PSY2510 - Intra 1 PDF

Title PSY2510 - Intra 1
Author Joseph Lavoie
Course Psychologie sociale
Institution University of Ottawa
Pages 17
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Summary

PSY2510 – Intra I Chapitre 1 Psychologie Sociale      Discipline scientifique qui vise : o À comprendre et à expliquer la façon dont les pensées, les sentiments et la conduite des individus o Influencé par présence réelle, imaginaire et implicite d’autrui La situation a beaucoup de pouvoir...


Description

PSY2510 – Intra I Chapitre 1 Psychologie Sociale 





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Discipline scientifique qui vise : o À comprendre et à expliquer la façon dont les pensées, les sentiments et la conduite des individus o Influencé par présence réelle, imaginaire et implicite d’autrui La situation a beaucoup de pouvoir o Dynamique des relations sociales crée des conditions qui orientent nos réactions o Nous sommes d’en un monde ou nous ne percevons pas toujours l’influence sur nous-mêmes o Veux croire qu’on est plus libre de nos actions et moins « conditionnés » par l’environnement sociale La réflexion a beaucoup de pouvoir o Nous tentons d’évaluer quels seront les meilleurs comportements à adopter dans un environnement donné o L’humain n’est jamais passif o Nécessaire de bien comprendre notre environnement social, de donner un sens aux actions des autres afin d’orienter nos conduites Tous les comportements ne sont pas tributaires de l’influence sociale; certains sont universels (???) Psychologie sociale vs. Sociologie o Sociologie étudie les groupes ainsi que les phénomènes dit microsociaux et ceux qui ont pour cadre la société globale o Principale différence réside dans les méthodes scientifiques  Psychologie sociale : expérimentation  Sociologie : observation

Méthodes de recherches 





Observation o Systématique  sans intervention du chercheur o Participante  observateur se joint à un groupe Enquête o Utilisation de questionnaires standardisé ou de schéma d’entrevue o Important  échantillon représentatif de la population étudié Méthode corrélationnelle o Mesure deux ou plus variables et étudie la relation o Corrélation positive : augmentent ou diminue en même temps o Corrélation négative : un augmente et l’autre diminue o Pas de relation





Expérimentation o Variable indépendante : Manipulé par le chercheur o Variable dépendante : Comportement mesurer o Groupe expérimental : Soumis à la variable indépendante o Groupe témoin : Non-soumis à la variable indépendante Laboratoire ou terrain o Terrain  POSITIF - Milieu plus naturel : l’à où évoluent les personnes habituellement  CONTRE - Difficile de contrôler les variables o Laboratoire  POSITIF - Permet d’isoler un nombre restreint de variables  CONTRE - Doit se dérouler pendant une brève période

Chapitre 2 



L’attribution à partir d’un seul comportement o Modèle de Jones et Davis  Attribution d’une disposition (ou d’un trait) qui correspond directement à la nature du comportement observé  En répondant à trois questions :  L’individu avait-il la possibilité d’agir autrement?  Se comporte-t-il conformément à ce qu’on attend de lui dans de telles circonstances?  Quelles sont les conséquences particulières de son comportement? o Modèle de Kelley  théorie de covaritation  Perception d’un lien entre le comportement et la cause  Quand le comportement varie systématiquement dans le temps  Se fait à partir de trois critères  Constance  La personne agit-elle toujours de cette façon?  Caractère distinctif  La personne agit-elle de cette façon uniquement envers ce stimulus?  Consensus  Est-ce que les autres personnes se comportent de la même manière?  Lorsqu’une personne se comporte d’une manière inhabituelle, on fait une attribution externe aux circonstances  Lorsqu’une personne agit de cette manière uniquement envers ce stimulus (personne, activité), on fait une attribution externe à l’entité  Lorsque les autres ne se comportent pas comme la personne, on fait une attribution interne à la personne Les biais d’attribution o Le biais de l’acteur (le biais de complaisance)  Nous trouvons des causes internes à nos succès



o Le biais de l’observateur (Erreur fondamentale d’attribution)  Dans l’évaluation du comportement d’autrui, nous surestimons les facteurs o Quand nous nous trompons  Tendance propre aux cultures…  Tendance plus marquée chez…  Tendance plus marquée parmi la classe sociale… o Saillance perceptive  Nous attribuons une influence plus grande aux personnes qui sont perceptiblement en évidence Nous privilégions l’efficacité plutôt que la rationalité o Nous avons un besoin  D’asseoir nos relations avec autrui sur certaines certitudes  De mettre de l’ordre dans nos jugements  De prévoir la réaction des autres o Nous privilégions  Les attributions internes

L’intégration de l’information 



La perception d’autrui : 2 processus cognitifs o Formation d’une impression :  Organisation de l’information se rapportant à une personne afin de former un tout  Repose sur l’attribution et l’intégration de l’information L’intégration des traits perçus o Deux approches  L’interaction entre les traits (Ash) : les traits n’ont de sens que les uns en fonction des autres  L’effet de centralité (À REVOIR)  L’effet de primauté (À REVOIR)  La moyenne pondérée des traits (Anderson) : Somme des évaluations de chaque trait en fonction de son importance (poids) divisée par le nombre de traits retenus

La cognition sociale 

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Processus mentaux qui permettent o De reconnaître o De mémoriser o D’interpréter Utilisés pour traiter les informations se rapportant à une personne lors de la formation d’une impression Kahneman : nous utilisons 2 systèmes o Automatique









 Processus plutôt inconscient  Permet de traiter beaucoup d’information en peu de temps o Réfléchi  Démarche plus rationnelle, formelle et contrôlée  Demande un effort cognitif (Dijksterhuis) Nous évaluons positivement ou négativement une personne avant même de s’en faire une impression o L’émotion précède selon lui la cognition L’exactitude de l’impression o Nos jugements sont parfois, sinon souvent, exacts o Certains traits de personnalité sont plus faciles à identifier que d’autres o Mais souvent teintés de stéréotypes o Les premières impressions sont particulièrement résistantes au changement L’utilisation de schéma  structures cognitives o Permettent d’organiser l’information complexe se rapportant aux personnes et aux situations  Elles orientent :  La perception de l’environnement  L’organisation des informations  Les inférences Les schémas o S’appuient sur un ensemble d’idées reçues o S’appuient dur des scénarios acquis en fonctions des normes culturelles o S’appuient aussi sur des scénarios élaborés en fonction de nos expériences et attentes personnelles o Quatre types de schéma  Schémas sur le soi  Représentations que l’on a sur nous-mêmes  Schémas sur les personnes  Informations organisées en mémoire pour chaque personne que nous connaissons ou non  Schémas sur les rôles ou les groupes sociaux  Informations emmagasinées sur des membres de groupes ethniques ou raciaux, sur des personnes des deux sexes ou sur leurs professions  Schémas sur les événements  Informations sur la succession de faits familiers, inhabituels ou d’événements sociaux significatifs o Quel schéma sera activé?  Les caractéristiques du contexte  La saillance de l’information  L’intensité du stimulus

Les caractéristiques de la cible (personne regardée)  La culture  Le ouï-dire  L’apparence physique  La tenue vestimentaire  La voix  Le comportement (verbal ou non verbal)  Le rôle actif des cibles  Les caractéristiques du percevant (celui qui regarde)  Son humeur  La perspective temporelle des événements  L’accessibilité des schémas (????)  L’amorçage  Les caractéristiques du percevant (celui qui regarde)  Sa culture La théorie implicite de la personnalité o Type de schéma utilisé pour inférer des traits de personnalité qui s’accordent généralement o À partir d’un seul trait perçu, s’ajoutent des traits apparentés Les règles heuristiques : processus cognitifs permettant de faire des estimations rapides o Disponibilité  Juge de la fréquence ou de la probabilité d’un événement à partir de la facilité de se remémorer des exemples apparentés o Représentativité  Estime la probabilité d’appartenance d’un objet à une classe donnée selon sa ressemblance avec un prototype  En fonction des similitudes perçues dans l’apparence immédiate d’un individu et d’une catégorie sociale o Ancrage et rajustement  Estime une grandeur (fréquence, nombre) en se fondant sur une quantité connue relative à un événement donné  Afin d’ajuster ensuite cette grandeur pour tenir compte des particularités d’un nouvel événements semblable Six biais de la cognition sociale o La positivité : tendance à exprimer des propos positifs plutôt que négatifs à l’égard des personnes o La négligence de la ligne de base : tendance à sous-estimer les informations statistiques dans nos jugements de personnes et des objets o Les corrélations illusoires : perception d’une corrélation entre deux variables o La persistance des croyances : tendance à ne pas tenir compte des informations qui contredisent nos croyances 







o Le raisonnement contrefactuel : tendance à reconstruire la réalité en tentant de prévoir comment des actions différentes auraient mené à des conséquences différentes o La combinaison inexacte des probabilités : tendance à croire qu’un scénario se produira d’après notre conviction de la probabilité d’apparition des événements qui le composent Chapitre 3 – Le soi  











Le soi : Ensemble de caractéristiques individuelles qui font qu’une personne est différente ou semblable à eux 3 dimensions au soi o Concept de soi : dimension cognitive o Estime de soi : dimension évaluative o Présentation de soi : dimension comportementale Le concept de soi o Ensemble des croyances qu’une personne entretient à propos d’elle-même  Aspects d’origine génétique  Aspects acquis en interaction avec le milieu o Selon William James, 3 dimensions du soi :  Soi spirituel : Expériences intérieurs, habiletés, valeurs, idéaux  Soi sociale : Image que l’on projette  Soi matériel : Aspects de notre corps, ce qu’on a l’air, ce qu’on porte o On acquiert le soi via :  L’introspection  L’observation du comportement des autres à notre endroit  L’observation de notre propre comportement  La comparaison avec des personnes qui nous ressemblent dans l’environnement L’introspection – La conscience réflexive o La conscience réflexive est la capacité propre à l’humain de réfléchir sur soimême et de s’interroger sur ses propres capacités de réflexion Le moi en miroir  je suis comme on dit que je suis o Les réactions des autres sont la principale source des croyances que nous élaborons à propos de nous-même La perception des réactions des autres  je suis ce que je crois qu’on pense de moi o Les réactions des autres sont la principale source de croyances que nous élaborons à propos de nous-mêmes  Ex. Mon père dit toujours que je suis peureux  Ex. Mes amis me font confiance o Corrélation forte entre  Ce que je pense de moi ET ce que je crois qu’on pense de moi La perception de soi  Je suis tel que j’agis







o Nous déduisons certains traits de personnalité, attitudes et motivations personnels à partir de l’observation de notre propre comportement La comparaison sociale (Théorie de Festinger) o En l’absence de normes objectives, nous déterminons et évaluons nos habiletés et caractéristiques personnelles en nous comparant aux autres o Parce qu’on a besoin d’évaluer ses habiletés et attitudes. Les autres sont des repères dans notre culture d’appartenance o On préfère se comparer à des personnes qui nous ressemblent Les schémas de soi o Généralisation cognitive à propos du soi dérivée l’expérience passé o Organise et oriente le traitement de l’information reliée au soi et contenue dans les expériences sociales de l’individu Les schémas de soi : une représentation mentale de nos principales caractéristiques PHYSIQUE Sexe, taille, poids, âge, apparence…

RÔLES: Conjoint, étudiant, travailleur, parent, bénévole…

GOÛTS ET INTÉRÊTS: Musique, cinéma, politique, sports, psychologie…



VALEURS: Honnêteté, justice, respect…

TALENTS QUALITÉS, DÉFAUTS…

o Effet d’autoréférence  Biais amenant l’individu à remarquer et à retenir particulièrement l’information qui se rapporte à lui-même La stabilité du concept de soi o La mémoire  La mémoire est ce qui nous permet d’avoir un concept de soi cohérent  Sans mémoire, nous ne savons plus qui nous sommes car nous perdons nos repères o Un besoin  C’est rassurant : ça aide à se comprendre les autres  Quitte à modifier la réalité  En réarrangeant nos souvenirs pour notre bénéfice personnel  En sélectionnant les informations nouvelles qui concordent avec no croyances o En conclusion :

Un concept de soi stable n’est pas nécessairement la représentation de soi la plus valide  Mais c’est elle qu’adopte la majorité des gens, quitte à réinterpréter les indices environnements qui le contredisent L’augmentation de soi o Tendance à…  Se voir, soi-même, plus positivement qu’on voit les autres et croire que les autres nous jugent mieux qu’eux-mêmes  Exagérer le contrôle qu’on croit avoir sur sa vie  Être excessivement optimiste face à son propre avenir o Les biais perceptifs  Égocentrique : Exagérer sa part dans l’exécution d’activités collectives  De fausse unicité : Considérer comme exceptionnels ses attributs positifs  De faux consensus :  De complaisance + : Attribuer ses succès à des dispositions internes  De complaisance - : Attribuer ses échecs à des circonstances externes o Le handicap intentionnel  Stratégie par laquelle on explique à l’avance un échec possible en faisant appel à des circonstances exceptionnelles plutôt qu’à des caractéristiques personnelles  Je ne suis pas en forme…  Cette tâche est impossible à réaliser…  Personne n’est capable de faire ça…  Homme se donne handicap plus souvent Comparaison sociale et estime de soi o Ascendante  Se comparer à des personnes que l’on juge supérieures à soi  Pas toujours dévalorisant : peut être une source d’identification qui accroit l’estime o Descendante  Se comparer à des personnes que l’on juge inférieurs à soi Le sentiment d’efficacité personnelle o Niveau de confiance dans sa capacité de réussir qu’une personne ressent avant d’entreprendre une tâche o En lien directe avec la performance réelle o Un concept de soi développé Estime de soi : attention … o Trop d’optimiste nous amènent à entretenir des illusions sur nous-mêmes… o Ne nous permet pas de s’améliorer o Le handicap intentionnel peut paradoxalement augmenter la probabilité de cet échec La régulation du soi 















o Processus par lequel nous cherchons à contrôler nos pensées, émotions, comportements et besoins ou à les modifier o Ce processus dépend de la conscience de soi o Processus habituellement automatique o Certaines situations suscitent une conscience de soi accrue  Parler en public  Être minoritaire d’un un groupe La présentation de soi o Nous planifions et mettons spontanément en pratique des conduites qui confirment et renforcent l’image de soi o Pour plaire aux autres, obtenir leur approbation et éviter l’exclusion sociale  En fréquentant des gens qui nous renvoient une image positive de soi  En présentant des aspects de nous-mêmes susceptibles de provoquer des réactions positives o L’un des objectifs est également la validation sociale du soi… o On fait beaucoup d’efforts dans la présentation de soi aussi pour se convaincre soi-même de ce que nous sommes vraiment o Deux formes de présentation de soi  Authentique : Lorsqu’on désire être perçu par autrui de la façon dont on se perçoit soi-même  Stratégique : Lorsqu’on désire donner une impression de soi ajustée aux exigences d’une situation Le monitorage de soi o Tendance spontanée à régler son comportement en fonction de la situation et des réactions d’autrui o C’est une stratégie d’adaptation de l’animal humain à son environnement social

La culture et le soi 



Les cultures (individualistes) o Valorisent le soi indépendant, l’autonomie et l’initiative individuelle o L’estime de soi découle de ces valeurs : d’où le biais de complaisance :  Les succès découlent de ses capacités, les échecs dépendent des circonstances Les cultures (collectivistes) o Valorisent la générosité, la gentillesse et la conscience de son propre rôle au sein de la collectivité

o L’estime de soi est relié à un biais de complaisance inversé



En conclusion o Le soi, en fait, n’a pas vraiment de réalité immuable et tangible o C’est une constructive inachevé à laquelle la nécessité de ressentir une cohérente interne donne une image plus unifiée et achevée qu’elle ne l’est réellement

Chapitre 4 – Les attitudes et le changement des attitudes Le concept et la nature des attitudes 

Le concept d’attitude o Un état mentale prédisposant à agir d’une certaine manière, lorsque la situation implique la présence réelle ou symbolique de l’objet d’attitude o Modèle assez stable de :  Croyances  Émotions  Tendances comportementales o À l’égard d’un objet psychologique o Évaluation générale, positive ou négative d’une personne à l’égard d’un « objet »  Situation (peine de mort)  Personne (immigrant)  Action (fraude)  Opinion (féminisme) o La plupart de nos attitudes sont inconscientes, on ne sait pas qu’on les a quand on n’est pas dans la situation o Origine effective :  Basée sur émotion et sentiment  Pas liée à la logique ou a un rationnel

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 Souvent liée aux valeurs des gens Création d’attitude o Objet d’attitude  Cognitif, Affectif, Comportementale  Attitude  Mesure Le concept d’attitude o Origine affective :  Basée sur émotion et sentiment  Pas liée à la logique ou au rationnel  Souvent liée aux valeurs des gens o Origine cognitive :  Basée sur des faits objectifs  Analyse rationnelle o Origine comportementale :  Basée sur les comportements que l’on a à l’égard de l’objet d’attitude o Origine génétique  Étude jumeaux : 34% de la variance via :  Sociabilité (personnalité)  Talent athlétique (corps)  Intelligence  Rôle de l’environnement plus important toutefois :  Plus de 60% de variance o Concepts les plus étudiés  Estime de soi  Préjugés  Attraction interpersonnelle La nature des attitudes o La direction  Positive ou négative o L’intensité  Le degré ou la puissance o La force  La durabilité ou la résistance La force des attitudes découle de o La certitude subjective  Conviction d’être dans le vrai ou d’avoir raison  Surtout lorsqu’on a eu une expérience directe avec l’objet o La centralité  Position occupée par une attitude dans la hiérarchie de l’ensemble de nos attitudes  Attitudes « générales » d’où découlent un certain nombre d’attitudes associées Deux types d’attitudes o Explicite

 Accessible à la conscience = on sait qu’on a ça  Contrôlable  Facilement exprimable o Implicite  Association inconsciente entre  L’objet d’attitude  L’évaluation qu’on en fait o Explicite : c’est clair pour nous o Implicite : on ne sait pas qu’on a ces attitudes jusqu’à ce qu’on soit confrontés par une situation La formation et le changement des attitudes 











L’acquisition des attitudes : conditionnement évaluatif o Association entre un stimulus neutre et un autre stimulus positif ou négatif o Utilisation du corps de la femme dans annonce de bière o Musique dans les annonces (on choisit musique pour cibler groupe d’âge) o Persuasion subliminale : Photos qui apparaissent très brièvement, on n’en a pas conscience L’acquisition des attitudes : conditionnement évaluatif o Un stimulus neutre peut être conditionné par un stimulus inconditionnel même s’il n’y a pas de contact direct entre eux  Pierre (SN) parle à Paul (SN)  Pierre (SN) parle à Mathieu (SI)  Paul devient (SC)  Pierre étant associé à P...


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