Qcm+resumé prothese - Cours de Médecine dentaire PDF

Title Qcm+resumé prothese - Cours de Médecine dentaire
Course Pathologie Dentaire
Institution Université Paul-Valéry-Montpellier
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Summary

Cours de Médecine dentaire ...


Description

-ADHESION RETENTION ET STABILITE EN PROTHESE TOTALE ADJOINTE : Adhesion : c’est l’atraction moléculaire entre les molécule de corps différent :assuré par le film salivaire (adhesion par capilarité) est mince meilleure est l’adhesion -adhesion est proportionnelle avec : l’etendue de surface de contact , precision de leur ajustage , duré de leur contact -L’adhésion assure en partie la rétention de la prothèse et représente un des facteurs physiques de celle- ci La retention :-une réaction favorable qui s’oppose aux forces verticales exercées sur la prothèse pour l’éloigner de la surface d’appui - La pesanteur au maxillaire supérieur (alors qu’à la mandibule le poids majore la rétention) -La traction (difficile à imaginer comme bilatérale et symétrique), des muscles abaisseurs exercée lors de l’ouverture buccale par l’intermédiaire d’aliments collants et résistants. Les facteurs physiques de la rétention -gravité -pression atmosphérique : responsable de l’effet vontouse , assuré par le joint perephirique hermétique et qu’un vide relatif se crée entre l’intrados de la prothèse et la surface d’appui au cours des déplacements de la prothèse totale adjointe -phénomène de surface : Une surface est le lieu de rencontre de deux phases homogènes de propriétés chimiques et physiques différentes (solide/liquide, solide/gaz, liquide/gaz) 1-la cohesion : elle représente l’attraction des molécules de la salive entre elles et c’est elle qui permet de la maintenir en masse(propriétés physiques de la salive, plus la salive est visqueuse meilleure sera la cohésion. La viscosité de la salive dépend de sa concentration en mucine (plus une salive est riche en mucine, plus elle est visqueuse) 2-tension superficiel : La tension superficielle conditionne le mouillage et la capillarité. 3-le mouillage : Le mouillage se définit en fonction du degré d’étalement d’une goutte de liquide à la surface d’un solide ; Un bon mouillage favorise l’adhérence et suppose qu’il existe une forte attraction entre les molécules de surface du liquide et celles du solide, et de ce fait il constitue un facteur positif dans la rétention des prothèses complètes. 4-la capilarité : La tension superficielle d’un liquide crée une pression qui pousse le liquide dans les fissures et les tubes de petite dimension ce phénomène est la capillarité La capillarité de la salive (pénétration de la salive au niveau de l’intrados de la prothèse) va créer l’adhésion. 5-l’adhesion : L’adhésion est plus importante lorsque : le contact entre la surface d’appui muqueuse et l’intrados de la prothèse est plus intime (mince film salivaire) et étendu 6-la viscosité : C’est la résistance à l’écoulement d’un fluide -Dans la pratique, le temps de décollement est considérablement allongé par : *L’étendue de la plaque *L’intimité de contact *L’irrégularité de l’interface (de la même façon que des sinuosités, angles ou coudes sur une conduite ralentissent l’écoulement d’un fluide) Les facteurs anatomophysiologique : 1. Elément anatomophysiologiques à exploiter : (indices positifs) Au maxillaire supérieur : Une crête résiduelle : large, haute, à cotés parallèles Un vestibule : assez profond d’au moins 4mm Une fibromuqueuse : dense, ferme et adhérente à l’os sous jacent Tubérosités : bien formées et sans contre dépouille (parallèles entre elles) Une voute palatine : en forme de U, assez profonde avec une base large et horizontale Les régions para-tubérositaires (poches paratuberositaires ou espace ampulaire d’EISENRING) : ce sont de véritables poches crées par la résorption centripète des maxillaires, la direction horizontale des fibres des buccinateur et le masseter. Sillons ptérygo- maxillaires : ils doivent être repérés avec précision car, ils constituent la limite à atteindre pour une rétention maximale Région palatine postérieure : la prothèse totale s’étend latéralement jusqu’aux sillons ptérygo-maxillaire et dans sa partie médiane jusqu’à la partie musculaire compressible du palais mou (les fossettes palatines sont toujours recouvertes par la prothèse totale) . Le palais mou : qui prolonge presque horizontalement le palais dur c’est le plus favorable car il facilite la réalisation d’un joint périphérique effectif et hermétique.





Au maxillaire inférieur : La région sublinguale antérieure : elle joue un rôle important dans la rétention, car elle permet une extension de la prothèse inferieure..  La région sublinguale postérieure : cette région est délimitée postérieurement par le faisceau lingual du constricteur supérieur du pharynx et par le palatoglosse et antérieurement par le bord postérieur du mylo-hyoïdien, ce hiatus autorise une extension linguale postérieure de la prothèse.  Les régions de FISH : Délimitées mésialement par la région du frein vestibulaire latéro-inférieur et distalement par le bord antérieur du masséter,  Les régions des éminences piriformes : Localisées dans les régions postérieures de la crête muco- osseuse du maxillaire  La langue : son volume intervient dans la rétention et la stabilisation des prothèses inférieures, en effet une langue large venant s’appuyer sur la prothèse est favorable à la rétention et la sustentation, il en est de même pour sa position qui plus elle est antérieure, plus l’herméticité du joint périphérique sublinguale est meilleure. 

2. 

Eléments anatomophysiologiques à respecter (indices négatifs) : Au maxillaire supérieur :

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La suture intermaxillaire en relief (saillante) : ce sont des zones à décharger car la prothèse peut pivoter autour lors de la fonction. La décharge ne doit pas être excessive,  Le torus palatin : il se développe au dépend de la suture inter- maxillaire pour certains auteurs ils sont d’origine arthritique, pour d’autre de simples exostose. Pour LANDA, les tori peuvent être classés selon leur forme et leur situation en cinq types : Les plus fréquents sont ovalaires ou arrondis, situés au niveau du tiers postérieur du palais Torus de forme allongée, peu saillant et qui occupe les deux tiers postérieurs du palais Torus de la même forme, mais occupe les 2/3 antérieurs de la suture intermaxillaire Torus de forme étroite, de largeur réduite, occupe le 1/3 antérieur de la suture intermaxillaire (voutes ogivales profondes) Le torus le plus gênant, il s’étend sur toute la longueur de la suture intermaxillaire, il pose le problème de la situation exacte du joint postérieur (celui-ci doit être reculé). Les tori peuvent être supprimés chirurgicalement mais l’exérèse n’est ni totale ni définitive, la récidive est fréquente Ils doivent donc être déchargés pour que leur présence n’altère ni la rétention ni la stabilité de la prothèse.  Les régions de Schroeder : ce sont des zones cellulo-adipeuse situées dans la région postérieure du palais de part et d’autre de la suture intermaxillaire, leur compressibilités est un facteur négatif, en effet la pression exercée lors de la prise d’empreinte définitive modifie la morphologie de ces régions qui en reprenant par la suite leur morphologie primitive tendent à refouler la prothèse , on a donc intérêt à pratiquer des pertuis au niveau du PEI en regard de ces régions  Les ligaments ptérygomaxillaires : facteur potentiellement négatif, ils ne tolèrent aucune interférence avec les prothèses totales supérieures et inférieures.  Les régions des freins vestibulaires antéro-supérieur et latéro- supérieur : constituent un facteur biologique potentiellement négatif qui peut devenir réellement négatif lorsque leur anatomie et leur physiologie ne sont pas respectées. Un dégagement excessif empêche cette herméticité parce que le contour périphérique de la prothèse  Au maxillaire inférieur :  Les régions vestibulaires antérieures : ces régions se situent entre le frein vestibulaire antérieur et les freins vestibulaires latéraux. L’extension de la prothèse dans ces régions est limitée par la tonicité propre de la lèvre inférieure et par la profondeur du vestibule qui subit d’importantes variations au cours des mouvements de la lèvre inférieure  Les régions masséterines : ces régions se situent distalement aux régions de FISH et à leur niveau les fibres antérieures des masséters recouvrent les buccinateurs. Les fibres antérieures des masséters sont perpendiculaires au contour périphérique de la prothèse inférieure et leur contraction tend à la soulever, par conséquent la prothèse aura des extensions limitées.  Les régions postérieures des lignes obliques internes (crête mylo- hyoïdienne) : dans ces régions la muqueuse du plancher buccal est en contact direct avec les lignes obliques internes, les extensions de la prothèse à ce niveau sont en principe à déconseiller, car elles peuvent interférer avec le soulèvement des fibres des mylo- hyoïdiens lors de leur contraction.  Les régions des freins vestibulaires antéro-inférieures et latéro-inférieures : Ils peuvent devenir un facteur réellement négatif lorsque leurs anatomies et leurs physiologies ne sont pas respectées ; un dégagement insuffisant cause la rupture de l’herméticité du joint périphérique de la prothèse totale.  La région du frein lingual et des genio-glosses il faut pratiquer une échancrure à son niveau, celle-ci ne doit pas être excessive pour sauvegarder l’herméticité du joint périphérique de la prothèse qui est en contact avec les tissus pendant les positions physiologiques de la langue les facteurs physiologiques : -contrôle neuromusculaire : Les extéroceptions et les proprioceptions jouent un rôle non négligeable dans la rétention - Facteur mécanique : (facteurs occlusaux) L’exactitude du rapport intermaxillaire et une occlusion entièrement équilibrée confèrent une adhésion maximale lors de la fonction ; une erreur d’occlusion ou une équilibration approximative se traduisent par une perte de rétention avec instabilité et résorption accélérée -facteur psycologique -facteur chirurgicaux : chirurgie préprothetique / chirurgie implantologique (2 mand /4max) 

la stabilisation :Réaction favorable qui s’oppose aux forces (transversales ou antéropostérieurs) exercées sur la prothèse parallèlement à la surface d’appui. La sustentation : qui s’oppose à tout déplacement axial sur les surfaces d’appui La surface d’appui : Toute augmentation de la surface d’appui améliore la sustentation (rapport entre force et surface d’application) ; il faut donc rechercher une extension maximale de la base, limitée seulement par la nécessité de permettre le libre jeu des organes paraprothétiques. La forme des maxillaires : (facteurs anatomiques) La sustentation est conditionnée par la forme de l’infrastructure osseuse La rétention : qui s’oppose à tout déplacement axial à partir des surfaces d’appui L’équilibration occlusale : qui élimine les mouvements de translation et de rotation L’équilibre musculaire

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facteur physique :

-la technique de la piezographique :

I- LA PIEZOGRAPHIE PROTHETIQUE -technique d’enregistrement : phonation, déglutition ; phonation+déglutition , mastication -1-phonation : c’est l’activité buccale la + generatrice des forces horizontale active et potentiellement nocive pour les structure prothetique mandibulaire , psk s’effectue à l’inverse de deglutition et la mastication 2-deglutition :materiaux utilisé facile à manipulé , deglutition stabilise les maquette, chez les sourds muets , malade mentaux . materiaux utilisé :facie à preparation et manipulation , inaltérable en bouche , plasticité suffisante, persistance au niveau de plasticité pendant un temps suffisament long , durcissement irréversible ,absence de toxicité on utilise un gel visco qui un resine à prise retardé resevé pour la technique de phonation, et pour la deglutition accessoirement par phonation on utilise les dimethylpolysiloxane DPS (silicone) -phoneme : region buccinatrice laterale : sis 5 , so 1: sir 5 , sou1/region anterieur : de te se ; da tha sou (en arabe on dit que c'est une reconstitution à deux étages..... la dent Richmond reçoit seulement une facette cosmétique( résine ) et devient ainsi une reconstitution corono-radiculaire --> on dit que c'est une reconstitution à un seul étage , d'ou son indication en cas de DV diminuée 16- Un inlay-core: a- est une restauration intracoronaire b- est une restauration extracoronaire c- peut supporter un taquet occlusal d- ne doit jamais supporter un bridg- toutes les réponses sont fausses 17- la sécrétion salivaire est augmentée: - en cas de port de nouvelle prothèse - en cas de prothèse non stabilisé18- l'empreinte à la cire korecta: (cl 1.2.5) - permet d'équilibrer les appuis dentaires et les appuis muqueux - ne peut être corrigée par un apport de cire en cas d'erreur - est utilisée quelque soit la classe d'édentement - toutes les réponses sont fausses 19- les dérivés dy gypse ne peuvent être utilisés à plus de 700° car

20- la connection secondaire: - doit être rigide

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Nb : doivznt satisfaires 3 imperatifs : 1-rigidité et resistance :: section1.5-2mm 2-respect des tissus mou :0.2mm decharge au niveau des tissue mou 3-confort ; bien tolere au cote proximale

la wash technique*: a- est une technique qui utilise un hydrocolloidréversible b- est technique qui se fait en deux temps c- est technique qui utilise un port-empreinte rigide d- toutes les réponses sont juste les choix sont : ( d) / ( c ) / (b-c ) / ( a- b La matrice en platine lors de la confection d’une couronne jacket a- doit avoir une épaisseur de 2/10 mm b- doit avoir une température de fusion inférieure à celle de la porcelaine d- ne doit pas contracter des liaisons avec la porcelaine lors de la cuisson c- toutes la réponse sont fausses

5- Un inlay-core: a- est une restauration intracoronaire b- est une restauration extracoronaire c- peut supporter un taquet occlusal d- ne doit jamais supporter un bridge La technique de fractionnement par DI-lock : a- consiste à coller du plâtre pierre dans un moule en plastique. b- c’est une technique d’empreinte (trt des empreinte ) c- utilise le « spot light » pour localiser le die d- toutes les réponses sont justes nb : pour obtenir MPU il existe 3 système : -les tiges de repositionement métalique : dowel pins :1 temps positioné le dowel pin dens le modele -les dispositid type di-lock : coller le platre peirre dans un moule de plastique , -les système pindex : la bes de modele et creusé et puis metre dowel pins muni d’un système de localisation lumineus par spot light

2-l'air de Pouinds se situe entre a- Canine inf et trigone rétro-molaire b-face mesiale de la 33 et la face distale de la 37 c-canine sup et tubérosité

3- un articulateur type arcon : a- presente une trajectoire condylienne fixe sur la branche supeireure b- """""""""""""""" TC FIXE SUR LA BRANCHE SUP ET sc FIXE SUR LA BRANCHE INF c-presente une sphere condylienne fixée sur la branche inferieure d- """"""""" TC fixe sur la branche inf et SC fixe sur la branche sup

Lors de la taille, en vue d’une couronne complète, sur une dent postérieure dont la

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couronne clinique satisfait aux exigences de résistance et de rétention, on doit placer la limite gingivale de la préparation A. à 0.5mm sous la gencive. B. sur l'émail. C. au moins 1mm au-dessus de la gencive. D. au joint énamo-cémentaire. E. au niveau gingival Après ébouillantage on applique un isolant sur le plâtre: - pour empêcher toutes réactions chimiques entre la résine et le plâtre - pour empêcher la pénétration de l'eau dans la résine - pour retirer facilement la prothèse de son modèle - toutes les réponses sont fausses 7- La CCM sur dent courte nécessite : 1-accentuation des relief occlusaux ( les cuspides pour augmenter la rétention) 2-augmenter le parallélisme des parois -diminuer le parallélisme des parois 9- l'examen de l'occlusion permet se fait : A- en bouche ouverte, arcades serrées B-en intercuspidation maximum C-en relation centré et intercuspidation maximum D-sur moulage E-d'une façon statique et dynamique

10- La barre linguale est indiquée : 1-lorsque le plancher buccal est proche des dents. 2-lorsque l'on ne peut pas réaliser de bandeau lingual. 3-seulement dans les cas ou la table interne est verticale. 4-est plus ou moins rigide pour suivre tous les mouvements de la mastication. CI : de la barre linguale : table interne en contre dépouille , frein linguale trop haute ,hauteur inf de 7 mm entre collet des dents et le plancher 11- lors de la taille d’un moignon le respect de la morphologie occlusale permet: a- d’éviter le descellement de la prothèse b- d’augmenter la rétention c- d’éviter le renversement du pont d- toutes les réponses sont fausses 12- une empreinte anatomo fonctionnelle aux impératifs sont:

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1.mécaniques déterminés par l'équilibre des fonctions physiques et 2.chimiques 3.esthétique 4.biologiques respect de S d'appui 13- le bridge en extension sa résistance est : 1.inversement proportionnelle au carré de sa longueur 2.proportionnelle au carré de sa longueur 3.inversement proportionnelle au module de rigidité de la poutre 4.proportionnelle a l'épaisseur de l'ancrage en regard de la travée 5.les réponses a,c sont justes NB / IMERATIF MéCANIQUE ET BIOLOGIQUE -proportiennelle avec sa largeur/proportionnelle avec la carré de don epaisseur/inversement proportionnelle avec sa longueur R= langueur xe carré/ largeur 14-Un bridge polygonaux sont dits partiel quand: 1-il englobe 2 plans de Roy 2-il englobe 3 ou 4 plan de Roy 3-in englobe tout les plan de Roy(totale 5 plan 1 plan icisive 2 canine 2 m et pm) 4-toutes ls reponses sont justes.

15- les principes mécaniques d'un bridge: 1.insertion 2.résistance 3.rétention( inamovibilité) 18- la prothese immediate est d'un grand interet en raison: 1.appareil manducateur non altéré 2.la langue ne perd pas d'habitude vicieuces 3.la periode d'adaptation de la prothese est courte 4.permet de conserver la DV l'esthetique la phonation 19-Une prothèse provisoire peut etre realisé avec: 1-un moule en resine auto.blanche 2-une coiffe en metal 3-une coiffe en aluminium 4-une coiffe en celluloïd 5-toute les réponses sont fauses. NB : resine , moule plycarbonate (dent ant), couronne en polycarbonate portant un tenon (inlaycore) , couronne métalique anatomique preformé

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20- les impératifs d'indication d'une limite cervicale en prothese conjointe sont: 1.esthetique 2.prophylactique 3.mecanique 4.biologique 21- La valeur des dents piliers sera choisie en fonction: 1-du coefficient masticatoire. 2-du rapport C/R 3-axe de la dent. 4-aucune rèponse n'est juste.

22-Un bridge de courte porté comporte: (remplace en general une seul dent absente) ; bridge moyenne porté, bridge polygonaux : 1- 2 elements 2- 3 elements 3-plusieurs 4-aucune rèponse n'est juste *double encrastrement(forme rectiligne : sur dent depulpé de substitution richmond/couronne de recouvrement totale cc ou cvi, dent pulpé : o,lay ¾ ic ,c ou4/5 m pm ou cc et civ ) forme curviligne : dent depulpé ++++ richmond robuste contre les force de rotation ,pulpé : civ *bridge à simple encastrement ( en extention , ) : en extention libre*cantilver* ou avec inlay d’appui ;5absente 24- kel sont les concepts en prothese partielle: 1.occlusion balancée 2.occlusion gnathologique 3.occlusion mutuellement protégée 4.occlusion fonctionnelle 5.ttes les réponses justes 27- Les pontiques d’un pont fixe devraient A. remplacer tous les tissus durs et mous manquants. B. avoir une surface concave en contact avec la muqueuse. C. couvrir le moins de tissu mou possible. D. camoufler le joint métal-porcelaine au niveau gingival. -les face v de pont convexe , embrassure large proximale pour le passage de bossette,

43- La détermination de l’emplacement de la ligne de finition d’une couronne est influencée par

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1. l'esthétique. 2. la longueur de la couronne clinique. 3. la présence de caries. 4. la présence de restaurations préexistantes. NB / LIGNE DE FINITION : finition douce , moin mutilant , facilite l’execution , son inconvinient est :minceur du metal sus jacent qui peut donc se feformé a ce niveau , indiqué pour : richmonf , fracture coronoradiculaire en biseau , bord proximocervicaux des inlay 46- Quels sont les numéros Recommandé d'implants pour les patients ...


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