Sciences Po Cours complet PDF

Title Sciences Po Cours complet
Course Droit constitutionnel et sciences politiques
Institution Université de Paris-Cité
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sciences politiques cours complet fouah norah...


Description

Cours 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11. 08/09/2015-15/09/2015-22/09/2015-29/09/2015-07/10/2015-08/10/2015 14/10/2015-20/10/2015-03/11/2015-10/11/2015-17/11/2015. Science Politique.

Date limite pour rendre le dossier!: 1er Décembre 2015. Date du galop d’essai facultatif!: Mardi 24 Novembre à 15H. Adresse Mail du professeur!: [email protected] / [email protected] Code Moodle!: NATO. Présentation du cours de science politique .Ce cours aborde 5 grands thèmes!: -1-Les grands principes de l’action politique!; -2-Le comportement électoral!; -3-Les crises politiques!; -4-Les relations civil-militaires!; -5-Les politiques publiques. .Mode d’évaluation!: -Epreuve finale écrite portant sur une question de synthèse (question au choix)!; -Mobilisant les ressources de l’enseignement magistral!; -Mais aussi une réflexion personnelle!; -Pour compenser!: possibilité d’un dossier d’analyse politique (12/15 pages comptant pour 1/3 de la note)!; -Galop d’essai facultatif. Introduction!: Qu’est-ce que la science politique!? Section 1!: L’objet de la science politique La science politique est la science des rapports et des structures de pouvoir au sein de la cité. La cité Grecque était une société hiérarchisé et esclavagiste. La division de l’Europe vient de la division de la Grèce et du monde barbare. Le mot «!barbare!» vient du latin «!barbaros!» qui signifie «!étranger!». La cité est le lieu où il y a des rapports de force, ou l’on organise le pouvoir, ou l’on définit qui va gouverner qui et quoi!; c’est là que l’on fait de la politique parce que l’on organise les polis (la cité). C’est pourquoi, tout pouvoir n’est pas forcément politique. Par-exemple, les parents qui ont un pouvoir sur leurs enfants est un pouvoir domestique!; le patron d’entreprise sur ses salariés, c’est du pouvoir économique!; le pouvoir dans les champs éducatifs […]. D’une certaine manière c’est du pouvoir, mais pas du pouvoir politique. On a plusieurs niveaux de pouvoir, mais le pouvoir politique est spécifique et particulier. Quand il s’agit de gérer des rapports de pouvoirs dans la cité on est dans le pouvoir politique. Max Weber définit le pouvoir comme «!toute chance de faire triompher au sein d’une relation sociale sa propre volonté, même contre des résistances!» et surtout contre des résistances. Plusieurs sortes de pouvoirs peuvent être distinguées comme faire triompher sa volonté sur celle d’autrui.

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.Il existe une distinction entre le pouvoir sur les choses et le pouvoir sur les personnes!: -Le pouvoir sur les choses est le pouvoir sur la technique. L’être humain à, par exemple, la capacité de construire des machines de façon autonomes comme la voiture, l’avion, les bateaux. Le fait d’innover est un pouvoir sur les choses. Il existe, de la même façon, des techniques sur la nature. Par-exemple, s’il y a un tremblement de terre au Japon, il y aura peu de dégâts car les maisons sont construits de façon à ne pas avoir de dégâts quand il y a un tremblement de terre!; ce qui n’est pas forcément le cas dans d’autres pays. Ceci s’appelle le pouvoir sur les choses. -Concernant le pouvoir sur les personnes, on en voit un très bel exemple dans la politique. Un policier qui met une contravention à un pouvoir sur une personne. -On peut avoir une interaction entre le pouvoir sur les choses et le pouvoir sur les personnes. Ceci explique l’expansion européenne dans le monde. Le déséquilibre militaire est un des facteurs clés du développement européen. Le fait d’être bien armée est l’exemple typique de l’interaction entre le pouvoir sur les choses et le pouvoir sur les personnes. .Il existe une différence entre le pouvoir d’injonction et le pouvoir d’influence!: -On a un pouvoir d’injonction qui est le pouvoir de commander et de donner des ordres. Le préfet a un pouvoir d’injonction, mais il a des conseillers. Mais par-exemple, pour que le Président de la République envoie l’armée, il demande l’avis de ses conseillers et cet avis aura une influence sur le Président. Ces conseillers ont un pouvoir d’influence sur celui qui commande même s’ils ne décident pas eux-mêmes. Le conseiller a donc quand même plus de pouvoir car il a le temps de réfléchir puisqu’il amène l’argumentation et se documente. Un homme politique n’a pas le temps de lire et de se documenter comme il le faudra. Quand on exerce du pouvoir, cela revient à réduire l’action divergente de l’antagoniste qui est soumis à mon pouvoir!; c’est-à-dire que la personne en face fasse plus ce que je veux et moins ce que je ne veux pas. .Il y a une différence entre «!Persuader!» et «!convaincre!»!: -Convaincre est amené l’autre personne à adhérer par le raisonnement en respectant la propre pensée de l’interlocuteur. -Dans la persuasion on utilise tous les moyens pour que l’autre soit d’accord avec nous. On obtient l’adhésion de l’autre par les manœuvres ou la ruse!; il existe des techniques de persuasion. On utilise beaucoup la persuasion en politique. On utilise aussi la propagande. .les caractéristique d’un discours de propagande!: -Mêler l’argumentation à la rhétorique (comme chez les sophistes). Le propagandiste politicien est un sophiste car il mélange l’argumentation et la rhétorique. -il mélange l’émotion et le raisonnement. Il n’y a pas de distinction entre le moment subjectif (l’appel à l’émotion) et le moment objectif (appel au raisonnement). Quand l’émotion ne marche plus on va faire appel au raisonnement et inversement quand le raisonnement ne marche plus on va faire appel à l’émotion. -L’importance du contexte non-verbal (cadre, gestuelle, intonation, posture, symboles […]). Parfois le non-verbal dépasse le verbale. -Le propagandiste ne veut pas définir ses mots car il veut les utiliser comme il l’entend et jouer de l’ambiguïté et l’ambigüité c’est ce qu’il y a de plus important dans une

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propagande. Donc il y a un usage de termes simples et il y a le jeu de la polysémie des termes et de l’équivoque. .Il y a une distinction entre le «!pouvoir!» et «!l’autorité!»!: -Dans le pouvoir, il y a l’exercice d’une contrainte ou d’influence!; -alors que dans l’autorité, il y a une dimension morale!; il y a le consentement et l’obéissance consentie et légitime. C’est pourquoi il faut distinguer entre avoir du pouvoir et avoir de l’autorité. Un prêtre peut avoir une autorité sur une personne (et pas de pouvoir)!; un inspecteur des impôts a un pouvoir (et généralement pas d’autorité). .Il y a plusieurs sources d’autorité!: -On peut incarner une personne de valeur. Donc la valeur est une source d’autorité. Quand on partage des valeurs avec quelqu’un, cette personne peut avoir de l’autorité sur nous!; -la compétence est une source d’autorité. Un médecin (qui est compétent dans son domaine) à de l’autorité sur nous car il est compétent et il est expert en matière médicale!; -Le charisme est une source d’autorité. Dans la vie politique, le charisme est une source d’autorité importante (Général de Gaulle, Winston Churchill, Margaret Thatcher). > le pouvoir politique domine ts les autres pouvoirs

Section 2!: de la philosophie politique à la science politique Concernant les origines, il y a toujours eu un lien entre la politique, la morale et la philosophie. Le philosophe a été qui s’est emparé en 1er la réflexion sur la politique. On fait la distinction entre les méthodes philosophiques et la méthode des sciences positives. Les 1er interrogations sur la politique et philosophique, puisque la 1ere question politique est la légitimité de la politique. Est-ce que le pouvoir politique est juste ou injuste!? Les 1ers œuvres sur la politique en Grèce étaient philosophiques. .Si on lit «!La République!» de Platon qui parle essentiellement de politique, de morale et de la vérité et il se demande «!qu’est-ce qu’un pouvoir politique juste!?!». Platon se demande quelle est le régime politique le plus juste. Platon considère qu’un pouvoir politique est juste lorsqu’il reflète réellement la nature, voir la nature humaine. Platon, avant de faire de la politique, il fait une philosophie de l’âme, il a une approche métaphysique de l’âme. Il trouve que dans l’âme humaine, il y a 3 grands principes!: -le niveau de la raison!; -le niveau des vertus pratique (comme le courage et la volonté)!; -L’instinct. Ce qui est le plus juste est que la raison commande et dirige aux deux autres niveaux. Il y a donc une hiérarchie ou il y a d’abord la raison, la volonté (et les vertus pratiques) et les instincts. Il va dire que de la même façon qu’il y a une hiérarchie dans l’âme, il y a, de même, une hiérarchie dans la société. Dans la société, il y a d’abord les philosophes dominés par la raison!; les guerriers dominés par la volonté et les vertus pratiques (courages […]) et en dernier il y a le peuple

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qui est guidée par ses instincts. Le système juste, selon Platon, est ce système ou le philosophe est roi. Pour lui, la démocratie est un mauvais système car c’est donner le pouvoir aux instincts (au peuple) et on s’éloigne donc de la raison, du vrai et du bien. La démocratie, selon Platon, amènera à la tyrannie.

.Les philosophes chrétiens du Moyen-Age développe la thèse théocratique. Selon St Thomas d’Aquin ou St Augustin, le pouvoir est de droit divin. Lorsqu’on dit que le pouvoir vient de DIEU, il faut se demander si DIEU veut gouverner!? Qui représente DIEU!? Est-ce qu’il le représente correctement!? Cela emmène à la monarchie de droit divin. .Cela se complique chez les protestants et chez les sunnites car aucune représentation de DIEU n’est autorisée. Dans ce cas, il est difficile de parler de théocratie. Le pouvoir juste est le pouvoir qui correspond à la nature tel que DIEU la vue. On a une réflexion profondément philosophique sur ce qu’est le pouvoir. Cette vision du pouvoir est aussitôt (dès le 17éme siècle) par une approche plus séculière (plus laïc). .Ici, le pouvoir politique, dans les nouvelles philosophiques, va avoir pour fondement, non plus une force au-delà, mais la volonté des individus. Si un pouvoir est légitime c’est parce que les citoyens se sont mis d’accord pour l’accepter. On a la notion de contrat politique (Thomas Hobbes, Rousseau). Celui qui a introduit la mutation dans la pensée politique c’est Hobbes!; il va montrer que le pouvoir vient du contrat par les individus et que le pouvoir est légitimé par ce contrat et non pas par une chose extérieur à la volonté humaine. On parle ici de la philosophie du contrat. Hobbes va supposer que les individus dans une société ont une liberté absolue sans aucune limite et sans personnes au-dessus d’eux. C’est un état de nature puisque personne ne va anéantir cette totale liberté. Mais il y aura des conflits puisqu’il y a une totale liberté et comme les ressources sont rares, la société va s’entretuer. On arrivera à la guerre «!de tous contre tous!». Les individus voudront sortir de cet état. Pour ceux, il y aura un contrat de «!tous avec tous!» qui consiste à accepter de transférer une partie de la liberté à un tiers pourvue qu’il garantisse la sécurité. L’Etat est aussi appelé le «!Léviathan!» qui est un monstre contre qui personne ne peut rien faire, mais qui, ici, devient légitime. Nietzche dit que «!l’Etat est le plus froid des monstres froid!». On n’est obligé de respecter l’Etat parce que l’on s’est engagé sur la base d’un contrat. .Une république est un système politique fondée sur le contrat. La notion de contrat social est importante puisqu’il y a une distinction entre la République et la démocratie chez Rousseau. Une République n’est pas nécessairement une démocratie puisque le contrat social peut consister au fait de laisser le pouvoir dans les mains d’un tiers. La différence entre Hobbes et Rousseau est la suivante!: -chez Hobbes on troque la liberté à la sécurité, l’Etat s’engage à garantir la sécurité. -Dans l’approche de Rousseau, l’Etat doit garantir les deux (liberté et sécurité). Rousseau ironise sur Hobbes en disant qu’ «!en prison on est en sécurité, est-ce pour autant qu’on s’y sent bien!?!». Mais chez Rousseau, nous parlons d’une liberté limitée car il faut prendre en compte aussi la liberté de l’autre. -Naissance d’une science positive (science politique)!: Machiavel est la vraie naissance de la science politique. La thèse principale de Machiavel est que ce qui dirige (le prince) doit avant tout garder le pouvoir (et l’étendre), le reste est secondaire (c’est de la morale). Le pouvoir doit être émancipée de la morale!; un prince ne doit pas être morale, il doit faire tout ce qui est dans son

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pouvoir pour garder le pouvoir car «!la fin justifie les moyens!». Selon Machiavel, le prince est au-dessus de la morale!; on crée alors une science politique qui ne dépend plus ni de la philosophie ni de la morale, mais qui va étudier comment le pouvoir fonctionne. La ruse du prince est de faire ‘’semblant’’ d’être morale mais de ne pas l’être. Le semblant de la piété (d’être un vrai religieux) est la seul chose qui peut ne pas être démasqué. Le semblant de la piété est la vertu la plus utile au prince. On fait semblant d’être pieux et tout le monde suivra le prince, seul la conscience et DIEU seront qu’il n’est pas pieux. D’où l’importance de l’apparence religieuse pour garder le pouvoir. Le prince peut Instrumentaliser le religieux. Le souci de la science politique est de voir comment le pouvoir se perpétue, comment il change, comment il fonctionne, alors que l’on ne se pose plus de savoir si le pouvoir politique est juste ou injuste. La science politique fait la différence entre le jugement de fait (Emile Durkheim) et jugement de valeur. Le jugement de fait c’est de décrire une situation (par exemple!: il pleut) et le jugement de valeur c’est d’emettre un avis sur cela (ce n’est pas bien quand il pleut trop). Le sociologue n’utilise pas le jugement de valeur, seul le philosophe et le moraliste utilise le jugement de valeur. Finalement on a une approche positive ou l’on étudie simplement comment fonctionne la société et le pouvoir. On passe de «!pourquoi c’est comme ça!» à «!comment ça fonctionne!». C’est cette approche positiviste qui a permis aux sciences humaines de devenir indépendant de la philosophie. A l’origine le philosophe s’intéresser à la politique, à la psychologie, à l’économie. Désormais, les matières deviennent autonomes. La psychologie va devenir une science lorsqu’elle va arrêter de se poser des questions comme savoir, par-exemple, si l’âme vient du corps […]. positivisme d’auguste comte: - 1er stade: humanité théologique religieuse, cherche une explication magique au phénomène - 2e stade: métaphysique, montre que la cause ultime va au delà des phénomènes (ex: système du monde est à l’origine de ce qu’on vit) - 3e stade: on ne peut ni compter sur une explication magique, ni chercher les vérités ultimes. Lêtre humain devient plus sage, et comprend que sa raison ne peut connaitre les vérités ultimes, il va juste observer les phénomènes. Science politique se trouve ici. Ici la science politique se détache de la philosophie. Section 3!: La science politique, une science multidimensionnelle La politique est un niveau de synthèse. La politique est l’organisation de la cité. Tout ce qui intéresse la cité, de près ou de loin, est donc considéré comme politique. Toute question sociale est potentiellement politique. Par-exemple, la question du chômage est une question économique mais devient politique!; de même, la question de l’usage des langues peut devenir aussi politique quand une minorité revendique l’usage de sa propre politique. Pendant la IIIème république, l’objectif était la suppression des langues régionales. Il a fallu attendre 1982 (1ere législature socialiste) pour que l’on pense au droit des langues minoritaires!; il y a eu l’inclusion du breton au programme scolaire. On peut donner aussi l’exemple de la pratique de la peinture. Sous Staline, les peintres qui n’allaient pas dans le sens du courant artistique officiel étaient privés de gouaches. Le législateur peut imposer des codes de conduite dans la vie des habitants.

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Les sciences politiques touchent à plusieurs domaines!: -Etude de l’action politique, des comportements politiques. C’est une sociologie politique qui étudie les facteurs d’une dynamique politique. La sociologie électorale étudient pourquoi les personnes âgées votent plus communiste en Russie, pourquoi les protestants votent plus à droite que les catholiques aux USA, le taux d’abstention touchent quelles classes sociales […]. La science politique utilisé donc beaucoup la science de la sociologie (même méthode de sondage par-exemple). -Etude des institutions politiques, de leur logique, de leur mode de fonctionnement. Selon qu’un homme politique change d’institution, il ne sera pas le même. en 1996, en Syrie, il y avait le souhait d’informatiser les comptabilités,!mais il y avait de la résistance car cela emmener a plus de transparence et moins de fraude possible. L’institution façonne donc les mentalités, les comportements de ceux qui en font partie. Par-exemple Kennedy ou l’on voir que l’appartenance à une institution façonne les modes de pensée. Les aviateurs veulent bombarder, les diplomates veulent négocier […]. -L’étude des relations internationales!: ce domaine suit des règles particulières, différentes de la politique interne. Par-exemple, en 1992, Boris Yalsin se débarrasse de l’URSS et veut en finir avec le communiste et il décide donc que la Russie sera rattachée à l’occident pour suivre la politique américaine. La Russie ne soutient plus la Syrie mais la Syrie est endettée auprès de la Russie. La conséquence est que puisque vous rompez le traité d’amitié, nous arrêtons de payer nos dettes. Mais, la Russie a fini par dépendre de la Syrie pour la production des tenus militaire. La Russie s’est retrouvée contrainte de retrouver ses anciens alliés comme la Syrie, l’Irak et l’Iran. La logique du système international est différente de la logique des acteurs de Moscou. Les relations internationales imposent leur propre logique. .La pluralité des méthodes!: -Ceux qui étudient la politique à travers l’analyse sociologique. -Ceux qui étudient la politique à travers les institutions. Il y a une distinction entre l’approche juridique et l’approche politique. Par-exemple, l’article 20 de la Constitution ou il est dit que le gouvernement détermine et conduit la politique de la nation. C’est donc le Premier Ministre qui doit gérer cela. Or, en pratique, c’est le Président de la République qui fait cela (comme le Général De Gaulle ou Pompidou). On transgresse souvent les règles de droit dans la réalité!; on revient aux règles de droit quand il y a conflit par exemple lors des cohabitations. -Les théories générales de relations internationales. La 1ere puissance mondiale se permet parfois d’aller au-dessus des règles de droit. Par exemple, en 1990 l’Irak envahit le Koweït et transgresse le respect de la souveraineté des Etats et le principe de non-agression d’un Etat souverain. Il y a eu la formation d’une coalition pour arrêter l’Irak. En 2003, les USA envahissent un Etat souverain. Mais, ici, il n’y a pas de coalition d’armée!; il y a même un soutient des USA. Section 4!: Les disciplines en interaction avec la science politique La science politique à des interactions avec les autres disciplines!: -La science économique!: étudie les facteurs économiques d’une décision politique. Certaines décisions politiques sont dictées par l’économie. Par-exemple, le facteur économique dans les guerres coloniales du Portugal avec l’Angola et le Mozambique!; le Portugal s’est épuisé économiquement. -La sociologie!: problème de l’autonomie de la science politique. Les questions de société influencent la science politique.

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-L’ethnologie!: l’étude des données culturelles et ethnologique. Certains schémas culturels permettent d’expliquer certains comportements politiques. Par exemple, une forte solidarité familiale a des effets politiques. De même, en Jordanie, en 1989, un jordanien avait droit à plusieurs votes, ce qui a contribué a favorisé les parties politiques d’opposition. On a enlevé cette procédure de vote pour le remplacer par un vote unique. Ce sont alors les chefs de tribus qui ont été majoritaire. Par exemple, l’Etat Irakien a été désintégré. Ce sont les tribus qui pr...


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