Cours Gestion complet PDF

Title Cours Gestion complet
Course Gestion Financière
Institution Université Paris-Saclay
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Cours d'introduction à la gestion du S1 de L1 de Véronique Jérome. ...


Description

Partiel : QCM - Questions de cours, noms d’auteurs - Questions plus vicieuses pour voir si on a bien compris, bien interprétée - Questions pièges pour nous faire réfléchir Quelques auteurs à retenir (cf dokeos) : Bellon.B : innover ou disparaître ; Brée, J.Derbaix : le comportement du consommateur ; Chandler.A : Stratégies et structures de l’entreprise ; Calmé, I et alii : intro à la gestion ; Cliquet, G et alii : management de la distribution ; Defabergues : intro à la gestion ; Détri, JP et alii : statégor ; Dubois, PL Jolibert : le marketing ; Giannelloni, JL, Vernette E : les études du marché Jobard JP, Gregory P : gestion Ladwein R : le comportement du consommateur et de l’acheteur Le Duf : encyclopédie de gestion et de management Lendrevie : publicitor Lendrevie : mercator Mintzberg : structure et dynamique des organisations Mansfield : economie managériale : théories et applications Porter : choix stratégiques et concurrence Reix : systèmes d’informations Sekiou : gestion des ressources humaines Usinier : management international 1h-1h30, 5 réponses, 1 à 4 bonnes réponses, points négatifs (en fn du nb de mauvaises réponses) Cours (choses redondantes, idées insistées), qst larges, auteurs en gras, avoir un raisonnement logique, pièges [email protected] [email protected]

INTRODUCTION

 Opposition gestion/management La Gestion est une expérience professionnelle concrète, de terrain. Le Management définit l’ensemble de techniques rationnelles et abstraites indispensables à la performance de l’entreprise, de l’organisation afin de chercher des réponses aux besoins de l’organisation. Système de management intégré (SMI) : démontrer l’utilité des systèmes d’informations, il faut préserver les données de l’entreprise. « Terme vague qui touche la structure totale de l’entreprise plus spécialement les décisions de longue durée comme le pilotage et la stratégie de l’entreprise, par contre la gestion reste technique et plus opérationnelle » « La gestion se rapporte au traitement d’une situation à partir de données recueillies instruisant une décision, alors que le management met en musique cette décision en mobilisant et conduisant ressources humaines et moyens » « Entreprise » : économistes / « Organisation » : gestionnaires Techniques rationnelles : ceteris paribus, hypothèses de départ, on suppose indice rationnel (= indice où quand il peut avoir + ou – d’un produit, il choisira +, quand il peut maximiser sa satisfaction) Abstrait : fonction de consommation, consommateur consomme en fonction de son revenu [Symbole] Gestion/management sont complémentaires : management alimente gestion (investir, embaucher, etc.) Systèmes de Management Intégré (SMI) Marché financier = ofre et demande de capitaux Industries contemporaines : système de management sont des outils d’aide à la décision dans les entreprises Gestion : deux étapes • Théorique, sur terrain : concernant le fonctionnement, quoi faire et comment ? [Symbole] opérationnel • Plus dynamique : met en perspective, comment améliorer ce fonctionnement ? [Symbole] stratégique La gestion est une matière transversale : diférents sujets de préoccupation

comme : la gestion de la qualité (robots), des ressources humaines santé/travail (burn out), de l’environnement (DD), etc. Instrumentalisation de la Gestion : outils, procédures, formations, autocontrôles (insuffler une image maison, bon comportement), audits internes/externes (mesure de l’activité des frais Déplacements/restauration/…), etc. Fonctionnement opérationnel : Aspect activité tous les jours, démarche mettant en place des procédures, améliorer fonctionnement des équipes Dimension sociale (salariés -> impacte l’entreprise) cf cynisme (prix sur vie humaine : évaluation de perte d’un salarié) Amélioration de la perf éco/sociale/environnementale : Entreprise doit être pérenne : assurer survie de l’entreprise donc de ses salariés avec par ex : un système de protection des salariés Dvpmt durable se veut d’économiser des ressources qui ne sont pas infinies (eau, etc.) -> économistes : on est irrationnels car on doit restreindre notre accès aux ressources limitées Instrument de pilotage stratégique de l’entreprise : se donner des objectifs et les moyens de les atteindre Fonctionnement stratégique : faire disparaître le concurrent ou dvlp production qui se démarquera de la concurrence pour une grosse part de marché par clients attirés par producteur meilleur ?

 Les registres argumentaires de la doctrine managériale Cf : le reengineering ou reconfiguration Michael Hammer et James Champy [Symbole] comment améliorer la production de l’entreprise, le service rendu au client. - Logique d’amélioration du service rendu au client : protocoles d’opérations, assurance du niveau de service - Techniques normalisées = le fait d’avoir une certaine homogénéité entre les pouvoirs publics, les logiciels, les pratiques, etc., permet de rendre plus fluide la façon dont on produit interne/externe de l’entreprise (ex : mobilité acteurs facilitée) + fidéliser le client - Harmonisations des mentalités et des rapports de coopération entre

acteurs externes et internes à l’entreprise : règles facilitant rapport entre individus, relations employés/clients/fournisseurs + s’adapter au monde qui entoure le consommateur pour être dans son environnement et le comprendre.

 Les caractéristiques d’un système majeur de management Liste des caractéristiques majeures d’un système de management - Finalité : pourquoi et comment ? - Syst de pilotage : cb ? (Coût en fn lieu, cond travail, protection sociale, etc., mesurée par indicateurs) - Référentiel éprouvé, étayé par des concepts et des principes : comment ? (Outils, régularité des services) - Parties prenantes (tous ceux qui ont à faire avec l’entreprise : fournisseurs, salariés, consommateurs, actionnaires = stakeholders, comprenant les shareholders) à satisfaire : qui ? Veulent toujours économiser ou gagner plus d’argent. (ex : grèves ambigues)

 Un peu d’histoire - Gestion : c’est la volonté de calculer et d’inventorier les richesses (besoin car accumulation) pour faire historique (pour anticiper l’avenir cf JM Kaynes : le présent se nourrit du passé mais le futur se nourrit et du présent et du passé) Richesse = potentiellement qqe chose à échanger -> relation avec ind - Monde préindustriel : Gestion très « empirique » : pour terrains, PME, etc. (// « théorique ») Organisateurs de petites tailles liées à l’agriculture, l’élevage (besoins de 1 ère nécessité : société subsistante), le petit commerce, l’artisanat, etc. - Dès le Moyen-Age : on passe des manuels de gestion (foires faisaient transiter les marchandises dans un territoire/monnaie morcelé) [Symbole] à une formalisation contemporaine Economie de troc : condition de double coïncidence des besoins. Création de la monnaie (= métaux précieux or/argent) dans échanges contre donc, le commerce se développe par la monnaie

Des pratiques de gestion : anciennes - Une formalisation (abstraite) des pratiques [Symbole] vers une formalisation contemporaine, - Techniques concentrées autour de la comptabilité (compter), fiscalité (impôts, éco fondée sur sphères pub/prv, recettes de nature fiscale), paie (rémunérer salariés), droit éco social (conditions contrat de travail) - Partie la plus ancienne de la gestion : comptabilité pour un capitalisme moderne (fondée sur logique de rationalité économique, pour dégager une plus-value) - Dès XVIII : définition du droit avec règles juridique et administratives, afin d’encadrer les actes de gestion (démarche normative : droit encadre le commerce) - Dès XX : formalisation des savoirs et savoir-faire (droit propriété intellectuelle) Le rôle de l’Etat : La réglementation (pour contrôler activités économiques dérogeant aux pouvoirs publics et au respect du bien-ê collectif, ex des monopoles) [Symbole] garantit un certain équilibre économique dans la sphère privée Affirmation de l’Etat et de son rôle en tant qu’Etat de droit : souveraineté de l’état que le peuple a donné au législateur en démocratie, il décide en fonction de l’intérêt général. La formalisation des connaissances de gestion ne doit pas se limiter aux seules techniques comptables et juridiques.

Développement des organisations pendant XIX-XXe a produit des évolutions sensibles dans domaines divers posant ainsi les questions de : - Coordination efficace du travail (réunion Skype, debout, toutes les semaines, etc.) - Définition et évaluation des missions de la hiérarchie (façon de fonctionner : vision paternaliste du patron qui entretient des relations avec salariés alors que les patrons voulaient faire fonctionner leurs entreprises plutôt que de s’occuper du bien-être des salariés) - Apports et risques de la mise en place des nouvelles techno info communication NTIC (façon de s’adresser aux clients, qst sur l’accès à l’Internet libre/contrôlé)

- Mesure des coût - Arbitrage entre plusieurs options (ex : acheter une machine ou 3 salariés supplémentaires) - Evolution des efectifs en termes de compétences (apparition de nouveaux métiers), rémunérations face aux exigences financières, machines qui n’ont plus besoin de main d’œuvre  Finalité : proposer des réponses au besoin croissants de pilotage socioéconomique des organisations Un gestionnaire propose options au sup hiérarchique ainsi que les conséquences de cette proposition. La mission du gestionnaire est d’associer la réussite de l’entreprise en prenant en compte les besoins du salarié. Exemple : origines de la comptabilité Comptabiliser : compter, mesurer la quantité produite d’un bien (monnaie facilite échanges) - Valeur d’échange : ce que je peux avoir en échange défini le taux auquel une marchandise s’échange, - Valeur d’usage : intérêt que je porte à la chose, relative au besoin, elle est subjective et varie en fonction de la situation, « dans le désert, la valeur d’usage d’un diamant est nulle comparée à celle d’un verre d’eau » Comptabilité : mettre en relation une réalité concrète (volume produit d’un bien) avec une représentation abstraite exprimée en quantité (en économie de troc) puis en unités monétaires ensuite, homogénéise les échanges Economie/gestion : l’absolu n’est rien, toujours relatif (« c’est cher » par rapport à quoi ?), on s’exprime avec une notion/échelle de valeurs Organisations parmi les théoriciens de l’histoire des organisations : Alfred D Chandler R.E. Miles ou encore CC Snow Besoin de comptabiliser : remonte aux préhistoriens, sumériens, égyptiens => comptabilité de métier Grèce antique à Rome : propres pratiques comptables en éco prv/pub, 1 er journal (éphéméride des Grecs)

XIe – XIVe : modernisation via dvpmt des comptes commerciaux et de la lettre de change [Symbole] origine (avec la compta en partie double) d’un réel progrès économique Lettre de change = reconnaissance de dette, engagement à payer à terme. L’« Effet de commerce » est un titre par lequel le créancier (tireur) donne l’ordre au débiteur (tiré) de payer une somme à une date donnée à l’avenir (échéance) à un bénéficiaire (qui peut être le tireur lui-même ou le porteur de la LdC qd elle a circulé). Autrement dit, la lettre de change est une reconnaissance d’une dette (qui peut circuler). Une somme et une date sont fixées afin de permettre au préteur d’être remboursé par l’emprunteur. Il circule par endossement : au lieu d’encaisser lui-même, le bénéficiaire écrit au dos de la lettre de change (payez à l’ordre d’untel, etc.). Untel : l’endossataire pourra à son tour transmettre la LDC à un tiers en l’endossant à nvx.  La fiabilité et la facilité de circulation favorisent une large acceptation de la LdC. Au moment de l’acceptation, le tiré peut domicilier la LdC chez son banquier, à qui il donne le mandat de payer. Le paiement se fera ensuite par compensation entre banquier du tiré et celui du tireur.  LdC = un instrument de paiement mais aussi un instrument de crédit (= déplacer du pvr d’achat ds le temps) Lettre de change = reconnaissance de dette [Symbole] naissance du crédit Mise en place d’un marché (liberté d’échange de droits de propriété, ofre globale + demande globale, composé de consommateurs potentiels) [Symbole] capitalisme commercial et industriel Economie de troc : double coïncidence des besoins (que ds petites sociétés) [Symbole] trouver intermédiaire Production se développe, échanges s’étendent Fin XIVe – début XVe : comptabilité en partie double (partita doppia de Lucia Pacioli : double entry book keeping : décrit chaque évènement sous angle de deux pdv ≠, compta de l’économie marchande capitaliste) - FR : loi impose double écriture symétrique sur 2 comptes à 2 colonnes de signes opposés - Communauté en partie double = pp de base du syst judiciaire comptable universelle, fondée sur idée selon laquelle les opérations et la situation

financière d’une organisation peuvent être représentées par des comptes. Chaque compte contient l’historique des modifications de la valeur monétaire d’un aspect particulier de l’organisation. On parle en partie de droit double qd l’enregistrement d’écriture est inscrit dans deux comptes (au moins) : un compte débité et un compte crédité PIB : sommation valeur ajoutée Exemple du Marketing : gestion au XXe A partir 1920 en FR Outil puissant Trente Glorieuses : 50’s – 1973 (1er choc pétrolier) puis période de croissance grâce à la consommation de masse : phase ultime de croissance au sens de Rostow Economie à grande échelle [Symbole] réflexion en marketing, [Symbole] - Le marketing a été un moyen pour mieux satisfaire le consommateur pour se diférencier et vendre ses produits plus chers. (ex : pub pour inciter à acheter un produit, emballage plus original qui va attirer le consommateur,…) - Le Dvpmt de l’environnement : urbanisation, distribution via grands magasins (d’abord bâtiments haussmanniens) dans la logique du « cash and carry » pour faire consommer le plus grand nb au meilleur prix, montée du pouvoir d’achat (1950-70) - Homogénéisation des produits (un des principe fondamental de la concurrence pure et parfaite selon lequel tous les produits sont identiques et seuls les prix changent) - Marketing sait faire du marché un objet de connaissance (il faut être capable d’analyser le marché mais aussi le consommateur pour répondre au mieux à ses besoins et ses volontés) Essor du marketing : - Mise au point de nouveaux instruments de gestion commerciale - Perfectionnement incessant des outils déjà existants Marc Meuleau Vente ≠ marketing : - Marketing = point de vue du consommateur, besoins du consommateur

et recherche de la meilleure façon d’y répondre, je pense que mon produit répond aux besoins du consommateur et je vais répondre à ses besoins [Symbole] il s’agit d’abord de satisfaire le client - Vente = point de vue du vendeur (débouchés), vendre le produit James Hagler : 12 armes fonctionnelles du marketing-mix (ou stratégie marketing) Distribution, prix, marchandising, vente directe, publicité, étalage, PLV (pub sur lieu vente), promotion, étude de marché, marque, conditionnement, manutention

 Bien connaître son marché + bien identifier les besoins du consommateur (connaître état et évolution du marché)

 La gestion : un domaine aux multiples facettes - Proposer des réponses abstraites (modèles qui permettent aux entreprises d’avoir des réponses) aux pb concrets de pilotage des organisations -

Recherche de performance : tableaux de bords, procédures ou dispositifs informatiques, ou encore via un travail sur la recherche d’adéquation des moyens humains aux besoins de l’entreprise (GRH)

La gestion des objectifs complexes : - Mêle instruments (figé) et comportements (science humaine donc pas de garantie des comportements) : aspect technique, les personnes doivent se faire respecter avec plus ou moins de diplomatie. Ouvert aux dialogues pour mieux s’intégrer.

-

Gérer revient à choisir entre des orientations d’action et s’en donner les moyens de la mise en œuvre : au sens grec de la vie de la cité. Celui qui s’intéresse à la cité. Il prend les décisions.

- Arbitrer et faire le tri entre la bonne et moins bonne action. La gestion est donc un art et une connaissance relevant du politique = Denis Malherbe. La décision est répercutée dans les services. « Une organisation ... n’est pas seulement une entité juridique ou un ensemble de ressources techniques et économiques c’est aussi une construction sociale qui met en relation des H et des F occupant des positions interdépendantes mais le plus souvent différenciées ». D Malherbe ; Faire ressortir sa diférence, représenter qqchose de plus pour l’employeur = c’est la richesse du capital humain dans l’entreprise. Interdépendance au sein des groupes. C’est dans la diférence que se trouve la valeur ajoutée des individus -

Activité humaine, réseau d’action individuelles et collectives

-

Les attitudes, les comportements, les représentations mentales, les relations

- Conception instrumentale de la gestion / définition comportementale plus subjective : un individu dans la réactivité ou qui ne s’intègre pas bien. Dès qu’on aborde le domaine des comportements, attention à la subjectivité. Subjectivité des comportements humains alors qu’il y a une objectivité dans la mise en œuvre des instruments. (Les comportements humains ne sont examinés en théorie mais peuvent changer en pratique alors que les instruments utilisés sont formels) -

Gestion = principe de contradiction

-

Subjectivité (comportement humain) et l’objectivité (rationalité des instruments et techniques ⇒normatifs)

- La coordination et l’adaptation : mettre l’écoute l’entreprise Dans les années 60 : -

USA et en GB : « Théorie de la contingence » Paul R Lawrence et Jay W Lorsch étudiant les conditions du couplage entre les organisations et

marché (1967) : tardif vis-à-vis de la technique -

2 concepts fondamentaux la différenciation et l’intégration afin de trouver entre autres les raisons de performances diverses des entreprises d’un marché donné. Dans un environnement de concurrence et il faut se démarquer. Les réactions sont diférentes entre les secteurs.

La diférenciation : Différenciation : une action plus large que l’idée de division horizontale des structures et des fonctions dans une organisation. (La diférenciation peut être réelle et se faire par le développement de caractéristiques intrinsèques du produit ou service qui sont réellement distinctives, on parle alors de diférenciation produit / service. Elle peut également prendre une forme plus artificielle par laquelle on travaille surtout sur la création de diférences perçues et pas toujours fondées par le biais du discours publicitaire. On parle alors de diférenciation publicitaire) Des cadres de développement diférents vont valoriser des objectifs diférents : les commerciaux ont un focus sur le chifre d’afaire.

Intégration : « La qualité de collaboration qui existe entre des départements qui doivent unir leurs efforts pour satisfaire aux demandes de l’environnement » Coordination, échange, résolution des conflits et problème interne à l’entreprise (perte de part de marché, ne pas laisser dégénérer les conflits car après on ne maitrise plus l’issu) Performance : adaptation de l’organisation interne aux contraintes et attentes de leur environnement. La manière d’être performant varie sensiblement selon les secteurs. Henri Mintzberg (« le management : voyage au centre des organisations » 1989) La coordination : 6 mécanismes fondamentaux

1.Ajustement mutuel : communication informelle, la force de l’habitude, mais pas dans certaines professions 2.Supervisation directe : surveillance du travail 3.Standardisation des procédés : application des règles, se conformer aux règles, déshumaniser le discours, le discours semble parler les individus mais manipulation 4.Standardisation des résultats : mise en conformité, produire des comptes d’exploitation, part aux actionnaires, comparaison entre entreprises 5.Standardisation des qualifications : autorisation des activités sous conditions, barrière à certaines professions 6.Normalisation comporte...


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