Processus cognitifs Official PDF

Title Processus cognitifs Official
Course Processus Cognitif
Institution Université de Montréal
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2.1 - approche du traitement de l'information Paradigme scientifique selon Kuhn : Ensemble d'avancées scientifiques universellement reconnues, qui, pour un certain temps, fournit à une communauté de chercheurs des problèmes et solutions Qu'est-ce qu'un paradigme nous indique? - quoi observer examiner. - questions posées. - comment les structurer. - comment interpréter les résultats. - le déroulement d'une expérience. - équipement utilisé pour l'expérience. Résultats empiriques réfutant le béhaviorisme - Tolman et les cartes cognitives. - Garcia & Koelling, etc. (eau sucre). - Chomsky & la linguistique. (Critique de Verbal behaviour) - Informatique. l'Intelligence artificielle Implanter l'intelligence humaine dans une machine trois propriétés principales de l'approche cognitive vs le béhaviorisme - accent sur connaissances, structures mentales et organisation (accent sur réponses pour inférer les événements mentaux). - l'individu est actif, constructif et organisé (l'individu est victime de son environnement). - utilisation de mesures temporelles et d'exactitude (idem béhaviorisme) Comment est le savoir pour les béhavioristes versus pour les cognitivistes? pour les béhavioristes on peut déduire le savoir juste à travers S-R. Tandis que pour les cognitiviste le savoir n'est pas juste une collection de faits, c'est quelque chose qui modifie l'interprétation des événements. Comment est l'individu pour les cognitivistes? - Actif: acquiert et utilise savoir de sa propre volonté. - Constructif: décide à quoi porter attention/mémoriser. - Organisé: on doit analyser plans/stratégies cognitives. Que permettent l'utilisation de mesures temporelles et d'exactitude? 1. de tester les hypothèses sur les processus mentaux. 2. de proposer de modèles cognitifs Qu'est-ce que la cognition? ensemble des processus par lesquels les entrées sensorielles sont transformés, réduites, élaborées, enregistrées, récupérées, et utilisées. Psychologie cognitive branche de la psychologie concernant l'étude scientifique de la cognition Qu'est ce que l'empirisme systématique? pourquoi est-ce que mes observations doivent être structurées?

Ensemble organisé de méthodes/techniques/théories. Mes observations sont structurées pour révéler la nature du monde réel et pour supporter ou rejeter des théories. Qu'implique des connaissances publiquement vérifiables? 1. revues avec comité de lecture. (personnes qui citent) 2. réplicabilité. (il faut qu les gens soient capables de répliquer mes données) 3. détection de la fraude. (Ex: vaccin rougeole et autisme) Comment doivent être les problèmes qui sont résolubles empiriquement? opérationnalisables Qu'est-ce qu'un ordinateur? - Machine d'usage général pour le traitement de l'information. - Outil qui manipule l'information à l'aide de règles. comment fonctionne un ordinateur? quelles sont ses composantes? - l'ordinateur a une entrée (commande), utilise un logiciel pour y répondre et produit une sortie : - matériel: * mémoire: pleine d'adresses. * puce: ce qui traite les données, donc transforme entrées en sorties (ce qui va apparaître à l'écran). *BIOS: équipement entrée-sortie (écran, souris, clavier, imprimante) permettant la communication entre l'ordi et le monde extérieur (un peu comme les sens). Logiciel software, programme de traitement de données qui suit une série d'instructions dans un certain ordre (sérielle). Erreur! Nom du fichier non spéc

Analogie entre l'humain et l'ordinateur L'esprit tout comme l'ordinateur est un programme de traitement de l'information basé sur des règles. selon l'analogie entre l'humain et l'ordinateur quel est le but du chercheur? comprendre le programme (l'esprit) équivalences humain ordinateur - entrée : sens - stimulus. - logiciel: esprit. - matériel: cerveau. - sortie: comportement - réponse. postulats du paradigme du traitement de l'information 1. entre le S et la R, il y a des étapes de traitement qui prennent un certain temps. 2. lorsque les entrées sont traitées, leur forme et contenu sont transformés.

3. certaines étapes de traitement ont une capacité limitée. 4. le traitement est sériel Quel est le but de l'expérience de Sternberg (1966): High-Speed Scanning in Human Memory.? de savoir comment l'information symbolique est-elle récupérée de la mémoire récente (MCT)? quatre étapes pour la « recherche » en mémoire (traitement sériel) 1. Encoder item-test. 2. Rechercher et comparer avec items de l'ensemble-mémoire. 3. Décision binaire (oui/non). 4. Exécuter réponse motrice. supposition sous-jacente à cette expérience si la sélection d'une réponse requiert l'utilisation d'information qui est en mémoire, les temps de réponses nous révéleront quelque chose à propos du processus par lequel l'information est récupérée. quel est la seule étape du processus qui pourrait influencer la récupération de l'information en MCT? 2. Rechercher et comparer avec items de l'ensemble-mémoire. trois hypothèses du comment l'information est-elle récupérée en mémoire à court terme? 1. Recherche sérielle auto-terminante? 2. Recherche sérielle exhaustive 3. Recherche parallèle? recherche sérielle auto-terminante Chercher des clés: on fait la première, la deuxième pièce et ainsi de suite et on arête lorsqu'on les trouve (sérielle parce qu'on fait une étape à la fois, et je termine lorsque j'ai trouvé) recherche sérielle exhaustive chercher un délinquant: on regarde tous les suspects et là on prend une décision. recherche parallèle toutes les comparaisons vont se faire à même temps (beaucoup en recherche visuelle) comment différencier chaque type de recherche? en fonction du temps de réponse, car chaque type de recherche a un temps de réponse différent. Conclusions de la recherche sérielle auto-terminante 1. le temps de réponse est influencé par l'ensemble mémoire (plus qu'il y a d'items dans l'ensemble mémoire, plus que je dois faire de comparaisons, plus que cela va me prendre du temps). 2. ça prend plus de temps répondre non que oui Erreur! Nom du fichier non spécifié.

conclusions de la recherche sérielle exhaustive 1. le temps de réponse est influencé par l'ensemble mémoire (plus qu'il y a d'items dans l'ensemble mémoire, plus que je dois faire de comparaisons, plus que cela va me prendre du temps). 2. ça prend le même temps répondre non que oui Erreur! Nom du fichier non spécifié.

conclusions de la recherche parallèle 1. le temps de réponse N'est PAS influencé par l'ensemble mémoire (comme on fait toutes les comparaisons à même temps, qu'il y ait 1 item ou 6, ça ne change rien, car on ne fait qu'une seule comparaison). 2. ça prend le même temps répondre non que oui Quelle est le type de recherche le plus efficace lors d'une comparaison? la recherche sérielle exhaustive qu'est-ce que cette expérience nous montre? En particulier: - On peut chercher dans la mémoire à court terme. - Le processus de recherche est sériel. - La méthode de recherche est exhaustive. - Les postulats de l'approche du traitement de l'information sont validés. En général: - On peut étudier l'esprit à l'aide d'hypothèses et de mesures observables. - Ne vous fiez jamais sur le "gros bon sens"; laissez la science décider. Des expériences comme celle de Sternberg sont effectuées seulement si les chercheurs croient que les processus cognitifs: - peuvent être divisés en étapes; - prennent un certain temps; - transforment les entrées. quel est le but de l'approche du traitement de l'information?

proposer des modèles de la cognition humaine.

processus cognitifs 2.2 - neurosciences cognitives 1 1.quelle

est la différence principale entre la théorie du traitement de l'information et le connexionnisme?: dans la théorie du traitement de l'information on avait besoin d'un logiciel (règle), pu dans le connexionnisme, ici on se base seulement sur le fonctionnement du cerveau.

2.comment

est un bon modèle de la cognition selon le connexionnisme?: c'est le modèle du cerveau = un seul ensemble de règles générales 3.comment est le cerveau? comment il traite le signal et comment il apprend?: - Réseau de neurones hautement interconnectés. - Traite le signal en parallèle. - Apprend en formant des associations. 4.de quoi émane toute connaissance selon le connexionnisme (vs le traitement de l'information)?: d'associations (vs règles) 5.que veut dire le codage distribué?: qu'une seule unité a aucune signification 6.comment débute la simulation?: avec des associations au hasard (tabula rasa) 7.règle d'apprentissage hebbienne: Deux cellules activées simultanément de façon répétée tendent à devenir "associées", de sorte que l'activité d'une cellule facilite l'activité de l'autre 8.que peuvent apprendre les réseaux avec entraînement et rétroaction?: - Reconnaissance de patrons. - Temps de verbe passé. - reconnaissance bruitée. - apprentissage d'identification. - Catégories. - et autres. 9.composantes d'un réseau connexionniste: - unités d'entrée. - unités cachées. - unités de sortie. 10.Pourquoi est-ce qu'on préfère les réseaux connexionnistes aux modèles basés sur le traitement de l'information?: - Plausibilité biologique (ce qui produit l'info c'est le cerveau donc la bonne chose c'est d'étudier le cerveau). - Apprentissage autonome avec connaissance innée minimale requise (tabula rasa) - Certains types d'apprentissage plus faciles à expliquer, par exemple la reconnaissance de patrons.

11.Sciences

cognitives: Étude multidisciplinaire de l'esprit. (6 domaines reliées ensemble pour nous faire comprendre comment l'esprit fonctionne). - philosophie, psychologie cognitive, informatique, neuroscience, anthropologie, linguistique

12.Neuroscience

cognitive: branche de la neuroscience impliquant l'étude des mécanismes neuronaux de la cognition. (étude des bases physiologiques de la cognition) 13.niveaux d'analyses: un sujet peut être étudié de différents façons et chaque approche contribue à une dimension de notre compréhension. (On veut étudier la physiologie pour mieux comprendre le comportement, lequel on décortique en morceaux) 14.comment vont être testées les théories cognitives?:

avec des mesures béhaviorales et neurologiques 15.liens

entre les mesures cognitives et les mesures neurologiques: - basées sur la structure et le fonctionnement du cerveau. - Les théories cognitives vont influencer les mesures neurologiques qu'on va utiliser et vice versa. - On peut mesurer des taches cognitives et neurologiques de façons simultanées (nous permettent de trouver des dissociations). 16.quelle est la différence entre la psychologie cognitive et la neuroscience cognitive?: la psychologie cognitive vise à comprendre l'esprit, tandis que la neuroscience cognitive vise à comprendre les déroulement des processus mentaux dans le cerveau. 17.Principe de la représentation de la décharge neuronale: Tout ce qu'une personne expérimente est basée sur les représentations de son système nerveux 18.Détecteurs particuliers: types des neurones que Hubel et Wiesel ont découvert. Elles répondent à des stimuli spécifiques d'orientation, mouvement et longueur. 19.de quoi dépend l'expérience sensorielle?: de la plasticité cérébrale. Par exemple: si je stimule seulement les lignes verticales, je ne verrais plus les lignes horizontales. (expérience avec chats de Blackemore et Cooper) 20.à quoi répondent mieux le neurones dans le cortex visuel?: à des stimuli simples comme des lignes. 21.à quoi répondent mieux le neurones dans le lobe temporal?: à des stimuli géométriques complexes. 22.à quoi répondent mieux le neurones dans une autre partie du lobe temporal?: aux faces 23.comment est ce processus?: hiérarchique: progression des zones inférieures à supérieures du cerveau. 24.Code sensoriel: comment les neurones représentent plusieurs caractéristiques de l'environnement 25.Comment les objets du monde réel sont représentés dans le cerveau?: - Encodage spécifique (Specificity coding). - Encodage distribué (Population coding). - Encodage semi-distribué (Sparse coding). 26.Encodage spécifique: Chaque neurone est activé par un stimulus spécifique. (ex: cellules grand-mères: un objet peut être représenté par la décharge d'un neurone spécialisé qui répond seulement à cet objet. Idée un peu ambitieuse). comprend: - détecteur de caractéristiques spécifiques. (mains) - encodage spécifique: stimuli complexes. (visages) - neurones miroirs.

27.exemple

de détecteur de caractéristiques spécifiques, stimuli complexes: neurones spécifiques à des objets en mouvement et aires spécifiques à des visages (expertise), endroits, parties du corps. 28.neurones miroirs: neurones activés quand on accomplit certaines actions ou lorsqu'on observe une autre personne les accomplir; les actions d'une autre personne qui se reflètent dans notre cerveau permettent l'imitation et l'empathie (il y a certaines régions du cerveau qui seront activées lorsqu'on ressent une émotion et ces mêmes régions seront activés lorsqu'on regarde quelqu'un ressentir la même émotion) 29.lien entre les neurones miroirs et l'autisme: - différence d'activation: aires motrices s'activent lorsqu'on regarde quelqu'un faire une action. (Normalement: si on est entrain de bouger les A. motrices sont activées et si on regarde quelqu'un faire l'action les A. motrices ne seront pas activées. Chez les autismes: si on est entrain de bouger les A. motrices sont activées et si on regarde quelqu'un faire l'action les A. motrices continuent à être activées.) -différence anatomiques: aires du système miroir plus mince. (les A. du cerveau qui sont liées au système miroir, soit pour les émotions, soit pour les actions, sont plus minces chez les enfants autistes que chez les autres enfants) (Donc le fait que les gens aient de la difficulté à communiquer et à entrer en relation c'est lié au déficit des neurones miroirs) 30.problèmes avec l'encodage spécifique: - trop d'objets dans l'environnement (ça prendrait trop de neurones). - invariance (ça prendrait une neurone pour chaque angle de la personne). - mort d'une neurone? (Si ta neurone grand-mère mort- ta grand-mère mort aussi?) 31.Encodage distribué: Chaque objet active plusieurs neurones à même temps. (représentation d'un objet particulier par le modèle de décharge d'un large nombre de neurones - plus réaliste) 32.avantage d'un encodage distribué: - Si une neurone meurt, la représentation est toujours possible. 33.Encodage semi-distribué: Chaque objet active quelques neurones à même temps. (représentation d'un objet particulier par le modèle de décharge d'un nombre restreint de neurones - beaucoup plus réaliste) 34.avantages d'un encodage semi-distribué: - Si une neurone meurt, la représentation est toujours possible. - solution plus économique (le même neurone peut être activé à différents niveau - pas besoin d'avoir autant de neurones) 35.différence entre l'encodage distribué et l'encodage semi-distribué: dans l'encodage semi-distribué il y a moins de neurones qui sont activées 36.étude de Quiroga, Kreiman, Koch et Fried (Sparse but not 'Grand-mother cell' coding in the medial temporal lobe ): - Étude du lobe temporal médial. - Présentation d'un ensemble de visages connus. - Mesure d'activation. - normalement activation sélective pour expressions faciales et de genre, Images de catégories d'objets spécifiques, degré de nouveauté et familiarité. 37.résultats de l'étude de Quiroga, Kreiman, Koch et Fried, lorsque le visage de Steve a été présenté et autres (Sparse but not 'Grand-mother cell' coding in the medial temporal lobe): - Neurone non parfaitement spécifique (peut-être activé avec d'autres visages). - Neurone "catégoriel" et non "grand-mère" (Car répond à plusieurs images de Steve Carrell). - Peu de visages reliés au neurone étudié. - Montre plausibilité de l'encodage semi-distribué (petit ensemble de neurones mesurés répondent à certaines visages) . 38.représentations distribuées: Équipotentialité cérébrale: le cerveau fonctionne de façon entièrement indivisible (ensemble) 39.exemples de représentations distribuées: - regarde une face active plusieurs endroits différents du cerveau. - les souvenirs peuvent être visuels, olfactifs ou auditifs.

- le langage comprend deux chemins: celui de la production en haut et celui de la compréhension en bas. de représentations localisées: - air de Broca et Wernicke

40.exemples

- Lobe occipital: vision. - Lobe pariétal: système somatosensoriel. - Lobe frontal: coordination des sens et des fonctions cognitives de haut niveau. - lobe temporal en bas à droite: prosopagnosie (ø face) - FFA. 41.Détecteurs de caractéristiques d'orientation: cellules simples 42.représentations localisées: fonction de localisation: des fonctions spécifiques sont prise en charge par des aires (endroits) spécifiques du cerveau. 43.Détecteurs de caractéristiques de directionnalité (mouvement): cellules complexes 44.comment sont les cellules simples et complexes?: des éléments primitifs pour la perception 45.comment est le traitement de la perception?: c'est un traitement hiérarchique (Image touche la rétine, Détecteurs simples, Activité de détecteurs simples transmise aux détecteurs complexes, Transmission du signal des aires primaires aux aires plus complexes visuelles, Traitement hiérarchique de caractéristiques jusqu'à création d'objet dans l'esprit) 46.comment peut-on faire et que démontrons nous avec une dissociation simple?: s'il est possible d'influencer le processus A sans affecter le processus B (ou vice-versa), on peut montrer que les deux processus psychologiques (A et B) dépendent de systèmes cognitifs/aires cérébrales séparés 47.quelles sont les deux méthodes par lesquelles on peut faire des dissociations simples?: 1. Méthode neuropsychologique: étudier les patients avec lésions cérébrales. 2. Méthode empirique: définir une tâche qui peut bloquer l'action du système responsable du processus A tout en laissant le processus B intact 48.comment peut-on faire et que démontrons nous avec une double dissociation?: s'il est possible d'influencer le processus A sans affecter le processus B ET d'influencer le processus B sans affecter le processus A, on peut montrer que les deux processus psychologiques (A et B) dépendent de systèmes cognitifs/aires cérébrales indépendants 49.quelles sont les deux méthodes par lesquelles on peut faire des doubles dissociations?: 1. Méthode neuropsychologique: Étudier les patients avec lésions cérébrales 2. Méthode empirique: Définir deux tâches: l'une où l'on bloque l'action du système responsable du processus A tout en laissant le processus B intact, et vice-versa pour la 2e tâche. 50.combien des patients est-ce que ça prend pour faire une dissociation double?: deux patients

processus cognitifs 3.1 - Neurosciences cognitives 2 Mémoire explicite: apprentissages qu'on est conscients qu'on sait (choses qu'on sait et qu'on sait qu'on les sait. Ex: ce quoi ma date de naissance) 2.Mémoire implicite: apprentissages qu'on connait, mais qu'on ne sait pas qu'on sait (choses qu'on sait, mais qu'on ne sait pas qu'on les sait) 3.selon Faulkner, quelle est la différence entre l'apprentissage implicite et l'apprentissage explicite?: c'est la présence ou l'absence de conscience 4.méthode pour tester l'apprentissage explicite: Demander à l'individu de rapporter des événements passés délibérément. 5.méthode pour tester l'apprentissage implicite: Évaluer la performance à l'aide de tests qui dépendent de façon indirecte de la mémoire d'événements passés, tel que démontré par un changement de comportement (ex: tâches des compressions de mots) 6.Tâche de compression de mots: 1. faire passer une liste de mots à l'écran (on ne dit pas à la personne qu'elle devra les utiliser lors d'un test) 2. demander à la personne de compléter des phrases (la personne utilise les mots de la liste de façon inconsciente, car si l'on demande à la personne as-tu l'impression d'avoir utilisé les mots de la liste, elle répond non)

7.expérience

de Nissen et Bullemer: - on tente de mesure l'apprentissage implicite. - les participants doivent répondre à des stimuli apparaissant aux quadrants A-B-C-D en appuyant sur la touche correspondante rapidement (8 x 10 essais). deux conditions: 1. Hasard. 2. séquence. - On mesure le temps de Réaction Sériel (TRS). de l'e...


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