne et plusieurs, au bout d’un miment toujours le même détail. A partir de ce moment, moyen de dire que ce qu’on entend est valable pour les autres => saturation des données → Relation d’enquête qui dépend des propriétés sociales des participants. Démarche d’honnêteté : les conditions dans lesquelles l’enquête a été effectuée. Les sociologues sont obligés de réfléchir sur les

influences qu’ils peuvent avoir sur les enquêtés. Statut scientifique distingue le discours sociologique de deux autres discours en apparence proches : l’essayisme (plein de prénotions, relater les faits de la société sans faire d’enquêtes) mais aussi le journalisme.

CHAPITRE 2 : LES THEORIES DE LA SOCIALISATION

La socialisation est le processus d’appartenance à un groupe mais en même tant d’être singulier.

I. Durkheim et la socialisation 1. La sociologue de Durkheim étudier les effets de la vie collective sur le comportement individuel. L’objet de la sociologie c’est le déterminisme social. Faits sociaux : touts les influences sociales qui façonnent le comportement des individus. Ce qui intéresse les sociologues ce sont des choses qu’on fait des choses dont l’origine n’est pas dans notre volonté propre. Les influences vont intéresser les sociologues. Des faits qui ont comme première qualité ce qu’on appelle : - l’extériorité : Signifie que les influences qui façonnent le comportement des individus, sont des influences qui existaient avant même que l’individu en question naisse ie des choses qui préexistent à eux. Cela signifie qu’il existe des manières de faire, de manger, de se coiffer, de s’habiller… qu’on n’invente pas, qu’on reçoit de l’extérieur. Ex : la langue qu’on utilise ce n’est pas nous qui l’avons inventée. La manière qu’on a d’acheter des besoins primaires, n’est pas quelque chose qu’on invente. Durkheim dit qu’il y a un certain nombre de rôles, on se met dedans, on ne les invente pas, des rôles dans lesquels les individus se glissent et qui sont extérieurs. Un rôle est un ensemble de critères qu’une personne rempli au moment d’agir à une situation donnée, c'est différent de statut (c’est une position sur une échelle hiérarchique). E. Durkheim dit d’un fait social « Des manières d’agir, de penser et de sentir qui présente cette remarquable propriété qu’elles existent en dehors des consciences individuelles. » - la caractère coercitif (contrainte) : quelque chose qui est capable de produire des contraintes, qui est capable de se faire respecter. Le postulat de Durkheim est de dire que les individus sont contraint d’agir dans le sens que leur dicte la société, on parle de déterminisme sociologique (comment on agit…). La preuve que ces influences sont coercitives et que si l’on ne respecte par l’influence on peut avoir des sanctions, il y a des sanctions formalisées par la loi, mais il existe également des sanctions informelles qui vont se voir par la moquerie, la mise à l’écart… Les faits sociaux sont toutes les influences extérieures aux individus qui déterminent le comportement d’un individu et qui ont les moyens de se faire respecter donc de contraindre les individus. Comment les individus en viennent à ne percevoir le caractère contraignant des influences qui pèsent sur eux ? 2. Le rôle de la socialisation pour Durkheim Même s’il existe des contraintes, des sanctions qui pèsent sur nous, les influences qui nous portent ne nous font pas toujours violence et ne sont pas vécues comme des contraintes ou obligations car certaines choses nous apparaissent comme étant naturelles ie issus de notre volonté. Le fait de s’habiller de telle ou telle manière n’est pas vécu comme une contrainte, si les influences s’exercent sans se faire sentir, c’est grâce à la socialisation. Pour lui la socialisation c’est ce qui permet de créer du similaire et des différentes, des singularités. Processus qui nous emmène à intégrer les règles de sorte à ne plus voir les faits comme contraignants. « Ce que fait la socialisation c’est susciter chez l’enfant un certain nombre d’états physiques et mentaux que la société à laquelle il appartient considère comme ne devant être absents d’aucun de ses membres, certains états physiques et mentaux que le groupe social particulier (caste, classe, famille, profession…) considère également comme devant se retrouver chez tous ceux qui le forme. » Education et Sociologie, E. Durkheim.

Cette action de la socialisation, c’est l’action d’un groupe sur un autre pour Durkheim. « Ce sont les générations adultes qui agissent sur celles qui ne sont pas encore mûres pour la vie sociale » Ce qu’on appelle nous aujourd’hui l’éducation. L’école à son époque rempli deux fonctions : –

créer du similaire ie constituer au sein d’une population donnée une base commune de principes, de valeurs, de règles, que tout le monde va partager et qui vont identifier le groupes (c’est la nation). Chaque nation a ses propres valeurs, règles et principes qu’elle souhaite voir présente chez tous ses membres. A chaque époque, les principes et les valeurs diffèrent. Solidarité mécanique : solidarité qui s’exprime chez des personnes qui sont proches et semblables.



spécialiser les individus. Pas simplement le fait de faire telle filière, c’est aussi d’être dans telle région de la France ou appartenance sociale. Chaque groupe socialisait ses membres selon des déclinaisons qui lui sont propres. 3. Une réponse à l’énigme de la solidarité dans les sociétés modernes

Ce qui préoccupe les premiers sociologues (Durkheim, Weber, George Simmel) est le devenir et la stabilité de leur société qui a été bouleversée par deux événements/phénomènes concomitants considérables qui se déroulent à la fin du 18e et au début du 19e. Qu’est ce qui fait que la société tient malgré tout, au moment où les sociologues écrivent ? La Révolution Française, bouleverse la hiérarchie de la société, l’origine du pouvoir, les piliers de la société à travers des lois qu’elle va voter et les manières dont l’autorité et le pouvoir étaient exercés. L’église remise à un autre statut, reformuler du droit au patrimoine, la manière dont l’autorité est faite dans la famille. Dans la Révolution industrielle, on voit se constituer une population de prolétaires dont la particularité est de vivre dans des conditions médiocres et de travailler dans les usines, on voit apparaître des problèmes sociaux (insalubrité, prostitution, délinquance…) dont on va dire qu’ils sont très inquiétant. Tous ces problèmes sociaux sont réunis autour de l’inquiétude de l’époque pour le fonctionnement de la société. Ce sont en fait des ordres qui n’apparaissent pas, accentués par le fait de l’exode rural, du fait des conditions de travail qui s’offrent aux employés, apparaissent grave pour une raison d’enquête sociale. Les conséquences de ces deux événements est d'avoir produit une nouvelle manière de faire vivre la société, de nouveaux principes très différents de la société d'ancien régime, ce qui a changé est le nombre et la diversité des activités professionnelles, une plus grande autonomie chez les individus pour agir au quotidien a permis ce changement. Or on voit de nouveaux problèmes sociaux apparaître, ils touchent une partie de la population qui sont confrontés à des conditions de vie difficile et qui vont inquiéter la société. Dans quelles mesures la société moderne est-elle durable ? Certains considèrent que cette autonomie conquise crée un danger qui va séparer les individus mais Durkheim s'oppose à eux car les oppositions ont un caractère durable, contrairement à lui Burke pense qu'il faut revenir aux principes d'avant la révolution française mais Durkheim explique qu'il n'y pas de risque à ce changement. Ce qui fait que la société fonctionne encore mieux qu'hier est du à deux mécanismes : – la division du travail ne fait pas que les individus sont en compétition, chacun se spécialise dans une fonction – la socialisation va rendre un individu différent de son voisin alors il faut une instance qui va transmettre au individus une base commune ( normes, valeur). La socialisation permet deux choses : → L’intégration est construit autour de la théorie de Durkheim, c'est la capacité d'une société d'attirer à elle les membres qui vont la composer, un société doit alors avoir les moyens d'attirer vers elle ses membres, les croyances en des valeurs vont permettre d'entretenir cela. L’intégration est un processus, ce n'est pas à la seule responsabilité de l'individu de s’intégrer, c'est à la société de le faire. → la régulation, la société doit réguler le comportement de ses membres ie elle doit harmoniser les comportements dans une société donnée avec des règles imposées que les individus vont considérer comme juste. C 'est essentielle car il faut contrôler l’appétit insatiable de l’espèce humaine, l’école régule les comportements. Pour Durkheim, le rôle de la socialisation est de transmettre des normes et des valeurs qui assurent

l’intégration et la régulation qui passe par la transmission d'une base commune ( fait à l’école) et par une socialisation spécifique qui vise à socialiser les individus dans un domaine spécifique.

II. La socialisation chez Bourdieu et le concept d'habitus Selon Bourdieu, l'habitus est un générateur d'action qui est alimenté par tous les apprentissages qu'on va faire dans notre existence qui vont laisser une trace en nous et qui vont être remobilisés par la suite dans des situations données où ces habitudes vont nous pousser à agir d'une manière plutôt qu'une autre. On a une sorte de répertoire de chose que l'on sait faire, que l'on pense, des idées, des habitudes. Comme les apprentissages sont faits dans des contextes sociaux particulier qui vont laisser sur les individus des traces différentes. Si la socialisation est le fait d’acquérir des dispositions au fur et à mesure de nos apprentissages alors la socialisation est faite par toutes les personnes que l'on côtoie. Si les contextes sociaux produisent des apprentissages spécifiques colorés par le contexte social en question alors il est raisonnable de dire que les individus ont des habitus différents et acquièrent des habitus de classe. Chaque individu même sil est né dans un lieu spécifique qui va définir qui il est et lui donner un habitus de classe, va occuper des positions qui vont l'écarter de son milieu d'origine, on parle de trajectoire ie un individus dans son existence fréquente pleins de sphères différentes ( travail, conjugal, amicale, sportive...). Derrière l'idée de l'habitus il y a un postulat de la cohérence de l'habitus, chaque personne a en lui un stock de dispositions qui sont des propensions à agir dans un e certaines directions dans des domaines variés de l'existence ( manger, parler, lire, écouter de la musique...) qui sont cohérentes entre elles. Bourdieu parle de sphère de la vie sociale, c'est un champs ie chaque domaine de la vie sociale a un mode de fonctionnement autonome ie spécifique par rapport à la vie sociale. Chaque domaine est régit par une logique propre qui est une certaine distribution du pouvoir et dans chaque champs il y a un capital différent. L'habitus est la trace laissé par nos expériences sur nous, c’est une propension à agir d'une certaine manières plutôt qu'une autre, cette trace se compose de deux domaines : – la socialisation laisse une trace dans nos esprits, on appelle ça « schèmes de perception » ( manière de penser le monde), on dit qu'il y a ethos. – L'hexis corporelle → trace visible de la socialisation

III. Les socialisations différentes et ou contradictoires : la sociologie de Bernard Lahire Sociologue contemporain très proche de la pensée de Bourdieu à un détail prés. Il conteste l’idée selon laquelle la socialisation conduit à construire un individus homogène cohérents dans la pratiques dans leur goûts. B.L dit que pour être sérieux il faut aller voir concrètement comment l'apprentissage se fait, il faut aller étudier les contextes de socialisation. La socialisation n'est pas automatique pour lui. Il fait deux critiques sur Bourdieu : – la cohérence de l'habitus :ce n'est pas automatique que des individus aient des goûts proches sur différents points, les individus qui ont des habitus cohérent sont rares car cela suppose d'avoir été socialisé dans un contexte lui même cohérent ie des parents, grands-parents, nounous, professeur ayant le même habitus. Pour lui, la majorité ont des habitus composite. – le caractère non automatique de la socialisation : pas besoin d’être plongée dans un contexte pour se voir transmettre des dispositions car pour qu'une disposition soit transmise il faut que le contexte soit propice à la transmission, il faut que la personne ait une légitimité pour laisser une trace.

IV. Resocialisation et socialisation secondaire chez Erving Goffman. Insiste sur l’idée que la socialisation n'est pas seulement primaire et dure en faite toute la vie, on parle de socialisation secondaire qui vont se dérouler dans des groupes beaucoup moins stables dans le temps que les groupes où se déroule la socialisation primaire. La socialisation secondaire se produit dans des institutions qui ont pour but de structurer l'identité, le comportement d'un individus (habitus) et redresser l'individu à l'image de l'institution. Exemple : prison, hôpital psychiatrique, caserne militaire, internat...

Il y a, selon Goffman, 5 critères qui lorsqu'ils sont réunis on peut en déduire qu'on est face à une institution total : – institution enveloppante → recouvre un individu ie celui-ci réalise toutes ses activités ordinaires ( comme en prison ou en caserne) – institution contraignante → elle régit l...


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