Memoire définitif PDF

Title Memoire définitif
Course Mémoire
Institution Université de Haute-Alsace
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2017

MEMOIRE Alors que l’augmentation du harcèlement scolaire se fait de plus en plus préoccupante, pouvons-nous encore lutter efficacement contre ce phénomène ?

Professeur référent : Monsieur CUCHEROUSSET GRAPINI Clarisse 2ème année DUT Carrières Sociales Option Gestion urbaine

TABLE DES MATIERES

Introduction............................................................................................................... 3 I. Le Diplôme universitaire et technologique : une formation novatrice…………..….4 A. Le choix de la formation ............................................. Erreur ! Signet non défini. 1. Le fondement des premiers objectifs et motivations ... Erreur ! Signet non défini. 2. Un diplôme coordonnant l’aménagement du territoire et l’aspect social.... Erreur ! Signet non défini. B. Des expériences professionnelles fructueuses et gratifiantes Erreur ! Signet non défini. 1. Les projets tuteurés : un projet en autonomie ............ Erreur ! Signet non défini. 2. Les stages universitaires : les premières expériences dans le monde du travail ....................................................................................... Erreur ! Signet non défini. C. Bilan de la formation et la perspective future ............. Erreur ! Signet non défini. 1. Mes deux années universitaires qui s’accomplissent . Erreur ! Signet non défini. 2. Un changement d’orientation à l’avenir ...................... Erreur ! Signet non défini. II. Etude d’une problématique d’intervention....………………………………………..15 1. Définition .................................................................... Erreur ! Signet non défini. 2. Plusieurs formes de harcèlement ............................... Erreur ! Signet non défini. 3. Comment combattre ce phénomène ? ....................... Erreur ! Signet non défini. Conclusion…………………………………………………………………………………22 Sources…………………..………………………………………………………………..23

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REMERCIEMENTS

En premier lieu, je tiens à remercier l’ensemble de l’équipe éducative de l’Institut Universitaire et Technologique de Belfort-Montbéliard pour son accompagnement durant mes années universitaires 2015-2017. Je remercie tout particulièrement, Monsieur Igor AGBOSSOU, maître de conférences en Aménagement de l’espace et Urbanisme, ainsi que Monsieur Frédéric MOULÈNE, enseignant-chercheur en sociologie, de m’avoir suivi et transmis, durant ces deux années, les bases en matière d’urbanisme. Je remercie également toutes les personnes qui nous ont aidés pour la méthodologie en sciences sociales, mais aussi les personnes qui sont intervenues lors des conférences. Pour finir, j’exprime toute ma gratitude aux différents tuteurs professionnels que j’ai eus lors de mes stages, mais aussi aux travailleurs sociaux et directeurs de structures de nous avoir consacrés du temps et d’avoir partagé leurs expériences professionnelles.

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INTRODUCTION

Depuis mon plus jeune âge, l’aspect social, l’aide à la personne et le conseil m’intéressaient considérablement. C’est pour cela , qu’après mes années au lycée Condorcet à Belfort, entre 2015 et 2017, j’ai intégré, à l’Institut Universitaire et Technologique de Belfort–Montbéliard, la formation Carrières Sociales, option Gestion urbaine.

Durant ces deux années de formation, j’ai pu acquérir de nombreuses connaissances dans le domaine du social et de la gestion urbaine, mais j’ai eu aussi l’occasion d’accroître mes aptitudes dans ce domaine-là. En effet, c’est grâce aux enseignements dispensés à l’IUT, ainsi que les projets tuteurés et les stages effectués lors de ma formation, que j’ai pu approfondir mes capacités de réflexion. Ce mémoire reflète mes deux années passées à l’Institut Universitaire et Technologique de Belfort-Montbéliard, qui se terminent positivement. Il se présente sous la forme de deux parties distinctes : dans la première, je ferai un bilan de mes deux années d’études, en expliquant les motivations et les objectifs qui m’ont poussé à intégrer cette structure. Ensuite, nous évoquerons mes expériences professionnelles et les compétences que j’ai pu développer. Enfin, nous terminerons sur un bilan général et mes perceptives d’avenir après ce DUT. Dans la deuxième partie de mon mémoire, je me consacrerai sur la problématique d’intervention du « harcèlement en milieu scolaire ». Premièrement, nous allons étudier sa définition, puis nous analyserons les formes de harcèlements, pour en venir à la problématique suivante : « En quoi consiste-t-il ? Et pouvons-nous encore lutter efficacement contre ce phénomène ? »

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I. LE DIPLOME UNIVERSITAIRE ET TECHNOLOGIQUE : UNE FORMATION NOVATRICE A. Le choix de la formation

1. Le fondement des premiers objectifs et motivations

À la fin du mois de juin 2015, j’ai obtenu mon diplôme économique et social au lycée Condorcet à Belfort. À l’instant où j’ai commencé mes recherches post–bac pour choisir mon orientation, j’ai découvert l’IUT de Belfort avec le DUT Carrières Sociales. Celui-ci me plaisait essentiellement du fait de ses cours théoriques mais aussi de sa pratique. Petit à petit, je me suis rendu compte, durant mes années de lycée, que le domaine du social me plaisait davantage que le diplôme que je préparais ; donc, je ne voulais pas m‘orienter dans une formation spécialisée dans l’économie pure et dure. Toutefois, l’univers du social mais aussi de l’urbanisme sont des domaines qui me passionnent depuis mon plus jeune âge, c’est pour cela que j’ai choisi cette formation, car elle combinait social et Gestion urbaine. Effectivement, au lycée, j’étais intéressée par les cours sur le développement durable, et bien avant cela, j’ai toujours voulu aider les personnes en difficulté, de ce fait, cette formation était idéale pour moi. Ainsi, mon choix premier d’intégrer cette spécialité était de retrouver un concept plus approfondi du développement durable, et notamment d’avoir des cours orientés vers la personne pour consolider les connaissances sur les publics à besoins spécifiques. Dans un deuxième temps, j’avais comme souhait de poursuivre mes études dans un environnement encadré et professionnalisant, comme un DUT. On m’a présenté la formation Carrières Sociales, option Gestion urbaine lors d’un forum universitaire en terminale. L’intitulé de l’option m’a tout de suite donné envie de connaître la formation, de plus, les personnes la représentant ont été très attentives à mes questions, donc cela m’a poussé à savoir ce que proposait leur programme d’études.

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Cependant, à ce jour, la direction que je souhaiterais poursuivre dans mes études n’est pas dans la Gestion urbaine, mais mon projet professionnel serait dans l’intervention sociale : conseil et réinsertion professionnelle. Avant mon entrée à l’IUT, je n’ai pas eu l’opportunité de participer à des travaux et des pratiques professionnelles dans le domaine de l’urbanisme et de l’aménagement du territoire, je me suis donc engagée dans ce cursus universitaire sans vraiment connaître les champs d’intervention et le monde du travail dans ce secteur. C’est pour cela que dès le début de la formation , j’ai été particulièrement surprise. En effet, je voyais la Gestion Urbaine comme une notion simple à étudier, seulement les cours dispensés à l’IUT touchent en détail les documents d’urbanisme de façon bien plus complexe que la notion de développement durable étudié au lycée général. En conséquence, je n’imaginais pas, avant d’entrer dans cette formation, avoir un développement tant approfondit de ces thèmes. N’ayant eu aucune notion dans le domaine de l’urbanisme, je me suis fondée sur mes particularités et qualités personnelles pour postuler dans cette formation. En avril, j’ai été retenue pour passer un entretien avec un jury et, en juin, j’ai été admise dans la formation Carrières Sociales option Gestion urbain à l’Institut Universitaire et Technologique à Belfort – Montbéliard.

2. Un diplôme coordonnant l’Aménagement du territoire et l’aspect social

Durant quatre semestres, j’ai pu acquérir et approfondir mes connaissances grâce à l’aspect social et l’option Gestion Urbaine. Les enseignants-chercheurs m’ont permis de développer mes capacités pour devenir une bonne gestionnaire de l’urbain, à travers les cours en amphithéâtre et les travaux dirigés. Lors de mon premier semestre, J’ai eu beaucoup d’appréhension concernant les enseignements d’aménagement et de l’urbanisme ; ce sont des matières générales trop théoriques. Toutefois, ces matières, centrées sur le territoire, m’ont permis de comprendre notre système politique, économique et de connaître les acteurs territoriaux qui organisent et gèrent notre territoire.

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Pour être un bon gestionnaire urbain, il faut prendre en compte les phénomènes sociaux sur le terrain. Pour cela, les enseignements tels que « diagnostic du territoire » ou les cours de « publics et ses problématiques spécifiques » sont des enseignements fondamentaux pour comprendre son environnement et ses habitants. L’étude de l’individu en société notamment « la psychologie » a été une révélation pour moi, car cela m’a permis d’analyser et de comprendre une situation, mais aussi d’interpréter une personne et son environnement tout en prenant du recul sur soi. En plus des matières théoriques, la formation permet d’acquérir des bases en méthodologie et des compétences individuelles et professionnelles. Comme, par exemple, l’expression et la communication en français, la pratique d’une langue étrangère, la méthodologie de projet, et aussi l’analyse de la pratique. La grande caractéristique de cette formation, ce sont le mélange de matières liées à l’urbanisme, mais aussi à du social. En effet, il y a au premier semestre, la « Méthodologie de la monographie », et en deuxième année la « Méthodologie en sciences sociales », ce qui m’a permis de travailler en groupe et d’en cerner les avantages et inconvénients. Effectivement, il faut une bonne entente, de l’efficacité et une bonne communication afin de permettre le renforcement et la cohésion du groupe. En ce qui concerne le deuxième semestre, j’ai été très surprise par un nombre considérable de cours sur les institutions sociales. Surtout le « droit » et la « comptabilité », ce sont des matières caractéristiques plutôt compliquées, qui demandent, dès le début du module, de la compréhension et exige aussi du raisonnement. Toutefois, ces deux enseignements permettent d’acquérir des fondements essentiels pour la compréhension du monde du travail. Durant cette partie de l’année, il y a moins de cours sur la spécialité. C’est donc l’un des semestres que j’ai le plus appréci é, puisqu’il y avait seulement deux matières spécifiques à mon option : « Histoire urbaine et de l’Architecture » et la « cartographie ». Au cours de celui-ci, il y avait en globalité, plus de cours basés sur la culture générale, et le social, comme « dynamique des populations et immigration ». De ce fait, j’ai pu approfondir mes connaissances dans ces cours, et ils ont été très enrichissants aux niveaux personnels et professionnels.

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Les cours de cartographie m’ont été utiles, puisqu’ils donnent une première approche des systèmes d’informations et de géographies. Nous retrouvons un certain équilibre au troisième semestre, grâce à la mixité entre les enseignements généraux et spécifiques à l’option. Il a été présenté par une matière importante, se poursuivant sur le semestre suivant : « Méthodes en Sciences Sociales ». Ce cours a pour objectif de nous laisser en autonomie, en menant une réflexion sur un thème général, puis de dégager une problématique d’intervention. Pour cela, il doit y avoir un grand travail de recherches et de documentations pour mener à bien notre problématique et nos hypothèses. De ce fait, de nombreuses conférences ont été mises en place pour nous aider, sur le thème de cette année « la vulnérabilité ». Il a donc fallu faire des démarches, par la rencontre de professionnels et d’intervenants extérieurs. Le quatrième semestre est à nouveau marqué par une majorité de matières spécifiques à l’option. En effet, il y a les enseignements, tels que : le « droit de l’urbanisme », l’« aménagement du territoire », le « développement social urbain », l’« habitat et sociétés », et l’« atelier d’aménagement ». Tous ces cours m’ont permis d’approfondir des notions apprises lors des semestres précédents. Par ces enseignements, surtout le « droit de l’urbanisme », je me suis rendu compte de mon indifférence à m’orienter dans ce domaine -là. Effectivement, J’ai pu cerner plus globalement les champs de l’urbanisme, et, de ce fait, il est devenu évident que je n’avais pas ma place dans cette spécialité, car le contact humain est primordial pour moi.

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B. Des expériences professionnelles fructueuses et gratifiantes 1. Les projets tuteures : un projet en autonomie Les projets tuteurés ont pour but de réunir des étudiants autour d’une commande proposée par des professionnels extérieurs à l’IUT. Ils permettent donc de prendre de l’autonomie et de travailler en groupe, mais aussi auprès d’une équipe extérieure. Cependant, il y a de nombreuses modalités. Effectivement, nous sommes sous des contraintes de temps et de moyens, et il faut démontrer notre capacité d’initiative, et de responsabilité. Cette directive permet de mettre en pratique notre méthode de travail acquise au cours de notre formation et de répondre à une demande réelle en analysant une situation et en proposant une solution appropriée. Mon projet tuteuré « éco-campus », était une directive menée par l’IUT, il a comme vocation de déménager les locaux « carrières sociales », dans un établissement plus aux normes. Lors de ma première année, je ne pensais pas que le suivi réglementaire et administratif aurait eu un si grand impact sur notre projet, et que, loin d’être simple, il impliquerait de nombreuses responsabilités. En effet, c’était en fonction de notre travail, et de nos propositions que se jouait le déménagement des futurs étudiants. Nous avons fait l’état des lieux du futur bâtiment proposant des solutions d’aménagement, afin de répondre aux attentes de la formation. Et nous avons aussi fait de nombreux entretiens pour cibler les attentes et les besoins des professionnels. En outre, de nombreuses exaspérations se faisaient ressentir sur l’ambiance de travail qui devenait pénible ; seules l’issue et la réussite de notre projet comptaient pour nous, et n’avons pris aucun recul, pourtant nécessaire. De ce fait, pour ma deuxième année, j’ai eu la possibilité de changer avec une camarade de classe et d’intégrer le projet tuteuré « forum nutrition santé ».

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Pour celui-ci, le fait de n’avoir que les mois de septembre à janvier (la fin) pour m’adapter à ce projet n’a pas facilité mes démarches. Cependant, il a été très productif, consistant à créer une « animation pour les enfants d’école primaire, afin de les sensibiliser à la santé et la nutrition », lors du forum à Offemont, en novembre 2016. Pour créer cette animation, nous avons eu contact avec l a personne extérieure qui sollicitait cette commande, et n’avons eu aucun souci de communication avec elle, ainsi qu’entre nous. De plu s, le jour de l’animation, tout s’est très bien passé avec les jeunes, et, tout en étant une activité ludique, elle fut en même temps enrichissante aux niveaux professionnel et personnel. Ainsi, nous avons eu un bon retour, et avons atteint les objectifs de notre projet tuteuré.

2. Les stages universitaires : Les premières expériences dans le monde du travail Durant mes deux années de formation, j’ai eu la chance d’effectuer deux stages, l’un en première et l’autre en deuxième année. Ceux-ci m’a permis d’acquérir des premières expériences professionnelles après le baccalauréat.

Ma première pratique fut un stage d’observation qui s’est déroulé sur une période d’un mois à l’association AVADEM, à Belfort. Son activité générale, ainsi que son objectif premier, sont de venir en aide à toute personne s’estimant victime d’une infraction pénale, ou souhaitant connaître ses droits pour résoudre des difficultés rencontrées dans le domaine familial, ou encore en matière de travail, logement, consommation, etc. Il y donc une possibilité de médiation pénale, c’est une mesure proposée par le procureur de la République, suite à une plainte, à une constatation d’infraction pénale, ou à la demande de la victime. Son objectif étant de permettre au plaignant et à l’auteur d’une infraction de participer à la résolution des difficultés engendrées par celle-ci.

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Durant cette période de stage, j’ai pu acquérir de nombreuses notions juridiques et sociales, et j’ai pu participer à plusieurs de ces activités : comme aller à des audiences, assister à des entretiens de plaignants. Pour un travail efficace, une évaluation est indispensable, car pour trouver le problème, il faut d’abord analyser les difficultés que la personne a rencontrées. L’évaluation s’inscrit dans un parcours, qui est à la fois individuel et institutionnel. En effet, c’est grâce aux outils que possède l’association (l’écoute, le conseil, l’aide, le suivit), qu’il y aura entre la personne et la famille une relation qui va contribuer au lien social. Cette évaluation se fait lors du premier entretien, celui-ci rend compte de faits, d’analyses et de propositions.

Chaque évaluation est unique, datée, et permet de faire un point sur l’accès aux droits des personnes en se fondant sur des faits objectifs, concernant le logement, l’emploi, le travail, et tous les éléments nécessaires à l’orientation. C’est pour cela que, lors de l’entretien, la juriste pose des questions et remplit une fiche qui concernera le suivit de la personne. Mes connaissances acquises durant les cours de psychologie m’ont fait comprendre que la juriste qui évalue l’individu en détresse doit aussi prendre en compte la situation sociale, la dimension psychique ainsi que les conséquences de l’état de santé des personnes.

Au départ, l’évaluation se fonde sur les demandes des victimes. En effet, chacun vient, lors du premier entretien, avec des questions et des demandes bien précises. L’évaluation se fera donc en fonction du type d’orientation que l’individu aura besoin. Elle s’inscrit dans un processus, celui de l’accompagnement social, ce qui montre bien que le suivit est important.

Si besoin, les juristes d’AVADEM proposent et montrent comment faire un dossier pour une procédure judiciaire. Par exemple pour des violences familiales : Avadem peut donner des informations précises et complémentaires sur la procédure de plainte et le déroulement de celle-ci, mais surtout les possibles sanctions. 10

Stéphanie BERTRAND, une des juristes d’AVADEM, m’a montré comment remplir la fiche d’évaluation des victimes sur inavem.org12. Celle-ci se complète sur internet, elle a pour objectif de donner des statistiques par rapport au nombre de personnes victimes (d’infraction par exemple), venant à l’association ou aux permanences extérieures. Ces fiches permettent aussi à l’équipe pluridisciplinaire de trouver plus facilement les données, c’est donc un mode d’organisation utile. De plus, nous étions deux à faire notre formation dans la même structure, j’étais avec une étudiante de deuxième année d’IUT, et son projet de stage était de sensibiliser les jeunes à la discrimination et le racisme. Cependant, je n’ai pas pu participer à son intervention au lycée Raoul Follereau car mon stage était trop court. De ce fait, j’ai eu pour mission de l’aider dans ses recherches, et dans l’analyse de quelques questionnaires. J’aurais aussi aimé, lors d’un entretien, participer à un dossier sur la médiation pénale, mais aucune affaire n’était en cours durant mon stage. Ainsi, mon rôle s’est réduit à celui d’observatrice. Cette formation a été très enrichissante pour moi, car elle m’a permis de découvrir une association dans le détail. Elle m’a beaucoup intéressée, puisque j’ai pu découvrir les secteurs social et juridique ainsi que celui de la médiation, pour lequel je porte un grand intérêt. Dans l’association , j’ai apprécié l’ambiance familiale. Tout le personnel a été très coopératif...


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